Ravenswood School - Quartier Libre

[naji2807]

D'accord pas de soucis

[naji2807]

Yume et Sora j'ai ajouté vos personnages à la présentation si jamais quelque chose ne va pas n'hésitez pas à me le dire du coup pour le moment vos persos n'ont pas de coloc, Sora ça va arriver puisqu'il y a encore au moins deux garçons de prévu, Yume par contre, je ne sais pas quel est le sexe du perso de Volatile mais si c'est une fille elle sera sûrement en colocation avec ta nouvelle perso sinon si Volatile fait un garçon, je pourrais toujours mettre Erlina avec toi pour ton perso ne se retrouve pas tout seul ^^

Edit : Nagy je t'ai pas demandé mais le(les?) personnage(s?) que tu veux faire, ce sera quoi?

[Nagylan]

@tout le monde : y'a des gens que ça tente un petit sorcier ou une petite sorcière française ? (j'aimerais ramener un perso que j'aime bien mais c'est plus fun si y'a ses deux triplés avec lui :3)
Et du coup naji, pour les coloc fille, je pense donc faire Circé (une louve-garou :3)

[Nagylan]

Edit : Nagy je t'ai pas demandé mais le(les?) personnage(s?) que tu veux faire, ce sera quoi?

Du coup ce serait un sorcier et une louve-garou :3 (plus mes deux vampires si les quotas sont bons)

[naji2807]

Ok pour la louve, les vampires si ça te dérange pas d'attendre un peu de voir qui s'inscrit et qui rempli quoi, ça m'arrange ^^
Du coup je te mets aussi la sorcière ou tu attends de voir qui te réponds? (je te dirai bien que j'ai envie d'en faire une mais je me suis promise de me restreindre et ça marche très mal)

[Nagylan]

D'acc pour les vampires ^^
Le sorcier Et oui mets le quand même :3 (sors les yeux de chat botte pour t'amadouer. Si ça peut peser dans la balance mon perso et son frère ont Ezra Miller comme ava Et pour leur soeur, ce serait sans doute Zoey Deutsch (choix modifiable selon ce qu'on me propose))

[naji2807]

J'ajoute le sorcier alors mais je vais pour le moment laisser la place à qui voudra et si d'ici le prochain event tu ne trouves personne je dirai peut être oui ^^'
Edit : du coup tu jouerai les deux frères si j'ai bien compris? Du coup j'ajoute les deux à la liste?

[naji2807]

Attention texte à caractère explicite
Tadji Saeed, aussi appelé Prince Tadji
Né le 18 Mars, 18 ans, Dhampir

Je prends le temps de l'observer, et de reprendre le contrôle de moi-même par la même occasion. Si le désir est revenu, il n'a pas totalement effacé la soif de sang, qui heureusement, est moins forte pour moi que pour un vrai vampire. Mais l'habitude de boire du sang ne m'entraîne pas vraiment à contrôler ma soif, chose que je ne devrais même pas avoir à faire, mais comme c'est interdit dans cette école...
Je chasse rapidement ces pensées désagréables alors que mes yeux descendent le long de son corps, appréciant l'effet que je lui fait et qui est plus que visible, entre ses frissons et ses tétons durcis sous sa nuisette. Finalement, je décide que j'ai suffisamment attendu et m'approche à nouveau pour lier mes lèvres aux siennes. Si j'essaie d'être doux au début, les choses changent rapidement quand je comprends que Gabrielle ne veut pas de cette douceur, et que sa langue s'engouffre dans ma bouche, entamant une danse avec la mienne, tandis que j'essaie de ne pas la blesser avec mes crocs.
Elle défait ma ceinture et je la laisse faire, laissant mes propres mains s'attarder dans ses cheveux, puis descendre le long de sa taille, pour venir l'attraper par les hanches, la collant davantage à moi. Je sens le désir pulser en moi, faire gonfler encore davantage pour bas-ventre que je colle au sien, gêné par mon pantalon, je grogne légèrement, mais continue mes caresses.
Quand nos bouches se détachent, j'ai le souffle court, et je parviens difficilement à maîtriser la tension dans mes muscles. Elle me regarde dans les yeux, et je sais sans avoir besoin de me voir, qu'ils sont rouges, changés par la soif. Pourtant elle n'a pas peur, au contraire, on dirait que ça lui plait encore davantage. Un fin sourire étire mes lèvres, dévoilant davantage mes crocs, et je respire profondément alors qu'elle approche sa bouche de mon oreille, son cou si proche de mes lèvres...
Ses mots me détournent de ma soif, et mon sourire s'élargit alors que le désir reprend le dessus sur la faim. J'ai l'impression de sentir une très légère hésitation dans sa voix, qui me pousse à ne pas me jeter soudainement sur elle, comme j'en ai envie, mais à attendre quelques secondes, le temps de reprendre le contrôle de mes pulsions. Elle m'attire alors à elle, nous faisant atterrir assez brutalement sur le lit, mais je n'ai pas l'impression de lui avoir fait mal. Notre étreinte reprend alors, plus sauvage, et son regard achève de me décider. Je retire mon pantalon et mon caleçon en même temps et lui enlève le reste de ses sous-vêtements, nous laissant nus et haletant. Mes lèvres cherchent sa peau, et je l'embrasse dans le cou, descendant vers sa poitrine tandis que mes doigts descendent eux plus bas encore, jusqu'à son intimité, que je caresse sans la pénétrer, cherchant à tous faire pour qu'elle n'ait pas trop mal, bien qu'elle soit déjà bien humide.

[Nagylan]

D'acc ^^ (te force pas si tu penses pas pouvoir gérer un perso en plus, ça me ferait plaisir d'avoir des gens pour jouer sa fratrie mais c'est pas grave si c'est pas le cas )
Nope juste un ^^ Mais ils ont le même ava vu que ce sont des jumeaux (enfin triples mais la troisième est une fille x))

[naji2807]

Dac bah j'ai ajouté le tien et si d'autres veulent je les ajouterai ^^ en vrai c'est pas tant une question de gestion que d'inspiration et aussi je n'ai pas envie de monopoliser complètement le jeu ^^'

[Yumeko]

De rien Yume et oui ce serait marrant mais pas sûre que ça fasse vraiment "bon professeur" x)

Non, ça risque de ne pas faire super crédible xD
OMG ! Mais t'as encore craqué en faisant un nouveau perso ?
Et pas de problèmes pour la coloc de Roxy

[Nithael]

Nagy: Ça me botterait bien de faire la soeur (à voir en fonction de leur histoire) !
Par contre tu sais que des triplés ne sont pas monozygotes et que donc ils n'ont pas besoin d'avoir le même avatar tant qu'ils se ressemblent un peu ?

[naji2807]

Yume oui j'ai une louve en préparation

Nitha je te mets la sorcière la page d'accueil?

[Yumeko]

naji : tu es incorrigible

Siofra│Britannique│16 ans│161 cm│Elfe│Salle de bal ǀ Adan



Adan est d'humeur très taquine ce soir, et il semble que ça soit grâce à sa sœur. Je peux la remercier parce que je ris beaucoup en sa compagnie et je peux l'embêter autant qu'il m'embête. Je passe un très bon moment avec lui. Et je fais une chose que j'adore, je peux danser et j'ai un cavalier. La musique me plaît bien, elle est entraînante et me donne envie de danser au rythme de la musique. Mon corps bouge naturellement et instinctivement, je n'ai pas besoin de réfléchir. Et puis, j'ai un cavalier alors je souris, je suis heureuse.
Mon cavalier décide de me taquiner à nouveau, et il en profite pour me marcher sur le pied. Il ne me fait pas mal, son pied est trop léger. Je l'ai à peine senti. Son air me fait plus rire qu'autre chose et un léger rire m'échappe. Il me dit que c'est de ma faute s'il m'a marché sur le pied mais j'ai le droit à un joli compliment de sa part. Je lui fais mon plus beau sourire.
- C'est vrai, tu m'avais prévenu, et voilà maintenant, tu me marches sur le pied, fis-je amusée. Mais merci pour le compliment.
Mes mots semblent l'avoir blessé quand je vois sa tête mais son sourire contredit son regard. Et un nouveau sourire amusé étire mes lèvres, surtout quand il se met à rire.
- Oui, tu as l'air vraiment vexé, tellement que ça fait peur, me moqué-je gentiment. Bon, tu as peut-être raison. Pas le pire danseur que je connaisse... hum, juste le plus maladroit, terminé-je en riant.
C'est vrai, j'ai grossi le trait pour l'embêter. Adan n'est pas un mauvais danseur, il y en a des bien pires que lui. Il suffit de regarder autour de nous, certains sont plus doués que d'autres. Mais ce n'est pas important, tout ce qui compte c'est que chacun passe un bon moment.
La musique entraînante est remplacée par une chanson beaucoup plus douce et lente, il s'agit d'un slow et je reconnais même le morceau. C'est Perfect d'Ed Sheeran. C'est une très jolie chanson, je l'aime beaucoup.
Ne pouvant m'empêcher de le taquiner à nouveau, je lui dis :
- Avec un slow, tu crois que tu me marcheras encore sur les pieds ?

[Nagylan]

Nithael : je te raconte ça en MP dans la soirée, quand j'aurais accès à mon ordi ^^
Et pour les triples, vu que y'a une fille, les deux garçons sont forcément monozygotes (je ne crois as qu'une femme puisse produire plus de deux ovules à la fois)

[naji2807]

Je ne rejouerai plus Zinna avant le prochain event du coup

Zinna Mickaels
Surveillante, Vampire



Et voilà, bravo ma grande tu as encore dit ou fait quelque chose qu'il ne fallait pas faire ou dire... j'ai beau ne pas savoir ce quelle est cette chose, j'ai forcément fauté quelque part, car à peine ai-je complimenté Aldaron que je sens soudain comme un vent glacial entre nous. Son expression se referme soudainement, en même temps que son regard qui devient soudainement froid et distant. Je pince les lèvres, et tente de regarder ailleurs, fixant mes ongles comme si ils étaient absolument passionnant, ce qui n'est évidemment pas le cas, puisque le vernis rouge que j'ai mis ce matin commence déjà à s'écailler. C'est toujours la même chose, je fais tout pour que ce soit réussi, mais il y a toujours quelque chose qui foire quand je me fais une manucure. Je ne sais pas si c'est parce que je suis trop impatiente et que du coup je n'attends pas suffisamment longtemps pour que ça sèche ou si je n'ai juste absolument pas de chance, mais il y a toujours un problème. Soit je le mets mal, soit il s'écaille quelques heures seulement, soit en enfilant un vêtement, je le rends tout moche...
Mes ongles sont passionnants finalement. Ou alors j'ai juste envie de penser à n'importe quoi d'autre qu'Aldaron que j'ai visiblement blessé, vexé, ou je ne sais quoi encore...
Quand il change enfin de posture, c'est pour s'en aller, et je pince à nouveau les lèvres. Je fais rarement fuir les gens... j'ai vraiment du faire quelque chose d'affreux... Il a l'air triste, même si ça ne dure qu'un instant, mais je n'ose plus rien dire, une petite voix dans ma tête me sermonnant "tu en as assez fait comme ça". Je hoche finalement la tête quand il prend la parole pour me souhaiter une bonne soirée. Il est repasser par le vouvoiement, une preuve supplémentaire de la distance qu'il a soudainement réinstauré entre nous. Je souffle un petit :
- Merci toi aussi.
Puis je le regarde s'éloigner en continuant de m'interroger sur mon comportement.

[naji2807]

Nagy concernant cette histoire de jumeaux, Wikipedia a pas l'air de se prononcer sur la possibilité qu'une femme ait plus de deux ovules en même temps ^^' donc c'est probablement possible

[naji2807]

Adanedhel Isil, dit Adan
Elève, Elfe

Je ris en entendant la réponse de Siofra, je passe vraiment un bon moment avec elle. J'aime bien Siofra, j'aime bien sa bonne humeur, et le fait qu'elle soit réceptive à mes plaisanteries qui ne sont pourtant pas transcendante. En riant je lui réponds à mon tour en faisant une petite révérence :
- Je t'en prie grande danseuse.
Je fais mine d'être attristé quand elle me qualifie de pire danseur qui soit, mais ne peux pas m'empêcher de sourire, pas le moins du monde vexé par sa remarque. Je réponds alors, avec un sourire sincère :
- Je préfère ça. Et puis parfois, la maladresse a du charme.
La musique change enfin, et j'en remercierai presque le ciel si je croyais en quoi que ce soit de divin, mais vu que ce n'est pas le cas, je me contente de pousser un léger soupir de soulagement. La chanson plus lente qui commence alors me dit vaguement quelque chose, je crois que ma soeur l'a écouté régulièrement à un moment, mais je ne saurai cité ni le titre ni l'artiste. Le rythme me plait plus néanmoins, et quand Siofra me demande si je serai meilleur dans un slow, je ris doucement en lui tendant ma main.
- Je n'ai pas le sens du rythme, mais je pense que ma nature m'aidera à sauver tes orteils.
La vérité c'est que je maîtrise davantage le slow et les danses de couple en général, je trouve ça plus simple, car cela demande plus de précision. Oui c'est très paradoxal, mais je suis ainsi, j'ai besoin de précision, d'un cadre pour m'y retrouver. La valse par exemple est une danse que je maîtrise parfaitement. Au contraire, je ne sais pas me laisser aller comme Siofra ou Gabrielle l'ont fait tout à l'heure.

[Nithael]

Nagy : J'ajoute en complément de ce que Naji a dit :

"Lorsque l'échographiste annonce "vous attendez des triplés", il peut s'agir de triplés provenant d'un oeuf divisé en 3 ("vrais" triplés, grossesse spontanée), de 3 œufs différents ("faux" triplés, suite à une hyperstimulation des ovaires), ou de "vrais" jumeaux provenant de la division d'un premier oeuf et d'un troisième embryon issu d'un deuxième oeuf."

J'ai connu personnellement de faux triplés et c'est encore le cas le moins rare des trois.

[Soragame]

Au fait Naji t’as encore des nouveaux perso à poster ou pas ? Je sais pas combien t’en as mais franchement bravo d’arriver à tous les gérer

[naji2807]

Sora oui j'ai une louve qui devrait bientôt arriver ^^' et merci ^^ en tous cas j'espère que ça ne monopolise pas trop le rpg en comptant la soeur d'Adan qui est un pnj, ça fera 13 personnages sur Ravenswood...

[Yumeko]

Siofra│Britannique│16 ans│161 cm│Elfe│Salle de bal ǀ Adan



Adan me fait même une petite révérence qui me fait rire à nouveau. Il est très drôle ce soir. Je suis contente de passer un moment avec lui, je m'amuse beaucoup. Je n'arrête pas de sourire et de rire. Bon, ça m'arrive très souvent et avec presque tout le monde. C'est plutôt rare parce que même avec Dorcha, j'arrive à sourire. Bon rire, c'est une autre histoire. Il n'est pas drôle et je n'arrive toujours pas à le faire sourire malgré toute la bonne volonté que j'y mets. Mais je ne perds pas espoir, un jour j'y arriverai. Heureusement, j'arrive à faire rire et sourire les autres : Micah, Adan, Aaron, Ollie, Prince Tata, même Jax et Vikram.
Sa fausse mine attristée face à ma taquinerie est vite remplacée par un sourire. J'avoue avoir exagéré exprès pour l'embêter, j'aime bien le taquiner parce que je peux le faire sans problème avec lui. Et ça, c'est à la fois drôle et agréable. Je souris à ma tour, j'aime bien sa réponse.
- C'est vrai, tu as raison... je trouve aussi.
J'ai l'impression qu'Adan préfère ce morceau de musique plus lent et doux que le précédent plus rapide et entraînant. Moi, j'aime bien les deux. Je ne suis pas difficile tant que je peux danser, c'est tout ce qui compte. Le principal, c'est de pouvoir danser après tout. J'aime cette chanson même si ce n'est pas ma préférée de ce chanteur. Ma taquinerie le fait rire à nouveau et il me tend la main. Je lui rends son sourire, prenant sa main et me rapprochant par la même occasion de lui. Mon autre main se pose sur son épaule et je commence à tournoyer au rythme de la musique.
- Alors remercions la nature pour être un elfe ayant le sens du rythme. Mes orteils en sont très heureux.
Et puis un slow, c'est toujours plus facile pour danser qu'une musique entraînante.

[Soragame]

Elane Samos
-Vampire-
-17 ans-
La réponse de Mlle Winstood ne m'étonne pas, c'est probablement comme cela qu'elle pense. Enfin c'est ce qu'elle montre, car je ne suis pas dans sa tête. Maintenant je sais en revanche qu'elle s'est probablement déjà retrouvé complètement saoul, assez pour ne plus vouloir réitérer l'expérience. Une erreur d'adolescent qu'elle se dit sûrement. Elle a dû recevoir une éducation strict. Un père exigeant qui en voulait toujours plus, une mère soumise prête à accéder à tout les désirs de son mari. C'est un schéma classique mais qui conviendrait bien au caractère de mon interlocutrice.

-Vous avez raison, et puis je ne suis pas à l'abri de moi aussi dépasser les bornes une fois dans ma vie. Il faut savoir faire des erreurs pour prendre pleinement conscience des conséquence que peuvent avoir certaine action.

C'est amusant de parler avec elle. ce n'est pas du tout comme avec Gabriel ou avec Mlle Clarance, là je suis complètement quelqu'un d'autre. Cette fille courtoise, aux réponses presque parfaite, qui semble cacher quelque chose d'étrange mais sans pour autant que l'on puisse dire quoi et surtout que l'on puisse prouver quoi que ce soit. Je demande ensuite à notre très chère secrétaire ce qu'elle pense de moi et ce qu'elle me répond ne m'étonne pas le moins du monde, elle est trop polie pour me répondre honnêtement. Jamais elle ne se permettrait d'émettre un jugement de valeur à haute voix devant moi, en tout cas si je n'ai rien fait de mal.

-Bien sûr je comprends, mais tout le monde à son avis, même si parfois on aimerait rester neutre, c'est impossible. Enfin bon peut-être que je me suis trompé, mais j'avais l'impression que vous ne me portiez pas spécialement dans votre coeur. Je me demandais juste si j'avais pu faire quelque chose de mal...

[Eparm12]

« Le visage se voit, mais non pas le cœur. » Proverbe colombien

Sunshine





Move On Up



That’s My Girl


Identité :

Comme si ç’eut été une évidence mystique, aussi mystique que ma beauté – je plaisante –, mes parents m’ont appelé Naël Axel Arcangel Yago. J’admets que Yago est une composante étonnante de cet enchaînement, dont la dernière syllabe de chaque prénom rime, sauf la sienne, mais s’il y est apparu en tant que chaînon légitime, c’est parce que mon grand-père paternel se prénommait Yago, mon père ayant décidé que j’en hériterai. En résumé, j’étais déjà nommé avant d’être né. Jamais mes parents ne se sont-ils un seul instant inquiétés du genre des prénoms qu’ils m’ont choisis, les deux premiers étant mixtes et les deux derniers masculins. Je crois que peu leur importait : si j’avais été une fille, ils m’auraient aussi appelé Naël Axelle Arcangel Yago. Dans tous les cas, ils m’auraient appelé ainsi, que je l’aie voulu ou non, car on ne se donne pas à soi-même un ou des prénoms, excepté si on le ou les change une fois adulte.
Mon nom succédant à cette déferlante de prénoms est Hazel, et en raison de la longueur de l’ensemble, on m’appelle uniquement Naël Hazel, mais mon père me surnommait Archy, quand ce n’était pas « petit elfe ». Si le lien entre ce sobriquet et mes prénoms différents les uns des autres ne saute pas aux yeux de prime abord, il n’est pas dénué de sens pour autant : mon père pensait que j’étais essentiellement pareil à un des Archanges, un Archange alors descendu sur Terre et incarné en moi, et c’est pourquoi il a raccourci Arcangel en Archy. Etant un jeune Colombien de dix-sept ans, il était sûr et certain qu’on m’attribuerait plusieurs prénoms, ce qui n’a pas manqué d’arriver de la part de Colombiens catholiques de pure souche, chez qui les racines, les traditions et la culture hispaniques sont profondément ancrées et fondamentales.
D’après mon père, Naël signifie « celui dont le travail est fructueux » en langue arabe, et « Dieu a donné » en hébreu diminué. Enfin, mon patronyme est donc Hazel, parce que tous les membres de la famille féerique de mon père avaient les yeux noisette. On n’aurait pas pu faire plus original.




Histoire :


Je n’ai pas vécu à l’abri, ni au sein d’un cocon familial protecteur, ni dans une bulle de savon, qui a éclaté dès la fraction de seconde où j’ai ouvert les yeux sur ce qui m’entourait pour la toute première fois, parce qu’une paire d’yeux s’est ouverte ce jour-là, tandis qu’une autre se refermait définitivement au même instant : ma mère est morte en me donnant la vie, ma mère qui était humaine et de constitution pourtant robuste, et n’a pu être sauvée par mon père, malgré l’usage de sa magie et de ses puissants pouvoirs de guérison sur elle, pour la maintenir vivante. L’accouchement a fatalement eu raison d’elle alors qu’elle y a succombé pendant que mon père me tirait hors d’elle en se démenant. Ma mère… Je ne l’ai jamais connue. A chaque respiration, je me souviens, je me remémore que j’ai tué ma mère, car la vérité est que je l’ai tuée en naissant, ce avec quoi je vis constamment, et qui hante et torture mon existence à raison. Ma pauvre mère n’est pas décédée, non, je l’ai assassinée, et peut-être que la douleur de la faute commise, un crime, et de la perte, s’est atténuée au fil des années, il n’empêche qu’elle demeure bien présente, là, enfouie au plus profond de moi, de mon être, de ce que je suis, et qu’elle n’en disparaîtra jamais, parce que jamais elle ne s’effacera, parce que jamais je ne pourrai l’oublier. Son absence est un manque diffus, qui se fait cruellement ressentir, et sans l’occulter ni me voiler la face, j’avance droit devant moi en me forçant à ne pas regarder en arrière, mais vers l’avenir, en hommage à la femme qui s’est battue pour moi, jusqu’à rendre son dernier souffle. Par ailleurs, ce n’est pas entre quatre murs blancs, immaculés, que j’ai pointé le bout de mon minuscule nez retroussé, mais au beau milieu de débris de bois.
Mon père faisait partie de la famille Hazel, un clan de fées et uniquement composé de fées, qui étaient les propriétaires d’une grande ferme et des terres alentours qui la bordaient, la ferme étant située non loin de la lisière de la forêt amazonienne, à la frontière vénézuélienne de la Colombie, à l’est de son territoire. Il n’y avait personne rôdant dans ce coin-là, désert, car personne, aucun humain notamment, n’osait s’aventurer par ici, dans cet endroit dont la forêt amazonienne est la voisine, redoutée et crainte de tout temps. De ce côté, le front pionnier colombien n’avait pas lieu de s’y frayer un chemin ni intérêt, parce que la frontière du pays partagée avec le Venezuela ne pouvait être franchie en son âme et conscience, sous peine de déclencher une guerre entre les deux Etats, en conflit depuis des dizaines d’années. C’était pourquoi le clan Hazel y coulait des jours heureux, tranquilles, et vivait sur la base de ses récoltes, car ses membres cultivaient la multitude d’hectares qui leur appartenaient, se nourrissant exclusivement de céréales, de féculents, de fruits et de légumes locaux. La ferme, loin de prospérer, était parfaitement entretenue, le clan ne commerçant avec personne et évoluant en petite autarcie sans en être inquiété d’une quelconque façon, jusqu’à ce qu’un jour, mon père allant sur ses dix-neuf ans, le clan ne se fasse subitement décimer. En effet, des rebelles vénézuéliens fuyant les représailles de leur gouvernement ont traversé la frontière en passant par la forêt amazonienne, et se sont retrouvés à proximité de la ferme des Hazel, ferme qu’ils ont subitement attaquée, la retournant sens dessus dessous, la pillant puis la détruisant sans aucun scrupule, avant de massacrer un par un les membres du clan, sous les yeux de mon père, qui fut impuissant et assista au carnage exécuté, l’endurant bravement jusqu’au bout. Les rebelles vénézuéliens lui apprirent que ça faisait plusieurs jours qu’ils se tapissaient dans la forêt et avaient observé le clan agir, ayant remarqué et compris qu’ils n’étaient pas des êtres ordinaires, et ils épargnèrent mon père, le plus jeune de la famille, pour pouvoir le faire chanter en menaçant sa vie afin qu’il se serve de ses pouvoirs pour que les cultures se développent plus rapidement à des fins commerciales, parce que le but était de les proposer sur le marché et de s’enrichir.
Pendant deux ans, la ferme resta en ruines, deux longues années, interminables, durant lesquelles mon père faisait ce que le groupe de rebelles voulait qu’il fasse, pieds et poings liés à lui, sous son joug, à sa merci, cultivant pour lui ses anciennes terres désormais, puisqu’elles étaient dominées, sous le contrôle d’humains cupides, avides d’argent, qu’ils amassaient allègrement, jusqu’à ce que ce cercle de rapaces, qui s’absentaient régulièrement en laissant toujours deux ou trois d’entre eux à la ferme dans l’optique de surveiller mon père réduit en esclavage, ne revinrent plus se poser à la ferme ; ceux qui suivaient mon père comme son ombre l’abandonnèrent à leur tour. Le groupe s’était certainement fait mortellement piéger par un autre, mon père n’en sut jamais rien, toujours était-il qu’au début, il n’y crut pas, se demandant où est-ce que ces hommes avaient pu aller en délaissant ce qui était leur butin, mais, n’attendant pas leur éventuel retour, mon père en profita pour s’enfuir et marcha le long de la frontière, jusqu’à parvenir à un village, où il s’installa après s’y être présenté. En bordure de ce même village, il commença à y construire une ferme de ses propres mains, par ses propres moyens, maigres. Quelques mois plus tard, il rencontra la fille de ses voisins les plus proches, ma mère. Ils se croisèrent, se côtoyèrent, se fréquentèrent et tombèrent amoureux l’un de l’autre, simplement. Ma mère fut enceinte tôt, avant que mon père ne lui ait révélé sa nature, celle de fée, et lui ait fait savoir qu’ils auraient un elfe, moi, ce qui, selon les dires de mon père, avait enchanté ma mère, ravie par la nouvelle. Ensemble, ils ont continué à bâtir la ferme à quatre mains cette fois, jusqu’à ce que ma mère ne puisse plus bouger, immobilisée à cause de son ventre proéminent, lorsque survint ma naissance. Le village se localisait en marge de la ville, à des centaines de kilomètres, et éloigné de la sorte du centre de décision et des infrastructures sanitaires, scolaires et de transports, il n’y avait strictement rien dans ce village qui aurait pu délivrer ma mère de son mal, si ce n’étaient les pouvoirs de mon père, qui me tenait dans ses bras en pleurant sur elle. Il a eu beau tenter de me convaincre depuis que je ne suis en rien responsable, rien n’y a fait, je ne peux pas m’en persuader et m’en blâme, m’en fustigeant continuellement.




La ferme n’était pas encore entièrement sur pied quand je suis né, et mon père m’a élevé seul, en même temps que la ferme prenait forme. J’ai grandi dans un environnement naturel et par conséquent difficile à appréhender. J’étais vif et turbulent, imaginatif et créatif, mais docile, car j’avais à cœur d’aider mon père du mieux que je le pouvais, avec force et courage, refusant d’être un fardeau, étant déjà ce cadeau empoisonné qui lui avait repris sa compagne. Dès que je fus en âge de parler et de m’exprimer correctement, mon père m’expliqua ce que j’étais, élucidant cette question existentielle qu’était celle concernant mes oreilles : « Dis, Papa, pourquoi est-ce que j’ai de drôles d’oreilles pointues ? » et pour ce faire, il me raconta ce qui s’était passé sans rien omettre. Je le compris grâce à l’intelligence hors norme dont je suis doté, ce qui me blessa irrémédiablement. Tous les jours, c’était la même routine, la même rengaine, mes journées se ressemblant inlassablement : je labourais la parcelle de terre qui était à mon père, y traçais des sillons, y semais les graines, refermais les trous, puis rassemblais les fruits de nos récoltes, qu’on gardait pour quelques-unes et revendait pour les autres à bas prix aux habitants du village, qui étaient généreux avec nous. Je ramassais du bois, le coupais et le taillais, et soit alimentait-il le feu, soit correspondait-il à la matière qu’on érigeait en maisonnée. Mon père et moi ne mangions pas beaucoup, parce que ni l’un ni l’autre n’avions de gros estomacs ou excessivement faim, ce dont on ne se plaignait pas, ne me plaignant jamais de rien. Néanmoins, en dépit de ces corvées harassantes, j’étais heureux, car j’étais avec mon père et que je n’avais besoin que de lui : je n’allais pas à l’école, et ne la connaissais pas.
A partir de mes huit ans, mon père, qui s’absentait parfois, m’emmena là où il se rendait secrètement, dans la forêt amazonienne. Là-bas, on y cueillait des fruits, des plantes médicinales et autres, et c’est là-bas que mon père, exigeant, s’occupa rudement de mon éducation magique, qui fut intense et pénible : avant toute chose, il m’enseigna en long, en large et en travers l’histoire de la Colombie, et m’apprit à connaître par cœur, puis à reconnaître le moindre végétal qu’on rencontrait une fois enfoncé dans la forêt, ou les animaux qui y résident, et, ma mémoire étant excellente, la faune et la flore colombiennes n’eurent plus aucun secret pour moi en peu de temps. Etant souple et agile petit, ma souplesse et mon agilité se raffermirent, et ma vitesse est hallucinante. Mes réflexes sont incisifs, précis et imparables, car dans la forêt amazonienne, le danger guette incessamment. La manipulation des éléments, surtout de la terre et de l’eau, est ma spécialité, j’y suis accompli, et mon père m’a transmis ses savoirs curatifs. Mes sens constamment sollicités sont surdéveloppés, mon père ayant fait s’aiguiser ma ruse et mon flaire dans la chasse et la traque.
Je demeurais donc aux côtés de mon père sans me soucier de quoique ce soit d’autre, lorsqu’il me fit part de son projet de m’envoyer étudier dans l’école colombienne la plus proche grâce à ses économies : il ne souhaitait pas que ma vie se poursuive dans ces conditions, que je la vive de cette manière, animale et dangereuse, et si je n’en avais strictement aucune envie, il ne me laissa pas le choix et je suis entré à l’école à douze ans révolus, en dehors de chez moi, de ma maison, de ma terre, de la nature, et sans mon père. A l’école, étant hyperactif, je ne progressais pas, stagnant à un mauvais niveau à cause de mon évident manque de volonté, hormis dans l’apprentissage des langues, devenant bilingue anglais dans l’année qui suivit mon inscription et y bataillant pour y réussir et inspirer de la fierté à mon père. Mais mon père, qui avait toujours peur pour moi, même en ville, la violence y étant endémique et la drogue y circulant, prit une décision radicale sans me consulter cette fois et me fit m’envoler pour l’Angleterre, dépensant ses dernières économies. J’y suis arrivé à mes quinze ans, et ça fait deux ans que j’y séjourne, deux ans que je n’ai pas revu une seule fois mon père. Ma famille d’accueil a tout de suite été sympathique et adorable, elle qui a toujours pris soin de moi, et je la considère maintenant comme ma deuxième famille. Au départ, ils m’ont placé dans une école anglaise réputée, dans laquelle il fut compliqué pour moi de m’en sortir en termes de cours, avant de me placer à Ravenswood cette année, parce que j’ai fini par leur avouer ce que je suis, en échange de leur silence. J’ai absolument confiance en eux, qui font tout pour me faciliter la vie, ce dont je ne les en remercierai jamais assez, reconnaissant et leur témoignant mon infinie gratitude. Mon père a finalement atteint son objectif : celui que je ne mène pas la même vie que lui.


Caractère :

Mon père disait que je suis facile à vivre, mais que j’ai tout de même mon petit caractère et une forte personnalité. Je suis passionné et extrêmement expressif, le cerveau carburant à mille à l’heure, infatigable, aimant la vie, la nature et autrui. Spontané et sincère, impulsif et franc, je suis également rieur, ouvert, disponible, généreux, sociable et espiègle, très taquin et farceur, mes plus grandes armes étant l’humour, l’autodérision et mon sourire éblouissant. Ayant du cran et assez de confiance en moi, je n’ai donc pas froid aux yeux et suis d’un naturel joueur, charmeur et prétentieux : on m’a déjà reproché cette facette de ma personne, une fausse prétention qui agace plus qu’elle n’énerve, car en réalité, je me contente de faire rire en étant prétentieux, rien de plus, rien de moins. Audacieux, téméraire et intrépide, je suis débrouillard et indépendant, mais intérieurement, préfère être rassuré par ceux qui obtiennent mes sentiments, ma loyauté et ma fidélité infaillibles, parce que je crains plus que tout qu’on ne me laisse derrière soi. C’est pourquoi je suis susceptible et jaloux, deux énormes défauts sur lesquels je travaille et essaie de m’améliorer, qui sont liés à cette peur inconsciente qu’est celle de l’abandon.
Les cours ne m’intéressant aucunement, j’ai des difficultés dans plusieurs matières, car je me dissipe rapidement : je ne reste pas concentré sur ce qui n’est pas concret ni n’a de sens à mes yeux. J’ai effectivement besoin de concret, de tangibilité, comme les terres de mon père, que je creusais moi-même. Etre assis derrière un bureau et réfléchir à des concepts, très peu pour moi, même si je comprends qu’on le fasse, simplement, ça ne retient pas mon attention et je préfère laisser ça à des gens qui sont bien plus doués que moi dans ce domaine. Peut-être qu’on me voit comme un simplet, ça n’empêche pas que je ne chercherais jamais à le démentir, car les seules choses qui comptent à mes yeux sont de faire la fierté de mon père, les éléments et les gens. On ne vit pas dans un monde bon, je le sais et ne suis pas naïf, mon histoire en témoignant, mais je souhaite que les personnes qui m’entourent parviennent à le supporter à défaut d’y être heureuses. J’espère pouvoir contribuer un tant soit peu à leur bonheur, quand bien même il est éphémère, et je persévère dans cette voie, optimiste et têtu, voire obstiné.
Cependant, mes démons me rattrapent souvent : je suis secret et ne parle jamais de moi et encore moins de mon passé, dont je me détache, étouffant silencieusement la nostalgie et mon mal du pays. Je m’en veux et ne me pardonnerai jamais concernant ma mère, quant à mon père, il me manque horriblement, mais je prends sur moi.




Autres :


Naël est recouvert de tatouages : il en a trois dans le dos, un sur le torse, un sur l’intérieur de son bras droit, un sur l’extérieur du même bras au niveau du poignet, et un dernier sur son mollet gauche, en sachant que son bras gauche est entièrement tatoué. Salomé était le prénom de sa mère. Les plus petits sont l’œuvre de son père, les autres ont pu être réalisés parce que sa famille d’accueil lui a fait cadeau d’une certaine somme d’argent à l’occasion de ses seize ans, Naël en ayant dépensé plus de la moitié dans les tatouages, car ces derniers camouflent les plus grosses cicatrices le marquant, des plus petites parcourant l’intégralité de son corps, cicatrices qu’il trouve laides, affreuses, hideuses, immondes et repoussantes, et dont il a particulièrement honte.

Il fait des crises d’angoisse depuis toujours, mais ce qu’il désigne comme des crises d’angoisse sont en réalité un symptôme de maladie cardiovasculaire bien plus grave que ce qu’il imagine : n’ayant jamais consulté de médecin en Colombie et le refusant catégoriquement en Angleterre, il a un souffle au cœur, qui l’empêche de faire du sport ou de s’adonner à un effort physique important. Ces crises se manifestent également lorsque ses émotions sont trop violentes et le submergent. Généralement, il s’évanouit presque lorsque cela se produit, parce qu’il ne parvient plus à respirer tant elles sont brutales et le font souffrir.

Il est croyant et arbore un collier orné d’une croix chrétienne en argent, un héritage de sa mère.




Physique :

Je mesure un mètre quatre-vingt et suis brun, mes cheveux étant châtain foncé, presque noir, et mon visage une frimousse enfantine dont le nez et les joues sont parsemés de taches de rousseur. Mes traits sont marqués, mes yeux noisette, des orbes marron luisants et pétillants, où y brille une étincelle de malice, et mes lèvres pleines. Ma peau est halée et mon corps fin, mes muscles étant dessinés et visibles, forgés par mon labeur. On me qualifie souvent de très beau garçon ou de jeune homme craquant, ce dont je suis conscient dans une moindre mesure et par conséquent m’en amuse, facétieux.

[naji2807]

Eparm tu sais déjà ce que je pense de ta fiche mais je le répète ici, elle est superbe ^^ du coup je l'ai ajouté à la page de présentation et tu seras en coloc avec le perso de Sora

[Soragame]

Mon dieu Eparm comme d’habitude J’adore ta fiche je ne le répéterais jamais assez je trouve que tu as une plume magnifique *-* en tout cas j’ai hâte de pouvoir RP avec Naël

[naji2807]

Adanedhel Isil, dit Adan
Elève, Elfe

Je passe une bonne soirée, malgré mon manque criant d'attrait pour la musique. Enfin en réalité, ce n'est pas tellement que la musique ne m'attire pas, mais plutôt que le genre de musique qu'ils diffusent ici ne fait pas vraiment parti de ce que j'écoute en règle général. J'aime écouter des choses plus douces, et il m'arrive de le faire pour me détendre, ou parfois quand je travail, des musiques sans paroles, mais surtout avec un rythme plus lent, et beaucoup moins de basses. Malgré tout, je suis loin d'être maladroit, ayant une adresse naturelle dans tout ce que je fais, je ne suis simplement pas aussi impliqué que Siofra, qui de son côté est vraiment une bonne danseuse, mais surtout, une danseuse qui vit la musique. En effet, elle semble être habitée par la musique, elle s'y laisse aller et c'est ce qui fait d'elle une bonne danseuse, ce que je ne manque pas de lui faire remarquer, tout en plaisantant.
Quand la musique change enfin, devenant plus lente, et plus agréable à mes oreilles, je me sens un peu plus à l'aise, et sourit quand Siofra parle d'un slow. Je sais danser les slows, parce qu'ils sont davantage chorégraphiés, moins fous, plus carré, un peu comme moi. Je présente ma main à Siofra, qui s'en saisit en souriant, et sa remarque me fait rire légèrement alors que je l'attire un peu contre moi pour la guider dans un slow lent.
- Oui merci dame nature. Mais à ta place, je ferai quand même un peu attention à mes pieds, on ne sait jamais, je pourrais être fourbe, je lui dis en plaisantant.

[Eparm12]

@Naji : Kyaaa, merciii! ♥ C'est noté et ça me va parfaitement!

@Sora : Aaaah, merciii, merci infiniment, ton compliment me fait trop trop trop plaisir et me va droit au cœur! *o* Et moi, j'ai hâte de pouvoir RP avec ton Danois! Je faisais exactement cette tête en lisant ta dernière fiche : ♥_♥. Son caractère est à l'opposé de celui de Naël (je l'adore, au passage, les mecs froids, c'est mon dada), mais peut-être qu'ils arriveront quand même à s'entendre, surtout qu'ils sont colocataires. Et puis, on ne va pas se mentir, ton vava est à tomber, punaise. J'ai l'impression de l'avoir déjà vu quelque part, tu veux bien me rappeler qui c'est? ^^ Bref, tout ça pour te dire que moi aussi, j'adore tes fiches et tes persos, et que celui-ci ne fait pas exception à la règle, ce qui n'est pas du tout étonnant. ♥

[naji2807]

Kelly Winstood, dite Mlle Winstood
Secrétaire, Dhampir



Cette discussion commence à m'agacer, mais je sais bien que c'est surtout à cause de ce sentiment que Mlle Samos provoque en moi et que je n'arrive pas à définir. Une partie de moi-même aimerait simplement partir et arrêter la discussion là, car elle me dérange, mais je sais que ce serait de l'échappement, une façon de ne pas me confronter au problème plutôt que d'essayer de trouver ce qui ne va pas. Or je n'ai pas pour habitude de refuser ainsi de me centrer sur mes problèmes, aussi je reste et réponds à Mlle Samos :
- En effet, mais il serait encore préférable que vous et vos camarades, écoutiez davantage ceux qui ont plus d'expériences que vous, et peuvent donc vous évitez bien des ennuis.
Je sais ce qui me contrarie, au moins en partie, j'ai la sensation que son attitude est fausse, que quelque chose est faux, mais quoi? Qu'est-ce qui ne va pas? Quelque chose ne va pas avec cette fille, elle est louche comme dirait mon père, mais je n'arrive pas à dire en quoi.
En revanche, il semble qu'elle perçoive mes sentiments à son égard, en tous cas en partie, puisqu'elle m'interroge à ce propos. Je n'ai évidemment aucune raison d'éprouver quoi que ce soit pour les élèves de cette école. Je suis responsable d'eux, mais ça ne fait pas de moi leur mère, je n'ai donc pas la nécessité de leur témoigner de l'amour ni même de la sympathie, mais je ne les déteste pas pour autant, certains m'agacent évidemment, mais étant donné qu'un grand nombre de gens ont tendance à m'agacer, ce n'est pas forcément une tare. La fin de sa phrase me pousse à lui demander :
- Avez-vous l'impression d'avoir fait quelque chose de mal?
Je doute qu'elle m'avoue simplement ses tords, mais je n'ai rien à perdre en posant la question. Je reprends néanmoins, dans le but de répondre à la première partie de sa phrase :
- Je n'ai aucun affect négatif à votre encontre Mlle, soyez rassurée.