@Amne : on aura bien l'occasion de faire rp Steven et Bastian ensemble, plus tard
@Mimie : Bienvenue à toi sur le rpg et jolies fiches en passant
Pas sûre que ton Peter s'entendent avec certains de mes perso ^^
Edit :
Merci beaucoup Avee
Sebastian│Américain│17 ans│188 cm│Elfe│Complexe sportif ǀ Edelmiro
Les élèves ne doivent pas avoir plus de dix ou onze ans qui sont autour du professeur stagiaire. Ҫa discute beaucoup autour de lui, c’est même animé, je dois dire, et on ne ressent pas de la gravité qui émane autour d’eux. Je les trouve même plutôt détendus, je dois dire. Donc le gamin ne doit rien avoir de cassé. Sans doute plus de peur que de mal. Tant mieux, ça fait des soucis en moins à gérer pour le gamin comme pour ses copains et le professeur. Celui-ci l’aide à se relever pour se mettre debout, et lorsqu’il voit qu’il peut tenir debout sans aide, il se détache de lui mais sans perdre le contact physique. Il continue à discuter encore quelques instants, ne percevant que quelques brides de leur conversation. Toutefois, je propose finalement mon aide s’il y a besoin, peut-être pour l’emmener à l’infirmerie, histoire de vérifier que tout va bien. Mais les gamins commencent déjà à s’éloigner en discutant et le professeur stagiaire répond par la négative à ma question. Celui-ci me sourit comme si tout allait bien ce que j’imagine doit être le cas, et me le confirme de vive voix. Il précise que je peux le tutoyer, chose que je retiens et j’hoche la tête positivement. Sa question me fait sourire ou plutôt le mot honneur, mot que j’entends rarement je dois dire. Son regard glisse de mon visage à mon sac avant de revenir se poser sur moi comme s’il m’inspectait. Je ne pense pas me tromper à ce sujet. Je lui adresse à mon tour un sourire, quelque peu amusé. Il ne s’agit pas de moquerie pour autant.
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Très bien alors je le ferai à partir de maintenant, fis-je avant de poursuivre.
L’honneur je ne sais pas mais je m’appelle Sebastian Marsan même si je préfère Bastian sinon j’ai l’impression de me faire engueuler par mes parents. Je viens d’arriver dans cette école et je voulais quelques informations sur les différentes activités sportives. Je crois qu’il n’y a pas de cours de natation à mon plus grand regret. Et j’aimerais savoir où se trouve la piscine.
Comme il m’a bien précisé de lui dire tout, je pense n’avoir omis aucun détail concernant les informations que je souhaite lui demander. Je n’ai pas précisé mon âge, ni mon espèce mais ça n’a pas vraiment d’importance je pense. Et puis, j’ai un dossier d’inscription ici où toutes mes informations y sont notées. Enfin pas toutes mais celles importantes à ma scolarité. Heureusement, toute ma vie n’y est pas répertoriée Quant aux activités sportives, j’aimerais avoir quelques informations à ce sujet avant de me décider même si mon choix risque de se faire entre le basket et le tennis. Je peux déjà rayer de ma liste l’escrime et la gymnastique. Dans le dernier cas, j’aurais l’air bien ridicule avec un justaucorps même si le ridicule ne tue pas, parait-il. L’escrime ne me tente pas plus que ça, je dois dire. A la limite, regarder me tente déjà plus. Le tennis, j’ai dû en faire deux ou trois fois, dans ma vie alors pourquoi pas essayer. Et le basket, ça j’ai eu l’occasion de pratiquer pendant les cours de sport au collège et au lycée, donc ça, je connais bien. Et j’ai aussi bien envie de voir à quoi ressemble la piscine ici, et faire quelques longueurs au passage. Après tout, si j’ai mis un maillot de bain, c’est bien pour qu’il serve. Et puis, je peux toujours réfléchir en nageant, ou au contraire, me vider la tête. Les deux fonctionnent bien quand je nage.
Micah│Britannique│16 ans│179 cm│Fée│Bibliothèque ǀ Zakarya
Ses paroles sont synonymes de douleur et de désespoir, elles sont déchirantes. Il semble si convaincu de ce qu'il dit comme s'il n'y avait aucun espoir de retour ou comme s'il ne voulait pas qu'il y en ait. Je ne sais pas ce que cela fait de ressentir autant de désespoir en soi, ni autant de douleur. Je n'ai jamais expérimenté une telle peine, et je ne sais pas comment je pourrais gérer mes propres émotions si un jour, cela m'arrivait. Mais je sais que je voudrais aller mieux, que je voudrais aller de l'avant, que je voudrais remonter la pente, que je voudrais que cette douleur disparaisse pour ne plus la ressentir. Et je sais que je pourrais toujours compter sur ma famille et mes amis pour me soutenir, pour m'appuyer sur eux et pour me redonner le sourire.
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Les choses perdues peuvent parfois être retrouvées à condition de le vouloir.
Tout réside dans la volonté de le faire, de souhaiter aller de l'avant. Je ne peux pas, ni personne ne peut l'obliger s'il ne le veut pas. Mais il faut lui prouver, lui montrer que la vie mérite d'être vécue, qu'on peut pardonner beaucoup plus de choses qu'il ne le pense, qu'il peut se pardonner lui, comme les autres sont capables de lui pardonner.
Connaissant particulièrement bien la bibliothèque, je sais où se situe chaque rayon de manière à faire plus facilement des recherches. Alors, face à l'objectif de Zakarya, je pense que l'on trouvera plus de réponses dans la magie. La magie permet tellement de possibilités, nous ouvre tellement de possibilités incroyables... Pourtant, les mots de Zakarya me donne le frisson... vouloir tuer son loup comme un être abominable. Mais ce genre de livres... des manières de tuer... utiliser une magie interdite, de la magie noire, ou du moins que l'on n'enseigne pas ici. On ne trouvera pas d'ouvrages sur ce type de magie.
Je m'éloigne un peu pour regarder les différents thèmes sur la magie... Zakarya faisant de même. Il y a plusieurs livres qui traitent de la magie liées aux animaux. Le premier semble intéressant. Comment communiquer avec les animaux ? Je regarde le sommaire mais il s'agit de sortilèges permettant de communiquer avec tout type d'animal mais pas avec son propre loup. Je remets le livre à sa place et regarde d'autres bouquins mais rien qui ne semble pouvoir l'aider d'une manière ou d'une autre.
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Non, je ne vois rien jusqu'à présent qui pourrait t'être utile.
Attention texte à caractère explicite
Callie│Américaine│17 ans│175 cm│Elfe│Boudoir ǀ Tadji
Tadji attise le feu en moi, il échauffe mon corps, tout comme il attise mon désir. Ses mains laissent des trainées brûlantes sur mon corps, provoquent de longs frissons sur ma peau, accélèrent les battements de mon coeur, mon souffle devient plus saccadé. Ma bouche légèrement ouverte, je savoure chaque sensation qu'il provoque en moi. Mon corps réagit à son toucher, se cambre, se tend. Il joue avec ma poitrine d'une manière délicieuse qui la rend plus sensible, les pointes s'érigeant sous ses doigts, provoquant des courants électriques de plaisir le long de mon corps. Il joue également avec mon intimité où chaque pensée devient moins cohérente à chaque fois que je sens ses doigts et sa langue sur moi, en moi. Je ne suis plus que désir et plus qu'envie. Et j'ai envie de plus, de bien plus... Et je suis persuadée au milieu de toutes ces sensations que je ressens, qu'il me fait ressentir, qu'il cherche à me rendre complètement folle de désir... ce qu'il réussit très bien à faire. Gémissante, et souhaitant qu'il mette fin à cette douce torture, je lui fais comprendre que je le veux.
Il s'arrête, son visage se relève et j'aperçois son regard s'ancrer au mien, il est concupiscent, brûlant, envieux, rempli de cette même envie qui nous anime tous les deux... Quand à son sourire typiquement masculin, il parle de lui même. Après tout, quel mec refuserait une telle demande ? Sûrement pas Tadji qui a autant envie de moi que j'ai envie de lui. Sa voix est particulièrement rauque et sa réponse étire mes lèvres en un sourire coquin. Je dois dire que j'aime le surnom qu'il vient de me donner. Sa main s'éloigne de sa poitrine, je ne la sens plus sur ma peau, la laissant tranquille pour le moment... Je l'entends baisser son pantalon et son caleçon, mais cela ne l'empêche pas de continuer à m'explorer avec l'un de ses doigts. Impatiente, j'attends de le sentir enfin en moi. Comme une prière exhaussée, son doigt est remplacé par son membre, que je sens me pénétrer lentement, et entièrement... jusqu'au fond. Son membre est imposant et il me faut quelques instants pour m'habituer à sa présence. Il se met à bouger, de long va-et-vient en gémissant de sa voix rauque et masculine. Puis, de sa main libre, il vient jouer à nouveau avec ma poitrine, endroit particulièrement sensible chez moi. Je commence à gémir à mon tour, le rejoignant alors que mes cuisses s'écartent un peu plus pour lui laisser un meilleur accès. L'une de mes mains glisse dans son dos, mes ongles plantés dedans pendant que l'autre a repris sa place dans ses cheveux alors que je me laisse aller au désir que je ressens, à ce plaisir grandissant.