Time a écrit :Ouais ! On a eu un loup
Et c'était un très beau RP !
Toi j'tai à l'œil...
Lilali13 a écrit :@Chachouna : Silphy à parlé à ta perso Emma Regarde plus haut
Je sais, mais comme tu allais te coucher, j'attendais que tu te reconnectes pour ne pas nous bloquer avec Tiffen.
Emma
Ses yeux gris me fusillent du regard. Ouch, j'ai dû toucher un point sensible. Prudente, je change de sujet.
-Très bien, comme vous.... Aaaaaaaaaahhh!!!
On fonce sur moi. Et je me retrouve tout d'un coup enserrée par une personne en pleurs. Je soupire, m'attendant à trouver Rynn sous la masse de cheveux. Mais à ma plus grande surprise, ce n'est pas Rynn mais Silphy.
-Silphy? Qu'est ce qui se passe?
-Il est mort, sanglote-t-elle.
Je jette un regard interrogateur à Dean.
-Mais qui est mort? Calme toi s'il te plaît Silphy, je ne comprends rien. Dean, pouvez vous m'aider à l'installer sur le banc? Car là j'étouffe.
Elena
-Hélas non. ça me manque tellement! Je tuerais pour du chocolat, m'exclamais-je d'un air dramatique.
@Dorian: okidoki, donc tes hommes font venir le matos (une sorte de bloc opératoire portable?) et Léo Lannister se charge de l'opération: il doit savoir faire ça, non?!
Léo 008
Lorsqu'une personne est dans le coma, il est difficile de savoir si elle y restera pendant plusieurs années ou pendant seulement quelques heures. Lorsqu'une personne est évanouie, elle le reste généralement entre une heure et vingt-quatre heures après avoir reçu le coup. C'est pourquoi je ne savais s'il s'était déroulé un deux heures, une journée, six heures depuis que j'avais perdu connaissance...
Je remuais d'abord tout doucement mon majeur gauche, tentant en vain de la relever de la couche où j'étais apparemment étendu. Qui m'avait amené ici? Lannister, pensais-je en rogne. Attends, encore une dizaine de secondes. Ouvre les yeux. Après un léger tournis, je pus enfin me remettre à la verticale, assis sur mon lit, manquant de vomir plusieurs fois.
- Désolé, gamin, j'ai pas vraiment eu le choix. s'excusa plus ou moins Léo-Bis.
- On... on est... où?!... demandais-je d'une voix pâteuse.
Sur l'une des vieilles tables qui peuplaient la pièce qui devait datée des années soixante-dix, je désignais une bouteille d'eau à demie remplie, du bout du doigt. Soif...
- On est dans une vieille maison qui m'appartient plus ou moins, dit il en soupirant
Léo se leva pesamment, pas du gamin mais simplement de fatigue. Ce genre d'obligations l'ennuyait profondément. Il contourna le lit, ouvrit la bouteille et la tendit au gamin.
- Bois un coup, ça te fera du bien.
Avant même que je puisse répondre à Maria, Anna lança :
- Parce que c'est une sale peste ?
Non mais pour qui elle se prend celle-là ?!
- Vraiment ? Tu es sûr que c'est moi la peste dans l'histoire ?
Maria
Au moins si elles se réglaient leur compte elles pourraient enfin se parler après ?
Du moins je l'espère
Anna rit.
Je me décide à intervenir Louise ? Dit précisément ce que tu reproches à Anna et ensuite on changera d'accord ?
J'esquisse un sourire :
- Je t'aurais bien aidé mais on ne peut pas vraiment tuer quelqu'un alors qu'on ne peut même pas les toucher
Elena
Mon visage s'assombrit.
-Le plus dur, c'est de perdre toute nos habitudes. On a plus besoin de se laver, de dormir, de se changer, de manger. Notre vie, enfin notre mort, se résume à rien. On observe, on discute. Mais c'est tout. C'est très dur dur d'être un fantôme sur terre.
Je fronce les sourcils.
- Pourquoi est-ce tu tiens tant à ce qu'on règle nos comptes ?
Maria
Je soupire Parce que ça ne sert à rien de vous disputez, vous êtes de la même famille et je trouve ça triste que vous vous disputiez.
La famille était sacrée, non ?
Maria
Je vois qu'Anna fait mine de se désintéresser de la conversation mais qu'elle porte un intérêt tout autre... Allez Louise, commence
Je pensais en savoir suffisamment sur ces deux là pour savoir qu'Anna ne commencerait pas.Du moins de ce que j'ai compris
C'est complètement débile ... Mais qui ne tente rien n'a rien. Au mieux notre relation s'améliore, au pire, elle empire. J'inspire un grand coup avant de commencer.
- Et bien ça a commencé dans les premiers jours de mon arrivé. Anna se comportait comme une gamine et était chouchoutée par Emma alors que Rynn ne disait rien. Tante Hélène non plus d'ailleurs. Et ça me tapait sur les nerfs.
Maria
Je hoche la tête Tu as essayé de lui demander pourquoi elle était comme ça ?
Je me mords la lèvre ayant bu une gorgée de mon café alors qu'il était trop chaud
Leasawayer5 a écrit :Maria
- Le fait que tu débarques, que tu m’ignores..Dois je en rajouter ?
Fit elle méprisante
Louise
- Je ne t'ai pas ignorée. Je n'avais simplement pas envie de te croiser, vu comme ça c'était terminer la dernière fois. Tu t'en souviens ? Et très franchement, j'ai eu raison.
Chapeliere-folle a écrit :
C'est le but ça va aller loin, fait gaffe.
Camille
Elle attrapa la corde. Ce n'était pas tellement ce qu'il fallait faire, il aurait plus fallut qu'elle s'accroche davantage pour que je puisse sauter et attraper la corde.
"Met tes pieds sur mes épaules, je vais avancer."
J'attendis qu'elle les pose, puis je sautais et attrapais la corde. Mes muscles crièrent grâce, je glissais un peu le long de la corde, puis raffermis ma prise. Je me mis à avancer, aidant Alex en la laissant avancer à son rythme. Finalement, nous arrivâmes en haut. Je l'aidais à monter sur la plateforme. La cabane m'attendait. Je sentis des frissons parcourir ma colonne vertébrale. J'avançais doucement. Je ne prêtais presque plus attention à Alex. J'allais la REVOIR.
"Alex ... Ne cris pas quand tu la verras ..."
J'ouvris la porte. Il faisait noir, j'avais fermé toutes les issus possibles, jusqu'à boucher les trous du plancher avec des chiffons. Pour certains, ça pouvait puer le formol, mais pour moi, c'était le plus beau parfum qu'il m'avait été donné de respirer. Le soleil vint frapper le verre, renvoyant ses rayons vers moi. Elle ne pouvait plus rien faire, elle ressemblait à une poupée de cristal. Je l'avais habillé dans des habits de lolita avant de l'enfermer dedans. Son chapeau surmontait toujours sa tête, les diamants que j'avais punaisés sous son oeil n'avaient pas bougés. Ses yeux étaient vides de toute expression ... C'est normal quand on est mort. La trace de la corde était toujours présente sur son cou, comme un collier dessiné à même la peau. Sa robe semblait flotter dans le liquide que j'avais réussi à faire devenir transparent. Elle était belle. Terriblement belle. La terreur de l'internat, ma raison de vivre ... La seule avec qui les voix se taisent. Mon amour, ma noirceur. Moi.
Eh mais c'est flippant x)
Alex
Je commence vraiment à flipper. Je regrette un peu de l'avoir suivi maintenant que j'y pense. Je le suis dans la cabane, me préparant à m'enfuir s'il le faut.
— Euh... Ok...
Quand je vois le corps de la fille dans cet étrange liquide, mon cœur fait un bond.
— Mais... Qu'est-ce que... Qu'est-ce que c'est ? bégayé-je, sous le choc.
Je suis pétrifiée par la peur... Mais il est complètement fou !
Ce fut Zach qui frappa en premier. En trois pas rapide, il franchit la distance qui le séparait de son opposant, rapière en avant. Celui ci se porta sur le côté pour esquiver le coup. Lloyd envoya son poing droit en direction de Heimer, mais il se baissa et fit une roulade en avant pour éviter le coup. Il se releva d'une traite et se remit en garde. Ce fut Lloyd qui chargea cette fois, conservant son sang froid. Le sabre fendit l'air de gauche en droite, mais fut stoppé net dans son élan par la rapière qui s'interposa. Le bruit créé par le choc des deux aciers fit comprendre à Zach que sa fine rapière ne résisterait pas à d'autre coup d'une violence sourde comme celle la. Le sabre fendit à nouveau l'air, la pointe frôlant le visage de Zach. Heimer se mit à éviter les attaques de Lloyd, attendant patiemment une occasion. Au bout d'une dizaine d'attaque, le sabre de Lloyd fendit l'air une milli seconde trop tôt, faisant apparaître une fine entaille rouge sur le torse de Zach, qui poussa un juron et tenta une percée. Le pied de son adversaire le cueillit en plein ventre et l'envoya trois mètre plus loin. Le combat était trop inégal. Zach venait à peine de ressusciter, et soufflait déjà. Il n'avait de toute évidence pas encore récupéré.
- Laisse tomber Heimer, cria Lloyd, sur un ton provocateur.
L'insultant mentalement, Heimer repartit à nouveau à l'assaut, faisant mine de viser le torse. Au dernier moment, il recalibre son coup et l'arme n'était dés lors qu'à dix centimètre du pied droit de son adversaire, quand celui le leva subitement pour éviter le coup. Zach remonta alors en l'air, donnant un magistral coup d'épaule dans son adversaire qui fut projeté dans les airs l'espace d'un instant, et se retrouvant une seconde après le dos sur le sol. Ne comptant pas abandonner son avantage, Heimer chargea son adversaire, visant la tête avec sa rapière. Un crissement de métal se produit. Zach crut tout d'abord que l'épée de son adversaire c'était mise en travers. D'un ton narquois, Lloyd dit, toujours au sol :
- Alors, incapable de percer ma main droite?
Le sabre de Hector fit un ample mouvement pour forcer Zach à repartir précipitamment en arrière en poussant un juron. Une prothèse métallique. Lloyd se releva en rigolant.
- Allez, on passe aux choses sérieuse?
- Tu n'arrête donc jamais de parler? cria t-il rageusement.
Un sourire démoniaque éclaira le visage de Lloyd quand il s'élança en avant. Il se déplaçait au moins aussi vite que Zach, son pied frappant le sol comme un bolide en course, franchissant d'une traite les dix mètres de distance. Zach n'hésita pas un instant et frappa d'estoc, espérant voir la rapière s'enfoncer dans la tête de son ennemi. Mais il n'en fut rien, car celui ci se baissa au dernier moment, la tête touchant quasiment le sol. Il se releva au dernier moment, se projetant dans les air, et frappant d'un coup de poing monumental la mâchoire de Zach Heimer qui se retrouva dans les air et tomba au sol deux mètres plus loin, lâchant son arme du même coup. Heimer était allongé au sol, la mâchoire douloureuse accompagné d'une explosion de douleur à la jambe quand le sabre de Lloyd s'y enfonça. Mais il ne lui donna pas la satisfaction de crier, ça non. Puis, il entendit un poing fendre l'air, sentit un contact froid au niveau du front, avant de s'évanouir.
J'aide Emma à poser la fille sur le banc et lui dit d'un air sombre.
-Il ont tués un loup. Ce matin.
Emma
Je n'avais pas suivi les dernières exécutions. Un loup était donc mort... Une bonne et terrible nouvelle à la fois. Mais qui était-ce pour mettre Silphy dans un tel état?
Je me repasse plusieurs fois en tête la liste des victimes des Nuits Sauvages. Et je compris. Kézial. Le garçon à ma sortie de bar. Je savais qu'ils s'étaient rapprochés...mais à ce point?
-Oh, Silphy, je suis désolée... murmurais-je.
Je me retourne vers Dean.
-C'était Kézial non? L'exécuté. ça devait être son petit ami, soupirais-je. Les Nuits sauvages sont tellement cruelles, en plus d'avoir nos vies en danger, nos proches le sont aussi.
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