Finis Terrae. Sous les pavés, l'enfer
Auteur
- Nathalie Stalmans (Écrivain)
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Classement en biblio - 7 lecteurs
Commentaires récents
J'ai beaucoup aimé ce livre. Obligée moi aussi de le lire dans le cadre du cours de français j'ai été agréablement surprise car j'en avais entendu beaucoup de critiques de la part de les camarades de classe. Je l'ai trouvé très intéressant d'un point de vue historique comme dans la manière dont il a été rédigé. J'ai bien aimé le fait que l'on suive une famille génération après génération. Spoiler(cliquez pour révéler)ainsi que le fait que l'histoire débute et s'achève dans la même taverne, un siècle plus tard, tel un cycle qui s'achève.. Beaucoup mon dit qu'il y avait beaucoup de personnages, et que l'histoire n'en était que plus confuse. J'ai pour ma part trouvé l'histoire assez claire. Il faut dire que les arbres généalogiques au début du livre facilitent grandement la tâche. Et si les style était parfois fort descriptif, cela ne m'a pas gêné car il s'agit après tout d'un roman historique et cela permettait de mettre une image sur les faits et personnages.
Bref je me recommande pour les personnes aimant l'histoire (ou plus simplement apprendre en général) mais aussi pour tout les autresqui le souhaite bien sûr.
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Obligé de le lire pour mon cours de français, j'ai eu une lecture assez mitigé.
Ce livre n'est pas des plus exceptionnelle. Il est banal. Il n'y a pas d'intrigue. C'est un livre que je qualifierais de petit vu son nombre de page assez réduit mais il faut longtemps pour savoir le comprendre correctement vu l'écriture qui est assez lourde.
Pour celui qui s'intéressais à l'histoire de Bruxelles il est assez intéressant et pour les autre... passez votre chemin.
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Date de sortie
Finis Terrae. Sous les pavés, l'enfer
- France : 2014-08-20 - Poche (Français)
Activité récente
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Editeurs
Résumé
Bruxelles, 1615. En plein cœur des prairies marécageuses bordant la Senne, Jérôme de Meester esquisse le tracé de la future rue Neuve. Finis terrae s’inspire de l’histoire des habitants du dernier témoin de cette époque, une maison quatre fois centenaire, classée, bordant l’artère devenue aujourd’hui la plus commerçante de la ville.
Capitale d’un « état-tampon » séparant les puissances ennemies, terre de passage où se croisent des armées errantes en quête de solde, des colporteurs, des comédiens et des peintres, des voyageurs et des émigrés de toutes les nations, Bruxelles, sous le régime espagnol, est convoitée, bombardée, ruinée, reconstruite. Les hommes y défendent âprement leurs privilèges, vénèrent les saints et se méfient de la religion, haïssent la France et copient Versailles, parlent en français, chantent en flamand, se saoulent avec philosophie et rêvent d’une société plus juste. Bruxelles, au XVIIe siècle, se cherche déjà une identité.
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