Ravenswood School - Quartier Libre

[Yumeko]

@naji : merci beaucoup (pas de souci) Et oui, j'aime bien l'idée qu'ils se connaissent du temps où ils étaient à Ravenswood.

[naji2807]

Ok super ^^ Bah on fait comme ça

[Nagylan]

Katherine
750 ans - Dhampire-Sorcière - Surveillante | Couloirs - Avec Briac

Nous marchons quelques instants en silence avant qu'il ne me réponde que c'est sa deuxième année ici. Je le sens m'observer, se posant sans doute un tas de questions. Auxquelles je ne répondrais sans doute pas en toute honnêteté, s'il venait à me les poser. Comme toujours, je ne livrerais qu'une partie de la vérité, celle que je considère audible. Mon interlocuteur m'indique alors qu'il a lui-même étudié dans cette école. Ça ne m'étonne guère, de savoir qu'un ancien élève ait ensuite décidé de devenir professeur ici. Je suppose que pour beaucoup, cet endroit est devenu un deuxième foyer, un lieu où ils sont à l'abri et se sentent bien. Alwin serait sans doute ravi de le savoir, c'était l'un de ses objectifs quand il a participé à la fondation de cette école. Peut-être le sait-il déjà, il a dû garder contact avec ses successeurs.
Briac s'arrête à un carrefour et me demande où je souhaite aller, les yeux brillant d'une sorte de ferveur dont j'ai dû mal à comprendre l'origine.
- La salle de repos me semble être un bon point de départ. Je suppose que c'est là-bas que j'ai le plus de chance de trouver une machine à café et comme dirait l'un de mes amis, les journées ne commencent vraiment qu'après une ou deux tasses de café.
Je sens mon ventre se nouer en songeant à Marek. C'est un excellent chasseur et je ne doute pas qu'il saura se débrouiller avec un nouveau coéquipier mais j'espère que rien de grave ne lui arrivera pendant que je serais ici, j'aurais du mal à regarder Vikram après ça.

[Nagylan]

@Nithael : du coup je poste Vikram, si jamais ça te tente toujours de faire un rapide rp de rencontre avec Gabriel et lui :3 (je comprendrais si t'as pas le temps/l'envie ^^)

Vikram
17 ans - Loup-Garou - Borderline | Dans sa chambre

Je me sens pitoyable, si pitoyable. J’aurais dû ressortir de la chambre, c’était vraiment la pire idée de rester seul. Mais j’étais si fatigué et ma jambe me faisait trop mal. Le problème c’est que quand je suis seul, je ressasse trop. Je pense au bal, à la bagarre, à l’étudiante que Karl a fait voltiger, à tous ceux qui auraient pu être blessés, à ce que j’ai cassé, à mon costume en pièce. Je pense à Jax aussi. Qui doit être en train de s’inquiéter s’il est revenu dans la salle et qu’il n’y m’a pas trouvé. A qui j’avais promis de rester pour le soutenir. J’ai trouvé à temps la flasque de whisky au fond de ma valise pour noyer mes angoisses dans l’alcool et non la douleur. Je me demande souvent lequel des deux est le pire. La douleur, les autres risquent moins de la remarquer. Je guéris bien plus vite que les humains, il est donc rare que les lacérations que je m’inflige laissent des traces permanentes. C’est plus délicat pour l’alcool. Il m’est arrivé plus d’une fois d’aller en cours sans être sobre mais mes troubles de l’attention en sont décuplés et j’arrive difficilement à suivre, ce qui n’est pas vraiment bon pour mes résultats. Mais là je suis dans ma chambre, à l’abri des regards, je peux bien me permettre de boire.
J’ai réussi à me traîner jusqu’à la douche après avoir retiré mes lambeaux de vêtements. Il y a du sang sur mes cuisses, plusieurs liquides poisseux sur mes épaules et dans mon dos. Le jet d’eau chaude me fait du bien. Je me frotte à en rendre ma peau écarlate, espérant que les mauvais souvenirs de la soirée partent avec l’eau sale, pour ne garder que les bons moments. Ma tenue dont j’étais très fier. Les vingt minutes passées avec Jax à commèrer sur nos camarades. Ma discussion avec la jeune femme dont j’ignore toujours le nom. Le nouveau surveillant canon.
Ce n’est qu’une fois me sentant suffisamment propre que j’éteins le jet d’eau et quitte la douche. Je m’essuie grossièrement avec une serviette avant de la nouer autour de mes hanches, en utilisant une autre pour sécher mes cheveux tout en retournant dans la chambre, m’appuyant sur les murs et les meubles pour éviter de me reposer sur ma jambe gauche. Arrivé à mon lit, je farfouille dans mon sac pour en sortir mon téléphone et mon enceinte Bluetooth. Je lance ma playlist “Queen” en mode aléatoire et me laisse tomber avec un soupir sur le matelas, un sourire venant éclairer mon visage en reconnaissant le rythme de la batterie et le riff de basse qui résonnent dans la chambre. Fermant les yeux, je commence à fredonner
Oh, let's go
Steve walks warily down the street
With the brim pulled way down low
Ain't no sound but the sound of his feet,
Machine guns ready to go
J’attrape à tâtons ma flasque et reprends plusieurs gorgées de son contenu avant de continuer à chanter en rythme avec Freddie.

[Nithael]

Ok ça marche, merci Naji

Alors comme ça ta jolie prof prend du bon temps ?? Ouh la c'est qu'elle est de nature frivole la rouquine ? ;p je lirais ça quand j'aurai un moment mais bon... on verra car faut déjà que je rep' ^^'
Gaby avec Tadji ??? Alors là il faudrait qu'Aaron l'apprenne, ça sera drôle , il va en vouloir à mort à Tadji , la confrontation des deux pourrait être sympa à jouer mais faut-il qu'il l'apprenne ;p

Au fait peut-être bien que mon surveillant pourrait faire un tour dans la biblio..... dommage que je ne sois pas bcp présente sinon je serais venue mais j'ai trop peur de vous bloquer du coup je ne peux pas le faire, dommage

Adan et Siofra ?? Si Kieran les voit ensemble, il va charier son coloc' après le bal ^^

Amne : Quand tu auras le temps, essaie de lire les RP's de Gaby durant mon RP avec Tadji parce qu'elle parle énormément de ce qu'elle ressent pour Aaron et de la situation qui les concerne (enfin en pensée hein) donc voilà je pense que ça devrait te plaire.
J'ai tellement hâte du RP Aaron-Gaby !

Sinon désolée tout le monde pour mon absence mais je viens de recommencer à bosser donc j'avais ABSOLUMENT pas vu vos messages avec tout le flot de fiches !

Du coup Nagy : Pourquoi donc refuserais-je notre RP alors qu'on en a parlé ?

Naji : Précision, c'est GABRIEL bourré qui a quitté Elane et pas l'inverse !

[naji2807]

Nitha oui je sais, je l'ai pas dit comme ça? ^^si c'est le cas désolée parce qu'en plus c'est effectivement ce que j'avais lu et compris ^^'

[Nithael]

Nouveaux RP's en attente d'une meilleure présentation (lorsque j'aurai le temps de peaufiner)

Interdit aux enfants <3

Adrian



Son parfum m'enivre tandis que mes lèvres se baladent avidement sur sa clavicule, la mordillant par intermittence alors que je grogne négligemment contre son cou. Je la désire plus que toute autre chose en cet instant, je veux m'enfoncer au plus profond de son corps afin de lui signifier tout l'amour charnel que j'éprouve pour elle. Mais elle me frustre à rester silencieuse, bien que je pense en saisir les raisons. Elle n'est sans doute pas du genre à assumer pleinement ses désirs, du moins pas ouvertement. Pourtant, elle parvient à me surprendre quand je m'y attends le moins : sa supplication, quelques instants plus tôt, son aveu concernant la violence dont elle aime qu'on fasse preuve envers elle, ces moments durant lesquels elle me fait tourner la tête et me transforme en une bête sauvage qui peine à se contrôler. Je sens bien pourtant que cette fois, elle ne me donnera pas satisfaction et mon comportement doit sans doute la perturber plus qu'autre chose. Iphigénia semble être le genre de femme à perdre rapidement confiance en elle-même et envers les autres, malgré les ébats que nous avons eu quelques instants auparavant.

La lente descente de mon cou qu'elle entreprend avec sa langue me fait fermer les yeux et pencher la tête en arrière. Un soupir de plaisir s'échappe de mes lèvres en songeant à cette même bouche autour de mon sexe en érection et je sens que le moment est à nouveau venu. Fondant à nouveau sur elle, je donne un coup de rein vigoureux qui nous unit à nouveau et crée un feu ardent dans mon corps. Je sais pertinemment que c'est dangereux d'agir ainsi avec un Vampire mais mes à-coups de plus en plus violents ne sont pas suffisants pour calmer mon appétit. Je la marque donc de mes dents sur l'épaule et serre un plus ses fesses bombées entre mes mains, tandis que son corps cogne à répétition contre l'étagère dont s'échappent plusieurs livres. Nous laissons à chacun de nos mouvements un bordel monumental dans la salle et je sens, d'une certaine manière, qu'elle accélère involontairement mes propres mouvements. Ce que nous vivons est plus intense que ce que je n'ai jamais ressenti auparavant et je ne sais à quoi je peux l'attribuer : notre expérience similaire, son espèce, mes affinités avec le Feu, le désir de me dévorer que je sens dans ses yeux et qui m'excite plus qu'il ne m'effraie, ma propre envie qui ne cesse de croître alors que je la martyrise.

- Dis-moi ce que tu veux que je te fasse, Iphigénia, je lâche dans un souffle saccadé sans terminer ma phrase.

Mon ton était impérieux et impatient, lui signifiant qu'elle n'a d'autre choix que de me répondre. Je ne lui laisse aucun répit, laissant mes doigts vagabonder à leur guise dans sa chevelure de lionne, lui maintenant légèrement la tête en arrière tandis que je la couve de baisers fiévreux. Maintenant que j'ai joui, je suis capable de tenir bien plus longtemps et de la faire monter au septième ciel à plusieurs reprises, avant de me laisser m'abandonner à l'extase. Je ne suis pourtant plus qu'un être enragé, avide de sexe et terriblement désireux de lui faire perdre prise. D'une certaine manière, on dirait qu'elle ne demande qu'à être brisée, c'est du moins ce que je crois lire dans ses yeux, les quelques moments où nos regards se croisent avant qu'elle ne les referme à nouveau de plaisir. Je sens pourtant que mes bras commencent à fatiguer et qu'il nous faut un nouvel appui. Ralentissant un peu le rythme de mes coups de reins, je jette donc un oeil autour de nous et remarque un mur tout proche. Dans un mouvement habile, je la maintiens fermement et nous dirige vers ce mur contre lequel je l'appuie fermement. Sensuellement, mes mains redescendent à nouveau sur ses cuisses et je la force à redescendre l'une de ses jambes vers le sol. Ainsi, j'aurai une meilleure prise sur elle et pourrai me concentrer entièrement sur mes mouvements qui reprennent un rythme plus soutenu.

- Si tu ne veux pas que j'arrête tout, je te conseille de m'avouer tes plus sombres désirs et de le faire rapidement ..., je la charrie en donnant un de rein plus emporté que les autres et me donne des frissons alors que je cogne contre le fond de son sexe.

[Nithael]

Nouveaux RP's en attente d'une meilleure présentation (lorsque j'aurai le temps de peaufiner)

Gabrielle Benson



Mon impatience semble enfin l'atteindre puisqu'il s'active dans mon dos d'une manière bien moins tendre qu'auparavant. Ainsi je retrouve le Tadji qui me désirait dans cette salle de bal et cela me plaît davantage. Je n'ai pas besoin qu'il me prenne en pitié ou se retienne pour ne pas me faire fuir ... Je ne m'échapperai plus de ces bras, je n'en ai d'ailleurs pas envie. Ces bras si puissants qui m'éloignent un instant de lui, sans pour autant quitter sa prise sur mes hanches. Le désir ardent que je décèle au creux de son regard alors qu'il laisse ma robe tomber négligemment le long de mon corps, lui dévoilant une lingerie que je n'avais jamais prévu de le laisser apercevoir. Pourtant, je ne reste pas insensible à son geste, loin de là puisqu'il a tout le loisir d'observer mes tétons pointer à travers cette nuisette en satin qui le sépare de mon corps nu. Un sentiment de chaleur me submerge alors que je sens de violents frissons dévaler mon corps. Ils me donnent envie de sentir à nouveau son corps tendu et brûlant de sensualité contre le mien. Pourtant il ne bouge pas, se contentant de me dévorer du regard. A nouveau, mes yeux se perdent sur ses canines sorties qui ne demandent qu'une chose.

Ainsi, lorsqu'il me saute dessus et m'enserre entre ses bras musclés, je presse avidement mon corps contre le sien et passe mes mains autour de son cou. Bien que son baiser soit timide, je ne lui laisse pas le loisir d'en profiter et entrouvre les lèvres, nous guidant vers une étreinte bien plus libidineuse. Un gémissement, teinté de désir et de crainte, s'empare de moi lorsque je sens ses crocs contre ma langue mais je ne ralentis pour autant pas la cadence. Au contraire, je m'active autour de sa ceinture afin de l'en défaire rapidement. Je sens ma propre faim de lui enflammer mon bas-ventre et ce n'est pas sans gêne que je tente d'ignorer la sensation humide que je ressens plus bas. A la place, je me concentre sur notre étreinte, sur notre fiévreux baiser durant lequel je m'empêche de le mordiller. Je ne sais pas trop s'il désire vraiment me mordre ou s'il se retient, je n'ai donc pas envie de lui compliquer la tâche. Je profite de ma poitrine si légèrement vêtue frôlant son torse nu, sur sa jambe s'insinuant entre les miennes pour frotter contre mon vagin, me procurant une vague de plaisir qui me fait perdre pied, petit à petit. Je me laisse fondre dans son emprise et je sens à nouveau mes instincts se réveiller, me sommant de garder le contrôle sur la situation. Pourtant, je ne peux que me laisser aller lorsqu'il me dévore ainsi du regard. Nous pausons un instant notre embrassade et je me perds dans ses yeux. Ils sont aussi rouges et passionnés qu'une rose, à la fois tendres et épineux. Il me donne envie de m'y piquer et je me mords la lèvre en le dévisageant, soudain prise d'une timidité qui m'est habituellement inconnue. Je déglutis avant de me mettre sur la pointe des pieds afin d'atteindre son oreille, bien qu'il m'entende très bien ainsi.

- Fais-moi l'amour Tadji ... Je veux te sentir en moi, je lui susurre alors d'un ton à la fois hésitant et envieux.

A ces mots, je l'attire brusquement à moi et nous fais basculer sur mon lit. Son corps s'écrase violemment contre le mien mais je m'en moque. J'ai subi de nombreuses douleurs dans ma vie et celle-ci n'en est sûrement pas une, malgré mon souffle un instant coupé par ce geste. Mes jambes se referment autour de sa taille, frôlant son pantalon toujours en place malgré sa ceinture qui a volé par terre un peu plus tôt. Notre baiser reprend de plus belle et je me montre plus ambitieuse, laissant ma langue se balader sur le contour de ses lèvres, désireuse de sentir à nouveau son envie contre mon sexe haletant. Mon haut remonte légèrement alors que ses mouvements se font pressants et je sens enfin sa peau nue contre la mienne. Je ressens une brûlure à chaque endroit qu'il frôle et mes sens se bousculent dans mon esprit. Je n'ai pas envie de me contrôler bien que je ne puisse décemment pas me transformer. Un grognement s'échappe alors de mes lèvres avant que je ne lui lance un regard gourmand, accompagné d'un sourire érotique, tout en remontant lentement mes bras au-dessus de ma tête afin de lui signifier mon autorisation pour qu'il fasse ce que bon lui semble.

[Nithael]

Nouveaux RP's en attente d'une meilleure présentation (lorsque j'aurai le temps de peaufiner)

Aldaron Icebranch



Les paroles de Zinna me ramènent brusquement à la réalité et me font comprendre que j'ai prononcé ces nouvelles paroles à haute voix. Mon regard se ferme alors sans que je cherche à le dissimuler et je me redresse sur mon siège. Mon regard se fait plus froid, malgré moi, et je laisse un rideau de glace qu'elle avait réussi à faire fondre se dresser à nouveau entre nous. Mes yeux évitent soigneusement de se poser sur elle, le temps que je prenne complètement conscience de ce qui m'a fait faiblir. J'éprouve toujours ce sentiment de danger lorsque l'on s'adresse à ma musique. J'ignore si cela est dû à un manque de confiance en moi ou si les paroles que j'écris son simplement trop proches de moi pour que je laisse quiconque les lire et pénètre ainsi mon univers. Toujours est-il que Zinna en a déjà bien trop entendu et que cela me met particulièrement mal à l'aise, pour ne pas dire en colère. Je ne le suis pas contre elle mais bien contre ma propre incapacité à maintenir ces barrières avec le reste du monde. J'ai besoin d'extérioriser ma peine et ma culpabilité mais il n'est pas nécessaire que quiconque la découvre.

Après quelques secondes d'un silence glacial, je tourne ma tête et lui fais enfin face. Tout sourire a disparu de mon visage et mes yeux sont désormais aussi froids et indifférents que lorsqu'elle m'a abordé. Quelque part, je m'en veux de me comporter ainsi avec elle mais cela me conforte désormais dans l'idée que je dois rester éloigné de tous, en toutes circonstances. Si je m'ouvre un tant soit peu, je vais un jour devoir le faire entièrement et je ne suis pas prêt ... Je ne le serai sans doute jamais et cela me convient, du moins je tente de m'en convaincre. J'attrape donc négligemment ma veste et mon livre, tous deux posés sur la table basse qui nous sépare, et me lève de mon siège, une main dans les poches. Je m'incline vers elle, de la même manière qu'à notre rencontre, et lâche un soupir que je ne peux retenir. Dans ce soupir s'échappent mes tourments, ma rage mais également ma déception. Après tout, on ne se refait pas et il est trop tard pour que je change, pour que quiconque me fasse changer. Un bref voile de tristesse traverse mon visage mais je le réprime rapidement.

- Passez une bonne soirée, Zinna.

Mon ton est calme et relativement doux malgré la tempête qui envahit mon esprit. Aucune émotion de se dépeint sur mon visage, bien qu'elles doivent sans doute se lire dans mes yeux. J'ai volontairement utilisé le vouvoiement, qui convient sans doute mieux à une relation entre un élève et un membre du corps enseignant. Il pose une limite de plus entre nous et me force à revenir à ma place. Bien que j'aie beaucoup aimé notre conversation, sans doute la plus enrichissante que j'aie eu jusqu'à présent, je m'empresse de me détourner d'elle et cherche à me frayer un passage à travers la foule. Dans ma précipitation, je ne remarque pas mes lunettes de soleil qui s'échappent de la poche de ma veste et s'écrasent contre le sol. Sans un regard en arrière, je franchis la porte de la salle de bal et disparais dans la pénombre du bâtiment. Je ne prête pas attention au vacarme assourdissant de l'autre côté de l'une des portes du rez-de-chaussée, trop préoccupé par mes songes pour remarquer qu'il s'agit de la bibliothèque. Je monte quatre à quatre les marches des escaliers, bien heureux de n'y croiser personne, ma veste nonchalamment posée sur mon épaule.

Une part de moi regrette la fuite que je m'impose face aux quelques personnes qui parviennent à poser un pied dans mon monde. Mais la plupart du temps, je parviens à la refouler au fond de mon âme. Par moments, j'oublie qu'elle existe bel et bien et me rappelle que je reste humain, en quelque sorte. Cette part de moi me rappelle sans arrêt Wil et sa bienveillance envers moi ... J'en souffre continuellement et c'est pour cette raison que je la dissimule à mon esprit inquisiteur. Il va encore me torturer la prochaine nuit qui est déjà bien entamée et plonge le manoir dans une obscure ambiance. Je m'y sens bien, plus en sécurité qu'en pleine journée, face à des visages qui m'observent et me sondent. J'aime la nuit et en même temps je la crains car je ne suis pas fatigué, je ne le suis jamais. Elle va me torturer une fois encore et me rappeler que je ne peux échapper à mes démons. Cette perspective me fait peur et me rassure pourtant car elle me plonge dans une certaine routine dans laquelle je me sens en sécurité.

[naji2807]

Attention texte à caractère explicite
Iphigénia Clarance, dite Efi
Professeure de langue, Vampire transformée

Ses baisers dans mon cou m'enivre et chacune de ses minuscules morsures me donnent envie de plus. Je ne me rendais pas compte jusqu'à maintenant que Sa morsure me manquait, mais je me souviens en cet instant de cette douleur sourde, suivie d'un plaisir si intense... J'essaie d'écarter cette vision car elle ne fait qu'accentuer la douleur dans ma mâchoire, celle qui me pousse à mordre Adrian depuis un si long moment, et contre laquelle je lutte difficile, me forçant à seulement le lécher, incapable de détacher ma bouche de son cou. Mes deux faims m’enivrent, mais je tente d'y résister, je tente d'être patiente, car j'ai trop peur de le brusquer, trop peur d'en vouloir trop alors que lui n'a peut être pas envie de recommencer dès maintenant... Pourtant son sexe est si gonflé, il a forcément envie.
Mes questionnement menacent de me faire perdre ma capacité à réfléchir, ma capacité à me contrôler aussi, c'est un soulagement intense qui m'envahit en premier lieu quand il entre soudainement en moi. Une demi-seconde après cependant, ce soulagement est remplacé par le plaisir, un plaisir intense, alimenté par mon désir et le sien que je sens à nouveau augmenter, et par l'humidité de mon sexe qui s'accentue à chacun de ses coups de rein, lui ouvrant le passage. Quand il me mord, je gémis profondément, je voudrais plus, tellement plus... Je n'ai pas vraiment de prise, dépendante de son bon vouloir, et de son rythme qui me satisfait amplement, mais malgré moi, je voudrais plus, plus violent, plus profond.
Sa voix m'atteint comme si elle venait de très loin alors même qu'il est tout proche. Mon cerveau peine à se concentrer sur autre chose que mes sensations physique et ce n'est que parce qu'il prononce mon prénom, auquel je m'accroche, que je parviens à déchiffrer ce qu'il me dit. Mais ma bouche refuse de former des mots, mon cerveau refuse de perdre ne serait-ce qu'une demi seconde à se concentrer sur autre chose que le plaisir, surtout que je sens une première vague, plus intense que les autres, me submerger, et je pousse un cri, rejetant la tête en arrière, oubliant ses mots, oubliant tout ce qui n'est pas son corps et les sensations qu'il me procure.
Il me maintient la tête en arrière, et il fait bien, car je suis certaine que je n'aurai pas réussi à ne pas le mordre si il m'en avait laissé l'occasion. Le désir me consume, et inhibe complètement ma raison, mon contrôle, me faisant gémir et crier à chacun de ses violents coups de rein. Je peine à garder les yeux ouverts, et même quand mes paupières se soulèvent, je ne vois rien, je ne sens rien, plus rien d'autre que mon bas-ventre et le sien, plus rien d'autre que ses mains sur mon corps.
Il ralentit soudain, et avant même que j'ai pu rouvrir les yeux pour en comprendre la raison, un fort gémissement de frustration s'échappe de mes lèvres. Je le sens qui me déplace, et la frustration grandit, pendant ce moment qui ne doit durer que quelques secondes, mais qui est déjà beaucoup trop long. Arrivé à sa destination, il nous repositionne, et reprend ses vas et viens, tandis que j'ondule à mon tour du bassin, ayant une plus grande marge de manoeuvre. Sa voix est cette fois-ci bien plus perceptible, mais je ne parviens pas à lui répondre tout de suite, prise d'un long frisson alors qu'il entre bien plus profondément en moi, comme il ne l'avait jamais fait. J'halète, et peine à former des mots, mais j'ai bien trop peur qu'il mette sa menace à exécution, alors je tente de me concentrer, commençant ma phrase par un gémissement de frustration, due à cet effort qui me détourne du plaisir.
- Je... Je... Je t'en supplie... Je... n'arrête pas...
Je frissonne et ferme les yeux une seconde, la tête rejetée en arrière alors que mon esprit lutte pour trouver des mots cohérents.
- Je veux... Je veux...
Du plaisir. C'est tout ce que je veux, je veux qu'il me prenne plus fort, plus long, toute la nuit si il le peut, je veux le mordre, je veux qu'il me fasse aussi mal qu'il le veut... Comment prononcer une phrase si longue? Je gémis à nouveau, et le regarde, suppliante :
- S'il te plait...
Dans mon esprit je le vois me prendre avec violence, je me vois le mordre, je me vois hurler, tremblante, et je le vois jouir... Mes pupilles s'ancrent dans les siennes, et je tente de lui montrer ce que je n'arrive pas à lui dire.

[Nithael]

Nouveaux RP's en attente d'une meilleure présentation (lorsque j'aurai le temps de peaufiner)

Gabriel Benson

Après plusieurs marches, je tourne la tête afin de vérifier qu'Elane ne m'a pas suivi. Mais dans la pénombre de l'établissement, je me retrouve seul avec moi-même et cette perspective m'effraie. Je me mets à frissonner violemment et m'assieds un moment sur l'une des marches. Après quelques secondes durant lesquelles je me force à ne pas être malade à nouveau, je remarque un type que je n'avais jamais vu grimper les marches à toute vitesse. Il ne semble pas me remarquer, ce qui me rassure car je n'ai pas envie de subir d'autres discussions du même genre aujourd'hui. A vrai dire, j'ai simplement envie de rentrer dans ma chambre et de m'effondrer sur mon lit. Mais mon parcours s'avère plus difficile que prévu puisque de nouveaux haut-le-coeur me submergent tandis que je me relève avec difficulté. Je me tiens à la rampe afin de grimper l'étage qui me sépare de mes draps et mets de longues minutes à monter les marches, toujours plus nombreuses à mesure que je les gravis. Mon souffle est haletant et mon cerveau cogne violemment contre mon crâne quant à mes mains, elles sont moites et ma gorge est sèche.

Lorsque je parviens enfin en haut des escaliers, je longe le mur tout en espérant ne pas m'être trompé de direction autrement je serais capable de me laisser tomber au détour d'un couloir et d'y rester jusqu'au lendemain. Ce serait pathétique mais en cet instant, j'ai seulement envie de dormir ... et d'une cigarette. A vrai dire, j'ai commencé à fumer quelques semaines avant que les cours ne reprennent. Je voulais tester de nouvelles choses, tenter des expériences et comprendre ce que tout le monde trouvait d'intéressant à un si petit objet. Je n'irais pas jusqu'à dire que je suis devenu accroc à cette chose mais aujourd'hui, j'ai envie de me retourner la tête jusqu'au bout. Elane m'a forcément à faire face à de nombreux points obscurs de mon histoire et une douleur m'irradie la poitrine à chaque fois que j'y repense. Alors, quand je trouve enfin ma chambre, une vague de soulagement m'envahit et je tourne rapidement la poignée. Dieu merci, la porte n'était pas fermée car j'ai oublié mes clés en sortant. J'aurais eu l'air con, avachi devant ma propre porte, complètement mort et débraillé.

- Oh, let's go ... Steve walks warily down the street with the brim pulled way down low. Ain't no sound but the sound of his feet, machine guns ready to go ...

J'entends un murmure à travers la pièce aussi obscure que la nuit noire au-dehors et j'entends ensuite le bruit d'un liquide dans une flasque puis un bruit caractéristique qui me donne encore plus soif. En temps normal, j'aurais sans doute hurlé et aurais allumé la lampe. Mais dans mon état, je me contente de hausser les épaules et de me diriger vers ma valise pour en sortir le paquet de cigarettes que j'avais caché dans l'une des poches intérieures. Je ne touche pas à la bouteille de Whisky qui se trouve à ses côtés, pris d'une soudaine envie de rendre le peu de bile restant dans mon estomac. Je referme rapidement ma valise et ouvre la fenêtre à laquelle je m'adosse, sortant mon briquet de ma poche. J'allume négligemment ma cigarette avant de remarquer qu'une voix se superpose à la musique que j'avais entendue un peu plus tôt. Mais dans la pénombre de la pièce, je ne distingue pas la personne qui se trouve à son autre bout et me contente de tirer un coup sur mon mégot désormais allumé. Après un souffle qui me procure une sensation de bien-être que je sais temporaire, je me surprends à rigoler face à mon pathétisme. La douleur dans mon coeur ne s'est pas tue, au contraire, et je sens des larmes me monter aux yeux alors qu'une envie soudaine me prend de hurler à la Lune. Pourtant, je me retiens et me contente de lever la tête en arrière, afin de les réprimer.

- Tu es Vikram, c'est bien ça ?, je lâche finalement sans tourner le regard vers la chambre, bien plus attiré par le calme de la nature au-dehors.

Je connais son nom grâce à la liste de dortoirs, que j'ai lue en long et en large le jour de la rentrée, par crainte de me retrouver avec l'un de mes bourreaux. Je ne les ai jamais balancés à l'administration, il leur est donc impossible de prendre des mesures contre eux, ce qui me va très bien puisque je sais me défendre. Pour autant, je ne désire pas me retrouver avec l'un d'eux dans les dortoirs ... Pas une nouvelle fois. Toujours est-il que je ne pense pas avoir déjà croisé ce Vikram durant mes années de cours, je ne sais même pas à quoi il ressemble. J'espère pour moi qu'il vivra bien le fait de côtoyer un homosexuel durant cette année car, jusqu'à présent, tous mes colocataires ont maintenu une distance de sécurité, à moins de désirer lever la main sur moi. Je tire un nouveau coup sur ma clope en songeant aux coups que j'ai déjà reçu dans mon propre cocon, supposé être l'endroit le plus sûr de cette école. Au final, je me sens plus en sécurité dans l'infirmerie lorsque je me fais soigner par Mr Harris.

[Nagylan]

Du coup Nagy : Pourquoi donc refuserais-je notre RP alors qu'on en a parlé ?

Je sais pas, mon incertitude s'est dit que peut-être tu trouverais le timing trop court :') Mais du coup pour les petits points physiques vu que monsieur a décidé de s'étaler à moitié à poil sur son lit x) : il a un "Kendra" tatoué sous la clavicule gauche, il a sans doute plusieurs cicatrice disséminées sur le corps (vu qu'ils guérissent plus vite que la moyenne, je sais pas à quel point les LG peuvent garder des marques, genre faut que ce soit des blessures très profondes ?) et une petite description de sa jambe gauche "Mon pied est tordu vers l’intérieur et j’ai plusieurs orteils recroquevillés, mon genou n’est pas tout à fait dans l’alignement du membre, et ma peau présente de nombreux plis, cicatrices et crevasses"

[Nithael]

Quelle conne ... J'ai modifié le dernier message de Gabriel au lieu de le citer et de retirer le "quote", du coup ça a effacé mon ancien message, celui qui clôture ma discussion avec Elane et dont j'étais tellement fière ... Ca me saoûle. >.<

Bref, j'espère que ma réponse te va Nagy !
PS : Tu verras que j'ai joué sur la pénombre, ça tombe bien puisque je n'ai lu ton message explicatif qu'après avoir posté !

[Nagylan]

Ui, j'aime beaucoup :3 J'ai trop de peine pour Gabriel, Vikram est pas au top de sa forme mais j'espère qu'il arrivera à le mettre à l'aise x) (et c'est super pour la pénombre :smiley ok_hand: que j'utilise très souvent et qui manque ici :'))

[Yumeko]

Caliane Elizabeth Courtenay│ Américaine │ 17 ans (née le 08/08)│ 175 cm │ Elfe│ Elève



HISTOIRE :

Je suis née avec un cuillère en argent dans la bouche. Mes parents sont riches, immensément riches. Je n'ai jamais manqué de rien, bien au contraire. De ce côté là, je n'ai jamais eu à me plaindre. Mon père est issu d'une veille lignée de la noblesse anglaise, qui s'est installée aux Etats-Unis, au début du XIXème Siècle. C'est un homme politique, un vrai requin. Il a commencé en bas, et il a grimpé les échelons jusqu'à devenir gouverneur de l'Etat de New York. Il n'a rien d'un surnaturel, c'est un humain. Quant à ma mère, c'est une fée, tout ce qu'il y a de plus douce et de plus aimante. Mes parents sont trop différents, deux exacts opposés. Je n'ai jamais compris comment ils ont pu finir ensemble. Je suis née et j'ai grandi à New York, dans l'Upper East Side, dans un fabuleux duplex à deux pas du MET, avec une superbe vue sur Central Park. Depuis mon enfance, mes parents m'ont inscrite dans l'école privée la plus selecte de la ville, dispensant les meilleurs cours et préparant aux plus grandes universités du pays et de l'Ivy League.
On pourrait penser que ma nature était un obstacle mais pas du tout. Ma mère utilise la magie comme une seconde nature et elle est douée pour créer des illusions. Personne n'a jamais vu mes oreilles pointues, personne n'a jamais perçu ma vraie nature. A la maison, c'était ma mère qui s'occupait de moi, qui m'a élevé, qui m'emmenait à l'école, au parc, à mes activités extrascolaires, qui me faisait à manger... D'aussi loin que je me souvienne, mon père n'a jamais été très présent, il rentrait tard. Le plus souvent, on ne mangeait toutes les deux. J'ai toujours été plutôt proche de ma mère, mais jamais de mon père. Ses absences répétées et sa froideur ont été des obstacles à notre relation. Elle n'était pas conflictuelle mais presque inexistante. Mais mon père savait très bien se rappeler de mon existence quand il avait besoin de moi. Il m'emmenait pour ne pas dire me traînait dans les soirées mondaines. Je voyais les plus grands noms de la politique, de la finance, de l'économie... Tout ce beau monde se côtoyait et moi, je faisais de grands et beaux sourires. Tous faux. Oui, j'ai un don pour ça et cela, je le dois à mon éducation. Je suis une fille très bien élevée en public. Oh, je ne dis pas qu'en privé, je ne suis pas bien élevée, mais ça, c'est une autre histoire. Les sourires figés, les faux semblants, les marques de politesse, tenir une conversation... Moi aussi, j'ai appris tout ça. Bien se tenir en public, montrer que tout va toujours très bien. Après tout, il fallait que je sois la digne héritière de mon père. Ma mère ne disait jamais rien, elle ne se plaignait jamais, elle était la parfaite épouse, et profondément amoureuse de lui. Lui s'est toujours montré strict et froid envers moi. Je devais être la parfaite fille modèle, mes notes devaient être impeccables. De ce côté-là, il n'a jamais eu à se plaindre, il faut bien le dire, j'avais toujours des notes excellentes. Ma mère m'a inscrite à des cours de danse. D'abord la danse classique, et aussi, un peu de modern jazz. La danse m'a appris le maintien et surtout la rigueur. J'aimais bien mais ça n'a jamais été une passion. Je trouvais que cela manquait de liberté et de folie surtout le classique. Mais, cela m'a appris à bouger mon corps avec grâce et sensualité, et je n'hésite pas à m'en servir lorsqu'il le faut. Et ma nature d'elfe a aussi été un avantage de ce point de vue là. Ma mère étant une fée, elle m'a appris à développer mes talents pour la magie. Et j'ai hérité de certains de ses dons. Je peux créer des illusions, utiliser le glamour, et j'ai un don pour faire pousser des plantes, fleurs... même si je ne l'exploite pas. Même si ma mère ne m'a jamais rien dit, j'ai l'impression que ça l'attriste, elle qui adore s'occuper des plantes dans la maison. Il y a une pièce dans l'appartement avec de grandes baies vitrées, remplies de végétation où elle peut y passer des heures à jardiner.
Je fais partie de cette jeunesse dorée que l'on voit dans les films et dans les séries télévisées. Je passe mes vacances d'hiver à la montagne à Aspen, dans le chalet d'un ami de la famille avec mes parents. L'été, je pars dans la maison familiale dans les Hampton où se retrouve une grande partie de cette jeunesse dorée. C'est le moment des ballades au bord de l'eau, des baignades dans la mer, des feux de camps sur la plage, des amours de vacances qui prennent fin à la rentrée, des fêtes dans les plus grandes maisons du coin, où on m'amuse, on danse, on fait trempette dans le jacuzzi, on boit, on flirte, et plus si affinités. Et puis, il y a aussi les vacances de printemps, parfois à Saint-Barth ou au Bahamas en famille mais où je peux emmener une copine ou deux avec moi. On pourrait dire que ma vie est parfaite, mais elle ne l'est pas autant qu'on le pense. J'avais quinze ans et je sortais avec une bande de copines mais, ce soir là, je suis rentrée bien plus tôt que prévu. Ma mère était exceptionnellement absente de la maison, elle passait quelques jours dans sa famille, dans le Maine. Je pensais être seule dans l'appartement mais je me trompais. J'entendais des bruits étranges comme des gémissements et des halètements provenant du bureau de mon père. Je me suis approchée silencieusement, la porte était à peine entrebâillée et laissait filtrer un filet de lumière. Je me suis encore approchée, les bruits étaient de plus en plus forts et j'ai regardé à travers la porte pour découvrir mon père et une femme qui m'était inconnue en train de coucher ensemble. Je me suis vite reculée avant qu'ils ne me surprennent et je suis montée directement dans ma chambre, choquée par la scène dont j'avais été témoin. Une chose dont je n'ai jamais parlé à personne, pas même à ma mère. Si le comportement de mon père m'avait choqué, je ne voulais imaginer ce que ma mère ressentirait. Trahison ? Déception ? Tristesse ? Choc ? Amertume ?
A l'adolescence, j'ai commencé à m'intéresser aux garçons et eux à moi. J'ai découvert très vite que j'avais du succès. Ma nature y est pour quelque chose. Je les voyais se retourner à mon passage ce qui n'avait rien de désagréable, bien au contraire. J'aime flirter, échanger quelques baisers, jouer les filles inaccessibles, me lancer quelques défis personnels. Je trouve que ça a un côté excitant et j'aime ne pas laisser les autres indifférents tout comme j'aime me sentir désirée. Je suis même devenue très douée à ce petit jeu. Ensuite, je suis entrée au lycée et ce petit jeu continuait. Je devenais même très forte. Oh, j'en laissais certains finir dans mon lit, mais ce n'était jamais l'histoire d'une seule nuit. Et puis, je me suis lancée un défi en première avec ce nouveau professeur d'histoire, tout juste diplômé et dont c'était la première année. Toutes les filles le mataient quand il passait dans les couloirs et je n'étais pas la dernière. Non, il était tout à fait mon genre et en plus, c'était l'interdit avec un grand I, celui que j'avais envie de transgresser. Pour moi, il n'y avait rien de plus excitant que de remporter ce défi et je comptais bien le faire. Je lançais quelques remarques l'air de rien, je flirtais innocemment, je participais à son cours plus qu'à aucun autre, j'avais des notes parfaites... je faisais tout pour qu'il me remarque et lui inspirer plus qu'une relation professionnelle entre un professeur et son élève. Je devenais pas seulement belle mais brillante avec ce petit soupçon de sensualité et de magie quand je sortais de la salle ne laissant pas ce cher M. Dawson indifférent. La fin de l'année arriva et mon beau professeur ne pouvait plus me résister. Nous avons passé un long moment tous les deux... finissant par remporter ce défi. Mais l'histoire ne s'est pas terminée là, ce que j'aurais préféré. Je ne sais pas comment mon père a fini par apprendre ma relation éphémère avec mon professeur d'histoire. Je n'en ai jamais parlé à personne, ni même évoqué. Alors pour me punir ou pour m'éloigner, il n'a rien trouver de mieux que de m'inscrire dans une école de surnaturels, appelée Ravenswood School.

CARACTERE :

J'ai une excellente mémoire et une intelligence au dessus de la moyenne ce qui m'a toujours avantagé tout au long de ma scolarité. J'ai toujours eu d'excellents résultats en cours sans jamais avoir besoin de travailler beaucoup. Alors imaginer si je m'y mets. Il faut vraiment que le cours me passionne sinon je fais le minimum. Je préfère passer du temps à d'autres activités. Je suis joueuse, très joueuse. J'aime les défis comme vous avez pu vous en rendre compte. Mais surtout les remporter car je déteste perdre, qu'on me résiste trop. J'ai une certaine détermination voire obstination même, quand les choses ne vont pas dans mon sens. Je suis très mauvaise perdante, ce qui me met particulièrement en colère. C'est une chose qui blesse mon ego. J'adore m'amuser et faire la fête, me déhancher sur une musique entraînante, un verre à la main. Quel intérêt si on ne peut pas s'amuser après tout ? La vie est faite pour ça. Quel ennui que d'être trop sérieux. J'aime plaire, jouer les filles enjôleuses, me laisser approcher, draguer, embrasser parfois plus. Tout dépend de mon partenaire. Je me montre toujours souriante, c'est mon arme. Mon sourire. Mon éducation m'a appris à me cacher derrière. Dans le milieu où j'ai grandi, l'apparence est essentielle. Je suis très sociable, je n'ai aucune difficulté à parler à tout le monde mais je ne m'entoure pas de n'importe qui. Je choisis avec soin ce qui entre dans le cercle fermé de mes amis. Je suis une personne sûre d'elle, je sais ce que je vaux, j'ai une très grande confiance en moi, que rien ni personne ne peut ébranler. On me qualifie de prétentieuse et vaniteuse à juste titre.

PHYSIQUE :

Je suis grande, mesurant 1m75, je suis mince, je suis belle, j'ai la taille idéale pour être mannequin. J'ai de longs cheveux blonds vénitiens comme ma mère dont je suis assez fière. Ce n'est pas une teinte que l'on trouve chez tout le monde, et ça, ça me plaît. Mais je n'ai pas hérité des yeux bleus de ma mère, ils sont marron-vert comme ceux de mon père. Mon regard est souvent sensuel surtout face aux garçons. Mes lèvres sont pleines, et faites pour les baisers.

[Soragame]

Niaqornaarsuk Kalakek
-17 ans-
-Sorcier-
-Danois-
Mon prénom est celui du village de ma grand-mère, c'est stupide de donner le nom d'un village à un gosse, mais probablement une tentative de mon père de me rendre la vie plus compliqué. Toujours est-il que personne n'arrive à le prononcer correctement, ma grand-mère m'a appris et c'est probablement le seul mot groenlandais que je sais bien prononcer, mais au moins j'y arrive. Les gens m'appelle par mon nom de famille c'est plus simple.

Histoire:
J’ai réfléchie longuement à la question et j’en suis venue à cette triste conclusion, ma soeur est bête. Enfin en tout cas, c’est comme si toutes ses capacité mentales étaient écrasé par son insupportable narcissisme. Il m’est donc doublement impossible d’avoir une conversation avec elle, et puis elle me méprise déjà assez profondément. Pour ce qui est de ce dernier sentiment il est réciproque, je dois dire qu’elle me fait un peu de peine parfois. Son désir d’être au centre de l’attention la pousse parfois à mettre en lumière ses faiblesses les plus honteuses. Si j’avais plus de considération pour elle peut-être que tenterais de l’empêcher de s’embarrasser de la sorte mais malheureusement dans tout les cas je crois qu’elle ne m’écouterait pas. Pas que je prenne du plaisir à la voir s’humilier, mais on ne peut pas non plus dire que je me sente affreusement mal pour elle. Je me demande parfois comment il est possible de sortir de telles absurdités. Elle essaye de ressembler à mon père mais ce qu’elle ne comprends pas c’est qu’il ne suffit pas d’être une c*nasse pour être lui, il faut aussi savoir être vicieux rusé et imposant. Or elle n’est rien de tout cela. Simplement une pauvre fille perdu et probablement plus mal dans sa peau qu’elle ne voudra jamais l’admettre. Ma mère trouve que je suis parfois dur avec elle, mais je ne vois pas pourquoi je devrais faire des efforts pour quelqu’un qui me traite comme si j’étais la dernière des m*rdes. Je sais bien que ce n’est pas de sa faute, elle a été élevé comme cela, mais tout de même. Mon père voulait une fille et quand il l’a eu il la traité comme on ne devrait jamais traité un enfant. Il lui a fait croire qu’elle était tout, quelle erreur. Et puis c’est une mauvaise sorcière, ce n’est en rien étonnant finalement, mais le problème c’est qu’elle ne semble pas être au courant. Mon père l’est, et c’est bien la seule personne à qui il passe l’incompétence, lui qui a toujours détesté cela. C’est un sorcier dont le talent est respecté malheureusement, parce qu’il s’en sert pour inspirer la crainte. Je ne vois pas bien quelle plaisir il peut y retirer, c’est somme toute extrêmement malsain, mais cela fait bien longtemps que je ne me préoccupe plus de la manière dont il pense. Je n’ai jamais été proche de lui, mise à part quand l’une de ses mains se heurtait à mon visage, je ne sais pas vraiment ce que je lui ai fait pour lui inspirer autant de dégout, mais je n’ai même plus envie de le savoir. La seule personne avec qui j’étais proche dans ma famille c’est ma grand-mère. Un concentré de savoir, vu le nombre d’années qu’elle a passé sur cette terre ce n’est pas étonnant mais il est toujours agréable de parler avec une personne cultivé et censé. Malheureusement je ne la vois plus, elle habite trop loin, je pourrais partir, vivre au Groenland avec elle, en apprendre plus sur sa culture, sur la mienne, mais pas maintenant, plus tard peut-être, je n’ai pas assez découvert le monde pour l’instant. J’aimerais visiter chaque pays que renferme cette terre, découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles langues, apprendre de nouvelles langues. C’est tellement plus pratique de s’exprimer dans la langue du pays que l’on visite. Enfin bref j’aimerais voyager. Partir d’ici en tout cas, je suis las de cette famille. Ils ne m’apporteront rien de toute manière. Même lors des rituels, que j’avais l’habitude d’aimer étant petit, je m’ennuie maintenant. Il y a toujours cette effet trop spectaculaire, artificielle, qui ne me plait pas.

La famille ce n’est pas sacré chez moi, comme pour chez certain, je m’attache aux gens que je trouve intéressant, et ceux je ne porte pas dans mon coeur qu’ils soit de mon sang ou non, j’évite de leur parler. Alors je pourrais passer trois vies à ne plus les voir, mon coeur se porterait tout aussi bien. Que dire d’autre? Ma soeur a toujours été la préféré alors j’ai dû m’occuper autrement, je n’en ai jamais vraiment voulu à mes parents pour cela, parce que même s’ils m’avaient aimé autant qu’elle je ne crois pas que cela aurait pu être réciproque. La seule chose pour laquelle j’en veux à mon père, c’est d’avoir coupé les ponts avec sa mère, de m’avoir interdit de la revoir, privé d’une culture immense et probablement plus intéressante que la sienne. La dernière fois que je l’ai vu, c’était au pays des ours polaires et elle m’a donné une chose dont je ne me séparerais jamais. Un stylo. Dit comme cela il n’y a rien de spécial et ça peut même paraitre ridicule d’y être autant attaché, mais c’est grâce à lui que j’ai encore toute ma tête aujourd’hui. Car tout ce que je dessine à partir du moment où ce n’est pas trop gros, prends vie l’espace de quelques temps. J’ai appris à dessiner pour l’utiliser, mais la chose que je préfère faire, c’est donner vie à des animaux, les rendre humains et leur parler, c’était toujours plus agréable que de parler à ma soeur. Elle a déjà essayé de me voler le stylo mais il ne marche qu’avec moi, pour une raison que j’ignore. Toujours est-il qu’il ne me quitte jamais.

Je n’ai pas vécu grand chose dans ma vie, pas d’évènement traumatisant à part quelques humiliations publique de mon père mais finalement cela m’a toujours très peu affecté. La dernière fois que lui et moi nous sommes pris la tête il m’a enfermé quinze heures dans ma chambre, pensant que cela allait me poser problème. Il peut se montrer idiot lui aussi de temps en temps. Car ma chambre et probablement l’endroit que je préfère dans cette maison, sanctuaire isolé de tous, au moins ici personne ne vient m’em*rder. J’ai passé mon temps à peaufiner mon allemand. Comme je l’ai déjà dit j’aimerais visiter tout les pays qu’il est possible de voir, et parler toutes les langues qu’il est possible de parler. Pour l’instant seules six sont à ma portés, le danois, le français, l’anglais, l’espagnol, l’allemand et le norvégien. Même si mon allemand laisse un peu à désirer et que j’ai du mal avec les accents, qui n’a pas de mal avec les accents sérieusement? Il y a cependant une langue que je voudrais à tout pris maitriser: Le kalallisut. Impossible de l’apprendre sans habiter au Groenland, 57 000 milles habitants...on se fiche bien de ce peuple. Même au Danemark ils sont méprisé. Eux et leur désir d’indépendance. Eux dont bientôt le pays ne ressemblera plus à rien si on continu à le détruire.

Caractère:
Je suis honnête, je n'ai pas peur de vexé qui que ce soit en disant une quelconque vérité blessante, si je ne t'aime pas, si je te trouve un défaut, si tu m'énerve ou quoi que soit d'autre, et que je ressens le besoin de te le dire, je te le dirais. Je ne suis pas la personne la plus sociable qu'on puisse trouver, si on vient me parler je n'ai pas de raison de fuir en courant mais sinon, la plupart du temps je suis seul. Je n'aime pas la bêtise, c'est probablement le pire défaut que l'on puisse avoir pour moi, avec la lâcheté, en tout cas si quelqu'un est trop peu intelligent pour moi il y a de fort risque pour que je ne noue aucun lien quelqu'il soit avec cette personne. Je peux passer pour quelqu'un d'hautain mais peut m'importe je me soucie très peu de ce que les gens pensent de moi. Qu'il m'aime ou non, cela ne regarde qu'eux. Je n'aime pas les conflits la plupart du temps quand ça commence à crier je pars, inutile de se torturer pour rien. Sinon je suis avide de savoir et de culture surtout en ce qui concerne les langues, la littérature, la philosophie. J'espère que cela va bien se passer à Ravenswood, au moins qu'on me foute la paix.

Autres:
Du coup je suis Danois par ma mère et Groenlandais par mon père, mais j'ai toujours vécu au Danemark. J'y suis déjà partis de temps en temps mais jamais assez à mon goût. Non pas que je n'aime pas ce pays, il ne m'a rien fait de mal, simplement je ne suis pas fait pour rester trop longtemps au même endroit. Ce qui est assez paradoxale finalement car je pourrais rester des jours dans ma chambre ou dans une bibliothèque sans ressentir une trace d'ennuie. J'ai pris la décision d'aller à Ravenswood School, pour partir, même si je ne serais pas complètement libre c'est déjà ça. Et puis qui sait peut-être que j'apprendrais des choses utiles.

Physique:
Je suis brun aux yeux sombres, les cheveux en batailles la plupart du temps. Je mesure 1m88






Bon voilà Naji, petite fiche mais j'ai pas beaucoup de temps en ce moment, s'il y a un problème je modifierais de ce pas^^

[Nagylan]

Oh, deux nouveaux élèves ** je vais lire ça de ce pas :3

Vikram
17 ans - Loup-Garou - Borderline | Dans sa chambre - Avec Gabriel

Emporté par la musique et l'alcool, je prête seulement une attention distraite aux bruits de porte puis de pas indiquant que quelqu'un vient de rentrer. Gabriel je suppose, je vois mal qui d'autre rentrerait à cette heure là dans la chambre silencieusement. Même Jax frappe avant de venir me voir. La curiosité me pousse tout de même à entrouvrir les yeux, sans cesser de chanter. La pénombre dans laquelle est plongée la chambre, ni moi tout à l'heure, ni mon camarade à l'instant n'ayant jugé pertinent d'allumer la lumière, est rompue par la flamme d'un briquet puis par le rougeoiement de l'extrémité d'une cigarette. J'arrête de chanter et cherche à tâtons l'enceinte pour baisser un peu le son lorsque la voix de Gabriel s'élève, me posant une question. C'est toujours étalé dans mon lit que je lui réponds :
- C'est ça. Et tu es Gabriel.
Je retiens un "le garçon qui a survécu", qui aurait sûrement été teinté de beaucoup trop de tristesse et de cynisme dans ma bouche. Cependant, je ne tarde pas à éclater de rire, une fois que mon cerveau embrumé a compris la référence involontaire qu'il a formé. Grands dieux, je ne pensais pas que l'alcool avait déjà fait assez effet pour que je rigole tout seul à une référence de pop-culture. Je songe un instant à allumer ma lame de chevet pour observer mon interlocuteur mais laisse finalement ma main posée sur mon ventre. C'est pas mal l'obscurité au final, ça évite que Gabriel voit ma jambe. Je pense pas être en état de supporter un regard de pitié ou de dégoût et les remarques qui peuvent aller avec. Dans le silence qui s'installe, résonne le début du deuxième couplet :
How do you think I'm gonna get along,
Without you, when you're gone ?
A chaque fois que j'écoute Queen, je balance entre la simple appréciation de la beauté des paroles et des mélodies, et l'analyse des passages qui trouvent un écho dans ma propre vie. Ma main droite remonte effleurer le tatouage sous ma clavicule. M*rde, c'est pas le moment d'y penser. Je pensais m'être remis, avoir fait mon deuil. Il faut croire que le moi alcoolisé n'est pas d'accord. Tentant de changer mes pensées, je lance à Gabriel :
- J'espère que tu n'as rien contre Queen. Ou la musique en général. J'ai tendance à en mettre quand je suis dans la salle de bain ou comme ça le soir, pour me détendre. Je dois avoir un casque quelque part au fond de mon sac sinon.

[Nagylan]

@Yume et Sora : j'aime beaucoup vos nouveaux persos, surtout que ce seront des camarades de Vikram :3 Yume, je suis pressée de voir ce que va donner en rp ta petite elfe un peu hautaine et joueuse (ça me fait rire parce qu'elle vient de la même ville que Vikram et Jax ils ont teeeellement pas eu le même genre de vie XD)

[Yumeko]

@Sora : j'aime bien ta fiche
@nagy: Merci beaucoup c'est clair qu'ils sont bien différents. XD

[Soragame]

Nagy et Yume: déjà merci et Yumeko, j'adore Caliane, je sens qu'on ne va pas s'ennuyer avec elle

[naji2807]

Bonsoir

Yume et Sora j'ai lu vos fiches et elles sont superbes, deux nouveaux personnages que j'ai hâte de découvrir en rp je les valides et les ajouterai à la présentation certainement demain étant actuellement sur téléphone

Volatile oui les inscriptions sont rouvertes tu peux donc tous à fait t'inscrire et faire un nouvel élève si tu le souhaites je j'ai rien contre l'idée que tu fasses un vampire mais comme il y a beaucoup (un peu plus que les autres espèces) si jamais ton idée n'est pas trop arrêtée est ce que tu penses que tu pourrais choisir une autre espèce? ^^' je le comprendrai très bien si tu as déjà en tête le personnage que tu veux faire et si de fait tu ne peux pas changer mais si c'est possible ça m'arrangerai pour le rééquilibrage (je suis un peu maniaque ^^') sinon pas de soucis pour ton inscription er bienvenu

Ps : je suis en train de me rendre compte que ma prof de langue parle moins de langue que certains élèves de l'école x)

[Nagylan]

Si il faut pour remplir un peu les espèces, j'ai deux persos qui traînent, pouvant convenir pour sorcières/louves/elfes :3 (je les jouerais peut-être un peu moins que mes persos principaux mais voilà, pour équilibrer un peu x) (après pour les vampires, vu qu'ils peuvent être "créés" grâce à une morsure, c'est pas trop étonnant qu'ils puissent être une espèce nombreuse. Tout comme les sorciers et les LG vu qu'en cas de métissage avec des humains, y'a une chance sur deux que les gène se transmettent)

Efi va venir prendre des cours auprès de ses élèves x)

[naji2807]

Oui oui je sais même j'aime bien quand c'est un plus équilibré ^^ après je suis pas réfractaire raison pour laquelle j'ai pas dit non loin de la ;) je proposais juste au cas où ^^

Et Nagy pas de soucis si tu veux faire de nouveaux persos vas-y je t'en prie ^^

Mais la pauvre Efi a déjà tellement peur de pas réussir à être une bonne prof que si elle doit prendre des cours auprès des élèves ça va être une catastrophe :lol:

[Nagylan]

Plus ce sera équilibré, plus j'aurais de chances de pouvoir ramener mes deux autres andouilles dont je t'avais parlé (la logique de Nagy, faire des persos, pour ramener d'autres perso x)) Bon bah du coup faut que je trouve un ava à Nyx x)

*patpat* C'est vrai que ça ferait un peu bizarre x) Mais bon, Vikram adore pratiquer n'importe quelle langue donc ça le dérangerait pas

[naji2807]

Nagy je peux rien reprocher à ta logique parce que je l'ai fait x) et puis toute façon je vais pas reprocher à qui que ce soit de faire de nouveaux persos parce que ce serait de la mauvaise fois puissant 1000 ^^

C'est gentil de sa part mais pas sur qu'elle lui demande pour autant de l'aide

Bon que ce je vais dormir il faut que j'arrête de traîner je me lève tôt demain! ^^

[Yumeko]

Nagy et Yume: déjà merci et Yumeko, j'adore Caliane, je sens qu'on ne va pas s'ennuyer avec elle

Merci beaucoup. Non, en effet, ça ne risque pas.

Bonsoir
Yume et Sora j'ai lu vos fiches et elles sont superbes, deux nouveaux personnages que j'ai hâte de découvrir en rp je les valides et les ajouterai à la présentation certainement demain étant actuellement sur téléphone
Ps : je suis en train de me rendre compte que ma prof de langue parle moins de langue que certains élèves de l'école x)

Merci beaucoup
Et j'avoue que Roxane en parle beaucoup et Efi qui vient prendre des cours auprès d'autres élèves, j'adore l'idée.

ça va être une avalanche de nouveaux perso.

[naji2807]

Pour les professeurs il n'y a en pas vraiment besoin normalement
Et pour les espèces si tu veux tu peux faire un dhampir, on en a moins que les autres et c'est ce qui se rapproche le plus du vampire ^^

De rien Yume et oui ce serait marrant mais pas sûre que ça fasse vraiment "bon professeur" x)