J'étais là entouré d'insurgés parisiens et nuées comme si elles allaient se dissipaient pour nous apparaître. J'admirais avec respect notre Mère qui était à la tête des insurgés, oui notre mère, la République qui représente notre seule espoir de la France divine ! Je regardais aveuglément par son geste triomphal de la révolution des Trois Glorieuses. Mes compagnons et moi étions armés jusqu’aux dents malgré le manque d'armes. Nous franchissions une barricade, parmi tous ces tas d'objets, il y a pleins de soldats blessés. Pourquoi avons-nous tués nos frères ? Tout simplement parce que ils nous considèrent comme des rebelles, des barbares civilisés. Je me sentis offensé mais si nous gagnions une prochaine attaque alors nous serions couronnés de gloire par notre Mère Patrie, on l'appelle également Marianne. Elle nous adressa avec un ton ferme :
"- Ô Citoyens, mon peuple, nous allons réussir pour cette fois, et montrez-vous les Français, de quoi vous êtes capable avec vos bras vengeurs de la Révolution. VIVE LA RÉPUBLIQUE ! cria-t-elle avec une voix stridente mais à la fois chantante et douce.
- Vive la République ! Vive la République, répétons-nous hardiment."
Tout à coup, j'aperçois qu'il y a un enfant des rues dont j'ignore son nom, il brandissait ses pistolets vers le ciel afin de montrer notre puissance et notre vœu le plus cher des Français contre le roi Philippe d'Orléans : la Liberté.
Pour éprouver notre colère, mes amis ont sorti un canon pour tuer les soldats. nous l'avons fait, il me sembla-t-il. Les nuées se mirent alors à réagir encore plus. Notre beau ciel s'est peint en rage de la flamme de la colère. Certains d'entres nous cria : "A la volonté du peuple !"
Pour couronner le tout, la Liberté nous guidait avec son magnifique et grand drapeau tricolore de la France : Liberté, Egalité et Fraternité. Quad je la vis avec ses yeux pleins d'espoirs, je restai un moment longtemps en train de l'observer. Est-ce que notre espoir v-t-elle réaliser ? Par la grâce de Dieu, espérons.