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Irish sonda son regard, en quête de repères.

— Qu'est-ce qu'il y a ?

— Rien.

Menteuse !

— Pourquoi tu ne veux pas que je t'embrasse ?

— Je n'aime pas les baisers sur la bouche, répondit-elle en haussant les épaules. C'est important pour toi ?

Il l'étudia un long moment.

— ça dépend.

— De quoi ?

— Du pourquoi.

Elle recula jusqu'è se placer hors d'atteinte et croisa les bras.

— Je ne comprend pas qu'on puisse avoir envie de dévorer mon visage.

— Dévorer ton visage... Tu as eu une expérience malheureuse avec un zombie ?

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« Soucieuse d’attirer son attention sur autre chose, elle désigna le nœud qu’elle avait fait à son tee-shirt.

— J’espère que ça ne te dérange pas ; j’ai fait ça pour éviter de nager dedans. Vu que je ne suis pas très grande et que tu es immense…

Il se contenta de la dévisager sans dire un mot, sans faire le moindre geste.

— Non, mais c’est vrai, regarde, insista-t-elle en attrapant le tissu qui dépassait. Il y en a tellement que je ne peux même pas tout prendre dans la main.

Irish toussa derrière son poing fermé et remua comme s’il était mal à l’aise sur son tabouret.

— Kitty-Kat, dit-il d’une voix plus rauque que d’ordinaire, je ne vais plus me sentir si tu continues à vanter mes dimensions comme ça.

Kat ferma les yeux et souhaita disparaître dans un trou.

— Oh, mon Dieu. Ce n’est pas du tout ce que je voulais dire.

Un léger gloussement caressa ses tympans et s’insinua dans son esprit.

— T’inquiète pas, j’avais compris. Je voulais seulement t’embêter un peu. »

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— Tu sais comment tu vas l'appeler ? demanda-t-il à voix basse pour ne pas troubler le sommeil du chaton.

Kat réfléchit un instant.

— C'est quoi, ton deuxième prénom ? chuchota-t-elle.

— Pas question que je te le dise. Aucun mec sain d'esprit ne révèle son patronyme entier à une femme.

— Pourquoi ?

— Parce qu'elles l'utilisent contre lui quand elles sont en colère, tiens !

Kat pouffa de rire derrière sa main. La lueur amusée de son regard incita Aiden à expliciter davantage ses propos.

— Suffit que tu regardes un match, tranquille peinard avec tes potes, pour qu'elle déboule en beuglant : « Anthony Michael Hall, tu ne vas pas t'en tirer comme ça ! »

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- Ouvre, Kat. Il le faut que je ta parle.

(...)

- Kat, je suis affreusement désolé, lâcha-t-il en laissant cogner son front contre la porte, priant pour qu'elle l'entende. J'aurais dû te dire la vérité la semaine dernière. Ou même avant. Mais j'avais peur que tu ne me laisse plus t'approcher; c'est pour ça que je l'ai fait. Je me suis raconté que c'était parce que j'avais accepté de veiller sur toi pour le compte de mon ami, mais au fond de moi, je savais que ce n'était pas vrai.

Aiden soupira et leva les yeux au plafond.

- Je ne t'ai parlé de rien parce que je ne peux pas me passer de toi. Le temps n'existe plus pour moi que par rapport au nombre d'heures que je passe avec toi ou qui me séparent de la prochaine fois que je te verrai.

(...)

- La première fois que je t'ai embrassée... j'ai eu l'impression de renaître. Je ne m'attendais pas à ressentir un truc aussi fort. A l'intérieur de moi, je me croyais mort depuis des années, mais un seul de tes baisers a suffi à me redonner le goût de vivre.

source site "dans notre petite bulle"

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-Je combattrai tout ce qui tente de te faire du mal, passé, présent, ou futur.Mais je ne pourrai lutter contre tes démons que si tu me les montres.

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Aiden et Xander

- Ce n'est pas de la graisse, pauvre nul. Je fais un peu de rétention d'eau, c'est tout.

- Oh, c'est déjà la mauvaise semaine ? Je croyais que tu venais juste d'avoir tes règles.

- N'importe quoi, répliqua Aiden en le gratifiant d'un doigt d'honneur. Toi, c'est ta tête qui est remplie de gras.

- Si tu trouves qu'Irish a le ventre mou, dit Kat en le désignant avec sa spatule, je préfère ne pas savoir comment tu qualifierais le mien.

- Ah, mais une femme est censée avoir des formes, des courbes qui épousent le corps plus ferme de l'homme. Et pour t'avoir vue au travail dans ton uniforme moulant, je peux te garantir que tu es absolument parfaite, ajouta-t-il avec un clin d’œil.

Kat fronça les sourcils et se retourna vers la cuisinière, mais Aiden avait eu le temps de voir ses joues rosir. Xander, toujours à battre des œufs à la fourchette, se tourna vers lui et lui fit un clin d’œil.

Que diable se passait-il ? Xander avait-il des vues sur Kat ? Aiden serra les dents et contracta ses poings. Son ami n'avait peut-être rien dit parce qu'il savait qu'Aiden veillait sur elle et il n'avait pas voulu compliquer les choses en l'invitant chez eux. Mais maintenant qu'elle était là...

- Génial, marmonna-t-il.

- Qu'est-ce que tu dis ?

- Rien, répondit Aiden en se levant pour gagner la porte. Je ressors. Je mangerai lus tard.

Il ne pouvait même pas en vouloir à Xander. Il n'avait jamais revendiqué de droits sur elle, et n'avait pas l'intention de le faire. Et si Kat décidais finalement de ne pas quitter la ville, elle ne rencontrerait pas de meilleur homme que Xander. Qu'il s'engage dans une relation durable ou une simple nuit d'amour, Xan traitait ses partenaires comme de véritables princesses.

source site "dans notre petite bulle"

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« L’écho de ses paroles passa sur sa peau comme la cavalcade d’un millier d’araignées. Elle glissa ses clefs entre ses doigts et referma le poing pour former l’arme qu’elle avait baptisée d’après un ses personnages Marvel préférés : Wolverine. Et pour la énième fois de sa vie, regretta de ne pas posséder de superpouvoirs. »

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- Je t'ai possédée de toutes les façons possibles. Rien que moi, Kat. Personne ne pourra jamais nous prendre ça. Tu es à moi et je suis à toi.

Bouleversée par cette déclaration d'amour, elle ferma les yeux.

- Pour toujours, promit-elle.

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« Il étira les jambes et se demanda si bayou n’était pas le mot français pour rôtissoire. Maintenant que le vent ne le rafraîchissait plus, Aiden avait l’impression d’être un poulet qui aurait passé la nuit sous le gril. »

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- Je t'aime, Kitty-Kat.

Elle écarquilla les yeux.

- Qu'est-ce que tu viens de dire ?

- Tu m'as bien compris. Je t'aime, Kat. Plus que ma vie.

Abasourdie, Kat ouvrit et referma plusieurs fois la bouche, tel un poisson hors de l'eau. Entendre l'homme qu'elle aimait prononcer ces mots la bouleversa. Et elle ne réalisa qu'elle pleurait que lorsqu'elle sentit le goût salé de ses larmes sur ses lèvres quand Irish les essuya de ses joues.

- Tout va bien, tu n'es pas obligée de répondre, murmura-t-il. Je voulais juste que tu le saches.

- Je sais. Je veux dire que je me doute que je ne suis pas obligée de dire quelque chose, mais je veux le faire parce que c'est vrai. Moi aussi, je t'aime. Je t'aime tellement.

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