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-Les mots pratique et mariage ne s'accordent pas ensemble. Le mariage , c'est quelque chose de magique , difficile, merveilleux, exigeant, bref, il est tout sauf pratique. En outre, je vous le demande, quelle femme pourrait se satisfaire d'une pareille proposition? On dit de chiffons en microfibres qu'ils sont plus ou moins pratiques. Pas du mariage. Au contraire, c'est un mot spécial qui doit faire rêver et redoubler les battements du coeur.

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-Tu ne sais pas ce que c'est que d'aimer un enfant et d'être prêt à donner sa vie pour le protéger, articula- t-elle. L'aimer, ce n'est pas le vouloir pour soi à tout prix. Tu ne le mérites pas. Mais tu ne t'en rends pas compte. Ton unique soucis, c'est de me punir. Eh bien , bravo! Tu as réussi.

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Elle se rapprocha de lui, il se pencha au-dessus d'elle et déposa un baiser sur sa bouche, puis ils se regardèrent longuement sans rien dire.

Au fond de ses yeux , elle vit le manque et la détresse qui l'habitaient. Et elle comprit qu'elle n'avait jamais cessé d'aimer Ethan., qu'il lui avait toujours manqué, que tout s'était arrêté le jour où elle l'avait quitté. Mais elle comprit aussi que si elle restait trop longtemps ici, elle courrait le risque qu'il s'en aperçoive.

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-C'est à cause de Ralph, mon mari, et de sa maudite théorie d'"appartenance à la caste des fondateurs de Fool's Gold". La réputation , c'était tout pour lui.Va droit, fais droit, , sois droit. Au diable , les sentiments!

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-J'admets ma responsabilité dans cette affaire.Mais toi aussi tu dois admettre la tienne.Et si tu ne l'accepte pas,le passé t'empêchera de profiter du présent et de ce que tu as maintenant.

-Qu'est ce que j'ai maintenant?Un gosse qui ne me connaît même pas!

- Tu as une seconde chance, Ethan,rétorqua Liz. Alors saisis-la!C'est si rare!

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- Que de monde! s'exclama-t-elle ne voyant la foule qui s'agglutinait devant un stand.

- C'est la dame qui a écrit un livre sur les cookies. Elle en propose en dégustation, expliqua Ethan en lui prenant la main pour ne pas la perdre.

- Super! Je devrais en faire autant, répliqua Liz. sauf que je ne sais pas ce que je pourrais offrir.

- Du sang, s'esclaffa Tyler.

- Ou des cadavres, gloussa Abby.

- Eh bien, en voilà des idées! fit Lie en simulant l'indignation. Où avez-vous été chercher ça?

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Liz tenait fermement Tyler par la main. La course cycliste avait attiré un monde fou. Quelle folie d’imaginer repérer deux filles qu’elle n’avait jamais vues dans cette cohue ! Si au moins elle avait su à quoi elles ressemblaient !

Elle avisa un marchand de glaces et acheta à Tyler un sorbet à la myrtille, son parfum préféré.

Autour d’eux, les gens commentaient joyeusement la compétition. Des bribes de conversation lui parvenaient. Une école de sport cycliste venait de s’ouvrir. Un nouvel hôpital était en chantier. Décidément, beaucoup de choses avaient changé en dix ans.

Mais finalement, pas tant que cela. En dépit des déviations et des rues barrées pour la course, Liz avait retrouvé sans peine son chemin dans le dédale des rues adjacentes, jusqu’à la maison où elle avait grandi.

— C’est là que t’as vécu avant d’aller à San Francisco ? s’était étonné Tyler.

— Oui. C’est là, avait-elle admis comme à regret.

— Avec ma grand-mère Sutton ?

— Oui.

— Elle est morte maintenant, n’est-ce pas ?

Il questionnait pour la forme. Finalement, tout cela n’avait guère de sens pour lui. Il ne l’avait pas connue.

Lorsque Liz, le cœur brisé, avait quitté Fool’s Gold, elle avait dix-huit ans. Elle avait atterri à San Francisco où elle s’était démenée pour trouver du travail et un toit, et finalement, découvrir qu’elle était enceinte. Son premier réflexe avait été de rentrer à la maison, mais un coup de fil à sa mère l’avait refroidie dans ses élans. Par la suite, elle avait fait deux autres tentatives. Mais chaque fois, celle-ci lui avait clairement signifié qu’elle ne faisait plus partie de sa vie. Oui, elle avait souffert de ce rejet, mais n’en avait pas été surprise. Et sa mère s’était fait un malin plaisir à lui dire que non, Ethan Hendrix n’avait ni téléphoné, ni demandé de ses nouvelles.

A sa mort, il y avait quatre ans de cela, Liz ne versa pas une larme. Mais elle n’en regretta pas moins la relation qu’elle n’avait jamais eue avec sa mère.

Et subitement, là, au détour d’une rue tranquille, elle se retrouvait plongée dans son environnement familier. Des maisons modestes, de deux ou trois pièces, au perron riquiqui et à la façade défraîchie. Quelques-unes, mieux entretenues, sortaient du lot, au milieu des jardins abandonnés, un peu comme des fleurs à la fois témoins de temps révolus et annonciatrices d’un monde à venir.

Et la plus moche, la plus déglinguée de toutes les maisons, lui était soudain apparue. Condensé de peinture écaillée et de tuiles manquantes. Un vrai chef-d’œuvre ! Dans le jardin, les mauvaises herbes avaient envahi les plates-bandes, supplanté les arbustes d’ornement, étouffé tout le reste des plantes. Les fenêtres étaient en piteux état, rafistolées avec des bouts de contreplaqué.

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