Bonjour !
Imaginé, un poème court ou long constitué de plusieurs poèmes ou de divers poètes.
Je vous explique mieux : écrivez la phrase que vous préférez le plus d'un poème, faites de même avec un autre, autant que vous voulez (de poètes ou poèmes différents ça n'a pas d'importance), une fois les phrases devant vous, essayez de les ajuster dans un ordre a donné un sens....un nouveau poème.
J'ai choisi différentes phrases, de différents poèmes des Fleurs du Mal de CHARLES BAUDELAIRE, voici ce que ça donne :
Des glaciers et des pins qui ferment leur pays
Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Obscurcir la splendeur de tes froides prunelles
Où jamais n'entre un rayon rose et gai
Par instant brille, et s'allonge, et s'étale
C'est Elle ! noire et pourtant lumineuse
Voilà ^^ A vous
Mélange de Poète
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Re: Mélange de Poète
Okay. Voici le mien
Il creusait dans la mer son sillage d’écume
Dans la mer profonde et haute
Au travers des houles qu’il tranche,
L’ivresse de l’espace et du vent intrépide
Pris d’un recueil de poésie concernant ce magnifique thème qu’est la mer...
Il creusait dans la mer son sillage d’écume
Dans la mer profonde et haute
Au travers des houles qu’il tranche,
L’ivresse de l’espace et du vent intrépide
Pris d’un recueil de poésie concernant ce magnifique thème qu’est la mer...
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Re: Mélange de Poète
Ce soir là je t’ai pris dans mes bras
Et ton baiser fleuri, m’ôterait ma tristesse infinie
Et les yeux tournés vers l’univers
Là où vit la lumière
Dans un champ d’étoiles filantes
Plusieurs extraits de Soeplaure d’Adrien Weil
Et ton baiser fleuri, m’ôterait ma tristesse infinie
Et les yeux tournés vers l’univers
Là où vit la lumière
Dans un champ d’étoiles filantes
Plusieurs extraits de Soeplaure d’Adrien Weil
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Re: Mélange de Poète
J'aime beaucoup le concept ! Je vais participer, avec des vers tirés des poèmes de John Keats
Bonne lecture !
Éveillé à jamais en une délicieuse insomnie
Qui sonne la séparation et me rend à la solitude,
Plongé dans l'obscurité, j'écoute et plus d'une fois
Je demande, pourquoi ai-je ri ? Ô mortel souci !
Tout s'est évanoui prématurément au crépuscule.
La journée a disparu, disparues sont toutes ses douceurs !
Les étoiles semblent gelées, suspendues dans le ciel.
L'amour, l'amour seul a ses rudes, ses innombrables souffrances.
Enflammé comme jamais mortel ne le fut
J'implore votre merci - pitié - amour ! - oui, l'amour !
Oh ! ne me laisse pas dans ce malheur éternel
Quelle folle poursuite ? Quelle lutte pour échapper ?
Loin, m'égarer loin ! car je veux voler vers toi.
Que mon cœur se soulage en composant des vers et que je trouve le repos
Maintenant plus que jamais il semble délicieux de mourir.
Déjà je me sens avec toi ! tendre est la nuit
Cette nuit, si je peux deviner, ta beauté montre
Le but de l'existence - le palais de mon esprit.
Il me laissera dormir, voyant que je jeûne et que je prie.
Bonne lecture !
Éveillé à jamais en une délicieuse insomnie
Qui sonne la séparation et me rend à la solitude,
Plongé dans l'obscurité, j'écoute et plus d'une fois
Je demande, pourquoi ai-je ri ? Ô mortel souci !
Tout s'est évanoui prématurément au crépuscule.
La journée a disparu, disparues sont toutes ses douceurs !
Les étoiles semblent gelées, suspendues dans le ciel.
L'amour, l'amour seul a ses rudes, ses innombrables souffrances.
Enflammé comme jamais mortel ne le fut
J'implore votre merci - pitié - amour ! - oui, l'amour !
Oh ! ne me laisse pas dans ce malheur éternel
Quelle folle poursuite ? Quelle lutte pour échapper ?
Loin, m'égarer loin ! car je veux voler vers toi.
Que mon cœur se soulage en composant des vers et que je trouve le repos
Maintenant plus que jamais il semble délicieux de mourir.
Déjà je me sens avec toi ! tendre est la nuit
Cette nuit, si je peux deviner, ta beauté montre
Le but de l'existence - le palais de mon esprit.
Il me laissera dormir, voyant que je jeûne et que je prie.