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-Je n'en ai pas besoin, avoua-t-elle.Je ne peux pas avoir d'enfants, c'est médical.Disons que si toute les planètes s'alignaient d'une façon bien précise, un jour d’éclipse totale, au moment précis où les aliens débarquaient sur terre, cela pourrait arriver.

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-Je sais que c'est un lieu commun , dit-elle, mais celui qui aime vraiment n'emprisonne pas son aimé.

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-Vous remuez beaucoup d'air pour un homme qui porte une chemise de flanelle à carreaux , laissa-t-elle tomber.

S'il s'était montré moins désagréable , elle l'aurait trouvé plutôt séduisant avec ses cheveux sombres et ses yeux bleus perçants.

Surpris, il jeta un coup d’œil à sa tenue.

-Quel rapport avec ma chemise?

-Elle est à carreaux, répéta patiemment Dakota.

-Et alors?

-On se laisse difficilement intimider par un homme vêtu d'une chemise à carreaux.Et la flanelle, c'est doux, c'est sympathique.

Un peu campagnard peut être.Si vous étiez tout en noir, avec un blouson de cuir, je serais déjà moins à l'aise.

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- J'ose à peine demander d'où vous venez.

- De South Salmon, en Alaska.

Elle haussa les sourcils.

- Vous êtes bien loin de chez vous! ne put-elle s’empêcher de s'exclamer.

- Pire encore: je suis en Californie.

- Dites, je vous remercierai de rester poli. C'est ma ville natale, ici!

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Finn était bien résolu à se montrer raisonnable. De toute façon, il n’obtiendrait rien en élevant la voix ; légalement, ses deux frères étaient libres de leurs choix. Reste que, majeurs ou non, ils faisaient une belle paire d’imbéciles.

— Joli, dit-il en jetant un regard circulaire au mobilier fatigué. J’adore la décoration.

Sasha avait pâli en le voyant, mais il riposta avec énergie :

— Ce n’est pas la peine de faire de l’ironie. Qu’est-ce que tu fiches ici ?

— Je viens vous chercher.

En voyant les jumeaux échanger un regard stupéfait, Finn secoua la tête.

— Vous avez vraiment cru qu’un e-mail serait suffisant ? Que j’allais juste dire « Pas de problème, amusez-vous bien, on s’en fiche si vous laissez tomber vos études au dernier semestre » ?

— On ne voulait pas disparaître sans un mot, maugréa Sasha d’un ton boudeur.

— Oui, et j’ai apprécié, figure-toi. C’est d’ailleurs pour vous remercier de votre attention que je suis venu.

Ses frères ne trouvèrent rien à répliquer. Il les contempla quelques instants sans rien dire. Furieux, Sasha le défiait du regard mais Stephen se contentait de le fixer, les yeux sans expression particulière — il avait toujours été le moins expansif des deux. Si ses jeunes frères se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, ils avaient des personnalités très différentes. Sasha se montrait chaleureux, impulsif, instable ; Stephen, lui, ne s’exprimait guère mais était beaucoup plus réfléchi. Finn comprenait que Sasha soit venu en Californie sur un coup de tête, mais Stephen ?

« Reste calme, se sermonna-t-il. Ne crie pas, discute. » Il ouvrit la bouche et hurla :

— Mais à quoi pensiez-vous, bon sang ! Il ne vous restait qu’un semestre à tenir, un seul ! Vous n’aviez qu’à terminer vos cours et vous aviez un diplôme, une qualification sur laquelle vous pouviez compter, quoi qu’il arrive. Mais non, c’était trop simple ! Vous avez préféré tout laisser tomber, et pour quoi ? Pour vous dandiner devant les caméras d’une émission parfaitement débile !

Les jumeaux échangèrent un regard. Sasha se redressa, respira à fond et lança :

— L’émission n’est pas débile. Pas pour nous.

— Oui, bien sûr, vous êtes tout à fait capables de faire la différence ! Vous êtes des professionnels, vous savez exactement dans quoi vous vous lancez ! J’aimerais vous enfermer tous deux dans cette fichue chambre jusqu’à ce que vous mesuriez l’ampleur de la bêtise que vous êtes en train de faire !

Stephen hocha la tête.

— On s’en doute. C’est pour cela qu’on ne t’a pas dit ce que l’on comptait faire avant d’être arrivés ici. Ecoute, Finn, nous ne voulons pas te faire de peine, ni te causer du souci, mais tu t’accroches trop à nous.

C’était la première fois qu’un de ses frères exprimait son désir d’indépendance avec autant de tact mais, ce détail mis à part, il n’était pas question d’indépendance pour l’instant.

— Vous devez terminer vos études ! lança-t-il. Je ne vous demande rien de plus, juste de décrocher votre licence.

— Tu parles ! répliqua Sasha, hors de lui. Tu jurais qu’on n’avait qu’à décrocher notre diplôme de fin d’études et tu nous lâcherais la bride. Mais tu nous as tout de suite remis la pression pour que l’on aille à l’université, et tu n’as jamais cessé de nous tanner pour nos résultats !

Finn vit rouge, mais il s’efforça de se contrôler.

— C’est un reproche que tu me fais ? C’est un crime de vouloir que vous ayez votre chance dans la vie ?

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