Hunger Games

[MorganeP79]

@Arwen : Yes! Ta fiche est cool et tu as fait vite! x)
Je l'accepte et je n'ai pas remarqué beaucoup de fautes, alors c'est vraiment bien!

[naji2807]

Arwenn ta fiche est bien même si personnellement j'ai vu pas mal de faute ^^'
Et je trouve que du coup les points forts de Breana(ma fille tribut du 11) et d'Eliott sont pas mal semblables ^^' vu que Breana est aussi une voleuse des rues, mais pas grave ^^'

[Arwen36]

Arwenn ta fiche est bien même si personnellement j'ai vu pas mal de faute ^^'
Et je trouve que du coup les points forts de Breana(ma fille tribut du 11) et d'Eliott sont pas mal semblables ^^' vu que Breana est aussi une voleuse des rues, mais pas grave ^^'

Ha désolé j'espère que sa ne pose pas trop de problème.

[Octasecret]

Arwen : j'aime beaucoup Eliott bravo belle fiche

[Soragame]

AU fait Naji et Morgane pour les mentir restant si personne ne veut ou peut les prendre c’rsr possible des les jouer en PNJ?

[naji2807]

C'est possible de les jouer peu oui apres evidemment eux ne mourront pas dans l'arène ^^

[Soragame]

C'est possible de les jouer peu oui apres evidemment eux ne mourront pas dans l'arène ^^

De toute façon c’est peu probable qu’un mentor meurt dans l’arene

[naji2807]

Non bien sûr mais je préfère précisé on ne sait jamais vu que tous les pnjs jusqu'à maintenant était des Tributs ^^

[Soragame]

D'accord je comprends
Du coup si personne se porte volontaire je voudrais bien faire un mentor PNJ du district 1 de la huitième édition si c'est possible

[naji2807]

Oui c'est possible et du coup ça y est, tous les mentors sont pris si Octa prend toujours celui de la 9ème édition du district 7

[Soragame]

D'acc du coup je prends Hayden Christensen comme ava ^^

[naji2807]

Aaah Sora!! Il est sur ma liste de vava, je l'aime trop ^^ j'étais amoureuse de lui quand j'étais petite, mais chut!

[Octasecret]

Oui c'est possible et du coup ça y est, tous les mentors sont pris si Octa prend toujours celui de la 9ème édition du district 7

Oui je le prend toujours si c'est possible bien sûr

[naji2807]

Oui oui, mais du coup il faudra qu'on en discute toutes les deux par mp ou en tous cas que tu m'envoies ta fiche avant de la poster, histoire que je te dise si ça colle avec mon mentor du 7

[Soragame]

Bon alors voilà c'est une toute petit fiche puisque ce n'est qu'un PNJ, du coup je l'ai faite rapidement donc s'il y a des incohérence dite le moi ^^

PNJ:
Kalona Sphox
-Mentor du district 1-
-Vainqueur des huitièmes éditions-
-24 ans-

Histoire:
Je viens du district 1, je suis un carrière, je suis entraîné, voilà mon enfance. Pourtant les Hungers Games n'étaient pas mon but ultime, mes parents, ma soeur, moi, tout le monde voulaient que j'y échappe. Bref, je me suis entraîné dans l'éventualité où mon nom serait tiré au sort. Et à côté de ça je me voyais reprendre la bijouterie de lux de mes parents, je pensais que si j'étais tiré au sort un trou du cul emplit de fierté se porterait volontaire à ma place. J'ai eu tord visiblement. Personnellement je n'avais aucune envie de mourir dans ces p*tain de jeux pour prouver ma supériorité. Je n'ai pas besoin de me battre dans une arène pour montrer que je suis supérieur aux autres districts, la richesse dont je joui me suffit à cela. Bref à mes dix sept ans, c'est mon nom qui a été choisi parmi tout les autres, je me suis dirigé vers l'estrade avec un sourire faux et j'ai salué la foule. En vérité j'avais envie de gerber et je me chiais dessus, mais ça, ça je me gardais bien de le dire. La fille, l'autre tribut, Artémis, s'est portée volontaire, je la connaissais puisque nous allions ensemble en cours, et puis probablement parce que je l'ai sauté aussi, mais ça c'est une autre histoire. Toujours est-il qu'elle avait la niaque, et cela ne lui a pas suffit puisque c'est moi qui raconte cette histoire aujourd'hui. Enfin, le fait est que même si nous avions un mentor, expérimenté et tout le bazar j'avais déjà une petite idée en tête de comment j'allais gérer les choses. Grâce à mon image, en faisant croire que je suis quelqu'un que je ne suis pas, d'abord il fallait faire en sorte que je plaise à tout ces débiles du capitole, facile, je n'avais qu'à usé de mon charme, et c'est ce que j'ai fais. Ensuite il me fallait être stratégique. Durant mes entraînements j'ai développé une forte habilité a manier le couteau, et j'ai montré à l'ensemble des tributs ma faculté à viser au milieu de la cible afin de les impressionner pour créer une alliance. Mais je n'ai montré que cela, et j'ai même laissé sous entendre que je n'étais fort qu'avec des couteaux. En somme je me suis fait passer pour moins fort que je ne le suis réellement et plus bête aussi. J'étais donc aux yeux de Panem un beau garçon doué avec des couteaux mais pas franchement avec son cerveau ni avec ses poings ou tout le reste de son corps. Donc quand les jeux ont commencés j'ai foncé prendre des couteaux avant de fuir avec le reste de ma magnifique alliance. Notre arène était une sorte de complexe montagneux. 7 tributs sont mort au bain de sang, je dois avouer que j'aurais préféré qu'il y en ai plus, je me suis sentis un peu coupable d'avoir pensé cela par la suite. On a trouvé un endroit pour se réfugier la nuit dans une sorte de grotte, enfin dans le creux d'une montagne et puis le côté positif c'est qu'il y avait de l'eau pas loin. Sauf que quand on est parti se ravitailler afin de s'hydrater dans l'espoir de ne pas mourir d'une bête déshydratation, on a croisé deux tributs, ceux du neuf, ayant visiblement les mêmes intentions que nous. Et quelques secondes après avoir pris leurs premières gorgée ils ont commencé à s'étouffer, enfin non, c'était pire que cela. Ils ont cracher du sang, puis il leur en sortait des oreilles, du nez, des yeux, ils se sont mit à convulser en hurlant à la mort, ce qui est littéralement un euphémisme et puis...pouf...ils sont mort. Tout cela pour dire qu'on a pas essayer de boire au ruisseau et on est partit fissa fissa. J'avais soif, comme tout le reste de l'alliance je pense, mais pas question que je tente de m'abreuver, même à un autre point d'eau, avant d'avoir vérifier que je ne risquais rien. Du coup le lendemain on avait rien dans le ventre et la gorge dont l'état était à peu près semblable à un désert aride. Nino, le gas du deux à tuer un des drogué du six qui s'était planqué dans une crevasse. Bon je vais pas passer cinq heures à vous raconter ce qui s'est passé ce jour là mais ce fut une journée sanglante, puisque cinq être humains furent assassinés de nos mains. Ils ont tous tué, Nino, Artémis, Héra, l'autre du deux et Costia la fille du quatre, tous sauf moi. Et j'ai fait exprès, je me suis fais passé pour trop faible pour attenter aussi sauvagement à la vie de quelqu'un et je me contentais d'arrêter leur proie en fuite d'un magnifique lancé de couteau. A la fin de la journée nos meurtre furent récompensé par de l'eau, un purificateur me fût envoyer et Costia reçu un hameçon. De peur que les poissons soient empoisonné Artémis à suggérer à ce qu'on capture un tribut pour lui faire goûter. Ils ont tous jeter leur dévolu sur le garçon du huit, le jeune de 13 ans qui avait survécu par je ne sais quel miracle aux deux premières journées, mais j'ai refusé. J'ai dit à mes chère et tendre camarade que le garçon n'était qu'un enfant et qu'on pouvait chopper n'importe quel tribut un peu plus âgé ce serait tout aussi facile et un peu moins barbare. Cette fois ci je ne jouais pas la comédie, c'était un putain de gosse, il avait treize ans et en paraissait neuf, il était aussi chétif qu'un nourrisson en sous nutrition et je me voyais mal lui infligé la même torture que les deux péquenaud du neuf. Je n'ai eu le droit qu'à des rires moqueurs et le garçon du huit, Nolan, à finalement goûtée au poisson péché par Costia. Il est mort. Mais pas à cause du poisson, à cause de moi, je lui a envoyé un couteau dans le coeur avant que Nino ne s'amuse à le faire mourir d'une façon abominable. Je pense que cette action a dû contribuer à faire augmenter ma côte de popularité au sein du capitole. Les jeux ce sont finit en une semaine. Le sixième jours l'alliance à volé en éclat, il ne restait plus que nous. Le premier à mourir fût Nino, tué par Artémise, la deuxième fût Costia et enfin Artémis, je n'ai rien eu à faire, je me suis contenter de m'éloigner d'eux et me cacher, apparemment Héra avait plus peur d'Artémis que de moi, c'est exactement ce que je voulais. Le point fort d'Héra était sa vitesse. Et alors qu'il ne restait plus qu'elle et moi j'étais persuadé qu'elle savait où me trouver. Ne m'étant pas montrer d'une grande intelligence jusqu'à présent, elle pensait sûrement que je n'avais pas eu la présence d'esprit de trouver une cachette convenable. Je me suis réfugié à l'endroit où nous avons dormi les trois premier soirs, enfin à proximité de cette endroit là car quand Héra s'est approché de l'espèce de grotte je l'ai eu par surprise. Et ce fût la fin. Pour elle. En résumé dans cette arène les gens sont mort, à cause de l'eau, de nous, et une bonne partie fût éliminer à cause d'un glissement de terrain qui à provoquer un éboulement de roche. Bon et certainement d'autre trucs mais comme je vous l'ai dit je vais pas rentrer dans les détails. Toujours est-il qu'aujourd'hui j'ai une petite tradition avant chaque moisson je me saoul un maximum seul dans la maison des vainqueurs, je ne bois jamais sinon, bon d'accord peut-être un peu pendant les jeux, mais jamais le reste de l'année. J'ai hésité à vivre au capitole, mais il faudrait que je me comporte un peu mieux et pour l'instant j'ai pas la foie de faire croire à tout le monde que j'ai des valeurs.


Caractère:
Bon alors les jeux ne m'ont pas détruit, enfin si que dis-je, mais ce ne sont pas les miens. Ce n'est pas le fait de participé aux jeux qui m'a rendu à la limite de la cruauté c'est le fait de les regarder. Tout le temps, chaque années pendant sept ans, voir des enfants se faire tuer de la pire des façon, ça a suffit à faire de moi un espère de c*nnard. Donc j'en étais déjà un dans l'arène. Je suis de nature plutôt sarcastique et moqueuse, je suppose que c'est un espèce de mécanisme d'auto défense, malgré tout je n'ai pas péter un câble comme certain mentor et je n'ai pas une réputation de p*te, d'ivrogne ou de drogué, je crois que j'aurais pu si je m'étais laisser aller et si la résignation avait finit par gagner, ce qui n'est pas le cas, presque, mais pas encore. Pendant mes jeux les privilégié du capitole m'aimaient bien, je ne sais pas si c'est encore le cas maintenant. Et pour ce qui est de mes tributs je ne pense pas être un bon mentor, en tout cas le seul conseille que j'aurais à leur donner c'est de jouer un jeux, se faire passer pour moins fort, plus bête, tout ce que voulez, se montrer comme étant faible et bête et après il faut savoir dosé en fonction des interlocuteurs. Personnellement je ne me suis pas montré comme étant le type le plus futé et le plus doué mais je ne me suis vendu comme un gauche attardé pour autant, j'ai trouvé le juste milieu.
J'ai aussi remarqué que je suis une personne assez paradoxal, je dis faire attention aux apparences, c'est un truc que je répète souvent on va pas se mentir, ça doit être un tic de langage à la longue, mais je ne fais moi même pas beaucoup d'effort, plus beaucoup en tout cas plus depuis ma "victoire", pour paraître être quelqu'un de sensible, gentil ou je ne sais quel c*nnerie. Enfin bon comme je vous l'ai dit la seule apparence qui vaut encore pour moi est purement physique, donc je vais faire attention à la manière dont je suis habillé, coiffé, ce que je sens, mais pas vraiment ce que je dis.

Physique:
L'apparence. Tout repose sur les apparences, alors quand bien même je suis au fond du trou vous me verrez toujours dans une tenue correct, quelque soit mon état émotionnel interne. Mais ne vous méprenez pas, ce n'est pas parce que je suis bien habillé que je ne suis pas un c*nnard incompétent. J'ai des cheveux bruns et des yeux bleu, je mesure 1m88, ce qui est plutôt grand.

[Cassy33]

JUDITH WHITE
Tribut du district 8, 17 ans




Qui suis-je ?
Les habitants de mon district me posent rarement ce type de questions, peut-être parce qu'à force de m'avoir écouté leur raconter chaque épisode de ma vie en détails, ils ne connaissent que trop bien la réponse que je pourrais leur fournir, ou simplement parce qu'ils savent que cette discussion s'éterniserait un peu trop longtemps.
Pourtant, ma vie n'a rien d'exceptionnel. J'ai toujours vécu dans le district 8 – remarquez, c'est un peu logique quand on y est nés – et si l'on exclut les personnes résidant dans ma région, personne n'a jamais entendu parler de Judith White.
Je sais, c'est assez surprenant voire même injuste qu'une fille aussi jolie, gracieuse et rayonnante que moi ne soit pas encore connue à travers tout Panem, mais rassurez-vous, ce n'est qu'une question de temps. Bientôt, même les habitants du Capitole s'arracheront mes photos et mes autographes, et je suis certaine que Caythlin Lights sera la première à vouloir me confectionner une robe digne de ses plus grandes créations. À vrai dire, je ne sais pas encore si je l'accepterai... Je me doute bien que refuser une telle proposition pourrait être perçu comme une insulte envers cette célèbre styliste, mais voyez-vous, quand tous les projecteurs sont braqués dans votre direction, il faut savoir se faire désirer...
Bien sûr, je n'en suis pas encore là. Pour l'instant, je dors dans une chambre miteuse, je mange presque toujours les mêmes repas insipides, peu importe l'occasion ou le moment de la journée, et les seuls garçons à reconnaître ma beauté ne savent pas aligner trois mots sans bégayer et ressemblent davantage à ces bouseux du district 12 – dont les quelques clichés figurant dans nos manuels scolaires me font toujours frémir de dégoût – qu'à des habitants du district 8.
Bref, vous l'aurez compris, ma vie actuelle est fade et sans grand intérêt, et si j'arrive malgré tout à la supporter, c'est uniquement parce que je sais qu'après ces dix-sept années de pauvreté, je vais enfin parvenir à m'élever dans la société. Et ce grâce aux Hunger Games.
Oui, les Hunger Games. Je sais que beaucoup d'entre nous les considèrent comme des jeux atroces et cruels, mais je ne suis pas de cet avis. Après tout, s'ils n'existaient pas, je ne disposerais d'aucun moyen me permettant de réaliser mon rêve, et puisque j'ai jusqu'à maintenant supporté ma situation misérable dans le seul et unique but de quitter un jour mon district pour aller m'installer au Capitole, je suis prête à faire quelques sacrifices pour faire de mon existence une vie qui mérite la peine d'être vécue.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours suivi les Jeux à la télévision. Lorsque je n'étais encore qu'une enfant, je gardais les yeux rivés sur ce que je ne croyais être qu'une émission plus violente mais également plus intrigante que celles que nous avions l'habitude de regarder en famille tous les soirs après le dîner. Bien souvent, mes parents éteignaient le poste lorsque la survie en milieu hostile se transformait en affrontement sanglant et généralement fatal pour l'un des deux concurrents. Ils détournaient mon attention, me cachaient l'écran des yeux ou m'ordonnaient d'aller me coucher afin que je ne puisse pas assister à ce qu'ils jugeaient trop choquant pour être dévoilé aux yeux d'une petite fille innocente.
Toutefois, l'existence des Hunger Games ne pu m'être cachée bien longtemps. Chaque année, je ne comprenais pas pourquoi je devais assister à la Moisson, cette sélection qui élisait les deux meilleurs adolescents de chaque district, selon les dires de ma mère. Je ne comprenais pas pourquoi cette dernière tenait toujours à ce que je me bouche les oreilles durant cette cérémonie, et j'avais encore plus de mal à comprendre pourquoi les jeunes élus semblaient si terrifiés. Si on leur décernait un prix censé les récompenser de leurs efforts et de leur comportement exemplaire, n'auraient-ils pas dû rayonner de fierté et de joie ?
Mais surtout, pourquoi mes sœurs paraissaient-elles toujours aussi angoissées à l'approche de cette fameuse date ? Pourquoi mes parents redoublaient d'attention envers elles et pourquoi pleuraient-ils si souvent à chaque veille de la Moisson ?
Je me suis longtemps posée toutes ces questions, sans pourtant oser les prononcer à voix haute. Au fond de moi, je crois que je savais que, malgré ce que ma mère m'avait raconté à ce propos, la Moisson était un sujet tabou à la maison.
En vérité, j'aurais sûrement pu comprendre en quoi consistait cette sélection sans attendre que mes parents ne se décident enfin à me le révéler, mais j'étais naïve à l'époque. Jeune, crédule et innocente. Je ne pensais pas une seule seconde que des adolescents pourraient être envoyés à la mort sans que personne ne cherche à se rebeller contre ce système défectueux. Je ne pensais pas que l'émission que j'aimais suivre à la télévision était réelle, et que les participants que je voyais parfois mourir – lorsque mes parents ou mes sœurs ne se trouvaient pas à la maison pour m'empêcher d'assister à cette scène traumatisante – perdaient bel et bien la vie.
Je ne croyais que ce que mes parents me disaient, et malgré tous les indices qui auraient pu me mettre la puce à l'oreille, je n'ai appris l'existence des Hunger Games que lorsque ma famille a pris la décision de m'en parler à l'aube de mes 12 ans.
Cette année-là, je me souviens avoir été choquée par ces révélations. Pour la première fois de ma vie, j'avais peur. Peur d'être sélectionnée. Peur de quitter mes parents. Peur de mourir.
Alors que j'avais toujours perçu la Moisson comme une cérémonie de remise de prix plutôt sobre et ennuyeuse jusqu'à présent, j'étais désormais effrayée de m'y rendre. Et je comprenais enfin pourquoi tous ces jeunes affichaient cet air affolé le temps que les deux tributs soient tirés au sort, car ce fameux jour, j'ai prié de toute mes forces pour que n'importe quel inconnu soit choisi à ma place et ma supplication a dû être entendue, car je n'ai pas été sélectionnée cette année ni celles qui ont suivi.





Jusqu'à mes 14 ans, j'ai craint la Moisson comme si elle était chaque fois sur le point d'annoncer ma mort imminente. L'année de mes 13 ans, je me souviens même m'être enfermée à double-tour dans notre cave en espérant que l'on ne s'apercevrait pas de mon absence. Bien sûr, cette tactique ne s'est absolument pas révélée fructueuse, et lorsque j'ai compris que si je ne bougeais pas de ma cachette, ce seraient les Pacificateurs en personne qui viendraient me chercher, je me suis empressée de rejoindre les enfants déjà placés en file indienne sur la grande place.
Toutefois, j'ai progressivement changé d'avis à propos des Hunger Games lorsque je suis entrée dans l'adolescence. Avant mes 15 ans, j'étais déjà une fillette capricieuse, un peu égoïste et rêveuse, mais étant choyée par mes parents puisque j'étais la petite dernière de la famille et également celle qui réclamait le plus d'attention, je ne m'étais encore jamais véritablement plaint de ma situation. Je savais que d'autres districts existaient, que certains étaient plus riches que le nôtre, mais je m'estimais déjà heureuse d'être bien plus gâtée que la plupart de mes camarades. En effet, malgré leurs revenus plutôt faibles, mes parents faisaient toujours passer mes désirs et mes caprices avant leur propre intérêt, et sans que je n'y prête réellement attention, ils se sont toujours sacrifiés pour pouvoir m'offrir ce que je souhaitais. Bien entendu, tous ces cadeaux n'avaient strictement rien avoir avec les présents que devaient s'échanger les habitants des districts 1 et 2, mais je m'en satisfaisais. Enfin, du moins, jusqu'à mes 15 ans.

Après avoir regardé de nombreuses émissions se déroulant au Capitole, dans lesquelles des femmes richissimes dévoilaient des astuces beauté que je ne pourrais jamais appliquer puisque les produits qu'elles utilisaient étaient bien trop chers pour que mes parents puissent se les procurer, j'ai commencé à jalouser les habitants favorisés de Panem. J'ai progressivement envié leur richesse, leur liberté, les loisirs auxquels ils avaient accès et toutes ces choses qu'ils pouvaient s'offrir sans craindre de ne pas avoir suffisamment d'argent pour se nourrir à la fin du mois.
Je me suis mise à vouloir leur ressembler, à m'imaginer à leur place, dans cette capitale où tout semblait permis et réalisable. Je ne voulais plus suivre la même voie que mes parents et mes sœurs. Je ne désirais plus devenir couturière comme ma mère, et je n'avais plus aucune envie d'épouser un garçon de mon district comme venait de le faire Sophie, ma sœur la plus âgée. À vrai dire, je ne sais même pas si j'avais ne serait-ce qu'une seule fois envisagé et souhaité me contenter de ce quotidien banal, fade et répétitif dont ma famille semblait se satisfaire depuis des années. En fait, je crois que si je ne m'étais encore jamais questionné à ce sujet, c'est parce que l'on évoquait peu le futur, chez moi. De temps à autre, ma mère essayait vainement d'éveiller en moi un intérêt pour la couture, mais mes parents ne me demandaient jamais ce que je souhaitais faire plus tard. Et je n'ai pas mis longtemps à comprendre pourquoi ; à quoi bon faire des plans sur la comète lorsque son enfant peut être envoyé à la mort du jour au lendemain ?
Néanmoins, je me suis peu à peu aperçue que je ne percevais plus les Jeux de la même manière qu'avant. Depuis mes 12 ans, j'étais terrifiée à l'idée de me retrouver dans cette arène, à devoir tuer d'autres adolescents pour assurer ma propre survie, mais à force de comparer ma vie à celle des habitants du Capitole, j'ai fini par réaliser que ces Jeux représentaient mon unique espoir de changer radicalement de vie et de m'offrir un avenir bien moins déprimant que celui qui m'attendait au sein de mon district.
Évidemment, je ne suis pas stupide au point de croire que cette voie sera plus simple que de suivre l'exemple de mes deux sœurs aînées, devenues couturières comme ma mère. Je sais pertinemment qu'en participant aux Hunger Games, je risque ma vie et je m'expose à des dangers bien plus redoutables que ce que je n'oserais imaginer, et c'est d'ailleurs pour cette raison que je n'ai encore jamais osé me porter volontaire, même si j'ai failli le faire l'année dernière. Mon rêve de gagner les Jeux et de me faire connaître à travers tout Panem grâce à cette victoire a beau me hanter à longueur de journée, je suis tout de même angoissée à l'idée d'y laisser la vie.
Après avoir suivi de nombreuses éditions des Hunger Games à la télévision, je suis tout à fait consciente que le parcours que je m'apprête à choisir sera parsemé d'embûches plus dangereuses les unes que les autres. Le fait de quitter ma famille et la maison dans laquelle j'ai toujours vécue me serre également le cœur à chaque fois que j'y pense. Je ne me suis jamais particulièrement bien entendue avec mes sœurs, que je trouvais trop ennuyeuses, sérieuses, et raisonnables, et qui avaient constamment l'air de désapprouver mon attitude, mes caprices et l'attention un peu trop excessive que me portaient mes parents en dépit de mon mauvais caractère, mais mon lien avec ma mère et mon père est différent. Je n'ai jamais mérité qu'ils me gâtent autant, contrairement à mes sœurs qui ont travaillé très tôt à l'usine de textile la plus proche de chez nous afin de les aider à payer les factures qu'ils ne parvenaient pas à assumer en raison de leurs faibles revenus, et je ne leur ai jamais véritablement rendu l'amour qu'ils m'ont constamment porté, mais je sais qu'au fond de moi, malgré tout ce que je peux leur reprocher, je tiens à eux. Même s'ils comptent m'imposer plus tard la même existence minable qu'ils ont toujours mené jusqu'à maintenant, et même s'ils sont un peu vieux jeu et trop mous, prudents et coincés à mon goût, ce sont eux qui m'ont élevé et qui ont toujours veillé à ce que je ne manque de rien, quitte à devoir enchaîner les heures supplémentaires pour être en mesure de nous nourrir à peu près correctement.
Alors, au fond de moi, je crois que ce qui me fait le plus peur, c'est de les faire souffrir en me portant volontaire et en mourant peu de temps après dans l'arène. Malgré le fait qu'ils aient d'autres enfants, je sais que j'ai toujours été leur préférée et je ne suis pas sûre qu'ils pourraient s'en remettre, si je venais à me faire assassiner sous leurs yeux par un autre tribut.
Néanmoins, ma décision est déjà prise. En dépit de tous les risques que je vais devoir encourir en participant aux Jeux, je ne supporte plus de vivre dans mon district, entourée de tous ces bouseux qui viennent me faire la cour en espérant que je sois assez désespérée pour accepter de m'unir à l'un d'entre eux afin de choisir le chemin que toutes les filles de mon âge sont censées suivre. Je ne supporte plus de devoir constamment faire semblant, comme si mon existence actuelle me convenait parfaitement alors que j'exècre de plus en plus la misère qui m'entoure. Et surtout, je ne supporterais pas d'être forcée à abandonner mon rêve, simplement parce que j'ai été trop lâche pour oser me porter volontaire avant de ne plus être en âge d'être sélectionnée durant la Moisson.
Je sais que mes parents seront effondrés lorsqu'ils me verront prendre cette initiative, mais qu'ils n'aient aucune crainte, je suis bien déterminée à remporter ces quinzièmes jeux et à devenir la première tribut féminine du district 8 à remporter les Hunger Games.


CARACTÈRE





J'ai toujours été capricieuse, égoïste – voire même un peu narcissique – et prétentieuse, et je le suis encore aujourd'hui. Puisque mes parents m'ont toujours offert ce que je souhaitais et n'ont jamais été capables de me dire non, j'ai longtemps vécu comme une petite princesse qui obtenait systématiquement tout ce qu'elle désirait à la moindre crise de larmes, et je dois avouer en avoir beaucoup profité. À cause de l'attention excessive que me portaient ma mère et mon père, j'ai toujours eu l'impression d'être supérieure aux autres, de mériter mieux que mes camarades et d'être dix fois plus attrayante que mes sœurs. Les traitements de faveur auxquels j'ai constamment eu droit juste parce que j'étais la petite dernière de la famille m'ont conforté dans cette idée et m'ont incité à chercher sans cesse à accaparer toute l'attention de mes interlocuteurs.
En grandissant, mon caractère ne s'est pas amélioré, et j'ai compris que pour plaire, il fallait parfois dissimuler ses véritables intentions, afficher des sourires factices, et surtout savoir mentir et ne pas toujours révéler le fond de sa pensée. Les nombreuses émissions du Capitole que j'ai suivi avec beaucoup d'intérêt m'ont également rendu plus moqueuse, plus fière et plus sûre de moi. Elles m'ont fait remarquer la misère autour de moi, m'ont poussé à mépriser les districts inférieurs au mien, et ont rendu mon existence actuelle encore plus fade qu'elle ne l'était déjà.
Mais l'avantage de ces émissions, c'est qu'elle m'ont fait devenir ambitieuse. Au lieu de me contenter de ma vie minable comme l'ont toujours fait mes parents, j'ai compris que si je souhaitais goûter au luxe dans lequel les habitants du Capitole nageaient quotidiennement, je devais prendre les choses en main.
Je sais que la survie en milieu hostile n'est pas faite pour moi, étant donné que je n'ai jamais eu besoin de me priver puisque c'étaient mes parents et mes sœurs qui le faisaient à ma place. Je n'ai jamais eu faim, je n'ai jamais vécu à l'extérieur, et je n'ai jamais eu pour habitude de me rationner en eau ou en nourriture. Alors forcément, je dois avouer que, même encore maintenant, je ne me sens pas prête à devoir me passer du confort que m'offrait le domicile familial, et je me vois très mal devoir chasser pour me nourrir.
Mais si c'est pour réaliser le rêve que j'ai toujours souhaité concrétiser, je pense que j'en serais capable. Enfin, du moins, je l'espère.

POINTS FORTS





N'ayant jamais suivi d'entraînement intensif me préparant aux épreuves qui vont se dresser sur ma route durant les Hunger Games et n'ayant jamais eu à assurer ma propre survie comme le font la plupart des gamins des districts 11 et 12, je ne dispose pas d'une multitude de points forts et c'est pour cette raison que je parie partiellement ma victoire sur l'alliance que j'arriverai à me faire avant ou juste après que les Jeux ne débutent. Sachant jouer de mes charmes pour m'attirer les faveurs de mes camarades et n'ayant aucun mal à les manipuler, je suis certaine de ne pas rester seule dans l'arène. Je n'ai également aucun mal à simuler des émotions, à jouer la comédie et à tromper mes interlocuteurs avec de fausses larmes et mon visage d'ange. Étant de nature charismatique, je sais accaparer l'attention, parler en public, et je passe rarement inaperçue, ce qui me sera très certainement utile pour me faire apprécier des Sponsors.
Ayant toujours aimé courir pour garder la ligne, rester en bonne santé et m'éloigner de temps à autre de ma famille, notamment lorsque je trouvais qu'elle empiétait un peu trop sur mon espace vital, je dispose d'une excellente endurance et suis capable de courir rapidement sans m'essouffler trop vite.
Je suis également souple et plutôt agile. Plus jeune, j'étais une véritable pile électrique qui ressentait continuellement le besoin de se dépenser et malgré les nombreux cadeaux que m'offraient chaque année mes parents, je finissais toujours par m'ennuyer, surtout quand je n'avais personne avec qui partager mes jouets. Comme il n'y avait pas beaucoup de loisirs à la disposition des enfants dans notre district, je passais la plupart de mon temps libre dehors, à grimper aux arbres et à escalader de petites surfaces en dépit des remontrances que je recevais de la part de mes sœurs chaque fois qu'elles me surprenaient en train de me hisser sur le muret des voisins.
Pour finir, même si je ne sais pas trop comment ni pourquoi, j'ai toujours bénéficié d'une excellente ouïe qui me permet d'entendre des sons lointains mais qui a malheureusement souvent perturbé mon sommeil. Dit comme ça, cela pourrait paraître anodin, mais je pense que le fait de pouvoir percevoir aisément des chuchotements et d'être réveillée au moindre bruit s'avérera être une qualité non négligeable durant les Hunger Games.

POINTS FAIBLES





Hélas, j'ai beaucoup de points faibles qui vont certainement me poser de nombreux problèmes une fois que je me retrouverai dans l'arène.
Le fait que je ne sache pas chasser et que je ne me sois jamais servie d'aucune arme – le couteau ne comptant évidemment pas là-dedans étant donné que je ne l'ai jamais utilisé autrement que comme un couvert – sont probablement mes deux plus grandes faiblesses. Je sais bien que, face aux tributs surentraînés des districts 1, 2 et 4, je ne ferai jamais le poids. Et c'est bien pour cette raison que je n'ai aucunement l'intention de me confronter à eux.
N'ayant jamais eu à vivre dehors, je ne dispose pas d'un bon sens de l'orientation, je n'aime pas me salir les mains et j'avoue ne pas être spécialement courageuse. En fait, je suis même plutôt peureuse, du genre à fuir plutôt qu'à affronter mes adversaires, et je crois bien que si je me retrouve piégée ou seule face à une situation difficile voire dangereuse, je paniquerai sans parvenir à réfléchir à une solution qui parviendrait à me tirer d'affaire.
Ayant toujours eu l'habitude d'obtenir tout ce que je voulais sans rien offrir en contrepartie, j'ai tendance à m'appuyer un peu trop sur les autres et à les laisser se charger du sale boulot. J'admets également être une personne qui râle beaucoup, qui ne supporte pas grand-chose et qui se plaint à la moindre contrariété. En plus de ça, je ne suis pas particulièrement altruiste et je ne me sens absolument pas prête à risquer ma vie pour sauver qui que ce soit, à part peut-être si mes parents venaient à être menacés.
Pour finir, malgré mon charisme, je n'ai pas l'âme d'une meneuse et je n'ai rien d'une bonne stratège. Ce que je veux dire par là, c'est que, même si je suis loin d'être idiote, ce n'est certainement pas vers moi qu'il faut se tourner si on a besoin d'être guidé par un leader capable d'élaborer des plans complexes et infaillibles qui serviront l'intérêt de tout un groupe.

PHYSIQUE





Je possède un physique avantageux et j'en suis tout à fait consciente. Même si je m'en souciais peu il y a encore quelques années, mon entrée dans l'adolescence m'a permis de m'apercevoir que mon corps avait l'air de beaucoup plaire à mes camarades masculins, et je dois admettre en avoir profité à de nombreuses occasions pour m'accaparer les faveurs de ces idiots, chose que je compte bien continuer à faire durant les Hunger Games.
Mes longs cheveux blonds descendent jusque dans mon dos, mes yeux bleus captivent de nombreux garçons, et ma peau claire n'a jamais été sujette à une quelconque impureté. Ma silhouette est fine et élancée, et j'ai également la chance d'être plus grande que la majorité des filles que je côtoie, puisque je mesure 1m75.

[Cassy33]

Voilà enfin la fiche de Judith! Désolée de ne la poster que maintenant, j'ai eu pas mal de choses à faire ces dernières semaines et j'avoue que la flemme y a aussi joué pour beaucoup J'espère qu'elle vous plaira en tout cas ^^
Tiine pour ce qui est du lien avec Alec, je le rajouterai après, quand je l'aurai écrit et que je te l'aurai envoyé par MP pour être sûre qu'il te convient
Sinon j'ai un peu de retard dans les fiches, donc je vais m'y mettre dès demain et quand je les aurai toutes lues, je vous ferai un petit topo de ce que je pense de vos personnages

[naji2807]

Sora, j'aime beaucoup ta fiche (et je dois être aussi pas mal influencée par l'avatar ) et du coup personnellement je n'y vois rien à redire, et même si je sais que ce n'est qu'un PNJ, je pense que Kyle pourrait l'apprécier

Cassy, je viens de lire Judith et j'aime beaucoup, ta fiche est super, et je trouve ça trop cool que tu ais parler de Caythlin mon perso du Capitole dedans sinon du reste je ne pense que pas que j'apprécierai de rencontrer Judith ^^ et je pense que Breana non plus ^^ mais j'imagine que ce sera réciproque vu la façon dont elle parle des habitants du 11 et du 12 ^^
Enfin du coup voilà, j'aime beaucoup, et prends ton temps pour lire les fiches ne t'en fais pas

[Amnesia-x]

Mon Caribou j'adore les barres que tu as faite pour Judith ^^ ça ressort super bien avec la couleur que tu as choisi.
Hâte aussi de rencontrer cette capricieuse qui ne sait pas se battre, j'adore les emmerdeuses ;p
Je sens que mon William Poulter va craquer, il va surement lui demander de s'allier avec elle... ;p
Sinon Diam va peut-être la demander en mariage, qui sait ? Un mariage qu'il consommera pour mieux y mettre fin dans l'arène
Et Bellamy a assez supporté ses enquiquineuses de soeur alors il ignorera royalement toutes les filles capricieuses et boulet des Hunger Games


Au fait Naji, j'ai pensé à un truc, comme Diam fait parti d'une famille qui fabrique des bijoux de renom, est ce que ça te dirait un lien avec ta perso styliste ? Si oui on en parlera en mp ^^

Sora, tu as fait un mentor du District 1, j'ai hâte de voir ce que ça va donner avec mon Diam C'est cool en tout cas ^^ je les vois bien s'entendre ces deux là

[Livreetvivre]

Hello à tous !

J'ai été pas mal prise ces derniers temps, du coup j'ai suivi de loin l'avancement des fiches par ici
Mon emploi du temps est relativement revenu à la normal cette semaine et j'espère pour un certain temps, c'est une bonne chose (je vais pouvoir dormir maintenant pour rattraper tout ça !)
Juste pour dire que je les ai toutes lues et qu'évidemment elles sont toutes fabuleuses
Vivement le démarrage du RPG ! D'ailleurs j'ignore si j'ai loupé cette information ou non, mais une date ou période a-t-elle déjà été choisie pour le démarrage ?

[naji2807]

Amne ça pourrait être intéressant en effet, on en parle par mp

Liv il n'y a pas encore eu de dates de choisi, mais on vous proposera bientot un sondage

[Cassy33]

Naji: Merci, je suis contente qu'elle te plaise Oui ahah il fallait absolument que j'évoque Caythlin dans ma fiche vu que Judith ne peut que l'admirer D'ailleurs je viens de me rendre compte que j'ai écrit Caithlyn au lieu de Caythlin dans ma fiche, je vais changer ça tout de suite ^^ Je ne pense pas non plus qu'elles seront meilleures amies Mais bon, Judith ne sera pas suicidaire au point de montrer aux tributs des districts 11 et 12 qu'elle les méprise, disons juste qu'elle se tiendra le plus possible éloignée d'eux

Ame: Merci Ahah et moi j'ai hâte de la jouer pour t'emmerder et me venger de ce que tu me fais subir avec Bouffie (et bientôt Allison) sur DHS
Eh bien dis donc, Bellamy cachait bien son jeu dans sa fiche, je ne savais pas qu'il était aussi égoïste Une alliance avec William ? Hum malheureusement je ne crois pas que Judith sera très enthousiaste à l'idée de s'allier à un tribut du district 10 Par contre, pour ce qui est du mariage avec Diam, elle ne dirait pas non Elle exigerait que la cérémonie ait lieu avant le début des Jeux puis elle le tuerait discrètement pendant son sommeil dans l'arène, comme ça à la fin des Hunger Games elle serait mariée à un habitant du district 1 et deviendrait riche Mais bon, j'ai comme l'impression que ce plan n'a aucune chance de se réaliser

[Octasecret]

Morgane : juste je ne sais pas encore qu'elle actrice je vais prendre pour ma mentor du district 7 mais je sais déjà que se sera une fille.

[MorganeP79]

Bonjour tout le monde, je ne serais pas beaucoup présente cette semaine, donc je passes en vitesse.

@Sora : J'aime vraiment beaucoup Kalona et les noms des autres Tributs avec lui, d'ailleurs :').
Donc je l'accepte.

@Cassy : Ta fiche est vraiment superbe! :3
La présentation est vraiment belle et Judith est drôle à sa manière, car elle est très "innocente" pour croire que sa beauté sera un atout pour gagner les jeux (je ne dit pas que ce n'en est pas un, vu la jolie avatar!). J'accepte Judith!

[ChapelierFou]

J'ai lu toutes les fiches ^^. En vrai je les lisais au fur et à mesure qu'elles sortaient, mais à chaque fois j'étais sur portable et dans le bus, donc c'était pas top :/...
Mais me voilà!
Zia: Voilà, Connor est méchant, je le savais . Mais en vrai il aime quand même un peu Julia, alors ce n'est pas un si mauvais bougre, et puis ses voisins sont drôles ^^.

Octa: Oh, tu envoie un petit optimiste se faire tuer . Mais après c'est dommage parce que tu n'insiste pas énormément sur son caractère optimiste, à part avec la citation du début (qui est très chouette, d'ailleurs ^^), mais tu n'explique pas énormément... Par contre j'adore l'avatar qui change des grands types musclés

Sora: Kalona (excuse moi si un jour j'écris Koala, je serai sans doute un peu fatiguée )est cool, il n'est pas un stéréotype de tribut du 1, vu qu'il n'est pas fan des jeux et qu'il ne veut pas y aller, et puis qu'il a pas mal de compassion, et j'aime bien la manière dont il tient à son apparence mais plus trop au reste ^^.

Cass (je peux?): J'adore les barres de présentation de Judith, elles sont trop belles! Et sinon, j'aime bien la détermination de Judith et ce qu'elle est prête à risquer pour atteindre son rêve, ça rattrape son sale caractère

[Octasecret]

J'ai lu toutes les fiches ^^. En vrai je les lisais au fur et à mesure qu'elles sortaient, mais à chaque fois j'étais sur portable et dans le bus, donc c'était pas top :/...
Mais me voilà!
Zia: Voilà, Connor est méchant, je le savais . Mais en vrai il aime quand même un peu Julia, alors ce n'est pas un si mauvais bougre, et puis ses voisins sont drôles ^^.

Octa: Oh, tu envoie un petit optimiste se faire tuer . Mais après c'est dommage parce que tu n'insiste pas énormément sur son caractère optimiste, à part avec la citation du début (qui est très chouette, d'ailleurs ^^), mais tu n'explique pas énormément... Par contre j'adore l'avatar qui change des grands types musclés

Sora: Kalona (excuse moi si un jour j'écris Koala, je serai sans doute un peu fatiguée )est cool, il n'est pas un stéréotype de tribut du 1, vu qu'il n'est pas fan des jeux et qu'il ne veut pas y aller, et puis qu'il a pas mal de compassion, et j'aime bien la manière dont il tient à son apparence mais plus trop au reste ^^.

Cass (je peux?): J'adore les barres de présentation de Judith, elles sont trop belles! Et sinon, j'aime bien la détermination de Judith et ce qu'elle est prête à risquer pour atteindre son rêve, ça rattrape son sale caractère

Heu Chap... c'est pas moi qui est sortit Eliott, c'est Arwen.

[naji2807]

Voilà une fiche un peu courte, mais c'est parce que c'est simplement un habitant du Capitole


Gabriel Montez
18 ans, né le 25 décembre
Habitant du Capitole, Sponsor







Je suis le fils de Monica et Alexandre Montez. Mes parents occupent tous les deux une bonne place dans la société. Ils sont politiciens, des gens importants, qui font beaucoup de soirée mondaine, on une vie complètement débordée, et ne sont jamais présents dans notre appartement gigantesque au dernier étage d’un immeuble de luxe. Parfois je me demande comment ils ont fait pour avoir un enfant.

C’est étrange, parce que, même si depuis l’accident il m’est difficile de me rappeler de certaines choses, le jour où ma vie a eu un raté je m’en rappelle parfaitement. J’avais 14 ans, et je descendais les escaliers en sautant une marche sur deux. Je me souviens de ma mère qui me demandait d’arrêter mes bêtises, et de moi qui lui répondais comme le font souvent les ados, en lui disant de me lâcher un peu. J’aurai du l’écouter, au moins ce jour là. Je n’ai pas compris ce qui se passait, mais mon pied à déraper, et j’ai basculé en avant. Ma tête à heurter une marche, et je me suis réveillé à l’hôpital. Traumatisme crânien, la zone du cortex préfrontal touché, mais les fonctions vitales toujours fonctionnelles, c’est ce qu’ont dit les médecins.

Après ça, ma vie a complètement changée. Parce qu’en réalité, même si je dis que mes parents ne sont jamais là, ça n’a pas été toujours vrai. Je ne me souviens pas vraiment de ma vie avant l’accident, et parfois, même mes souvenirs depuis quatres ans sont un peu flous, mais je sais qu’au début, ils étaient plus présents que maintenant. Ils étaient là, ils essayaient, je le voyais bien, mais je n’étais plus vraiment leur fils, j’étais Gabriel sans vraiment l’être. Moi je ne sais pas ce qui a changé, mais de ce qu’on a pu m’en dire c’est mon attitude qui est complètement différente. Il paraît que j’étais un garçon joyeux, le digne fils de mes parents, sans aucun problème avec la vie en société. Alors qu’aujourd’hui, je suis « dépressif », c’est ce que disent les médecins. Moi je ne sais pas, je n’ai pas l’impression d’avoir changé, même si je ne me souviens pas de ma vie d’avant. J’ai un comportement « inadapté », et mes parents ont cessé petit à petit de me traîner dans leur soirée mondaine, je crois qu’ils ne veulent plus que leur nom soit associé à moi, malheureusement pour eux, c’est trop tard.

Je crois que mes parents en ont marre de moi, mais ils ne disent rien, et moi non plus, comme ça tout le monde est content dans un beau monde d’hypocrite. De toute façon ils ne sont jamais là, ils sont trop « occupés », entre leur boulot, les diners, les soirées, et toutes les autres excuses qu’ils inventent… Au moins j’ai la maison pour moi, c’est déjà ça. Un grand appartement vide, pour moi tout seul, avec la télé, et la bonne qui me fait à manger et qui fait le ménage. Et puis, je n’ai pas besoin d’eux pour sortir, même si je suis en quelque sorte devenu un ermite, je sors parfois, j’assiste moi aussi à des fêtes, celles où ils ne vont pas, je bois, je fume, et tant pis si je dégrade leur belle image. Je fais ce que je veux de toute façon, si ils voulaient m’imposer des choses, ils n’avaient qu’à être là.

L’un de mes rares passe-temps, en dehors de la télévision, ce sont les Hunger Games. Chaque année, je dilapide l’argent de mes parents dans les Jeux. Ce que j’aime, c’est miser sur celui qui a le moins de chance, sur le petit faiblard qui va certainement mourir dès les premières minutes. Mais moi j’aime bien, et quand il va un peu loin, même si ce n’est jamais jusqu’au bout, je trouve ça cool.







Caractère

Je vous donne ici la définition de mon caractère selon les autres, et non pas ma propre vision, parce que sinon je vous dirai juste que je suis un mec solitaire qui aime bien être tranquille à rien faire, mais apparemment c’est plus compliqué que ça…
Donc, d’après mes parents, les médecins, et même la bonne, je serai : apathique, dépressif, pas sympa, difficile à vivre, antipathique, et surtout, bizarre. Soit… si tout le monde le dit, c’est surement vrai.


Physique

Je suis blond, j’ai les yeux bleu, et parait-il que quand j’étais petit, je ressemblais à un petit ange. Ce n’est surement pas moi qui irais dire le contraire vu que je ne m’en souviens pas. Moi je sais juste que quand je me regarde dans un miroir, je me trouve normal, un point c’est tout.







Lien

Dryan Fisbak
J’aime bien aller chez Dryan, même si au début, j’avais toutes les peines du monde à me souvenir de son prénom, si bien que je l’appelais Bryan, Ryan, et même une fois, allez savoir pourquoi, Dylan. Mais maintenant, je ne me trompe plus… enfin plus trop.
Dryan a une maison gigantesque, plus grande que l’appartement de mes parents, mais je soupçonne ces derniers d’en avoir un autre ailleurs dans la capitale, comment expliquer sinon qu’ils ne passent presque aucune nuit dans leur chambre, qui semble être devenu un musée de leur vie passée.
Alors quand je me sens vraiment trop seul et que même la télévision ne parvient plus à me distraire, je vais chez Dryan, je traîne là-bas, je m’assois dans les canapés, je me balade dans sa gigantesque maison, et je le laisse me raconter les dernières nouvelles, ça me change de mon appartement sombre et vide.

[ChapelierFou]

Octa et Arwen: Ah mince désolé, c'est que vous avez le même style de fiche, alors je m’emmêle un peu ^^.

Naji: Ah, je me souviens de Gabriel (je m'en souvenais mieux que de Julia en réalité...). J'aime biens son côté apathique et dépressif dont il n'a strictement rien à faire . Et puis je trouve que ça lui va super bien d'être un sponsor qui dilapide son argent au Hunger Games ^^.

[naji2807]

Merci Chap ^^ du coup oui je l'ai repris aussi parce qu'il me manquait un peu ^^

[ChapelierFou]

Mais tu va reprendre tout les personnages que tu avais sur Eugenia ? Parce que je crois que tu en avais pas mal...