Extraits

- Je sais, je sais. Ne regarde pas comme ça, dis-je en levant les yeux au ciel. Tu te dis qu'on pourrait appeler notre histoire Cinquante Nuances de bordel, c'est ça ?

- Rimango con te. Toujours. Je suis avec toi, tesoro mio.

Spoiler(cliquez pour révéler) « – Je n’en ai rien à faire. Tu aurais pu harceler Celia, l’appeler un million de fois, cacher un poulet mort dans son lit – je m’en fiche. Je te veux, toi. Je veux être avec toi. Si tu étais malade, je pourrais te perdre, et je ne peux pas prendre ce risque. Je suis prêt à tout, Alayna. À tout faire, à tout dire. Je ne peux pas vivre sans toi. »

– C’est magnifique, H.

– Tu n’as encore rien vu.

Il ne réagit pas au surnom absurde dont je l’avais affublé. Peut-être s’y habituait-il enfin.

– Mais pour le peu que j’en vois…

Je balayai la pièce spacieuse du regard, notant le raffinement de l’architecture et le chic de la décoration.

– C’est splendide.

– Je suis ravi que ça te plaise.

– Ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais. Ça n’a rien à voir avec le loft. Je pensais que ce serait plus semblable.

Dans le loft, tout était noir, et en cuir. Très viril et imposant. L'endroit était blanc et lumineux – malgré la pénombre.

– Alayna.

L’entendre prononcer mon prénom me fit frissonner. Comment se faisait-il qu’il produise un tel effet sur moi ? Comment parvenait-il à m’allumer avec un simple mot ?

– Les meubles sont différents, aussi.