Textes d'amour

[Mariiptiibiiscuiit]

Voici mon poème:
Un jour je t'ai vu
Et là j'ai tout de suite su
Que depuis toujours tu étais dans mon cœur
Que j'avais cet amour destiné à mon âme-sœur
Je t'ai regardé
Tu m'as regardée
Et là tout s'est arrêté
Mon cœur a cessé de battre
Il en aurai fallu peu pour le battre
Puis tu es partis
Et tu m'as laissée
Seule et abandonnée
Nos regards s'était juste croisés
Et c'était le retour à la réalité
Là j'ai vite compris
Que tu m'étais inaccessible
Tu en aimais une autre
Et ça ce n'était pas possible
Mon cœur s'est brisé
Même si il n'en paraissait rien
Il s'est mis à saigner
Et puis plus rien...

[Mariiptiibiiscuiit]

Je suis peut-être un peu hors contexte.
Excuser moi

[Meynie]

Qu'ai-je fait ? Je n'en reviens toujours pas, je suis vivant. Enfin, qu'est-ce, être vivant ? J'existe mais je ne vis pas, voilà ce que je pense. Pourtant, certes, je suis vivant, ou du moins mon corps l'est car pour le reste, tout est indécis. Je tangue entre raison et dépression, soulagement et désespoir. Non, je suis mort, oui, je suis vivant.
Et je lui ai dit. Mes sentiments, je les lui aient avoués mais, maintenant, cela n'a plus d'importance. C'est un peu comme une histoire d'amour qui tourne au drame, en fait, c'est ça.
La comparaison me fait rire à travers mes larmes et ma souffrance, petit sourire teinté d'amertume. Elle aimait ça, réconforter les gens, même les nouveaux. Voyez, je me remet à penser à elle ce qu'il faut éviter à tout prix sinon... eh bien je vais craquer, je le sais.
Tout ça, c'est ma faute. Toute cette souffrance... Je suis vivant mais à quel prix ? Je suis vivant mais j'espère être mort ! Je suis vivant mais la vie ne veut pas la peine sans elle. Et maintenant je sors des phrases de films. N'empêche que c'est vrai.
Moi, l’imbécile de toujours, elle, l'intelligente.
Tout ça ne changera sans doute jamais. Tristesse, angoisse, rancœur emplissent peu à peu mon âme.
Une vie éteinte n'est pas une vie. Dans une vie, il y a du bonheur et du malheur, de la tendresse et de la rage, enfin bon, tous les extrêmes, quoi. Moi, je ne vis désormais que le côté funeste de la chose.
Soudain, devant mes yeux voilés de chagrin et d’incompréhension, luit la lame de mauvaise augure, me tentant de faire un geste simple, irrévocable et fatal. L'attraction se fait de plus en plus forte : c'est si facile, je vais la rejoindre, si facile, trop facile. La solitude est si profonde, si saisissante. Je ne sais pas, je ne sais plus. Je la touche presque, un coup et je suis avec elle. Un coup et tout est fini. Je peux abandonner, me laisser aller. A quoi bon souffrir ?
Vais-je commettre l'irréparable ?
Mais elle, que ferait-elle ? Oui, elle combattrait, elle ferait son deuil et elle avancerai. Pff qu'est-ce que je suis nul. Un lâche.
Sans que je me décide, ma main prend le manche du couteau traître et, d'un sifflement, pourfend les airs. L'arme tombe dans un bruit mat. Silence d'Outre-tombe, sinistre et ténébreux. Je n'ai jamais tué de mon propre chef, toujours par contrainte. Je me sens incapable... Mais, elle ?Non, impossible, je veux la rejoindre. Pourtant, je ne peux pas, à mon grand désarroi. Appel de détresse.
Une seconde, j'ai crut, une seconde, j'ai espéré, mais il me faut me conformer à la déchirante réalité.

[Maelewano]

Tu es impossible. IM-PO-SSIBLE. Je crois que je comprendrais jamais. Je sais très bien que tu m'as vu, et qu'est ce que tu fais ? Tu passes devant moi, sans un regard, juste un ralentissant légèrement. Depuis le temps qu'on se parle quand même, tu devrais être moins farouche. Et bien sûr, cette fille que tu connais à peine, tu vas lui faire la bise, comme ça, sans problème. Faudrait savoir ce que tu veux à la fin.Et puis après tout, si tu crois que ça me gène... C'est juste que... C'est juste que ça me vexe un peu. C'est une question de principe. On se parle depuis le début de l'année, et on n'arrive toujours pas à communiquer. Si tu y mettais du tien aussi ! Ah non, et puis je te vois venir... "Mauvaise foi", mauvaise foi, n'importe quoi ! Comment ça j'aurais pu venir vers toi moi aussi ? Quoi je suis distante ? C'est toi qui est distant ! Moi, c'est... Moi c'est différent. Bon d'accord, je vais t'avouer un truc. Si je viens pas te voir le matin, c'est juste pour avoir un prétexte pour te parler plus tard dans la journée. Une sorte d'économie si tu veux. D'ailleurs, t'as dû les remarquer, mes regards en biais... Il parait que je suis pas hyper discrète... En même temps, j'avais rien demandé à personne moi ! J'étais libre et sereine, et il a fallu que tu me touches la main, toi, le semi-inconnu avec qui mes liens étaient plus que limités ! Et tu sais combien de temps il m'a fallu, pour apprendre à te reconnaître ? Nan, parce qu'en plus d'être un inconnu, môssieur devait avoir un jumeau ! Tu te rends compte du mal que tu fais aux gens ? Tu sais qu'à cause de toi, je fais des demi-nuits ? Déjà que j'ai du mal à m'endormir, si en plus tu viens polluer mes rêves avec ton sourire ! Nan, arrête de me regarder comme ça ! Tes magnifiques yeux bleus n'ont aucun effet sur moi. Comme si j'avais besoin de toi ! Alors la prochaine fois, tu viens me parler et on n'en parle plus...

[MaDoLiNe]

Salut! voici une lettre, c'est vrai alors je vous conseille de lire jusqu'au bout:)

J'ai cru a un moment que tu cherchais le type romantique, celui qu'on trouve dans les bouquins. C'est pas mon genre et ce n'est pas le tien non plus si tu veux tout savoir. On aime s'amuser tous les deux. OK, j'avoue que la première fois tu m'as fait rire. J'ai mis deux heures à t'inviter à danser. Tu ne t'étais pas du tout mise en valeur et tu semblais un peu fofolle avec tes amis. Ce qui me faisais rire c'est que tu ne t'arrêtais jamais mais ce qui m'a décidé c'est ton sourire. Tu n'es pas radine à ce niveau là ! Tu l'offrais à tous ceux qui t'approchais et j'ai voulu avoir ma part comme à peu près une bonne partie des garçons de la salle. Ton sourire c'est ton trésor et tu l'offres à regarder à chacun ce qui fait de toi un véritable soleil. Je n'avais jamais vu ça avant et je n'ai pas voulu laisser passer ma chance. Tu n'est pas magnifique comme fille, tu n'es pas sexy non plus. Tu es d'une beauté attirante dont on arrive pas à placer l'origine, tu es belle de partout peut-être ? Tes dents sont claires mais pas blanche, tes cheveux sont blonds mais trop courts, tes yeux sont bleus mais trop gris, tu n'est pas grande, tu n'es pas petite, tu est mince mais pas musclée autant que tu pourrais l'être, tu as encore de l'acné, tu ne t'occupe pas de tes mains et elles sont couvertes de cicatrices aux bouts des doigts. Tu n'es pas parfaite et c'est ce qui te rend plus proche, plus accessible. Mais il suffit de t'entendre rire et on est englué dans ton prénom sucré comme une mouche.
Tu n'es pas parfaite. Tu as une confiance naïve en ce que tu es, ce que tu sais, ce que tu fais, ceux que tu connais. Tu es trop pressée, tu tombe en permanence dans le panneau mais ce qui es drôle c'est que tu vois toujours la vie en rose. Je ne t'ai jamais vu déprimer plus d'une journée. Et encore c'est ton maximum!Tu éclates de rire quand il ne le faut pas, tu souris pour rien, tu donnes l'impression de ne pas vouloir te soucier de ce qui est sérieux. L'image parfaite de la blonde. Tu la maîtrise parfaitement. Bravo. Je suis tombé dans le panneau avant de mieux te connaître.
Je ne sais pas exactement quand est ce que ça a commencé. Très vite je pense. Après que tu m’aie proposé cette seconde chance après cette première nuit je pense. Je parlais de toi et puis brusquement je me suis tus. Tu sais pourquoi ? Parce que je me suis rendu compte que j'avais de l'estime pour toi. Je n'en ai pas souvent pour les filles surtout quand je couche si vite avec elles. Elles me font rire, on discute un peu, on est rapidement des exs. Toi je me suis vite rendu compte de ce que tu étais. Mon vrai portrait craché en fille ! Intelligente à ta manière, égocentrique comme une blonde, naïve sur bien des points, énervante très souvent, complètement folle mais je l'ai su très vite, égoïste, insatiable, parfaitement consciente de tes atouts. Tu te moquais de ce que je pensais. Tu te moquais de ce que j'avais fais avant. Tu te moquais de ma vie. Tu te moquais de ce que je pouvais ressentir. A vrai dire ça fait très blonde de base. Sauf que c'était un joli masque. Je ne l'ai jamais vu totalement retiré ce masque mais je pense que je dois être celui qui a vu le plus ce qui est dessous. Il est toujours là. Et tu sais quoi ? Maintenant je sais que c'est parce que j'ai deviné qu'on était exactement pareil là dessous que je t'ai invité la première fois. Malgré tes bottes affreuses. Tu n'es pas bête comme fille. En fait tu programmes tout, tu réfléchis parfaitement à ce que tu fais, tu calcules. Tes naïvetés sont tes tentatives d'élargir ton horizon d'influence. Tu détestes t'occuper des autres. Tu veux un monde à ta manière, recréé par toi pour toi.
Je pense que ce qui s'est passé entre nous t'a énervé autant que t'a plus. Peut être même plus. Tu aimais le faites qu'on s'intéresse à toi parce que ça flattait ton égo mais ça t'a énervé parce qu'on est exactement pareil et que donc tu ne me voyais jamais venir, je te déstabilisantes, tu ne savais pas ce que j'avais en tête. Même quand on danse c'est comme ça. Dès qu'on est trop proche tu cherches à m'attirer plus proche encore.
Alors je ne suis pas celui qu'il te faut. Je te l'ai déjà dit, je te le redis. Je te l'ai déjà dis aussi mais je te le répète, j'ai eu une vie chaotique avant. Alors que tu ne marchais pas encore, moi j'apprenais le tango, je faisais des conneries, je baisais comme un fou, je passais ma vie en soirée et je ne vivais que pour ça. Et je me retrouve en toi. Si tu avais mon âge et si nous nous étions rencontrés étudiants nous serions sortis ensembles, c'est sûre. Et on aurait finit par s'épouser très vite, on aurait déjà des enfants, on se disputerait sûrement souvent, tes parents me détesteraient, les miens me renieraient certainement mais on l'aurait fait.
Je ne crois pas aux « je t'aime » de tes films et de tes bouquins. C'est plutôt usés et je les ai trop dis . L'amour, ça veut rien dire, il ne dure jamais très longtemps. Je crois à la compatibilité et nous sommes compatibles. Tous les deux. Je n'ai pas envie de me ranger et mener une vie de train-train et toi non plus certainement, vu ton âge, mais j'ai envie d'un point stable et je voudrais que ce soit toi. Si tu le veux bien, je voudrais bien t'épouser. On aurait des alliances, tu aurais une bague, je pousserai mes vêtements dans le placard, je ferai de la place dans la salle de bain, j'achèterai un fer à repasser, promis, tu continuerai tes études, je continuerai mon travail, on sortirait pareil le vendredi, parfois le mardi, j'espère tous les dimanche. On vivrait juste ensemble et on s'appartiendrait juste devant Dieu et devant tout le monde. Quel intérêt pour moi ? Je ne sais. Je sais juste que je ne veux pas te perdre et je déteste partager ton sourire. Depuis que tu es là j'ai retrouvé un équilibre et je voudrais le conserver. Quel intérêt pour toi ? Je sais que je fais le double de ton âge et que ce serai pas simple pour les enfants si on en avait. Je sais que je ne suis pas l'idéal, mais nous sommes pareil alors je pourrais te montrer les chemins à ne pas prendre. J'ai envie de revivre avec toi.
Alors avant de dire oui ou non sache que si tu disais non je continuerais pareil. Je continuerais à les décourager tous. Je t'assure que de me fréquenter ne t'as pas donné des points pour les gens de notre milieu et le faite de danser comme nous le faisons deux ou trois fois par semaines les refroidis complètement. Et ça ne me dérangera pas de dire que nous sommes des amis à avantages. C'est le cas non ? Je sais que ça ressemble à du chantage mais sache que je l'ai déjà fais lorsque tu n'étais pas là où que tu ne me surveillais pas et que je recommencerais. Je ne veux pas te laisser à un autre. Je demande peut être la lune mais je veux juste être avec toi tous les jours, te voir finir mon énorme cargaison de thé, sentir ton nez froid dans mon cou la nuit, manquer de t'étrangler avec tes réveils à répétition le matin, faire des chiches à longueur de journée, te voir me menacer de quitter l'appartement quand je t'appelle Blondie, te voir mettre tes lunettes et bosser une nuit entière sans t'arrêter, jurer quand tu en as marre, être prise dans tes crises de rangement, te voir te coucher direct en rentrant de cours. Tu es une véritable caricature de l'artiste coincé dans un esprit rigoureux. Je voudrais te voir passer des rires aux larmes. Je voudrais juste être là pour revivre ce que j'ai vécu il y a tant d'année. Alors s'il te plais ne me pousse pas à des extrémités désespérés et dis moi oui.

[dadotiste]

Pardon...

Dès le premier instant nous nous sommes adoptés.
Tes nombreuses cabrioles ont fait venir le rire,
Et durant trois années m'ont aidées à tenir.
Sans toi il est certain que j'aurais succombé.

Mais cette nuit sans un bruit du toit tu es tombé,
Trop occupée ailleurs je n'ai rien vu venir,
Et il en est fini de notre amitié.
Il était bien trop tôt pour te voir partir...

Je me sens tellement seule dans mon grand salon,
Je ne peux pas rester sans mon compagnon.
Le temps va être long, que vais-je faire sans toi ?

Tu étais si fidèle, toujours à m'attendre,
J'aurais voulu toujours te garder avec moi,
Mais il n'y a qu'à moi que je ne peux m'en prendre...

[glandouillee]

Une belle et triste déclaration ..Je sais qu'ecrire aide dans ce genre de moment difficile ... Je te comprend tout à fait et je suis de tout coeur avec toi ...

[Riiiiiiiiiiiiiiiiima]

Hey, je vais mettre un écrit, attention, c'est sans doute long et barbant x'D Désolée pour les fautes !! >.<


Ne te moque pas. Pas encore, laisse-moi t'expliquer. Tu pourras après, seulement après.
Je ne sais pas par où commencer... Peut-être au tout début ? Le jour où je t'ai rencontré ? On va le faire à ma façon.
Je me lance. Voilà, petite licorne, tu ravives la flamme qui jusqu’à présent était éteinte. Qui jusqu'ici n'avais jamais été allumée et que j'aurais aimé qu'elle ne le fasse jamais. Ça fait longtemps à présent que dès que tu n'es pas là, je te cherche du regard puis me morfond seule, dans mon coin. Longtemps que mes journées, mes cours, se résument à imprimer chaque trait de ton visage dans mon esprit. Longtemps que je me perds dans ton regard aussi profond qu'un gouffre. Longtemps, déjà que je nourris ce sentiment. Sentiment inconnu à mon égard, mais je crois bien que les autres appelle ça l'"amour" ?
L'amour... Je me suis toujours forcée de ne pas m'attacher aux gens, de mettre des barrières et toi, d'un seul coup, tu les as brisés sans même le savoir. Tu n’as jamais ou presque daigné me regarder. Mais à mon tour j'ai voulu briser les barrières que tu mettais. J'ai échoué. Lamentablement. Tu me tortures, tu erres mes pensées comme jamais. Si tu me vois aussi fatiguée c'est que je rêve de toi et qu'il n'y a pas une seule seconde sans que je pense à toi. L'inconnu m'a toujours torturé.
Après des semaines de doutes, d'acharnement... je me suis lancée et t'ai demandé : "Si je pars, définitivement, ça te sera égal ?" Tu m'as répondu un "Oui". Le "oui" qui m'a presque achevé alors que je savais pertinemment que dès le début il n'y aurait rien entre nous. Puis je t'ai vu sourire à cette fille. Un sourire que tu ne m'adressera jamais. Je suis partie. Tête basse. Blessée. Trahie. Détruite. Brisée...
Voilà. Je ne supporte pas plus de te voir avec une autre que ton absence. J'ai besoin de ton amour, de tes mots, de tes bras, de tes lèvres... J'ai besoin de toi. Petite licorne, toi qui a égayé mes journées. Toi qui hantes mes pensées comme personne n'avais osé. Toi que j'aime. Mes sentiments sont sincères et purs. Tu sais maintenant ce que je ressens. Je ne te demande pas de retour. Sache qu'en aucun cas j'ai honte de t'aimer.
Tu m'as rendu plus forte. Tu as arrêté la course folle de mes larmes. Tu m'a fait aimer. Avec le grand "A" d'amour ou non, ça revient au même. Tu m'as fait découvrir l'inconnu. Tu m'as rendu stupide. Je te remercie en sachant que mes mots ne t’effleure pas et que tu n'en tiendras pas compte.
J'ai terminé. Tu peux rire. Fuir. De toute façon je partirais comme ça t'es égal. C'est fini alors que rien n'avais commencé.
Merci de m'avoir écouté. C'est fini.

Riri

[Diane-45]

♥ J’ai essayé de te décrire l’amour ♥

C’est un sentiment indescriptible qui me traverse quand tu te tiens prêt de moi. Quand nos mains se frôlent une sensation m’envahit. Une sensation de bonheur, de paix et d’amour. Mon cœur bat plus vite. Ma tête ne sait plus quoi penser, mes yeux quoi regarder, ma voix quoi dire, mes oreilles quoi écouter. En réalité, si, ils savent, mais ce sentiment indescriptible renverse tout sur son passage. Ma tête pense : « Je t’aime ». Mes yeux te regardent, ma voix rie et mes oreilles écoutent ta voix, ou alors seulement ton souffle. Te savoir là, c’est le plus important. Du moment que je peux te parler, ou te savoir là, cela me suffit. Bien sûr, j’ai davantage à gagner quand je suis à côté de toi, moi seulement cela me suffit. Quand tu me dis : « Je pense à toi », « J’ai envie de te voir » ou « Je t’aime », ce sont les plus beaux mots du monde et je les garde éternellement dans mon cœur. Je les confis aux étoiles en leur comptant à quel point moi aussi, je t’aime. Ce sont les mots les plus extraordinaire et magnifique. Ils m’emplissent de leur vie et de leur vérité. Et c’est uniquement comme cela que l’on se rend compte de ce qu’est la confiance, car ne pouvant être dans la tête de la personne qui vous le dit, vous devez la croire. Et moi je te crois. Je te crois, j’ai confiance en toi. L’amour nous emplit d’une énergie si unique qu’aucun mot ne pourrait décrire, mais avais ceux que je connais, je peux te dire, que cette énergie est l’une des meilleurs choses qui ne me soit jamais arrivé. Une énergie qui me fait respirer l’amour quand je pense à toi. Tu m’as emmené dans un autre monde, un autre univers, une autre dimension. Un monde, un univers, une dimension où les larmes sont rares. Où l’amour est roi, où la beauté est reine. Un monde, un univers, une dimension où tout est magnifique. Un mode, un univers, une dimension où les rêveurs comme toi et moi sont heureux. Où les étoiles nous appellent depuis leur perchoir : « Hé ! Raconte ! C’est comment l’amour ? Ça fait quoi aimer ? Tu as de la chance ! » Et moi, je leur réponds : « Oui, j’ai une chance immense ! L’amour, c’est comme une fleur, elle prend du temps à s’épanouir et donne la plus belle. C’est comme un feu de bois, au départ, c’est une petite flamme qui danse au bout d’une allumette et après avoir touché les bûches de bois, elle rayonne dans la nuit, éclairant l’obscurité, réchauffant autour d’elle, et une fois qu’elle est allumée et embrasée dans les bûches de bois, il est dur d’éteindre le feu qu’elle a fait jaillir. Et puis, aimer, c’est la meilleure chose qui puisse arriver dans une vie. Le meilleur sentiment qui existe. Aimer, c’est reconnaître la personne que tout le monde ne voit pas forcément en quelqu’un » ? Alors oui, encre une fois, j’ai de la chance, une chance inouïe, qui ne vaut rien au monde, à part ton amour.

[Diane-45]

ð Je cherche le renouveau ð

Je cherche le renouveau
Il m’avait dit qu’il m’aimait
Il est revenu sur ses mots
Il l’a fait à tout jamais

Avant j’étais avec lui
J’ai préféré laisser tomber
Et je me suis raisonné
Pour redevenir son amie

Puis j’étais seule dans ma douleur
Tu m’as aidé dans ces moments
Aidé dans cet amour naissant
Amour naissant dans nos deux cœurs

Avant, tu ne m’avais rien dit
Mais pourtant je le sentais bien
Quand tu me faisait des câlins
Ce doux sentiment d’oubli

Quand je me retrouve dans tes bras
Je n’arrive plus à bien penser
Tu occupes toutes mes pensées
Tu ramènes chaleur quand j’ai froid.

C’est toi qui me fais frissonner
Tes mains sur mes hanches
Tes yeux sur mes manches
Ne t’aurais-je pas toujours aimé ?

[Lincey]

•Mathilde et Lincey•

Avant, je ne pouvais même pas m’imaginer une seule seconde sortir avec quelqu'un loin de moi, je détester ça et pour moi sa serais trop dur surtout que je suis très sensible ! Je n'avais pas envie de connaître ça de peur de trop souffrir . Puis vint un merveilleux jour comme ça par magie ou je rencontre sur un réseau social une magnifique fille qui me parla la première en me complimentant sur une de mes photos. Je ne m'y attendez pas du tout ! Les jours passèrent et cette fille n'arrêter pas de me parler , je lui répondais tout en étant épanouie sans comprendre pourquoi . D'habitude je n'ai pas le dialogue facile du tout aux inconnues mais ELLE avait un truc , elle me faisait voyager dans ses phrases, me combler dans ses mots et à chaque message je craquer . Tout est aller très vite entre nous , alors je sais que certains penserons que j'aurais dû être méfiante car elle rester inconnue mais pas pour moi car nous avions appris à nous connaître chacune en détails. Et nous savions qui nous étions. Notre amour semblais si évident et naturel que je me suis engager dans cette relation à distance.
Mais je savais que les centaines de kilomètres qui nous séparés aller être constamment douloureux sauf que c'était cette fille la que j'aimais pas une autre et je ne comptais pas la lâchais comme ça.
Malheureusement, la distance c'est l'angoisse constante , le manque terrible et l'impuissance quotidienne mais nous sommes fortes et vivons avec sans regrets.
Les jours suivirent et évidemment nous voulions tellement nous voir alors plus tard vint la fameuse demande aux parents qui pour ma part me paraissais pas si compliqué.
Mes parents m'avais clairement dit non . Que je n'allais la voir que dans quelques années , que j'étais trop jeune , quelle était trop loin patati patata..
Notre réaction face à ça ? Affreuse.
On était très mal après cette réponse qui semblait très clair.
Nous sommes à 750 kilomètres l’une de l’autre, chacune étudiantes, sans espoir de se voir , sans argent.
Beaucoup aurait abandonné avant même que ça commence. Et pourtant, nous avons continué. Pourquoi ?
Car personne ne nous rend plus heureux sur terre que l’autre. Tout simplement.
Mais la volonté et l'amour ne font malheureusement pas tout. Ainsi, être en couple c'est parfois très difficiles.
Cela nous tuait à l’intérieur de ne pas être ensemble. Malgré le plaisir qu’on a à se parler, les tensions sont là et les disputes aussi.
Stress, mal-être, tristesse, colère, vide, incompréhensions…Chaque nuit, le simple fait de dormir loin d’elle et de ses bras me fais un peu plus déprimer.
Je m’en voulais cruellement d’être aussi impuissante, perdue et de regarder passivement ma relation faner après la réponse de mes parents.
Avec quelques mois passés , les liens des familles c'était former.
Et grâce au temps avec lequel nous nous étions consacrer qu'aux appels et cams . Nos familles avaient pu se connaître et enfin prendre cette fameuse décision de nous voir qu'on attendez si impatiemment.
Ducoup se fait la première rencontre que j'atitrerais parfaite ! Courte de 6 jours mais de moments très intenses !
Puis voilà aujourd'hui et depuis ce jour , nous sommes des filles épanouies et nous nous voyons chaque fois que nous pouvons .
La distance affaibli beaucoup de personnes mais la distance briser la.

[ma-et-lys]

Ohw, ça tombe à pique moi je dis...
Vos texte sont très touchant.
J'au moi aussi un petit truc à partager, écrit un soir à la vite, un soir où rien allait. Un soir ou je ne pouvais plus rien retenir. Un soir ou je ne pouvais plus rien lui dire.

Deux ans pour rien? Deux ans dans le vide?
Tous ces projets, putain, juste des promesses en l'air?
Je me demande comment tu as pu faire ça. Comment tu as pu m'abandonner.
Tu ne voyais pas à quel point je t'aimais?
Ca ne te suffisait pas tout ça?
Tous ce que je t'ai donné?
Mon amour, mon âme, mon corps, mon temps.
Bon sang!
Moi qui me lasse si rapidement des choses...
Jamais, jamais je ne me suis lassée de toi.
J'en avais jamais assez de toi.
J'en voulais toujours plus.
Plus de ta bouche, plus de ta peau, plus de ton corps, plus de tes mots, plus de ton cœur, plus de temps.
Oh! Je n'ai jamais eu assez de temps avec toi.
J'étais folle de toi, littéralement.
Chaque jour, je t'aimais plus. Chaque jour, tu fuyais plus?
Je t'aimais tellement...
Tous tes défauts?
Putain, ça me faisait rire.
Ta bouche de traviole quand tu boudes.
Te croire le roi du monde.
Regarder des émissions à la con.
Ne pas boire normalement un simple verre d'eau par risque de s'étouffer.
Il n y a que toi pour aspirer à la place de prendre des gorgés.
Le faite de ne pas du tout supporter la douleur? Oh pour ça tu n’étais pas un dure a cuire...
Ma petite fille en détresse...
Même ton corps, loin d'être parfait, me faisait vibrer.
Dieu que je t'aimais. Toi tout entier.
Sais tu que je suis capable de me souvenir de certain petit détails de ton corps?
La position de tes grains de beauté, de tes cicatrices...
Je dévorais du regards, je retenais le moindre détails.

Es tu plus heureux sans moi? Que cela est servis à quelque chose au moins....
Est ce que parfois, tu penses à moi?
Est ce que je te manque, rien qu'un peu?
Est ce que parfois, tu rêve de moi?
Est ce que tu te sens vide?
C'est comment ta vie sans moi?
Tu sais ce qui m'énerve? Je t'aime encore.

Je me sens seule. Je ne veux pas devenir un souvenir. Je ne veux pas devenir un fantôme.
Mais quoi que je veuille, ça ne changera rien.
Devenir un souvenir est inévitable.

Tu me manques putain.


Ma-et-lys

[leaszecel]

Ce texte est assez décousu, ayant été écrit " à chaud", il ne vaut probablement pas grand chose mais "coucher sur le papier" me fait tellement de bien que tant pis.

Je ne sais pas quoi te dire. Tu me rends dingue? Je t'aime à la folie? N'importe quoi! Il y a des jours où j'aimerais sincèrement ne pas ressentir ça. Car oui clairement quand on aime quelqu'un on l'aime en entier. Donc si je t'aime à avoir le coeur au bord de l'explosion, il y a un revers de médaille. Insulte moi dans la rue, je te rirais au nez. Regarde moi de traversm, je te dévisagerais avec insistance. Mais toi que j'aime , que j' aime. Tu déclenches des choses sur lesquelles je n'arriverais jamais à mettre de mots. Il suffit que tu me dises une phrase et c'est fini. J'ai l'impression que ma tête bouillone, qu'une vague de douleur arrive sur mon coeur et me fracasse. Ça s'apaise pour revenir encore et encore, de pire en pire. Ceux qui osent prétendre que cette douleur est mentale me font bien rire. Qu'y a-t-il de mental à avoir l'impression de suffoquer, de tomber pendant de longues, longues secondes hein ? Ton avis compte tellement que j'analyse chacunes de tes phrases, chacun de tes mots, comme si tout avait un sens caché . Je me retourne la tête et j'ai l'impression de devenir folle. Un élastique qu'on tend trop fort et qui commence à craquer. Je me pose parfois la question, qu'elle est la limite entre une personne saine d'esprit et un fou. Est ce que c'est celui qui plonge dans le vide quand il le voit? Celui qui s'arrache la peau à défaut de pouvoir s'arracher le coeur?
Un mot, un seul suffit pour que tu me fasses rayonner plus que le soleil, plus que la lune. Ton rire, ton odeur, ton regard, ton sourir. Une loutre, un rappeur, un oiseau. Tout, absolument tout me ramène à toi. Je suis prise au piège. Je panique toujours plus et pourtant ça fait si longtemps pourtant ma tête n'arrive toujours pas à réagir correctement alors que mon coeur est complètement à toi. Il n'y a pas de retour possible rien. Tu m'obsède à un tel point que ça me fait peur. Ça me terrifie de savoir qu'il y aura peur être un après toi. Mais je ne veux pas d'après. L'amour c'est avant tout douleur, haine, colère, rire, l'arme, égoïsme, et un sentiment tellement fort, quand il lie vraiment deux personnes qu'il faudrait inventer un nouveau mot pour remplacer celui ci qui n'a plus beaucoup de sens aujourd'hui à force d'être utilisé à tort et à travers.
Je te dirais donc que je te globiche.

[Sayunn]

Écrit aussi à chaud, dans un instant que j'avais envie de partager.


J'étais assise, chez moi, quand mes pensées se sont mises à dériver. Elles ont quittées ce salon que j'avais tant de fois foulé, pour aller se loger à tes côtés, dans tes bras, là où autrefois je me sentais si bien. Et durant un léger instant, j'ai cru toucher ta peau, entendre ta voix, avant de me rendre compte que tu n'étais plus là.
J'ai fermé les yeux, longtemps, et ai rassemblé tous ces souvenirs que j'avais de toi, toutes ces miniscules et intenses pensées à ton sujet. La fois on avait couru après le bus comme dans les films hollywoodiens, mais que tu t'étais foulée la cheville en trébuchant sur le trottoir. La fois où tu m'as fait apprécier la campagne, en m'amenant près d'un étang au lever du jour. Toutes ces fois où nous avons ri, pour beaucoup et pour rien à la fois.
Aujourd'hui, tu me manques. Je pense à toi parfois, quelques instants chaque jour, et je me rappelle de ce temps que nous avons passé toutes les deux. Mon amie, ma très chère amie...Pourquoi ?
Ai-je été aveugle, pour ne pas avoir vu l'évident ? Ai-je été sourde, pour ne pas avoir entendu tes appels ? Et si, durant tout ce temps, tout ce bonheur que nous avons partagé, n'était qu'une façade à tes yeux ?
Pourquoi es-tu partie ? Pourquoi as-tu fait le choix de partir, là est la vraie question. J'aurais pu m'occuper de toi, te rendre heureuse à ma façon. On aurait pu parler de mecs dans le canapé où je suis assise chaque jour, on aurait pu manger des bonbons devant un bon film, on aurait pu faire des conneries comme tu savais si bien les faire. On aurait pu faire...beaucoup plus. Mais tu es partie, d'un trait sur ta peau.

À vrai dire, je t'aime. T'es ma pote, et tu l'as toujours été, dès la première fois qu'on s'est parlées. Voilà deux ans maintenant, que je n'ai plus entendu ta voix, et que tu me manques. J'espère que tu le sais, de là où tu es. Où que tu sois, j'aurais tout fait pour venir te retrouver.
Si seulement tu étais quelque part...

[ma-et-lys]

Vos deux derniers textes, sont tellement fort en emotion...

[austinp]

Je t'Aimadore :

Je t'aimadore ... Quand tu dors
Je t'aimadore ... Quand tu sors
Je t'aimadore ... Mon trésor
Je t'aimadore ... De plus en plus fort
Je t'aimadore ... Âme et corps
Je t'aimadore ... Mon radieux sort
Je t'aimadore ... Toi, mon port
Je t'aimadore ... Même si t'as tort
Je t'aimadore ... Mon chant sonore
Je t'aimadore ... Mon cœur d'or
Je t'aimadore ... Mon cadeau décor
Je t'aimadore ... Ma rose, ma flore
Je t'aimadore ... Encore et encore.

Si vous aimez ces textes , vous pouvez consulter mes autres pages sur les textes d'amour.

[Virgile]

Wow j'avais jamais vu ce sujet, intense quand même !

[francoisrabelais]

Il y a beaucoup de bons exemples ici https://medium.com/@jeannefortier97/mei ... c69834ba5a