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Commentaires de livres faits par Fnitter

Extraits de livres par Fnitter

Commentaires de livres appréciés par Fnitter

Extraits de livres appréciés par Fnitter

date : 22-12-2021
Frieda, charmante Frieda… Femme forte et libre. Conteuse itinérante. Mais c’est une Leith, une Asgarlas, ou l’équivalent d’une sorcière (de l’esprit). Pourchassée par l’Ordre, elle cherche à trouver son salut dans un pays lointain. Péripéties et belles rencontres seront au rendez-vous.


L’auteure aime bien les femmes fortes et autonomes, capables de raisonner. Elle aime les mettre en scène et nous aussi. Empreint de féminisme (sans y voir un quelconque sens péjoratif ou extrémiste), un destin de femme difficile, dans un monde moyenâgeux où la force prime. Ou en tout cas l’homme prime.
Frieda chante, Frieda conte, Frieda voyage, Frieda couche, Frieda tue, Frieda fuit, Frieda vit.
J’ai aimé voyager avec elle, souffrir avec elle, aimer avec elle. Ses aventures sont sincères, intenses, jamais elle ne se renie.

S’il n’y a pas de réelles surprises dans ce roman, on est malgré tout transporté dans l’univers de l’auteure et on suit avec un réel plaisir les aventures de l’héroïne.
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Instructif et immersif . Passionnant.

Nous sommes en 1915. La première guerre mondiale bat son plein, avec son lot de braves, mais un soldat sur le front, en rotation, sans règles… Alors la prévôtale veille au grain, mal aimée, conspuée, mais indispensable. Cognard, lieutenant de gendarmerie prend son poste. Et entre passe-droits, soûlards et enquête judiciaire, il aura fort à faire.

Le personnage de Cognard est assez jubilatoire, doté d'une verve, qui lui vaudra bien des ennuis d'ailleurs, et d'un entregent à géométrie variable.
L'atmosphère reste assez légère, essentiellement grâce au personnage principal, malgré la violence des combats et la noirceur théorique du propos.
Le récit est précis, réaliste, et le soin du détail apporté par l'auteur, entre anecdotes historiques et notes en bas de page amène encore de la crédibilité.
L'intrigue principale, que serait un bon polar historique sans une bonne enquête judiciaire, arrive un petit peu tard dans le récit, mais les bases posées sont solides et pallient efficacement.

Un polar, un pan de l'histoire, la gendarmerie prévôtale pendant la première guerre mondiale, assez méconnue du profane, à découvrir absolument.
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date : 24-01-2021
Un finish à suivre.

Ce dernier opus s'ouvre sur un épisode carcéral absolument époustouflant, la haute moralité est confrontée à la triste réalité des crimes de guerre que tout le monde cherche à combattre, mais que tout camp qui est allé trop loin sur la pente de la guerre finit par commettre.

Beaucoup plus bavard que les deux premiers tomes l'auteur conclue agréablement son récit (en nous offrant quand même une belle bataille, histoire de nous rappeler quand même que l'objecteur de conscience a l'espérance de vie d'une larme de souffrance en enfer).
Un roman, découpé en trois parties, à lire absolument par tout amateur de SF sous section space opera guerrier.
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date : 24-01-2021
L'histoire est installée.

Persée est engagé dans la bataille, sa survie, celle de ses amis et celle de son vaisseau mère est en jeu.

L'auteur rappelle que son héros n'est pas un guerrier décérébré juste bon à piloter et à tuer. Il va l'impliquer dans un épisode de sauvegarde de la vie humaine qui ferait du meilleur effet dans un film ; mais qui hélas est beaucoup moins crédible en livre. Difficile en effet de penser qu'un simple cadet puisse avoir tant de latitude dans une bataille, mais passons, puisqu'il le dit lui-même : « J'étais conscient que l'angélisme d'une trop haute moralité devait se frotter à la réalité brutale, violente, des hommes qui sont partis trop loin dans la haine ». Et le tome 3 (lu dans la foulée) va nous ramener à terre pour le coup, assez brutalement.
Et combattre des humains, plutôt que des extraterrestres (communistes en plus) permet d'être un peu plus subtil sur les effets et conséquences de nos actes.
Ceci dit, action et aventures armées sont au rendez-vous dans le cockpit des chasseurs de la Coalition.

Euh, ok pour le système de gravité artificielle dans les vaisseaux, ils font tous ça maintenant, c'est plus facile visuellement et littérairement aussi d'ailleurs, on ne cherche plus à comprendre. Mais il s'étend jusqu'où ce truc ? Parce que dans l'espace, un bombardier, qui ouvre sa soute ventrale pour larguer des bombes ????
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date : 24-01-2021
Éclatant.

La coalition et Europa sont en guerre interstellaire revendiquant des colonies.
Persée veut piloter. Engagé et formé sur l'un des deux vaisseaux école de la coalition, il se fera des amis, des ennemis et une réputation.

Vous avez adoré Vers les étoiles de Sanderson en regrettant un peu la partie littérature jeunesse ? Vous êtes fan de Gurvan de PJ Hérault ? Votre meilleure série de SF c'est Battlestar Galactica nouvelle version et comme l'auteur et moi-même vous déplorez la partie mystico-religieuse ?
Engagez-vous, rengagez-vous et foncez lire cette première partie de ce petit Fleuve Noir qui ne dit pas son nom et qui est plus intelligente, moins primaire et non dénué d'humour que mon propos ne le laisse paraître.

Pour les petits reproches, on regrettera un background un peu sous-développé (comme le fait également Hérault), j'aurais aimé un petit plus de technique, d'avionique, (comme le fait Hérault) et pour finir, me mettant dans la peau d'une pilote nommé Hécate je dirais : C'est quoi tous ces grades de merde inversés ? Un sergent officier qui commande à sous-lieutenant qui garde une prison ? C'est quoi ce bordel ?

Mais en dehors de cette hérésie bizarroïde (ou alors il va falloir qu'on m'explique), j'ai adoré ma lecture et je me précipite directement sur le tome 2 (et si vous lisez le premier opus, vous comprendrez aisément pourquoi… Vilain auteur va).

10 étoiles, parce que c'est de l'auto édité, qu'il faut encourager les auteurs de SF militaire si mal vus en France et que j'ai réellement apprécié ma lecture.
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date : 24-01-2021
Après le Baneblade, un autre char super-lourd sur une autre planète pour une autre mission. Mais on garde l'équipage du premier tome.

On retrouve l'atmosphère de l'opus précédent. Et sincèrement, je préfère la garde impériale (des hommes) aux Surhommes Space Marine, toujours un peu trop dévots et faussement parfaits à mon avis.
Bon dans ce volume, on a la totale, du garde, du space marine, du char, du titan, du chaos et leurs astartes et machines renégats. Manquait plus que les ET (mais on les a eus dans le premier tome).

Moins immersif que Baneblade, mais les recettes sont désormais éprouvées et efficaces, et cela fonctionne. Une bonne lecture dans l'univers Wh40k. Guy Haley, un auteur à suivre pour cette licence.
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Toujours aussi prenant.

Les chinois, nouveaux ennemis des US sont encore au centre de ce nouvel opus dont le chef d'orchestre est toujours le truculent conseiller à la sécurité nationale, l'amiral Arnold Morgan.
Que se passerait-il si le détroit d'Ormuz, principal passage du pétrole mondial était bloqué ? Qui en profiterait pour faire quoi ? Et quelles seraient les réactions de la plus grande puissance maritime et terrestre de la planète ?

Évacuons la seule chose qui fâche. le titre n'a de réelle importance que sur les 40 dernières pages. On n'est clairement pas sur l'USS Alabama avec Denzel.
Ceci étant dit. Robinson a trouvé sa recette, c'est palpitant, c'est réaliste (autant que peuvent l'être des actions de guerre entre USA et Chine qui ont peu de chances d'arriver IRL). La langage technique s'insère parfaitement et rythme un récit haletant que, à mon avis, rien ne vient gâcher.
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Digne successeur du numéro 1

Les édéniens se mobilisent pour attaquer les humains, qui s'organisent pour se défendre au mieux et avec les moyens du bord.

Même critique, mêmes qualités et mêmes défauts que le premier tome. Format court sans temps mort. Cela reste très très page turner et on a globalement les réponses aux questions que l'on a pu se poser tout au long de la lecture des deux volumes sur l'univers et les personnages, à condition de ne pas oublier la taille de l'ouvrage.
Ce serait presque son défaut majeur d'ailleurs. Beaucoup beaucoup trop court. Il y avait matière à une trilogie de 600 pages pour chaque opus.

Un final un peu précipité et évidemment, une porte ouverte à un éventuel troisième tome.
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Excellent

Spin n'a qu'un rêve, devenir pilote de combat pour combattre les Krell. Des ET qui cherchent à anéantir ce qui semble rester de l'humanité, retranchée sur une planète bien mystérieuse. Mais Spin est la fille d'un lâche, cruelle épine qui l'empêchera de réaliser ses désirs ?

Avant tout, et histoire de ne pas être déçu, c'est de la littérature jeunesse, ou tout du moins très YA. Mais cela peut sans aucun problème être lu par un adulte une fois le paradigme accepté.
L'organisation de la civilisation de la planète manque un peu de clarté, voire de réalisme (on dirait presque du silo c'est dire).
Les interactions entre les humain et les Krell nous semblent bien artificielles (et c'est voulu) . Rassurez-vous, vous aurez l'explication.
Le vaisseau surprise, trouvé par l'héroïne est digne d'un roman de PJ Hérault. IA ex machina, en avant toute.

Ceci étant, j'ai adoré ma lecture. Les dialogues sont amusants, l'histoire est passionnante, l'avionique et les combats sont bien décrits et apportent du corps à l'histoire.
J'aurais aimé un peu moins de mesquinerie et de pitrerie de la part des personnages, mais c'est le traitement YA qui veut ça. Tiens, Sanderson m'aurait fait une version adulte de son univers, qu'il aurait gagné les cinq étoiles bien méritées.

Skyward c'est BSG 1978, j'aurai tant voulu que ce soit la version 2005.
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Tout est dans le titre.

Taille, poids, les sens et un peu de SETI et de fermi avec quelques références bien sûr aux films les plus connus et quelques livre de sf plus exotiques.

Un peu resucée pour un amateur éclairé de sf, j'ai donc du coup été un peu déçu mais il faut se rappeler le titre.
Disons que pour un ado curieux cela peut être instructif et divertissant.
Une bonne façon de passer en revue quelques formes de vie terrestres exotiques.
Comme le dit si justement l'auteur, l'imagination des auteurs de sf est encore loin de ce qui pourtant existe déjà.
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Tellement… tout… qu'on apprécie finalement.

Une petite brune (expression employée environ une centaine de fois), son garde du corps wookiee bodybuildé et un militaire balafré sévèrement burné impliqués dans des aventures galactiques impliquant pléthore d'extraterrestres, de gros calibres et d'idées.

Un brin paternaliste, voire sexiste. Je m'étonne que l'uniforme de Mallory ne soit pas un bikini particulièrement échancré pour compléter ses tatouages sensitifs. Un hommage à la sf des années d'or peut être ?
Un bestiaire absolument impressionnant, digne de la taverne des marchands sur Coruscant (les aficionados apprécieront).
Ce premier tome fourmille d'idées, loufoques, ingénieuses, originales ou pas, mais en tout cas en grand nombre.

Ce n'est pas la crédibilité du tout qui fait que le bouquin tient la route (vraiment?). C'est un roman d'aventures sciencefictionnesques chamarré, bigarré, bref haut en couleur.
Laissez votre sens critique de côté et appréciez au premier degré les aventures interplanétaires et interstellaires de Mallory Sajean digne successeur de Flash Gordon and co.
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date : 24-01-2021
Science et esthétisme au rendez-vous.

Météorologue de profession et photographe de passion, l'auteur nous livre un album de photos de ses péchés mignons, orages, tornades et plus généralement, phénomènes météos extrêmes. de l'Europe aux USA, quelques clichés impressionnants (surtout les éclairs, mon péché mignon à moi pour le coup).
Agrémentés de quelques fiches techniques, de l'environnement de la photo et quelques éléments autobiographiques, l'auteur nous fait partager sa passion.

Le livre est sublime, je connaissais la salamandre, mais en beaucoup plus petit (précis de science illustrée pour enfants et parents désireux d'enseigner). Là, 33x25cm, le format est adapté pour la majesté des images.
On en apprend un peu plus sur la formation des orages, des éclairs et autres joyeusetés météo.
Assurément un livre qui ne jurera pas dans votre belle bibliothèque.
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Ça manque de relief, de profondeur et d'intérêt.

Nécrons contre ultramarines sur la planète Damnos.

Une ancienne civilisation xénos, mécanisée et bio mécanique, tripes à l'air et giclée de sang à foison contre les space marines le plus connus et médiatiques : Les ultramarins de Rouboute Gulliman dirigée ici pour la deuxième compagnie par le Capitaine Sicarius.

Personnages space marines assez indistincts, presque autant que les intervenants « humains » du roman.
Des flashbacks sur les ultramarines qui n'amènent rien à l'histoire.
Des combats et une stratégie globale assez brouillons.

Tout cela font de ce roman une gigantesque bataille désespérée certes, mais à laquelle on a du mal à accrocher. Dommage.
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date : 24-01-2021
Tous les ingrédients sont là.

Colonisation d'une nouvelle planète suite à un voyage de 80 ans au départ d'une Terre mourante. Militaires et civils dont les opinions divergent auxquels s'ajoute un second vaisseau parti plus tard mais arrivé en même temps (meilleure technologie et surprise à la clé).
Évidemment, la planète réserve bien des surprises.

Une réellement bonne expérience que cette lecture.
Construit pour faire un blockbuster avec action, rebondissement et surprises à la pelle.
Les personnages, nombreux, sont sous exploités et un peu flous donc. Les situations problématiques s'enchaînent à un rythme PRL et sur un format 300 pages sont donc elles aussi sous exploitées.
La technologie est assez peu expliquée, mais elle fonctionne, sous exploitée elle aussi.

Tout est donc sous-exploité ? Oui, on a l'impression de se retrouver avec un fleuve noir des années 70 mais avec une traitement et une écriture moderne, que contrairement à beaucoup d'autre, j'ai trouvé très agréable à suivre.

Quoi ? C'est de l'auto édition ? Oui, mais avec le nombre de critiques, il a visiblement trouvé son public, et j'en fait indéniablement parti.
J'ai adoré ma lecture. J'ai dévoré en fait.

10 étoiles. (D'encouragement, ça vaut 8 en fait).
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Nick Stone, aussi improbable que cela paraisse après la fin du premier tome, reste un contractuel, agent noir, au profit des services secrets britanniques. Après une petite mission HAHO, bien militaire, en Syrie, histoire d'appâter le chaland on retourne au USA pour une histoire d'espionnage, infiltration et ordre de tuer, plus conventionnelle.

En 2000 Ben Laden est déjà très recherché pour ses activité terroristes anti américaine mais il n'est là qu'un prétexte. La version poche en 2002 avec lui en photo pour surfer sur l'actualité de l'époque renforce cette conviction.
L'ensemble est un peu mou (en dehors de l'intro) mais reste très lisible, en tout cas suffisamment pour qu'un prochain opus soit au programme.
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date : 24-01-2021
Mignon.

5 jeunes (12 à 15 ans) constituent une équipe d'espionnage au profit du MI6, chacun a son talent, a accès à un superordinateur (mais sont surveillés euh, supervisés, par deux adultes quand même, faut bien faire à manger) et doivent lutter contre le crime organisé transnational et déjouer des complots qui pourraient éradiquer l'espèce humaine.

La couverture française est plus mature, laissant penser à une lecture plus « grand ado ». La couverture originale donne une meilleure impression. On est plus du côté d'un mix des totally spy et du club des 5 que réellement du côté de Chérub (pour la petite étiquette collée par l'éditeur probablement).
Des grands méchants nommés UMBRA ou la marque mauve. Ça vaut bien le LAMOS ennemi du WHOOP non ?
Et puis Chérub date de 2004 (2007 en France), ses fans ont bien grandi depuis et si j'ai bien aimé Chérub (les 3 premiers), on est loin, clairement, ici de la qualité de cette série pour ado, plus « mature » je dirais. L'auteur de Cherub est Anglais, ici, l'auteur est passé à la sauce américaine, plus guimauve bien sucrée.

Cela étant, pour une lecture enfant de 10 à 12 ans, city spies doit être sincèrement attrayant. (et pas de sentimentalisme et mamours dégeu dans ce tome, encore mieux).
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date : 24-01-2021
Trop de bonnes idées ?

Deux histoires en une, qui se mêlent et s'entremêlent. Entre un cataclysme à vocation post-apocalyptique (l'explosion de la caldeira de Yellowstone) et une prison sous-marine réputée inviolable.

Comme le titre de mon billet l'indique, hélas, trop de bonnes idées, nuisent aux bonnes idées. Je m'explique :

Le supervolcan de Yellowstone comme point de départ d'un road trip post-apo, parfait. C'est non seulement crédible, mais dans le domaine du possible avec cette caldeira déjà en retard dans ses cycles. (Bon sur 100.000 ans, on n'est plus à quelques milliers d'années près). Et cette touche supplémentaire humaine accélérante, brillante. du coup, je suis resté sur ma faim. L'auteur aurait pu, et je pense qu'il avait la matière sous la main, en faire un roman à part entière. le combat d'une volcanologue pour éviter l'inévitable. D'abord, le projet d'énergie verte où comment jouer avec des allumettes dans un dépôt de gaz. (Et on aurait pu oublier l'aspect secret de la réalisation pas crédible pour des travaux de cette ampleur). Aurait suivi son rôle de Cassandre et l'inévitable explosion et ses conséquences. Bien documenté, j'aurais pris mon pied.

La prison sous-marine. Là encore, ok pour le concept. S'il n'est pas neuf et a déjà été exploité en littérature (je citerais pour mémoire, ma dernière lecture sur le sujet (et la seule dont je me souvienne) : Eaux profondes de Duncan Falconer). Il y a matière. Bon dépenser autant d'argent, dans un milieu aussi risqué pour en faire une prison, je ne crois pas que cela se fera un jour (île, plateforme offshore, bateau, c'est déjà bien assez) mais dans un roman de SF, il y a moyen. D'autant que l'auteur a rajouté quelques améliorations technologiques intéressantes (robots et atmosphère hackers – cyborg – bio informatique). Et le régent (le directeur de la prison), un clin d'oeil au gouverneur de Walking Dead ?
Mais là encore, cela aurait mérité un roman à part entière pour mieux crédibiliser l'ensemble. On passera sur la profondeur (15.000 yards soit 13.000 mètres dans la fosse des caïmans qui n'en fait que 7.700). Elle aurait tout aussi efficace et bien plus facile à gérer à 300 mètres. Mais un background bien plus fouillé et plus futuriste aurait pu apporter du crédit aux trouvailles de l'auteur (je pense notamment aux robots et aux spécificités du régent).

Le style est fluide, c'est agréable à lire, mais j'ai clairement trouvé ce roman plusieurs tons en dessous de Projet Mars alpha, pourtant à peu près concomitant dans sa création.
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date : 24-01-2021
Post apo et YA : Définitivement non.

La survie d'une jeune fille de 16 ans, son amoureux, son petit frère et quelques copains dans un monde dévasté par de mystérieux extraterrestres qui ont anéanti la quasi totalité de la population à l'aide d'IEM, pandémie tsunami et infiltration hostile.

J'avais déjà évoqué le difficile mariage de la survie post apo et de la littérature adolescente. Et malheureusement ce roman vient confirmer mon désamour pour le genre. Je demande le divorce immédiatement. Divorce hostile avec interdiction de se refréquenter à nouveau. On n'est peut être pas au niveau de mièvrerie de Autre-Monde de Chattam (qui avait eu pourtant pour moi, l'indulgence de la nouveauté) mais on s'en rapproche. En matière de jeune fille survivante on préférera, et de loin, Temple à Cassie (Les faucheurs sont des anges de Bell).

Le traitement fin du monde est indéniablement original et l'auteur se moque gentiment du scenario habituel hollywoodien des invasions ET. S'il reste mystérieux dans ce premier tome, ce qui est tout à fait logique dans le cadre d'une trilogie, spoiler alert, j'ai vérifié, il sera extrêmement décevant par la suite.

Bref, cette trilogie, ce sera sans moi. Je retourne à mes bons vieux zombies. Et pas ceux qu'on extermine après le goûter au pain au chocolat et avant le bain du soir.
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Toujours aussi agréable à lire.

On ne présente plus Assasynth.
Pour cette nouvelle aventure, on retrouve EVE que j'avais personnellement adoré dans un opus précédent et qui méritait un deuxième passage.
La SecUnit est toujours aussi intéressante avec sa répartie caustique et toute en « finesse »
Concernant l'IA, on est encore loin IRL du stade développé dans le roman, c'est donc une réflexion plus hypothétique sur la place et la légitimité de ces dernières dans notre société. Mais préparons nous.
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Décevant.

Petit roman, très court, dont la mission n'occupe que la moitié du livre. Une mission sans réelle envergure malgré quelques rebondissements.
James grandit doucement et alterne bêtises infantiles peu dignes de son statut et intérêt de plus en plus prononcé pour les filles.
Un réel coup de mou pour ce quatrième tome.
Allez, je m'en essaye un dernier et j'arrête ?
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Captivant.

Direction la prison de haute sécurité pour mineurs aux USA dans le cadre d'une infiltration à haut risque pour organiser l'évasion du fils d'une trafiquante d'arme de haut vol.

Un milieu carcéral bien violent, pas d'épisodes romantiques (pas le temps, pas le genre de cet épisode).
Réellement passionnant.
Et puis, sincèrement, cette lecture ado est d'une facilité à suivre, extrêmement agréable à lire, délassante et divertissante à souhait. J'adore.
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L'âge de la maturité.

Ce second tome évoque le trafic de stupéfiants (cocaïne) et l'utilisation de jeunes livreurs. Les organisations criminelles et leur brutalité, sont légèrement évoqués.

Une petite préface rappelle le cadre de la série (Chérub, la couleur des teeshirts, les personnages récurrents) évitant ainsi trop de redites.
Un épilogue donne le devenir des personnages de l'épisode évitant le ou les chapitres en trop alors que l'histoire est déjà finie.

Plus ado que le premier tome avec les premiers atermoiements amoureux de James, plus présents.
James est moins « fou fou rebelle » ou va apprendre à l'être, confronté à des situations extrêmes, pouvant faire basculer sa jeune carrière.
Une ambiance moins militaire, plus familiale, plus jeune aussi, mais toujours un très agréable moment. Sans prétention cette fois.
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date : 07-12-2020
Qualité et intérêt sont au rendez-vous.

Anielis a vu toute sa famille exterminée par les prêtres de l'ordre qui échouent à la rééduquer. En fuite elle rejoint les laissés pour compte qui finissent par se retourner contre les prêtres qui dirigent en sous-main le pays d'une main de fer.


Aux antipodes de l'angélisme qui caractérise parfois les romans de fantasy, l'évolution de la révolte à la révolution d'une jeune femme forte, obstinée, voire butée. Une héroïne qui se construit dans la haine qui confine à l'obsession à la limite parfois franchie de la folie, jusqu'à la sagesse et la rédemption ?

Une ambiance assez sombre, dans un univers moyenâgeux classique (sans magie) crédible, culturellement, cultuellement et psychologiquement. Les rapports humains, la politique et la religion sont abordés avec justesse et réalisme.
Un début un peu long, mais qui permet de bien poser le personnage.
Ce n'est pas un livre d'action, même si cette dernière est présente (jamais suffisamment à mon goût, mais mes choix personnels en la matière, qui me tournent généralement plus vers l'heroic fantasy un peu bourrine font que je n'en ai jamais assez).


Bien construit, le style propre et clair, la plume fine et parfois poétique de l'auteure sont loin de l'amateurisme que l'on rencontre parfois dans l'auto édition ; le métier probablement.
Tout cela fait de Valadonne un roman réellement abouti qui mérite sa place dans le paysage encore un peu trop anémique de la fantasy française.
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Action, humour, réflexion pour ado. Excellent.

James, 12 ans, orphelin est recruté par CHERUB, une antenne du MI5 (Services secrets anglais) ayant pour originalité d'employer des agents de 10 à 18 ans.
Pour ce premier tome, mis en place, présentation et 100 jours d'enfer de sélection. Ça vaut bien le bud/s (sélection des seals américains). Pour finir sur une première mission de contre terrorisme.

Alors, sûr qu'en lecture adulte, si on veut du réalisme, mieux vaut se faire les SBS Anglais ( En première ligne de Duncan Falconer).
Des espions de 12 ans, ça a existé (cf seconde guerre mondiale). Il est fort peu probable que dans nos démocraties occidentales « éclairées » cela existe encore, surtout avec un centre de formation tout confort (imaginez la une des journaux), mais je ne parierais rien sur du russe ou du chinois.
Et le super orphelinat version Poudlard vient rejoindre tous les codes du genre avec équipe de jeunes intrépides et attachants.
Cela étant, j'ai adoré le concept et ce qu'en a fait l'auteur. Avec une légère sensation de me retrouver dans la stratégie Ender de Card.
Des enfants, mais matures (l'école de la vie, ça forme le caractère). Pas d'angélisme déplacé, pas de sirupeux façon dystopie YA.

Bref, j'ai adoré. 4 étoiles en lecture adulte, mais 5 bien méritées en lecture régressive ado.
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Mais comment peut-on être à la fois aussi ennuyeux et aussi intéressant dans un même bouquin ?

L'équipage du Rossi éclate aux quatre coins du système solaire pour raisons personnelles pendant que les dissidents de l'APE finalisent leur plan.

300 premières pages d'un ennui profond avant d'enfin entrer dans le vif du sujet et réellement apprécier ma lecture. Corey m'avait déjà fait le même coup le tome précédent et il recommence. Il multiplie les points de vue, c'est agréable, mais pourquoi concentrer l'action uniquement dans la seconde partie du roman et faire ainsi de sa première partie un puits sans fond d'ennui ?
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date : 12-11-2020
La force tranquille.

Sur fond barbouzard israélien, le nouveau chef d'une unité d'élite de renseignement du même pays doit résoudre, en Guest Star, un crime et un potentiel complot criminel et/ou politique, en France mais où chinois et israéliens sont impliqués.


Le roman démarre lentement, pose les bases, tranquillement et poursuit sur sa lancée durant les trois quart de l'histoire, sans jamais s'affoler pour exploser dans l'action et les révélations dans le dernier quart.

On aurait pu se dire, tout ça pour ça ? On aurait pu s'ennuyer, eh bien non, dès le départ, j'ai adoré l'ambiance de lecture, le rythme pépère mais qui nous accroche immédiatement. L'auteur nous prend gentiment par la main et nous ballade agréablement jusqu'au final fort en émotions et en action. Les personnages sont superbes, l'histoire bien ficelée. Ce n'est pas un techno thriller, on mise plus sur l'humain (à part pour l'utilisation bien commode d'un beau gadget ultra techno (existe-t-il d'ailleurs en réalité ? )) et du coup on joue dans la cour du réalisme. On en en apprend pas tant que ça sur les structures de Tsahal, mais ce n'est pas gênant.

Une lecture très agréable.
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