La lune de nos espoirs

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Eltie

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La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Salut! Ca serait cool si vous me donniez vôtre avis sur ce livre. Voici les deux premiers chapitre. Bonne lecture!
Une époque révolue

Un nouveau monde que vous connaissez peut être…

C’est l’histoire que tout le monde connaît, l’histoire dont tout le monde rêve. A cette époque les gens se plaignaient, mais savaient ils que le futur de ce monde serai autre ?
L’égalité, la démocratie, l’aide qu’on apporte aux malades, aux orphelins… La religion qui importe peu. Oui tout ça existait ! Je ne rêve pas ! C’est écrit ! Il est écrit par mon ancêtre Thériminéfaire que :
Journal de Thériminéfaire :
10 Janvier 2105 :
Aujourd’hui le monde a basculé dans le chaos. Le tyran Baristovoska a capturé un elfe rebelle et as pris ses pouvoirs ! Il a accès dès aujourd’hui à la vie éternelle. Il a pris le monde, la volé. Il gouverne sur toute la planète ! Grâce à ses pouvoirs surhumains, il peut se dupliquer et gouverner chaque continent à sa guise. L’époque de la liberté a fait place, à l’époque tyrannique de Baristovoska, ou plutôt Hitler 2.
Au loin, où personne ne sait où ils se cachent, vivent les rebelles. On dit que certain sont capturé et utilisé à des fins atroces. Aussi Nafia, l’elfe protectrice est en danger, son bébé est en danger ! Seul selon la légende Nafiey nous sortira du chaos dans lequel le monde à été plongé.
Elle est la lumière du monde.
Pour cela elle aura besoin de l’aide du magicien Touriak, et fils de Baristovoska…

Les dieux m’accordent la vision, vision du destin. Ainsi toi qui lis ce livre, tu sauras ton destin et celui de tes frères !

1_Passé
-Chey va-t-en, je les entends qui arrivent, fuit ou ce tyran te tuera !
-Mas…
-Bababa rish monotaké aourigamé nouni lifaï touri étnielle athore chey tu ri entra ïna !
-Pas la vie éternelle ! Non tu mourras.
Mais c’était déjà trop tard. Pourtant son sourire illuminait ses traits. A jamais je me souviendrais de cette formule :
« Coule, coule pouvoir qui réside dans mon sang, vient à moi et entre dans les veines de ma seconde chair, où résideras la vie éternelle ! »

-Chey, Chey ! Réveille toi !
-Laisse moi Charlotte.
-Ben tu n’auras pas de petit déjeuner car le soleil est déjà haut dans le ciel !
-Quoi c’est maintenant que tu me le dis !
-Pff !
Charlotte est un animal magique, une frimousse, ma seule amie depuis que maman est morte. Beaucoup de choses ont changé depuis la belle époque ! Les animaux ont le pouvoir de parler, grâce aux sérums (extraits des pouvoirs des rebelles capturés). Les sérums que je connais, car il en existe des centaines au moins, sont :
-Parole (plus utilisé pour les animaux)
-Vole
-Invisible
-Ecoutita (pour les gens qui veulent tous savoirs et tout entendre)
-Eternité : vie éternelle
-Pouvinix : le plus recherché des sérums, c’est l’un des plus rares. IL est extrait des pouvoirs des elfes, ainsi que d’une perle et d’une pierre précieuse couleur crème, le taférole et pliantarer , qui sont gardé par les elfes. Il permet de donner des pouvoirs surhumains à son utilisateur. C’est le seul sérum qu’on doit prendre par dose quotidienne (une goutte et demie). Son effet n’est pas durable, actif durant 3 jours. Une overdose est fréquente, si on prend ne serait ce qu’une seule goutte de plus, on meurt immédiatement. Ce sérum est donc le plus dangereux pour ses secrets (grâce à ce sérum on peut aussi faire des incantations et encore plein de trucs en domaine de sorcellerie. ON ne peut pas contrôler ce sérum, c’est lui qui nous contrôles), mais aussi le plus convoité pour ses pouvoirs.
On peut transmettre le pouvoir du sérum par une incantation, en invoquant le pouvoir qui réside en nous et lui indiquant où il doit se loger. Cette incantations est dangereuse car il faut donner quelque chose en échange : sa vie. C’est comme ça que ma mère est morte.
Et puis pendant que j’y suis-je n’ai qu’à vous racontez ce que je sais à propos du royaume :
C’est le régime d’Hitler en encore plus sophistiqué ; Les malades, les personnes âgé (au moment où un cheveux blanc apparaît, quelque soit vôtre âge, vous êtes une personne âgé. Voila pourquoi éternité est l’un des sérums les plus convoité), toutes personnes qui n’est pas catholiques, les orphelins, les pauvres, les noires (enfin toutes personnes qui n’est pas blanches) n’avaient pas le droit de vivre .Moi je n’ai pas le droit de vivre pour plusieurs raisons : je suis noires, orphelines, pas de religions, et surtout parce que je suis une elfe !
Au faite, moi c’est Chey, Chey Duyliams. Je vis au panthengar street, dans l’ancien Londres appelé maintenant Barishdon . Dans la cave d’une maison abandonnée, enfin sous les décombres de cette maison. Cet endroit fait office de vide ordure pour les blancs, enfin mes « voisins » pour rester correctes.
Charlottes a raison, il est trop tard pour sortir, et je vais devoir me contenter de fruits secs et de pain rassis qu’elle m’a ramené. Vous ne savez pas nombres de choses que ces « voisins » jettent dans la poubelle chaque jour. Tout ce qui est dans moins d’une semaine périmé. Si ils mangent touts ce qui dans moins une semaine est périmée, selon la loi ils commettent un délit. C’est pour ça la nuit je vais fouiller les poubelles, ainsi que d’autres « décharges » voisines, pour me trouver de la nourriture, et ou de nouveaux vêtements.
-Caren dis founda.
Le feu ne mit pas longtemps à apparaître. Je parle en lambiscrisfe, la langue des elfes. Maman avait des pouvoirs naturels, du coup c’était forcément héréditaire. Normalement j’aurai du avoir la vie éternelle en même temps, enfin je ne sais pas si je l’avais avant. Maman a mis toutes les chances de mon côté en tout cas. Elle me répétait souvent que bientôt je saurais mon destin et que celui-ci était très important.
Depuis la nuit des temps, nous, les elfes, avons toujours vécu parmi vous, les humains. Baristovoska avait eu besoin de l’aide des elfes, que certains traîtres leur avaient donné. Les elfes avaient vu en B. tout d’un tyran, mais les rebelles qui cherchaient à faire chuter Nafia, nôtre reine, avaient entrevu une occasion qu’il fallait saisir. Ils révélèrent aussi nôtre cachette. Et quand le roi monta enfin sur le trône, il tua les traîtres et fit enfermer les gens du royaume. Seul quelques rebelles réussir à s’échapper avec l’aide d’une voyante.
Le feu n’était pas très puissant, mais assez puissants pour me réchauffer. Je frissonnais comme même de froid sous ma fine couverture.
Je ne contrôlais pas très bien mes pouvoirs. Je ne connaissais que les sorts de bases. « Le reste, disait maman, tu devras le découvrir. Car même avec le plus instructifs ou même le plus puissants des gentums , ce n’est que quand tes pouvoirs désireront se montrer qu’ils se montreront. Tes pouvoirs sont des choses indépendantes de toi, des choses aussi « humaine » que tu l’as toi. Voilà pourquoi quand on est petit on ne peut faire que très peu de choses, mais avec la pratique et le temps toutes les portes s’ouvriront à toi. Car tu auras besoin de toutes ces portes pour accomplir ton destin. »
Je me demandais souvent qui étais-je ou quel était mon rôle dans l’histoires pour que maman me répétais souvent que j’étais important et que mes décisions feraient avancé, changé ou arrêté bien des choses.
Un gentum est comme un grimoire, un livre magique. C’est un livre, quand on acquis, bien entendu sinon ce livre nous serait aussi obscures qu’un trou noir, ses pouvoirs, qui nous permets de nous rappeler les formules et leur utilité en cas de trous de mémoires. Ce livre est bien entendu, l’ouvrage le plus convoité par nôtre souverain, et que une conteuse, une amie de confiance de nôtre souveraine, protège au puéril de sa vie. Si celui-ci mets la main dessus, ils connaîtra tous nos secrets les plus dangereux et pourra facilement nous anéantir.
-Brrrr, fait froid tu trouves pas ?
-Si mais je vais aller me coucher. Tu peux aller chasser si tu veux, et ramène des fruits.
-OK . Bisous Chey !
-Bizz

-Réveille toi Chey…
-Qui a-t-il ?
Tous mes sens étaient en alerte.
-Non rien, juste qu’il fait nuit.
-Ah bon ?
-Oui.
-Alors en route Charlotte !

2_Tout doux !
*
J’étais dans mon lit, et regardait la lune.
-Lucas éteint la lumière, il est tard et il faut aller se coucher !
-Oui maman.
-Bien, bonne nuit Lulu !
-Bonne nuit maman.
Je pris ma lampe torche, la glissai dans mon oreiller au cas maman viendrait faire une inspection, puis j’éteignis la lumière.
J’avais sous mon oreiller, un livre « Et si… » de Quiams William. J’étais un grand amateur de livre. C’était des livres qui dataient d’avant le règne du roi. Il était interdit d’écrire de peindre, en gros toutes activité qui mettait en scène nos émotions, nos sentiments ou nos pensés. Les bibliothèques avaient été ravagées et brûlé. Un gâchis de savoir à mon goût.
J’entendis, soudain, un bruit dehors, sous le clair de lune. J’aperçus, une ombre, une ombre d’enfant, qui se dirigeait vers les poubelles.
Elle leva la tête vers moi, et je crus distinguer en elle la peur de la bête traquer.
Elle eu un mouvement de recule, et détala.
Troublé je regagnai mon lit. L’envie de lire était passée, et je me plongea dans mes pensées.
J’étais agité, je me souvins d’une phrase que maman me répétais sans cesse :
« Tu vois quelqu’un traîner dans la rue de nos jours ? Non, personne n’ose de peur d’être tuer la nuit même ! La nuit c’est l’heure des rebelles… »
Peut-être avais-je vu un rebelle. Qui sait, un soir… ?
Non ça n’existe que dans les contes de fées ! Alors qui est cette ombre que je vais vu dehors, un soir de pleine lune ?
*
-IL nous a vu Charlotte il nous as vu !
Je parlais à voix basse, mais la tension se laissait sentir. J’étais paniqué. Je ne pouvais rebrousser chemin où en emprunter un autre ! J’étais sûr et certaine qu’il m’avait vu. Je savais qui habitait où, et je savais que c’était Lucas Paloin qui m’avait vu. Ce petit était trop curieux pour qu’il puisse passer une occasion pareille. J’étais en danger. Non ! ON était en en danger ! ET si il alertait les trils ! Cette pensée me rempli d’effrois, les trils !!!!! Les trils sont les descendant des policiers mais en pire. Ils sont la deuxième armé du roi . Non rien que d’en parler j’en ai la nausée !
-Il va alerter les trils ! L va les alerter !
-Chey calme toi il ne va alerter personne d’ac…
-Si, si…
Je me mis accroupie, mis ma tête dans mes genoux, me tenant la tête, je me balançais d’avant en arrière en répétant paniqué :
-Il va alerter les trils, il va le faire, il va …
-Non je parie qu’il a trop peur pour faire un tel acte, comme tous les gosses !
-…
-Tout va bien se passer !
-C’est faux, maman disait que tout allait bien se passer et voilà, les re…
-Non tout va bien se passer.
Tout le monde disait ce genre de phrase, mais est-ce que c’est vrai ? Non ! Tout se passe mal après !
-Pourquoi tout le monde le dit alors que c’est faux, dis-je dans un chuchotement.
*
Je n’ai pas cours, j’apprends juste à lire, a écrire et à compter. Les bases depuis la révolution : Pour le reste, on est soit au service du roi, soit on reste chez soi et on se fait tout petit : on participe quand il faut ou pas. Bref on se fait oublier ! Après il y a les élites, qui reçoivent une scolarité plus… enfin bref.
Personne à la maison, et je décidais de mener mon enquête. Je pris un sac poubelle à moitié vide, et me dirigea vers la décharge improvisée. Personne en vue, et j’entrepris m besogne. Je mis une heure, enfin j’en sais rien, les montres n’existent plus, et seul les élites on un peu d’électroménager chez eux (heureusement que mes parents font partis des élites !),à dégager touts les sacs, cartons usagés.
Je trouva une trappe et l’ouvrit, il faisait sombre à l’intérieur, seul un faible halo lumineux brillait au fond de la pièce.
A peine j’eu mis un pied sur l’escaliers qu’elle me lança :
-Remet ce que tu as déplacé en place avant d’entrer et ne fait aucun bruit suspect.
*
Après avoir terminé, il revint en sueur. Il se dirigea vers le feu, et se réchauffa
Charlotte lui tendit une couverture et un bol de soupe.
Dehors je l’avoue il devait faire froid pour le voir trembler ainsi. Et puis, le froid et la sueur ça ne fait pas bon ménage.
Il était brun,cheveux mi-long, yeux vert émeraude…
Je me tenais un peu à l écart. Je l’avoue j’étais sur la défensive. Il nous regardait à tour de rôle Charlotte et moi, en attente de réaction qui ne venait pas.
Charlotte brisa le silence dans un râle, apparemment agacé que je sois ainsi. J’avais tout fermé (mes pensées étaient inaccessible, tout être magique qui se respecte peut entré en contact par l’intermédiaire de la pensée !).
-Alors que vient tu faire ici ?
Lucas fut surpris d’entendre la voix de Charlotte. Mais répondit malgré tout :
-Heu non je vous avais vu et je décidai de tirer tout ça au claire et…
-Savoir qui on était, que faisions nous la ?
-Heuuuuuu, oui Dit –il Devant mon air menaçant. Devant tant de faiblesse, j’explosai :
-Et tu ne pouvais pas te mêler te tes oignons, nous laisser vivre en paix. Je ne sais pas, nous laisser un peu d’intimité ! C’est trop te demander, ou il faut que je tire le tapis rouge pour vôtre altesse puisse s’en donner la peine !
De nos jours cette expression était inutilisé, mais son sens restait le même !
-Je vois puisque je dérange !
-Oui tu déranges ! Tu es venu ! Personne ta forcé ni quoique se soit ! J’aurais été ravie que tu ne sois même pas de ce monde ! Si ça ne tenait qu’à moi je t’aurai déjà fait sauter la cervelle !
-Alors qu’attend tu ! Je ten prie, je ne te priverais pas de ce plaisir !
-Oui et bien si ça ne tenait qu’à moi ! Mais voilà…
-J’ai mon mot à dire, intervint Charlotte, j’ai mon mots à dire dans cet acte et dans cette discussion d’ailleurs. ET je pense que toi et moi on aura une discussion sérieuse !
Elle s’introduit dans mon esprit, car mes barrières étaient abaissées mais au moment où je la sentis elles se redressèrent lui barrant le passage.
-Bon alors, dit-elle en me lançant un regard noir, que vient tu faire ici ?
-En faite, rien de spécial, je voulais savoir qui vous étiez.
- Nous ne sommes personne en particulier, juste des fugitives.
-Ah, et qui fuient quoi ?
-L’empire, le roi, enfin tous ce qui peut nous nuire.
-Ok, et moi je peux vous nuire ?
Je répondis :
-Si tu ne tiens pas tranquille, oui !
-Je me tiendrais tranquille alors.
-Merci, mais d’où vient tu ?
J’étais curieuse.
- Je ne sais pas ? Je pense que je suis né ici.
-Je vois, et que fait tu par exemple chez toi ?
-Rien de spécial. Comme mes parents travaille, je reste tout seul durant la journée à me tourner les pouces.
-Quelle âge as-tu ?
-14 ans et toi ?
-14 aussi.
-Depuis quand es-tu ici ?
-Depuis mes 6 ans pourquoi ?
-Parce que je ne t’avais jamais remarqué la nuit.
-Ce n’est pas faux, d’habitude je suis plus discrète.
ET ainsi de suite, les questions s’enchaînèrent jusqu’à tard dans la nuit. Lucas me dit que c’est parents ne rentraient qu’aux environs de minuit.
*
Je sortis, il devait être 22h00. Je pris la nourriture que maman m’avait laissé et la fini. On avait discuté de tous et de rien. Je montai dans ma chambre, m’allongea dans mon lit et pris mon livre. Mais je n’arrivais pas à me concentrer sur l’histoire. Notre conversations, me revenait sans cesse en mémoire. Et son visage… D’une beauté à vous couper le souffle : elle avait les cheveux noir qui lui descendait jusqu’au hanches, les yeux marrons immenses, des lèvres fines et rosées… Magnifique ! Je mis du temps avant de trouver le sommeil. Un sommeil doux et paisible aux côtés de Chey…
morgane.j

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Re: La lune de nos espoirs

Message par morgane.j »

j'adore ! :) continu. et dis moi, c'est écrit dans la langue des elfes au début ?
tu penses que tu vas bientôt mettre la suite ?
cap_73

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Re: La lune de nos espoirs

Message par cap_73 »

j'aime vraiment beaucoup ton histoire! elle est super bien écrite aussi :)
j'ai vraiment hate de lire la suite! :D

préviens moi quand tu l'auras poster sur le forum.
Bisous et bon courage pour la suite :)
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Merci pour tout! Voilà les deux chapitres suivants! Bonnz lecture
3_Tout ce que je sais.
J’avais promis à Chey de revenir le lendemain, et je tenais toujours mes promesses. J’étais sorti de chez moi très tôt pour ne pas être vue. Le quartier dormait déjà. Les parents m’avaient envoyé un messager pour me dire qu’ils étaient en voyage d’affaires, et qu’ils ne reviendraient que dans 4 mois. Pas plus de précision sinon que je dois être sage et ne pas faire de bêtises.
Je m’introduis dans la cave, alors qu’elles dormaient. J’avais amené du pain, du fromage, des fruits, ainsi que du lait.
Je la secouai un peu, et se réveilla en sursaut tous ses sens en alerte. Quand elle me vit elle se détendit.
-Que fais tu la à une heure pareille.
-Ca serait plus difficile de venir vous voir après car tout le monde vide ses poubelles le matin et il y a des activités dehors jusqu’aux environs de 15h00.
-Je vois.
Elle s’approcha de Charlotte et la prit d’un geste maternelle dans ses bras et la borda. Charlotte se réveilla quelques minutes après et sauta à terre. Elle me salua d’un signe de tête, avant de s’étirer et de bailler.
Chey alluma un feu, et alla chercher des fruits et un outre pour compléter ce petit déjeuner.
Après nous être restauré, le silence s’abattit dans la pièce. Je voulais parler mais en même temps je ne voulais pas briser ce silence. Finalement ma curiosité l’emporta et je me lançai
-Chey, parle moi de toi s’il te plaît. Enfin tu vois hier c’était mon interrogatoire et… enfin tu vois ?
Géne elle ne répondit pas tout de suite, puis elle me dit :
-Jure moi que tout ce que je te dirai restera entre ses mûrs.
-Je le jure.
-Bon… Je n’ai jamais connu mon père, ma mère, à 200 ans (ce qui est jeune pour une elfe), tomba enceinte. A ce qu’on raconte, mon père est mort lors de la défense des rebelles. A cette époque, le roi avait déjà réuni les traîtres,. Elle accoucha de moi à 201 ans, et je fus élevé parmi les rebelles. Il y avait et il y a toujours plusieurs camps de rebelles. Nous faisions parti, au début, du groupe royal, qui comptait parmi eux, bien sûr, la reine Nafia. Ma mère s’appelait Léfiali. Après le groupe du se disloquer, des traîtres s’étaient incrustés dedans. Je fus donc séparé de la reine que, j’aimais beaucoup. Ma mère m’éleva dans une clairière, l’endroit où siégeait le groupe. Ne pense pas que je suis folle, loin de la ! Je me souviens de ma naissance comme n’importe qu’elle être magique. A mes 4 ans il se passa quelque choses de terrible, alors que ma mère et moi étions partis faire notre entraînement quotidien du soir, le camp fut dévasté. Quand on revint il n’y avait plus personne, aucun cadavre, non juste un camp dévasté. A partir de ce moment, ma mère et moi commencions à fuir, il n’y avait pas d’autres choix. On aurait volontiers rejoint un autre groupe de rebelles, mais pour des raisons de sécurité, on n’avait pas d’indications sur leur emplacement. Le camp des rebelles, les faraïques, fut retrouvé dans le même état. Jusqu’à mes 6 ans je fuyais avec ma mère. Alors que j’étais dans une maison abandonné, les trils arrivèrent, enfin allé arrivé. J’ai la capacité de voire dans l’avenir. Ma mère fit la seule chose qui lui paraissait bonne à faire, se sacrifia pour m’accorder la vie éternelle. Certains être magique peuvent avoir la vie éternelle depuis tout petit, d’autres non. Elle a voulu placer toutes les chances de mon côté.
Après plusieurs jours d’errance, j’arrivai dans la rue durant la nuit, je trouva cette cave et m’y réfugia.
Voilà tu connais mon histoire, pas dans tous ses détails, mais tu la connais, à toi.
*
J’avais raconté mon histoire à Lucas en omettant les détails, il y avait des choses que je préférais garder secrète et qu’il n’avait pas besoin de savoir.
-A ton tour maintenant.
Il paraissait gêné, mais il savait que moi aussi je l’étais et pourtant je l’avais fait comme même. Donnant donnant comme on dit !
-Hm. Je n’ai jamais connu mes parents en faite. On raconte des histoires d’accident, de plein de choses, mais je ne sais différencier la vérité du mensonge, moi qui suit ignorant.
-C’est beau ce que tu as dis… soufflai-je.
IL sourit et continua :
-Ce que les gens on le plus répété, c’est qu’ils ont été emprisonnés, puis assassiné pour trahison envers le peuple. ON dit qu’ils ont caché des gens qu’ils ne devaient pas cacher, et qu’on a fini par les découvrir. Ils étaient plusieurs dans le coup, souvent des gens respectables, et ou de confiance. Certains avaient même prêté allégeance au roi en personne ! Enfin bref, ma mère me mit au monde alors qu’elle était en prison, et je fus recueilli par un couple qui ne pouvait avoir d’enfants. Ils m’ont élevé et chérie comme leur propre enfants et j’en fut, et j’en suis encore très touché.
Je fus au milieu de l’absence de mes parents adoptifs, et qui fut de plus en plus répété au fur et à mesure que je grandissais. A cause de leur travaille qui leur demandait des déplacements quotidien. A ce que j’ai entendu dire, mais je ne sais si les rumeurs sont justes, mes parents travaillent pour le roi et celui-ci a besoin de leur assistance perpétuel. Je n’avais pas de nourrice, au début ce n’était que quelques jours, ils me déposaient chez les voisins. Mes à l’âge de mes 6 ans, leur voyage se furent de plus en plus long, et je restais, souvent des mois, sans leur présence dans la maison. Je ne pleurait, à quoi bon, si ce n’était que me fatigué et me donner des migraines !
Normalement j’aurais du avoir une scolarité, mais mes parents refusaient pour je ne sais quels raisons. Ca ne me dérange pas, au contraire ! J’ai réussi à piquer des livres par si par là, et je me suis adonné à la lecture sans trop de difficulté. J’avais suivi les enseignements de mes voisins, le père au fils et la mère à la fille. Au début je devais déchiffrer les mots tracés à la main sur le papier fin, mais au fur et à mesure je commençai à avoir une lecture fluide. ET je pratiquais sur toutes sortes de livres :
-journaux le plus souvent, ce qui me permettait d’être au courant des actualités, enfin des anciennes actualité puisque l’écriture a été aboli, à part pour les directions, les cartes ce genre de choses et encore l’écriture est différente, mais je sais la déchiffrer. Les journaux sont utilisés pour le feux, en en piquant quelque piles qui sont livré, je peux m’en procurer à volonté.
-les manuels que mon père laisse traîner, sur la mesure du territoire, ses habitants les impôts ect… Se qui ma permit d’apprendre les chiffres et de temps en temps de pouvoir en discuter avec mon père.
-Les autres livres en tous genres, romans, poésie, ect… Toutes les bibliothèques ont été brûlées, un gâchis de savoir à mon goût, mais comme les journaux, ils sont livré et brûler. Je n’ai qu’à tendre la main et me servir pour m’en procurer. Quand à la cachette, ma mère à interdiction de pénétrer dans ma chambre, c’est mon sanctuaire, mon lieu de recueillement.
Ben je pense que cela doit être tout, je ne t’ai fais qu’un bref résumé, si je devais te dire jusqu’à quelle j’ai porté mes couches culottes on enfin.
J’éclatai de rire. C’est vrai il avait raison.
Charlotte s’introduisit dans mes pensées et me dit :
« Je sens qu’une amitié durable se profile entre vous deux »
Dans mon hilarité, je ne pris guère attention à ses paroles, mais durant la nuit elles me revinrent en mémoire…

4_Ca n’aurait jamais du se passer ainsi…
Ainsi se déroula les 3 mois où ils passèrent ensemble.
Lucas venait réveiller Chey tôt le matin, avec dans un baluchon des provisions pour la journée, et il retournait chez lui tard le soir. Ils sont devenus de très bons amis, ils se connaissent très bien comme si ça avait toujours été ainsi. Lucas apprend à Chey les nouvelles écritures des cartes, le piélogrammes, un mélange de signes et de lettres. Chey apprend vite, et au beau de quelques semaines, elle maîtrise totalement cette écriture.
Chey s’exerce de temps à autre à ses pouvoirs, sous l’œil attentif de Charlotte, et sous celui admiratif de Lucas. Elle apprend à manier l’eau, le feu, la terre et l’air. Les 4 éléments qu’elle doit savoir maîtriser à la perfection. Ses pouvoirs commencent de plus en plus à se montrer, et elle réussi à les apprivoiser.
Lucas, lui, pendant ce temps, tris les fruits que Charlotte ramène, il les mets dans des paniers, par couleurs, tailles et espèces. IL prépare la nourriture, Chey lui a donné quelques tuyaux, indispensables à la survie en pleins airs, le reste il doit découvrir et apprendre tout seul.
Les jours défilaient, sans aucune monotonie pour les deux amis. Au contraire, chaque jour était un nouveau jour de découverte et de savoirs.

Tout se passait bien jusqu’à ce jour :
J’avais quitté Chey un plus tôt, car je devais aller faire les courses. Maman m’avait laissé quelques sous, et j’étais parti au marché, la liste à la main, pour acheter ce qu’il fallait. Après tout un après-midi à aller d’étals en étals, je rentrai à la maison, les bras chargé de victuailles.
Je devais ranger mon chargement dans les placrds, mais aussi dans la cave. Après avoir rampli les placards, sachets à la main, je descendais les marches d’escaliers en pierres, menant au sous-sol.
Durant cette descente périlleuse, les marches étaient lisses et donc glissantes, je me remémorais mon emploi du temps, et qui promettait d’être chargé. Je devais nettoyer la maison, rangé ma chambre, tailler le petit carré de pelouse du jardin, enlever les mauvaises herbes, planter les rosiers, les framboisiers, les fraisiers, et les tomates de ma mère. Je devais récupérer sa commande chez le teinturier et le couturier, puis je devais classer les dossiers de mon père, sur les taxes et les impôts du royaume. Un travaille qui se promettait s’être long et exténuant.
Lorsque j’arrivai devant la porte en bois de la cave, je pris mes clefs d’une main, et les mis dans la serrure. Surprise, la porte était ouverte. Celle-ci grinça lorsque je la poussai d’un geste mal assuré. IL faisait sombre, mais le bruit d’une respiration irrégulière, coupé par des toussotements, troublait le silence morbide de la pièce.
Je n’étais pas revenu à la cave avant des mois, et le fait qu’elle soit habituée me donnait la chaire de poule. A un moment, je crus que mon imagination me jouait des tours, mais les respirations et les toussotements étaient bien réels.
En m’avançant, je trouvais une ombre, accroché au mûr par des chaînes, et le pied retenu par un boulet, la tête pendait en quelque sorte, et ses haillons pendaient.
J’allumai la lumière et j’eu un choc, mais un choc telle que je sentis que mon cœur allait s’arrêté.
La, retenu au mûr par des chaînes, Chey toussait et respirait péniblement. En m’avançant, je découvris que ce n’était pas des ses haillons qui pendait, mais sa chaire. Elle dégoulinait de sang, et ses cheveux plaqués contre son corps, de sueur. Des larmes roulaient sur ses joues couvertes de sables et de terres. Elles roulaient sur les traces blanchâtres qu’avaient laissé leurs congénères quelques minutes plus tôt.
Je levai sa tête, ses yeux étaient mi-clos, comme si on l’avait drogué, et son visage était couvert de griffues, de bleus et d’hématomes. J’observais son corps mutilé, et vis que là où sa chair n’en tombait pas, il y avait des plaies béantes, des griffures, des bleues et ou des hématomes comme sur son visage, ou sa peau était à vif. A ses pieds écorché, était, une grosse flaque de sang rouges foncé. Ses jambes n’avaient pas été épargnées. On aurait dit un morceau de viande, sur lequel on s’était défoulé. Mais bon dieu, les personnes qui avaient fait ça n’étaient pas humaines, des monstres, voilà le bon mot !
Je lui aspergeais le visage d’eau fraîche, et je la cis qui essayais d’en recueillir entre ses lèvres enflées et saignantes. Je lui plaça le goulot de la bouteille entre ses lèvres, et détournai les yeux quand elle toussait péniblement, recrachant de temps à autres, l’eau mêlée de sang.
J’vais le cœur serré, et les larmes roulaient sur mes joues.
Je l’entendit m’appelé :
-Lu…Lucas.
-Oui c’est moi. Qui sont à l’origine de cet acte ?
-T…
Elle toussa.
-Parents.
Sa vois était faible et pratiquement inaudible. Quand j’entendis « tes parents », ma poitrine se serra de plus belle, de colère, de méprise et de tristesse.
-Charlotte… cher…cherche… Charl… otte
Je déposai les sachets par terre, dont le contenu roula par terre, et me précipitai sur la fenêtre voilée, qui donnait sur l’arrière de la maison. Je l’ouvris, et m’extirpai de la pièce.
Je savais à peu près où me rendre, j’avais souvent accompagné Charlotte dans la forêt, à l’extrémité de la ville, pour la cueillette. Elle se rendait toujours au même endroit, et je ne voyais pas pourquoi cela devait changer.
*
Tous s’était passé très vite.
Lorsque Lucas fut parti, je m’étais allongé sur une couverture, et avait fermé les yeux. Charlotte était partis chasser plus tôt que d’habitude, prétendant que ses réserves à elle étaient finies. Je m’étais assoupi, quand j’entendis des voix près des poubelles. Je n’en fis pas attention, mais quand j’entendis qu’on déplaçait les cartons qui cachaient la trappe, je me mis à paniquer. Je cherchai une issu, mais rien à faire. J’éteignis le feu, et me prépara à une attaque imminente. Je reculai vers le fond de la pièce, lorsque l’ouverture s’ouvrit, laissant entrer la lumière du matin. Deux personnes descendirent les marches en bois de l’escalier et fouillèrent la pièce du regard. Je me plaquai contre le mûr, prise au piège. UN homme s’avança vers ma cachette, d’un pas trop rapide pour être humain. Je compris alors que c’était un trils, ces êtres magiques, dont les capacités dépassaient l’entendement. Le trils m’empoigna et me tordit les bras. Je lâchai un cri de douleur. IL me mit un mouchoir sur la bouche et sur le nez, et je tombai à terre étourdie. Il m’avait fait inhaler de la drogue forte. Tout devint flou et je m’endormie.
Je me réveillai, dans une pièce humide, la tête encore lourde, et mes pensées brouillées.
J’entendis une porte s’ouvrir et grincer. Devant moi se tenait des trils. Il faisait trop noir pour que je puisse distinguer de qui ils s’agissaient exactement. On me frappa, et je sus que le supplice commençait.
-On sait que tu es un elfe. Tu vas devoir parler si tu ne veux pas souffrir.
-Jamais, plutôt mourir que vous livrer ma famille.
-C’est bien ce que nous pensions. Mais tu sais certains de tes congénères n’ont pas su tenir, et on parler. C’est comme ça que nous avions su où était Qünza. Tu t’en souviens je suppose, hein Chey.
A ce moment là je me mis à pleurer, Qünza avait été le camp qui avait été dévasté é à mes 4 ans. J’en eu le cœur serré d’amertume et de tristesse. Je ne serai pas comme ces lâches, qui ont préféré rester en vie et donner nôtre emplacement il y a 10 ans de cela, plus tôt que mourir. Je releva la tête, et crachai à la figure de ce qui me faisait face. Celui-ci s’essuya le visage et cracha :
-Puisque tu refuses de coopérer, que la fête commence !
*
Je trouvai Charlotte un plus à l’est, près du fleuve, où elle barbotait joyeusement avec ses amis. Je la tirai par la queue, et la tourna sur elle-même pour que nos regards se croisent. Quand elle vit mon regard empreint de tristesse, elle se figea, et fit glisser sa queue entre mes doight, abandonnant sa cueillette, elle se précipita vers la sortie de la forêt. Je la rattrapais en peu de temps, et arriver dans la rue, elle regarda dans toute les directions perdues. Je lui indiquai la fenêtre du grenier, et elle hocha la tête quand je lui fis le signe du silence. J’ouvris la fenêtre, et quand elle vit dans quel état était Chey, elle lâcha un hoquet de stupeur et me regarda, ses yeux au bord des larmes. Charlotte se faufila jusqu’à Chey et observa attentivement les chaînes qui retenait s a maîtresse.
-Ces sont des chaînes qui annulent tes pouvoirs. Souffla-t-elle.
Elle prononça une formule que je ne pu percevoir, et les chaînes se brisèrent dans un petit cliquetis. A ce moment là Chey, revigorer pus s’avancer vers moi et m’enlacer heureuse de me retrouver. Mais ces petites retrouvailles furent interrompues par l’arriver de mes parents ! J’avais allumé la lumière pour mieux y voir. Là se tenait mes parent adoptifs, un fouet en main.
-Les trils cria Chey.
-Mes parents ! Criai-je.
-Tes parents adoptifs ! Répondirent les concerné.
Chey recula, en fixant mes parents d’un air sévère, puis elle ferma les yeux. Je n’y compris rien pour ma part. C’était déjà trop pour moi. Je m’agenouillai par terre, la tête dans les mains. Quand je relevai la tête, tout s’enchaîna : Chey rouvris les yeux d’un air satisfait, mes parents s’élancèrent vers elle, moi je tournais la tête vers eux, Chey prononça :
-Apolix touara méren felea !
Et mes parents tombèrent raide mort. Quand à moi j’étais horrifié, et Chey exténué s’écroula.
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

A morgan.j
Non pas au début. Mais tu verras quand l'histoire sera écrite dans la langue des elfes. :D
cap_73

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Re: La lune de nos espoirs

Message par cap_73 »

whaouh!!! ton histoire ets vraiment trop bien! je l'adore :D
j'espère que tu as bientot fini la suite ^^

Préviens moi quand tu l'auras poster! :)
Gros bisous miss, et bon courage! :D
bouhh-bahh-burk

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Re: La lune de nos espoirs

Message par bouhh-bahh-burk »

C'est bien j'adore ce style d'histoire, continue et préviens moi pour la suite .. :D :)
morgane.j

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Re: La lune de nos espoirs

Message par morgane.j »

ok. super histoire mais il y a quelque faute comme : des lettres en trop ou en moins ou quand il manque des mots. ce genre de truc quoi. sinon : super !prévien moi pour la suite :D merci.
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Coucou tout le monde! Merci pour vos messages! Désolé pour les fautes. Ca fait longtemps que je l'ai écrit et je l'ai pas trop relu. Néanmoins il reste un de mes préféré! :D

5_Quentimtoume !
Charlotte dit que Chey est dans un état critique, mais vraiment très très mal au point !
On quitta rapidement la maison, pour s’enfoncer dans la forêt. Charlotte se dirigea vers une clairière que seul Chey et elle connaissait. C’était une sorte de couloir souterrain qui vous menait à une pièce éclairé par la lumière du jour, au centre une fontaine, qui était dans un bassin d’eu fraîche, coulait. Les mûrs étaient en pierre polie beige écrue, il y avait aussi un jardin sur la droite, entre la pièce fontaine et le jardin il n’y avait pas de mûrs. Charlotte me dit que les fruits qui y poussait étaient comestibles, il y poussaient aussi toutes sortes de plantes, de légumes, de fruits et d’arbres, dont la plupart des racines et des sèves servait à la médecine. Ce jardin était en faite plus une clairière donnant à une autre fontaine, où sous l’ombre d’un arbre était installé une table en métal blanc, d’un éclat… En face de la fontaine du hall, il y avait un escalier qui menait aux chambres, toutes bien disposées, et dont les fenêtres donnaient sur une autre clairière plus vaste et encore plus merveilleuse. IL y avait aussi à l’étage, une salle de bain, enfin un énorme bassin d’eau chaude, avec un plus petit d’eau froide. Sur un des rebords, il y avaient des savonnettes de lavandes, de roses et de plein d’autres parfum elfique. Je remarquai, qu’à la surface de l’eau, flottait des pétales, et même des nénuphars entiers. Une fenêtre donnant toujours sur le même décore avait été installée au dessus du bassin d’eau chaude. Cette fenêtre était voilée, par un doux morceau de tissu au toucher, et qui procurait une lumière douce et envoûtante. J’allai voire la cuisine toute en marbre poli, qui étincelait, tellement il brillait. Une sorte de bar était installé à gauche de l’entrer, et en face de nombreuses tables, de tailles différentes l’opposaient. Cet endroit devait sans doute accueillir beaucoup de personnes. En effet, quand on continuait à marcher dans le long couloir en pierre, éclairé par des lampes bleu et roses. Pour une couleur de lumières, elles étaient bien étranges. Mais ces couleurs vous rassuraient dans ce long couloir, que les plantes prenaient d’assauts. Il débouchait sur une petite pièce, où il y avait des couloirs qui donnaient à des chambres, des salles de bain, des cuisines, des salles de conférence, enfin je crois, des jardins, identique à ce que j’avais pu observé.
Charlotte avait installé Chey dans une des premières chambres, et j’avais continué ma visite des lieux seuls. Cela m’avait permis aussi de me remettre les idées en place, et de faire mon deuil.
Je rebroussai chemin, après avoir assoiffé ma curiosité, pour me diriger vers ma chambre, où je m’écroulai sur mon lit mœlleux, où je plongeai dans un doux sommeil sans cauchemars ni rêves de Chey.
*
Je me réveillai peu après, et je reconnu tout de suite les lieux. Charlotte avait fait un bon choix, j’en étais certaine. Je me dirigeai vers la salle de bain, où je fis mes ablutions, puis je me rendis à la cuisine, où assis à une table, Charlotte et Lucas mangeait déjà.
-As-tu bien dormi ? Me lança Charlotte, quand je pris place.
-Pour le mieux, merci. Je savais que ces manières ne servaient à rien entre nous, mais c’était une façon de lui dire merci pour ce qu’elle avait fait pour moi.
-Lucas.
-Hm
-Je voudrais m’entretenir avec toi, si cela te convient.
-Liasse moi réfléchir, pour parler de la façon d’on tu as tuer mes parents ou la façon dont tu as passé 3 jours à roupiller. Lança-t-il d’u ton rempli d’amertume.
Cela me blessa énormément, mais je releva la tête et lui fit face, la voix légèrement émue :
-J’étais blessé de un, et de 2 c’était tes parents adoptifs !
Il se leva et répondit :
-Même c’est eux qui m’ont élevé. Je leur suis éternellement redevable et je te laisserais pas salir leur réputation !
Comme il ne vit pas de réaction de ma part il enchaîna :
-De même est-ce une raison pour les tuer.
-Ils n’était pas ce que tu croyais !
-Ah oui ?
-Oui, savais-tu que t’es parents étaient des espions du roi, que tes vrai parents ont été tué par ces espions en personnes, ces trils, pour qu’ils puissent prendre leurs place ? Que c’est sourires n’étaient qu’illusions et que tout ce qu’ils attendaient c’était ta mort ? Je n’ai pu sonder leurs esprits d’avantage… mais ce que je sais ce que tu es important aux yeux de l’empire et qu’il faut te tuer… Je suis désolé de pouvoir t’en apprendre plus.
-Pourquoi être désolé. Cracha-t-il. Pour avoir tué mes parents ou pour m’avoir manquer de respect ?
-Pardon ?! Comment oses tu ?
-Je fais ce dont j’ai envie Ok !
-Eh bien écoute moi bien monsieur ! Fait, vas y fait ce dont tu as envie, retourne chez toi comme si de rien n’était ! Dénonce moi si ça te tente ! Mais sache une chose, le roi te laissera envie pour les informations que tu as et ensuite aurevoir ! Il se moque bien de toi ! Va te faire descendre pour me faire plaisir ! Vas-y. Mais que ton âme ne vienne pas me hanter pour me demander pardon de ta bêtise !
Sur ceux je tournai les talons, pendant qu’il marmonnait dans sa barbe.
Vers la sortie je lançai :
-Ce que je te t’ai dis à propos de tes parents, crois le ou pa mais c’est la vérité et j’en suis navré.
Il ma lança une pomme qui s’écrasa à côté de moi. Je ne me retournai même pas et partis, tout en lançant une dernière chose :
-Que la stupidité des hommes est désolante, et comme leur orgueil les mène à leur tombe qu’ils creusent par leur bêtise.
*
Je finis mon petit déjeuner lentement, avant de me réfugier dans ma chambre, évitant les remarques accusatrices que me lançait Charlotte.
Je m’allongea sur mon lit et m’endormie. Vers le milieu de la nuit, je fus réveillé par un grattement du sol. Charlotte se tenait au milieu de la pièce, à se lécher la queue comme un chat faisant sa toilette.
-Que me veux tu ?
-Te parler. J’en ai le droit, n’est-ce pas Lucas ?
-Oui.
Elle s’avança, et se roula en boule, vers le bout du lit. Je me redressai sur mes coudes prêts à écouter.
-C’est un récit très long alors installe toi bien.
Je me mis en tailleur, fin prêt.
-Tout d’abord, fit elle, je vais commencer par le commencement.
IL y a bien longtemps de cela, les hommes étaient à peu près heureux, la démocratie était instauré dans beaucoup de pays, et tout le monde travaillait, les bibliothèque, et les écoles existaient… Enfin bref, tout l’inverse de ce monde. Car je n’en sais pas plus. Baristovoska sortit de je ne sais où, et grâce à des traîtres elfes, il s’empara du pouvoir de la terre.
Bon ça c’est l’histoire des humains, maintenant celle du monde magique où je sais un peu plus de choses.
Nous avons toujours vécu dans le secret, caché aux yeux des humains. Certains, relataient nos prouesse dans des livres appelé contes. Mais bien sûr seul les enfants jusqu’à un certain âge croyaient en ces magnifiques histoires de nos héros. Notre monde du vôtre est séparé par une sorte de barrière magique, qui vous empêche de vous introduire dans nôtre monde. L’arrivée de Baristovoska au pouvoir a changé nombre de choses. D’abord l’organisation des mondes. Apprenant l’existence des barrières, et grâce à la magie, il commença à les briser une par une. Les trolls, elfes, nains et toutes sortes de créatures magique furent obligés de ce terrer dans des grottes des souterrains et d’autres endroits peu confortables. Beaucoup de groupes de rebelles, à part le royal, sont composé de diverses espèces de créatures. Toutes sauf les nains et les trolles, qui eux vivent cachés. Avant on pouvait en voir gambader dans les prairies les vallées, ect… Mais maintenant…
Bon comme là je suis à court de souvenirs, passons à un sujet plus délicat qu’est tes parents. NE pense pas que Chey t’est menti, au contraire elle t’as dit la vérité ! Moi-même j’ai sondé leurs pensées enfin mémoire, et sincèrement on a eu de la peine pour toi. Baristovoska a formé des espions, le trills, les forces de l’ordre, les maîtres de la loi, pour qu’ils puissent accomplir le sale boulot. Ce boulot consiste à partir à la recherche de créature magique, faire régner l’ordre dans les contrées, tuer des personnes qui peuvent nuire au roi ou même à l’empire ect… Ils sont eux même doté de pouvoirs magiques, fourni bien entendu par le roi en personne ! CE sont un fléau pour nous rebelles. Ils sont moins voir aussi rapides, agiles et furtifs que nous. Nous avons du mal à les tracer, car ils ne laissent que très peu de place, ce déplaçant à dos de montures, que Dieu sait à quoi elles ressemblent. CE sont des adversaires redoutables, les montures, comme ceux qui les montent. J’ai déjà vu un rebelle ce risqué au combat face à ces immondes choses. Elles combattent voilés, d’un épais tissu noir qui ne laissent pas filtrer la lumière. On ne voit juste que leurs yeux jeunes, leurs crocs acérés, et leurs griffes pointues qui dépassent du tissu. Aussi, lorsque qu tu t’approche d’un peu trop près tu entend leur…
-Hem.
Chey apparu brusquement dans l’angle de la porte. A mon avis elle devait être là depuis longtemps, mais Charlotte avait réussi à me captiver par son récit et je ne l’avais pas entendu arriver.
-Tu lui parles des Cerunos !
-Oui pourquoi ?
-C’est ce qu’on raconte au gamin, et seul les imbéciles sont captivés par cette histoire à dormir debout !
Ma mâchoire se crispa.
-Ce n’est pas un mythe, Chey ! Tu n’étais pas là quand Altéos à combattu un Cerunos !
-Si et j’étais assez près pour ne pas entendre leur cœur battre.
Charlotte se retourna outré que l’on la traite de menteuse. Un sourire malicieux se forma sur le visage de Chey, et se tourna vers moi.
-C’est vrai, dit elle, Charlotte a raison. ON entend leurs cœurs, leurs veines battrent au rythme de leur respiration…
-Chey ?
Charlotte s’était retourné et avait l’air inquiète, s’en prêter attention à celle-ci Chey continua :
-Leur haleine putride peut faire tourner la tête au plus courageux des hommes, et quand à leur crocs…
Chey…
-Quand à leurs crocs ils peuvent déchiqueter un troupeau d’éléphants, comme ça Bah !
-Ah !
-Chey !
-Quoi, Charlotte, j’ai le droit de rigolez ! Ha et il se dit courageux ! IL a eu si peur, t’aurai du le voir il était pâle comme un linge !
Je rougis de colère prêt à dire quelque chose quand Charlotte intervint :
-Cela suffit tout les deux ! Arrêter vos enfantillages et un peu de sérieux et de maturité ! Bon sang vous avez 14 ou 5 ans !
Chey elle pleurait tellement son hilarité était forte.
-Bon il faut en savoir plus sur l’histoire du royaume, cela pourra nous être utile. Chey ?
-Ben allons voir Quentimtoume.
-Qui ?
-Lucas c’est une conteuse noire, qui grâce à ces ancêtres et à sa magie a pu savoir tout ce qu’elle sait maintenant ! Les trills ont essayé de l’attraper, mais elle s’est exilé dans un endroit que seul un nombre limité de personne savent où il se trouve.
-Et tu en fais partie ?
-En quelque sorte.
-Comment ça en quelque sorte, Chey ?
-On part demain à l’aube !
-Chey, Charlotte ?
Mais elles étaient déjà parties, me laissant dans la confusion. Me laissant seul avec mes pensées, seul avec moi-même, seul avec les ténèbres…

6_Une communication secrète.

Je me réveillai tôt ce matin là, un peu fatigué, mais en forme. Je pris un bain rapide, enfilai mes vêtements, fis mon sac, et alla rejoindre Charlotte, qui s’occupait des provisions. Un petit déjeuner m’attendait, une galette de pain, arrosée d’une sauce au mûr, ainsi qu’un ver de jus de fruits, et des sortes de céréales diverses, dans une coupelle. J’avalai le tout rapidement, et à ma grande surprise, je n’avais plus faim. Je remarquai la place de Lucas vide, ainsi que quelques sacs entassé au pied de la table. Je partis au moment où Lucas apparaissait dans la pièce.
On passa toute l’heure des préparations pour le départ à s’éviter avec une perfection parfaite ! Cette attitude agassa Charlotte qui me fit remarquer qu’on voyageait ENSEMBLE ! Après une heure à tout préparer, on quitta enfin notre refuge, pour plonger dans la forêt. On devait dégager le passage des fougères et des plantes grimpantes qui ne cessaient de grimper ! Je compris alors que la nature voulait une bonne raison pour nous laisser traversé la forêt. Je m’agenouillai alors par terre, et j’entrai en transe au moment où Charlotte comprit ce que je faisais et allait m’en interdire l’acte.
*
Cela faisait depuis le début de la matinée que Chey était assise en tailleur au milieu de fougères et de plantes grimpantes. Charlotte m’avait expliqué que c’était pour être en totale harmonie avec la nature, et pour pouvoir plaider notre cause. Mais elle me dit que ceci était très dangereux. Mon ventre se mit à gargouiller soudainement, et je dus me hâter de préparer une sorte de pâte crémeuse, beige, au riz, du lait, des fruits dont je ne connaissais pas le nom, mais dont les saveurs m’avaient l’air d’aller ensemble, des pommes de terre, de la farine, de la crème, et du fromage liquide et quelque morceau de camembert. Le tout étalé entre deux galettes fermées, pour éviter que sa coule, à la façon sandwichs, fût délicieuse. Le soleil déclina, et Chey n’était toujours pas sortis de son état second. Je du allumer un feu, couvert par un sort de Charlotte, qui rendait la fumé invisible et inodore. Alors que je mangeais une soupe aux légumes et à la pomme de terre avec un peu de viande de lapin, je remarquai que des branches étaient accroché aux jambes de Chey.
-C’est sa nourriture, la sève qui sort des racines des arbres.
-Ca va lui prendre longtemps ?
J’étais agacé par le temps qu’on perdait !
-On ne perd pas du temps, au contraire on en gagne !
-Et comment ? Je me mettais au sarcasme maintenant !
-Si Chey arrive à plaider notre cause ce qui je pense est déjà fait, la nature étudiera notre itinéraire, et le modifiera pour nous donner des raccourcis qui évite des journées bien pénible de marches !
Je m’endormi, en réfléchissant à quoi pouvait bien ressembler cette mystérieuse personne.

Cela faisait des jours et des jours qu’on était sur place, une semaine exactement. Je ne manquai pas de chose à faire. Je passais mon temps à faire la nourriture, trier les fruits ramené par Charlotte, couper en morceaux, saler, puis sécher la viande pour éviter qu’elle sèche. Je lavais le linge qu’on avait mis dans les sacs, souvent sal et mal odorant, j’en profitais pour en faire autant des miens. J’allais chercher du bois pour le feu, et pour les réserves, je chassais, pêchais, et faisais un peu de cueillette. Je profitais aussi du ruisseau pour me laver, et soigner les écorchure du à la chasse.
Ce soir Charlotte me confirmait, que c’était sûrement le dernier soir d’après les animaux avec qui ils avaient converser. Les animaux convergèrent toute la nuit pour débattre d’un sujet dont je ne connaissais pas le nom. Je m’endormie, bercé par leurs piaillements incessant.
*
Je ne sais combien de jour j’étais en transe. Peut-être 3, 4 ou 5. Je n’en sais rien, ici le temps n’a aucune valeur. J’appris nombre de chose dans cet état. La nature a des oreilles partout, et me dit qu’à chaque seconde, à chacune de nos respirations ou battements de cœurs, il se passe quelque chose dans le monde. Elle ù’appris, par exemple que l’empire était à nos trousses, bien avant le meurtre des trills. Elle m’assura que les animaux nous aideront à rejoindre la conteuse. Elle leur a indiqué le chemin a suivre. Bien sûr ce chemin est composé principalement de raccourci et d’endroits où nous pourront faire halte loin des yeux indiscrets. Avant de couper le contact, la nature me dit ceci :
-Celle dont tu vas à la rencontre te révèleras le chemin ainsi qu’à celui dont le sien est mêlé au tien.
Lorsque je revins à moi, j’étais exténué, car l’énergie qui m’alimentait avait disparu. Charlotte accourue vers moi paniqué.
-Es-tu folle Chey ! Ta mère t’a laissé sous ma protection et toi tu prends des initiatives suicidaires ! Mais est-ce que tu penses une seule fois à ma conscience nom de Dieu ! Seuls les grands maîtres, et encore, en l’art de la magie prennent de telles décisions ! Si la nature ne t’avait pas nourrit, tu serais morte depuis longtemps !
J’écartai Charlotte d’un revers de main, alors que celle-ci continuait à parler de sa conscience, de mon initiative suicidaire, de sa responsabilité ect… Je m’allongeai près du feu, et fermai les yeux avant de plonger dans un profond sommeil.
*
Charlotte ne cessa de crier que lorsqu’il fit noir, et se roula en boula à côté de Chey avant de sombrer dans le sommeil.
Alors que je ramassais les couches, Chey se réveillai et pris son petit déjeuner que j’avais préparer tôt et que j’avais laissé sur le feu afin qu’il ne devienne pas froid. Ce n’était que le reste du potage de la veille, où j’avais rajouté quelques légumes en plus de la viande et de la farine pour l’épaissir. Ensemble, nous allâmes nous laver, dans un coin du ruisseau, caché par les lianes qui tombaient sur nous. Nous déposâmes nos affaires sur une pierre plate, avant de prendre un savon et de nous frotter avec. Alors que nous nous rinçâmes, Chey dit :
-Je suis désolé si je t’ai fait du mal.
-Pendant que tu parlementais avec la nature, j’ai retourné le problème en tous sens, et j’en suis arrivé à une conclusion.
-Laquelle ?
-Que tu avais raison et que si j’avais été à ta place j’aurai fais la même chose, sans hésiter.
-Merci.
-Non c’est moi qui te remercie de m’avoir ouvert les yeux.
Elle éclata de rire, de son rire cristallin, et je rougis. Je ne sais pourquoi elle rigolait, et je ne sais pourquoi je rougis. Lorsque que nous nous rhabillâmes, chacun de son côté, je remarquai, sur l’autre rive des formes étranges se mouvoir près du campement. J’en avertis Chey, et nous allâmes voir. Ce n’était que les loups qui devaient nous accompagné, me rassura Chey. C’était de grands loups blancs, ils étaient 5, trois mâles et deux femelles. Après avoir rassemblé nos affaires, nous montâmes sur leur dos. Charlotte nous attendait depuis longtemps, sur une branche d’arbre, à la sortie de la forêt. Durant sa traversé, je n’avis cessé de regarder Chey, furtivement pour pas qu’elle s’en aperçoivent. Malgré le splendide décor que nous traversions, je n’avais d’yeux que pour elle.
*
On traversa des vallées et des plaines escarpées, on escalada des montagnes, traversa des fleuves, et traversa des forêts entières. On faisait escales, de temps à autres, dans des grottes, des souterrains, et devaient quelques fois emprunter des tunnels pour regagner certains endroits. Cela faisait deux semaines exactement, et les loups n’étaient pas pour autant fatigués. A croire qu’ils étaient vraiment fait pour la route ! Au fur et à mesure du voyage, mon amitié et ma confiance envers Lucas, ne fit que se renforcer.
Le soir alors que l’on préparait le campement, Lucas découvrit une blessure sur la jambe de la louve Milandi ( il y avait Milandi, Meturos, Aquart, et Solane). IL m’en avertit et je soigna la louve de ce pas. Ce n’était pas la première fois que ce genre de blessures apparaissait chez la jeune louve, de plus son ventre avait grossis et je soupçonnais qu’elle portait un petit. Elle avait du mal à marcher, et se traînait. Lucas préparait la nourriture, pendant que j’observais Aquart, et terminait ce que j’avais commencé. ON devait faire plus de nourriture, et un plus grand campement. Nous avalâmes notre repas en silence, puis après avoir nettoyer les écuelles, nous sombrâmes dans un profond sommeil, alors que Lucas prenait le premier tour de garde.
Le matin à l’aube, nous nous mîmes en route, après avoir avalé un petit déjeuner frugal, et après avoir rangé le campement. Vers midi, nous découvrîmes, une immense montagne, que nous escaladâmes. D’après la nature, il y avait une autre plus petite derrière, mais qui n’était visible que sous un certain angle. Après cette ascension dangereuse et difficile, nous descendîmes la pente de la montagne, en courant. Un pivert vint se poser sur mon doight, et me souffler à l’oreille comme un chant, si mélodieux que je le reconnu sur le champs. IL s’agissait d’un ancien chant, qui vous indiquait la direction quand vous étiez perdu. UN chant magique.
Nous trouvâmes la grotte de la conteuse, en contrebas. Il y avait un tunnel caché par les motifs de la montagne qu’on devrait emprunté, et qui nous menait à une gigantesque grotte, situé en haut d’une montagne. En effet, il y avait bien là une montagne, et l’antre de celle que l’on cherchait, se trouvait bien dedans.
Quand nous pénétrâmes, nous découvrîmes une jeune femme métisse, dont les longs cheveux noirs ondulaient à cause d’un courant d’air dont je n’avais pas la perception, et dont les paupières étaient closes. Nous restâmes sur le seuil de la pièce jusqu’à ce qu’elle s’adresse à nous, s’en pour autant ouvrir ses yeux :
-Approchez enfants de la lune et du destin que je vous révèle le chemin.
cap_73

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Re: La lune de nos espoirs

Message par cap_73 »

elle est vraiment génial ton histoire!! :D
tu as vraiment beaucoup de talent et d'imagination! :)

vraiment, bravo!!

préviens moi pour la suite miss, et bon courage! :D
morgane.j

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Re: La lune de nos espoirs

Message par morgane.j »

génial comme les autres chapitres ! :D mais j'ai un peu de mal à me retrouver avec les personnages : chey et lucas quand ils parle :?
mais sinon : vivement la suite !!
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Comme ce chapitre est comme même long je vous met l'autre chapitre sur une autre page!
7_Tounmé riponta luni my erépint. Maintenat
Nous nous avançâmes, et au moment, où nos pieds foulèrent le tapis brun et rouge où elle était assise, elle ouvrit ses yeux brusquement, ce qui fit pâlir Lucas.
Elle se trouvait à l’extrémité du tapis, et le centre de celui-ci était couvert d’inscriptions en plusieurs langages, mais je réussi à lire :
-La voix du chemin repose entre tes mains.
Lucas vint s’asseoir à côté de moi et la conteuse dit :
-Non enfant de la lune recule ! Seul Chey doit venir.
Lucas recula d’un pas prudent, pendent qu’elle observait de ses prunelles émeraude autour et au centre jeune vif. ON aurait dit des yeux de chat mais de différente couleur.
-Chey assied toi je te prie au centre du tapis que je révèle la voix.
JE me raclai la gorge peut rassurer, mais rassemblant mon courage je m’assise à la place indiquer. La sueur perlait sur mon front. Elle renversa un bol d’encens autour de moi, et commença à marmonner des paroles intelligibles.
-IL faut que je t’explique tout depuis le début, d’accord ?
-Oui.
-Tout d’abord tu te nomme Néfiey ce qui veut dire enfant du destin, de la paix, de la vérité et de la lumière. CE prénom t’a été donné en l’honneur de celui de ta grand-mère Néfia Delkiam. Oui la reine des elfes est ta grand-mère ! Et ta mère se nommait Nélouia Friguensheim. Ton histoire est la plus complexe, ta mère a violé nombre de loi en te mettant au monde, mais jamais elle la regretté. Au jour où Baristovoska a été proclamé roi, il a été dit par les sages, que l’enfant de la fille de Néfia, sauverait le monde des ténèbre, et serai la lumière dans le tunnel obscure. Ta mère avait alors vers les 120 ans. ET comme tout elfe de cet âge, elle n’était pas du genre a écouté les conseils et ses devoirs entant que princesse. C’était une guerrière née, et souvent elle s’introduisait dans les rangs de l’armée, pour combattre à leur côté. Elle ne manquait pas de courages ! Elle tomba amoureuse lors d’une bataille, de l’aveugle sage comme on l’appelait. Le prince des Seintunieum, ces sages aveugles qui nous prédissent l’avenir. IL est interdit, ce qui est inscrit dans les lois du temps et des royaumes, de tomber enceinte d’un Seintunieum. Ils ne sont pas vraiment aveugle, car moi-même j’en fais partis, mais on les appel ainsi car il garde la plupart du temps les yeux fermés. Ils tombèrent amoureux, et se voyaient en secret. Ta mère, ainsi que ton père, savaient que si ils mettaient un enfant au monde, l’un deux devrait mourir, et l’autre, à l’âge des 6 ans de l’enfant, devrait lui accorder la vie éternelle en se sacrifiant. Telle était la loi. Pourtant ils voulaient avoir un enfant, et le voir grandir, c'est-à-dire contourner la loi. Mais ils ne savaient pas que la loi avait été fixée par les dieux, et qu dit fixés par les dieux, dit obligés d’être respectés sinon les dieux se chargeraient de le faire. C’est ainsi que lors de ta naissance, ton père mourut, frappé par la foudre alors que tu ouvrais les yeux. TA mère te cacha aux yeux de la reine, mais ton existence ne pouvait demeuré secret, et se fit bientôt entendre. Lorsque la reine appris l’origine de l’enfant elle entra dans une fureur telle qu’elle, que sa chambre s’écroula. Elle en informait les sages, ainsi que les Seintunieum. Ceci entrèrent dans la même colère que celle de la reine. Mais ce qui était fait est fait, et il fallait t’éduquer. Mais pour les sages aveugles ils n’en étaient pas questions, ils coupèrent le contact avec le royaume, et on ne les revit plus. La reine t’éleva, car ta mère devait réparer ses fautes en faisant diverses choses dont je n’en ai pas la connaissance. ON te brouilla la mémoire afin que personne d’autre ne sache tes origines en lisant dedans. J’ai été désigné pour te révéler ton identité.
Tu importante, car les sages ont tout de suite vu en toi un potentiel inné, mélange du savoir et de la puissance de tes parents. Mais pour ce faire, Lucas joue un rôle aussi important dans l’histoire, car c’est en lui que tu puiseras ta force pour accomplir tes actes, et vis vers sa. Ca ne l’oublie pas ! NE le méprise pas car ce serait une grave erreur de ta part !
Après avoir terminer mon histoire, elle se tourna vers Lucas et lui dit :
-A ton tour.
*
Lorsque qu’elle m’appelai vers je tremblais comme une feuille. Après avoir entendu les révélations qu’elle avait faite à Chey, je craignais les miennes.
-Oh les tiennes, dit-elle quand je m’assis au milieu, sont compliqués, très compliqués, et pourront te perturber pendant des années sans doute. Mais je ne te révèlerais par tout, le reste tu devras le découvrir par toi-même.
Ton nom est Touriak ce qui veut dire fils de la lune, car tu as été découvert sur une colline, où la lune qui était pleine ce soir là, on aurait dit que c’est elle qui t’avais enfanté. Ton père est le roi Baristovoska, mais sur son identité, une autre personne se chargera de te la révéler. Ta mère est Nioune Péléficia, fille de Thalioum dernier tsar avoir été connu. Ces hommes, enfin ces êtres magiques ont toujours vécu, et d’ailleurs ont trompé les humains russes. Oh ne t’affoles pas, tu n’as aucun pouvoir magique. Je sais sonder le corps des gens, et je ne trouve aucune substance magique en toi. Bon racontons l’histoire de ta vie. Nioune vivait en Russie, caché par son père, car les russe avaient en quelques sortes chasé les tsars du pays, enfin les avaient tué. TA grand-mère est morte, lors de cet évènement. Baristovoska, lors de sa prise du pouvoirs, à parcourue les pays, à la recherche de personne qui pouvaient se terrer je ne sais où. IL finit par découvrir, dans les montagnes, une grotte cachée par un mécanisme sophistiqué fait dans la pierre. IL découvrit les jeunes gens, qui vivaient aisément. Dès le premier regard, il tomba follement amoureux de Nioune, qui le méprisa, par son orguil. Thalioum, refusait de donner à Baristovoska sa fille en échange d’or, et d’une demeure plus noble pour son statut. L’amour d’un père pour sa fille ne peut être acheté par des choses matérielles, voir par rien. Baristovoska furieux, tua Thalioum, ce qui ne fit qu’aggraver la haine que portait Nioune dans son cœur contre ton père. Baristovoska emmena sa captive dans sa demeure, où il la fit installé dans la plus belle chambre, et où il venait chaque jour la courtiser, et lui offrir maint cadeau. Mais la pauvre jeune femme souffrait de sa captivité, car elle n’avait pas le droit de sortir de sa chambre, juste pour aller prendre l’air dans un jardin très bien gardé. Aussi souffrait elle de la perte de son père. Cela dura dès jours, jusqu’au jours où Baristovoska, ayant assez de cette situation, et qui voulait un héritier, s’introduisit, durant la nuit, dans la chambre de la prisonnière, et l’enfanta. Le lendemain, la jeune fille ne sut rien, juste qu’elle vomissait beaucoup. Plusieurs jours durant, elle vomissa, jusqu’au jour où l’une des servantes lui dit, que tout ces vomissements ne voulaient dire qu’une chose, elle était enceinte. Elle se mise en colère contre le roi. Elle put faire du mal à un bébé, car toute ses servantes lui disaient de tuer son fils car le roi avait une maîtresse et qu’il se lassait d’elle. Elle n’en fit rien, et attendit patiemment ta naissance. Elle t’éleva jusqu’à tes 3 mois où elle mourut à cause de la maladie, dut au poison que ton père lui avait mit dans son verre un soir. IL voulait accélérer le processus car sa maîtresse refusait de son monter tant que ta mère était en vie. Elle ne savait pas que celle-ci avait un fils. Lorsque ta mère mourut, ton père te présenta à ta belle-mère en disant qu’il t’avait trouvé dans la rue et t’avait recueilli. Touché par cet acte, elle te garda jusqu’à tes 7 moi, le jour où elle apprit la vérité par la bouche d’une domestique. Alors, elle te prit, et le soir te déposa sur une colline, qui surplombait la vallée, puis alla se coucher dans son lit. Au moment où ton père s’introduisit dans sa chambre, elle se poignarda au cœur, et expira. Ton père trouva ton landau vide et se dit bon débarra, car tu lui rappelai beaucoup trop ta mère et sa culpabilité l’emportait. En plus il voulait un fils de Léouiane sa maîtresse. Quand il la découvrit morte, une tristesse immense le submergea, il se jura de ne plus jamais avoir de femme car pour lui elles lui portaient malheur. Pour se rappeler de cette promesse, il s’amputa le bras gauche. Ca sera horrible si il apprenait que tu étais envie. Car tu as une grande capacité que tu découvrais par la suite, et que si tu l’unie avec celle de Néfiey, vous pourrez le vaincre, Baristovoska.
Voilà je vous ai tout dit, enfin presque, car maintenant à moi de vous révélez certaines choses.
J’étais encore sous le choc des révélations
ET ce n’était pas fini ! J’attendais la suite.
*
Lucas et Chey étaient pétrifiés par les révélations précédentes. Heureusement les révélations qui les attendaient étaient plus douces. La conteuse sortit de son dos un grand livre poussiéreux qu’elle tendit à Chey et à Lucas. Ils n’avaient plus qu’à lire pour apprendre.
-Ce livre et le journal de mes ancêtres. Chacune y as inscrits les évènements de leurs époques. Une seule vous intéresse, c’est celle où mon ancêtre Thériminéfaire.
Elle ouvrit le livre à une page où était écrit en gros : Epoque : Thériminéfaire (la belle époque) :

Tout commence ainsi :
Toi qui lit, je vais te parler d’une époque, la belle époque.
Tout d’abord le commencement, nous les conteuses, sommes des Seintunieum. Nous avons toujours révélé l’avenir à ce qui nous le demandais. Le groupe des conteuses, est un group unique, composé de femmes ayant la vie éternelle. Enfin qui avait la vie éternelle. Lors de l’enfantement de Nélouia, notre clan s’est retourné contre les elfes, et leur a fermé leurs portes. Nous ne prenions jamais partis, nous étions un groupe indépendant, jusqu’à là. Nous trouvions injuste ce qui arrivait aux elfes, et nous avons décidé de leur prêter main forte. Nous gardions leur secret, et nous leur révélions l’avenir. Nous étions un groupe de dix. Les elfes, nous nommaient conteuse, car nous racontions, souvent, les mythologies grecs et romaines, ainsi que d’autre mythes humains comme magique (de notre monde). Le lien qui nous liait, n’était pas indestructible, jusqu’au jours où Baristovoska monta sur le trône, et brisa les barrières magiques. IL tua plusieurs de nos conteuses, exactement 6, mais peu nombreux face à nous, il dut battre en retraite. Nous avons supporté les elfes, même durant ce moment, qui fut aussi difficile pour eux comme pour nous. Nous les aidions malgré notre perte. Notre lien se renforça. Nous les avons aidé à cacher les gentums restants.

Je ne sais d’où vient Baristovoska, enfin si mais ce sera à une autre personne de vous le révélez. Baristovoska, lorsque qu’il brisa les barrières, cherchait des traîtres, qui pourraient rallier sa cause. Alors qui traversait les montagnes de la vallée des elfes, il découvrit un groupe de jeunes elfes, qui préparaient un complot contre Néfia, afin de prendre le pouvoir. Baristovoska surgit et leur dire qu’elle marche à suivre, il leur révéla son identité et ses projets de destructions. Tout de suite, les traîtres furent intéressé, et révélèrent à leur tour ce qui savaient sur le royaume. Ensemble, durant des jours, et sans relâche, ils peaufinèrent leur plan, afin que celui-ci soit parfait. Lorsque que celui-ci fut achevé, ils passèrent à l’action. Bien entendu, l’effet de surprise, fut la raison du carnage. Ils réussirent à faire enfermé les elfes restants, pour des fins atroces. Heureusement, un groupe d’entre eux, dont la reine, purent s’échappé. Les autres étaient restés, enfin ils s’étaient sacrifiés. Le groupe de fugitifs, se sépara en plusieurs groupes de rebelles afin de survivre. Baristovoska, pendant ce temps, tua les traîtres, pour être le seul au pouvoir, et ne pas avoir d’adversaires. Au moments, où il apprit qu’une partie du groupe des captifs s’étaient échappé, il accusa les traîtres, enfin les cadavres des traîtres d’être responsables. Pour ce consoler, et comme les recherches n’aboutissaient pas, il décida de se consacrer à un projet des plus machiavélique. Comme il avait besoin de pouvoirs pour vaincre ses adversaires, il décida d’extraire les pouvoirs des elfes,et de les mettre en sérums. Bien sûr, que plusieurs de ces tentatives, échouèrent, mais maintenant est-ce le cas ? Non au contraire, il est partout ! Aussi les elfes durent se cacher pour survivre, même si on dit que plusieurs de leurs clans furent dévastés et leurs occupants kidnappés. Des rumeurs circulent, comme quoi, des rebelles formeraient des guerriers afin de prendre leur revanche, mais on ne sait si c’est vrai.
CE que nous savons, le reste, et plus en détail, ne peut être révélé. Il en est de mon devoir, de garder secret certains évènements, car ils ne me concernent pas. Mais concerne, celui qui les a déclenché… Ainsi, si vous trouvez la source de chaque problème, vous trouverez les réponses à vos questions. A chaque fois, bien sûr, l’enseignement ne sera pas complet, à vous de remuer ciel et terre, pour avoir la ou le réponse(s).




L’enseignement, dura 1 mois entier. Chacun avait appris ce qu’il devait savoir. Chey, de la communication avec le monde et les étoiles à la façon d’étirer ses pensées et ses pouvoirs jusqu’à l’extrême. Quand à Lucas, du maniement d’armes les plus complexes (il restait des choses à approfondir, ce n’était que les bases) à la façon de se débrouiller seul au milieu de rien.
-Il est temps de vous en allez, braves gens. Je vais vous montrer la sortie.
Après avoir indiqué un tunnel, l’aveugle, s’arrêta devant et dit :
-Nos chemins se délient, allez là où votre cœur est, et ne reculez devant rien. N’oubliez pas que vos forces rassemblées, peuvent anéantir l’univers et se n’est pas une façon de parler. IL vous faudra pour cela persévérer dans vos recherches et connaissances, afin d’être au-delà de tout.
« Quand Mitsounté déesse du feu, voulut une arme, alors que celle son pouvoir était l’ultime, le néant, elle persévéra dans ces prières, implora la lune et garda espoir. Prier la lune et garder espoir, là est la réponse a ta question dit-elle quand son père lui demanda la cause de tout cette persévérance. » Beaucoup n’ont pas compris pourquoi elle a répondu sa, car il n’avait pas de réponse à la question de son père. IL voulait tout simplement savoir, il cherchait la réponse, elle le lui a donné. Peut être pour l’instant vous ne comprenez pas, mais je vais encore vous éclairez : Tounmé riponta luni my erépint. Maintenat que la lune vous protége.

Alors qu’ils plongeaient dans le tunnel Lucas dit :
-Qu’a-t-elle dit ?
-Toutes mes réponses sont dans la lune et dans mon espoir. C’est une phrase d’une chanson qu’on chantait au guerrier avant d’aller au combat. ET souvent la réponse était Tituna ce qui veut dire la mort. La lune représente dans certain peuples la mort, d’autre la malédiction, l’espoir, la vie, la lumière, la seconde lumière, l’éternité. ET encore plein d’autre choses. Ce qui veut dire, je pense, qu’il n’a pas de réponse à cette énigme, soit la mort, a force de persévérance on s’use et voilà ou soit que tout dépend de ta personnalité. Suivant ta personnalité, cette réponse sera bonne ou mauvaise.
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

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8_Le chemin

Alors que l’on marchait dans la forêt, cela faisait plusieurs jours que l’on était sortis du tunnel. IL avait été étroit, plus un toboggan, où on devait se laisser glisser sur ses vêtements, pour pas s’écorcher la peau, tellement on allait vite. La conteuse nous avait confier un petit manuel où tout se qu’on avait appris avait été répertorier, afin que on n’oubliait rien
On le relisait, inlassablement, effectuant les exercices lignes par lignes jusqu’à connaître celle si par cœur. Mais surtout, nous passions notre temps, à décrypter quelques petites feuilles. Mais impossible. ON s’endormait, tard le soir, se demandant que pouvoir bien être ces pages, et quelles langues elles étaient écrites.

Alors que je me réveillai, une idée me frappa la tête, je pris les feuilles entre mes mains et commença à lire, comme quand j’étais petite, butant sur certain mot. Et je lus :
 (normalement cela doit être avec des signes mais bon je vous laisse imaginer)
En effet, la conteuse leur avait donné, un objet, bien spécifique, fin comme du papier, léger, et décorer de fils d’argent. JE le plaçai à l’endroit indiquer. Puis je me remis à lire :






Je retourna, la feuille en tout sens, et éternua. Je me souvins alors, que souvent les gens mettaient du pollen afin de couvrir les traductions, pour ceux qui avaient du mal à voir. Je soufflai donc sur la feuille, et vit apparaître une traduction :
De Gawen, tu dépenderas, pour trouver le chemin qu’il faudra. Reshneder tu parcoura, aveuglément tu devra. Reste l’homme qui voit, et tu seras comme aveugle, quand le sage verra ce que toi tu ne percevras pas, Fawen Delamor. La persévérance sera ton ombre, comme si tu suivrais le fleuve qui te mènerait à la mer. La confiance de tes sens tu gagneras. Une mousse t’accueillera, respire la, et dans un murmure dit :
Namouno Fawen Delamor, guturen ildasia namune tofere kalimor rimtu. Columerema qrun chonte Dailor coleromo punli.

Je pris donc les autres feuilles, et en fit autant, découvrant à chaque instant, si je mettais tromper ou non dans ma traduction :
Le chemin des rebelles, est un chemin, évident. Pourtant, la chose la mieux cachée, est parfois à découvert. Les rebelles ont créé ce clan afin de fuir Baristovoska. Les cachettes, les plus élaborés aurait été les premières à être cherché, contrairement à celle dont l’accès était libre. Si ma descendante vous a offert ces papiers, placez le Kunta, à l’endroit indiquer et attendez, une bénédiction suivra. Mais si vous avez eu le malheur de lui dérober, c’est que vous n’êtes point digne de confiance et après cette phrase vous mourrez. Aujourd’hui, cette langue, est connu de beaucoup de gens qui l’utilise à des fins atroces. Le Lambäque n’est plus un secret, juste le Lambiscrife ou Warden, mais on utilise plus le Lambiscrife, quand on veut parler de cette nouvelle langue. Voilà les indices qui te seront utile à trouver le chemin.

Je me précipitai dehors, brandissant les feuilles. Lucas et Charlotte me regardaient étonné et intrigué.
-C’est bon, c’est bon !!!! je viens de terminer de les traduire.
Chacun relut les feuilles.
-C’est pas trop tôt, me sermonna Charlotte, non mais tu te rends compte que c’est ta langue maternelle que tua s mis autant de temps à décrypter. Je viens bien que certains écrits soient légèrement effacés, mais le tout reste compréhensible tout de même !
-Oh sa va ! M’exclamai-je sur la défensive, tu n’avais qu’à venir les décrypter toi puisque tu trouves ça tellement facile !
-Mouais.
Charlotte s’enfuit.
-Bon ben on a plus qu’à retourner à Gawen. Dit Lucas.
*
On retourna, à notre point de départ, respectant les instructions, et se tenant la main pour ne pas se perdre. Charlotte nous attendait devant le tas de mousses, sans aucun regard pour Chey qui l’ignora. E, chœur, nous répétâmes la formule et attendîmes plusieurs minutes, pour voir apparaître, devant nous, le prestigieux pilier de mousse. A l’intérieur, on aurait dit de l’eau, translucide, et au toucher du coton. Les marches de l’escalier, étaient solides comme de la pierre, et contre toute attente, ne glissaient pas comme une savonnette.
Le décor était sublime, la forêt en contre bas avait l’air d’un tapis de nuages verts. On ne voyait plus les imposants troncs, et leur écorce chaude et râpeuse. Des arbres, qui m’étaient étranger.
Après avoir gravis chaque marche de l’escalier, hors d’haleine, nous nous retrouvâmes haut dans le ciel, sur les nuages rassemblés en un gros tas. Nos montures ne nous avaient pas suivis, et le groupe de loups s’était dispersé, dès lors où nous étions arrivés près de la mousse. Comme contient que leur mission s’achevait.
Devant nous, d’imposantes barrières d’or, où étaient incrustés, comme de minuscules gouttes d’eau, des sortes de perles translucides. Au centre, dans un cercle, une tête de femme, dont les cheveux doré cachaient le visage, se tenait légèrement penché, et dans sa main, une fleur Une fleur à moitié fané, et à moitié éclose. C’était une œuvre curieuse.
-Qu’est-ce. Je m’empressais d’assoiffer ma curiosité, en questionnant Chey sur cette curieuse représentation.
-C’est la déesse Marshiné, déesse de la vie et de la mort. La fleur qu’elle tient est une permline, une fleur sacrée, qui ne pousse dans les montagnes d’Herinshi. Cette fleur est souvent associée à la déesse, car elles poussent près de son tombeau. Et on la représente, soit tenant la permline dans sa main en coupe, soit dans ses cheveux d’or. Me répondit-elle, sur le même ton que ma question, c'est-à-dire dans un chuchotement. Après une attente, qui me sembla éternelle, la représentation de la déesse s’évanouie, et les battants du portail s’ouvrirent. Je découvris avec stupéfaction, une allée de granit rose, menant à un palais, qui me semblait lointain. DE part et d’autre de cette allée, des maisons toute plus prestigieuse les unes que les autres. Alors que je contemplais le paysage, je sentis la main de Chey me lâcher, et je ‘entendis sangloter. Je me tournai vers elle, elle était à genoux sur le granit, chaud ! Elle regardait droit devant elle, avec hébétude. Je suivis son regard et découvrit une femme aux cheveux d’or, au teint pâle, aux yeux d’un bleu saphir, et qui portait une tunique légère blanche, qui traînait par terre, qui n’avait pas de manche, et qui était serré à la taille par une corde de cuir blanche. J’entendis Chey bégayer :
-Ma…ma…maman…, mais… pourquoi ?

9_Herinshi, les montagnes de la vie.

Je n’en revins pas moi-même, ma grand-mère, la souveraine, devant moi. Enfin si, c’était logique qu’elle soit là, mais j’avais l’impression que quelque chose n’allait pas dans le décor. Comme pourquoi, lorsque je l’avais vu, je l’avais prise pour maman ? C’était un mystère, mais cette tenue, cette posture, ces cheveux qui s’enroulaient sur des boucles, et qui descendaient en cascade sur les épaules. C’est comme ça que maman se tenait le jour de sa mort exactement comme ça.
-Bonjour ma puce, tu as fais bon voyage ? dit Néfia d’un ton empreint de tendresse et de douceur.
-Ma…heu
-Je comprends Chey, le voyage ta sûrement perturbé, suis moi. ET toi aussi Lucas.
Ce fut au tour de Lucas d’écarquiller les yeux et d’ouvrir la bouche en gand. Sans un mot, la souveraine s’éloigna, en direction du palais. Nous la suivîmes toujours sonner. Nous arrivâmes devant le palais d’une blancheur d’une pureté sans égale. Des motifs avaient été tressés sur le château avec minutie. Le tout en argent, en or, avec des perles ou encore des diamants. Les motifs représentaient des fleurs, des paillons, des étincelles, des étoiles, la lune et plein d’autres choses. L’artistes, les avaient très bien représentés, les rendant plus vrai que nature. Nous pénétrâmes dans un long couloir, éclairé par une faible lumière, couleur de miel, et qui diffusait une lumière chaude. La reine s’arrêta devant une porte, au poignet de diamant et poussa les portes. Les portes s’ouvrirent, dans un jet d’étincelles blanches. Là, s’étendait une grande pièce, spacieuse longue et large. Une pièce très éclairée par de nombreuses fenêtres en cristal en reliefs. Le sol était en marbre poli, les mûrs blancs étaient en granit rose pâle. Il y avaient, posé sur des buffets, des chandeliers, répartis à égales distances. Souvent en dessous des fenêtres. Des rideaux étaient retenus par des boucles d’argent. Des statues, représentant des dieux, des souverains ou des déesses, étaient placées, entre les buffets. Une longue tapisserie couleur d’argent, striée de blanc faisait une allée qui menait au trône installé au fond de la pièce. Le trône était blanc, avec un coussin doré et des accoudoirs e la même couleur. Je remarquai qu’il était en granit. Décoré avec soin et minutie. Les sièges qui suivaient, était lus modestes, souvent en cuir ou en pierre et très peu décoré. Néfia prit place sur le siège le mieux orne, et je devinai que les autres étaient pour les ministres. Après s’être installé, elle tapa deux fois dans ses mains et des servantes, approchèrent. Après leur avoir chuchoté quelque chose, celle-ci disparurent, et revinrent, avec de sièges en cuir beige avec des accoudoirs. Confortablement installé, nus attendîmes que la reine prit la parole. Celle-ci après les avoir longuement regardé dit :
-Je vois que vous avez surmontés bien des épreuves périlleuses pour arriver jusque qu’ici. Sachez que je suis heureuse de vous voir, et de pouvoir enfin vous accueillir.
SE tournant vers moi elle dit :
-Je suppose que tu reconnais l’endroit.
-Une reproduction parfaite du royaume dis-je.
-Exacte, s’exclama la reine visiblement ravie, la conteuse Keintrein vous a sûrement appris des choses intéressantes. Sachez une chose, qu’ici vous apprendrez à combattre, et vous renforcerez vos connaissances. Charlotte sera là pour vous aidé, n’est-ce pas ?
-Oui votre majesté. Heureuse de vous revoir !
-Et moi donc ! Ainsi que de professeurs que j’ai choisi. Nous avons un plan, nous affronterons Baristovoska, très bientôt, et nous vous attendions. Mais avant d’aller plus loin, laisser moi vous expliquer quelque petite chose. Lucas cela ne te concerne pas.
-Je vois, dit celui-ci, mais je resterais dans cette pièce, tant que Chey y sera.
-Bon, soit !
Dans le regard de la reine, je reconnu la suspicion, je sus qu’elle avait compris ce qui unissait Lucas et moi et je savais qu’elle ne se métrait pas en travers. Pourtant elle ne faisait pas confiance à Lucas à cause de son passé.
-Commençons, c’est l’histoire du royaume, le commencement de tout. IL va falloir écouter attentivement, car ce récit pourrait répondre à vos questions. Dans les vallées des montagnes, on pouvait trouvé, car on n’en trouve plus, des fleurs. Mais pas n’importe qu’elle fleur, les permline, ces fleurs sacrés, associés à la déesse Marshiné, déesse de la vie, de la mort, de la prospérité, la beauté, l’amour et l’éternité. Lors de la guerre pour le pouvoir, les dieux, s’affrontèrent, chacun, pour avoir une partie de la terre, qui leur serait entièrement consacrée, et à qui il pourrait donner vie à un peuple. Pour les montagnes d’Herinshi, ce fut Marshiné et le dieu Yarnoria, dieu du mal et des enfers, qui s’affrontèrent. Lors du combat, qui se déroula au dessus des vallées de la montagne, dans le ciel, Yarnoria, prit un pieu et l’empoisonna. Il lança un sort paralysant à Marshiné, après avoir détourner son attention, et lui enfonça dans le ventre. L’issu du combat était évident, pour Marshiné. Mais celle-ci, ne voulait pas laisser à Yarnoria cette terre. Herinshi, veut dire terre sacrée, et comment voulez-vous, qu’une terre sacrée soit gouvernée par le mal ? Rassemblant ses dernières forces, Marshiné, lança un sort d’emprisonnement, au dieu du mal, qui ne put répliquer sous l’effet de surprise. Elle l’envoya, dans les profondeurs de la terre, au-delà même du royaume de Yarnoria. Le dieu, jura, avant de s’éteindre, qu’un successeur viendrai le venger. Marshiné était plus qu’affaibli après ce sort. Elle se vida lentement du sang pur qu’elle contenait, et qui se répandit sur la vallée en l’inondant. On raconte, que même les dieux n’avaient vu pareille inondation. Une mer rouge écarlate coulait, entre les monts escarpés d’Herinshi. Cette inondation dura 8 jours. 8 jours durant lequel, Marshiné se vida de son sang jusqu’à la dernière goutte. Lorsque la vallée redevint comme avant, on découvrit ; que celle-ci était peuplée, d’innombrables fleurs, en forme de perles, soit roses soit blanches. Le dieux Xétros, mari de Marshiné, découvrit le premier le champs de fleur, qu’il baptisa permline ce qui veut dire « Des perles en ton honneur ». Au moment où ses doight, frôlèrent la surface des fleurs, celles-ci s’ouvrirent, et firent apparaître, des petits être à peine plus gros qu’une perle. Ces petits être, ne firent même pas attention à Xétros, et se dirigèrent tous vers Marshiné, qui était étendu au milieu du champ de permline, sans vie. Tellement, sa tristesse fut grande en voyant son épouse, si vide de vie, le cœur de Xétros, explosa, et son corps tout entier, en fit de même, répandant une pluie de cristal blanc et pur comme les larmes du malheureux. Ces cristaux firent grandirent les petits être à notre taille. Ces êtres se firent baptisé Chrufstrym ce qui veut dire « les pleurs », « les larmes de cristal » ou encore « les gouttes d’amour », dans différent contexte. Les Chrufstrym, firent une tunique blanche étincelante, ainsi qu’une couronne de rose pour Marshiné qui leur avait donné la vie. Aussi, couvrirent ils ses cheveux de perle blanche et roses, et de petites boules de cristal. Ils construisirent, un temple en diamant, où ils posèrent le corps de la déesse d’un cercueil de verre, qu’ils couvrirent de fleurs blanches diverses. Ils gravirent dans le diamant, des représentation de Marshiné et de son époux Xétros, main dans la main et dans plein de situation plus belle les unes que les autres. Ce temple fut baptisé Lrententa ou Poliëmtris ce qui veut dire « temple de la paix », « temple de l’amour » ou encore « temple de la vie ». Les Chrufstrym bâtirent un royaume en l’honneur des deux dieux. D’ailleurs ces êtres sont nos ancêtres, car le royaume qu’ils baptisèrent fut le royaume où nous avions vécu. Bientôt, ils décidèrent d’élargir leur royaume, en partant à la conquête de nouvelles terres. Ils réussir à en conquérir énormément, jusqu’à ce que le roi Ariox s’interposa à cette conquête en nous déclarant la guerre, alors qu’ils l’avaient toujours laissé tranquille, lui et son pays en paix. La guerre fut la plus sanglante de toute l’histoire. Chrufstrym perdirent deux nombreux valeureux guerriers dont Bontone, leurs chefs. Ils gagnèrent la guerre, mais ne réussirent pas à combler, la plaie béante qu’avait provoqué la perte de personne qui leurs étaient chers. D4ailleurs, de nombreux testes furent retrouvés, et qui parlaient de cette guerre. Par exemple, celui-ci, de Néoria la femme de Bontone :
Chère, Féolia
Il y a bien longtemps que je n’ai pas revu son visage. La guerre dure depuis maintenant 3 ans, et j’ai l’impression qu’elle ne s’arrêtera jamais. Les enfants meurent, à une vitesse fulgurante. je t’envoie cette lettre, pour que tu comprenne que l’on risque de perdre la guerre, à part si nous récupérons assez de force d’ici une prochaine attaque, ce qui est impossible. Beaucoup d’hommes sont morts, et les femmes, sont obligés de prendre les armes pour pouvoir défendre le peu qui leur reste. Nombreuses sont celles qui ne reviennent pas. Bontone est mort la semaine dernière, et sa perte déchire mon pauvre cœur déjà meurtri. Mes parents sont morts il y un mois de cela sous mes yeux, torturé à mort, et je n’ai rien put faire. J’ai perdu mon enfant avant-hier soir. Et Bontone n’a plus d’héritier. Qui dirigera le royaume, alors que moi-même je suis affaiblie, à bout de force et que personne ne pourra me succéder et succéder Bontone. C’est vrai, une femme enceinte n’avait rien à faire dans un champ de bataille. Mais où veut tu que nous nous cachions Je n’ai que 26 ans, et je ne voit pas mon avenir, juste la mort. Une porte blindée, qui se tient devant moi et qui attend d’être ouverte. Je marche au milieu de cadavre, et je me dis souvent, que bientôt, quelqu’un trouvera le mien. Les réserves d’eau et de nourriture ont été dévastées récemment, et nous attendons la mort avec courage et patience. Nous voyons des bébés rire, et s’éteindre la minute d’après, dans les bras de leur mère. Imagine leur visage, déformé par la tristesse et la haine envers le seul responsable de ce désastre, Ariox. Nous espérons que tu nous viendras en aide, que le peuple d’Amlan nous viendra en aide. Car on se meurt.
Je t’en prie répond à mon appel désespéré.
Néoria

-Vous voyez, dis Néfia, Néoria a écrit de nombreuses lettres ressemblant à celle-ci. Seul Féolia a répondu à son appel. Les autres, trop peureux pour affrontez Ariox, ont décidé de rester dans leur tranchées, plutôt de venir en aide, à peuple qui se mourrait et subissait la colère de ce mauvais rois. Les gens n’espèrent pas une guerre comme celle-ci, mais ils se représentent Baristovoska, comme étant un descendant d’Ariox, et ils espèrent que vous répondrez à leur appel désespérer comme la fait Féolia. Vous êtes Féolia, et nous sommes le royaume d’Amlan.
cap_73

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Re: La lune de nos espoirs

Message par cap_73 »

ils sont vraiment génial tes chapitres!! :D
mais il y a quand même des fautes d'orthographe. Enfin, cela ne m'a pas empêcher d'adorer ton histoire, au contraire!! :)
J'ai vraiment hâte de lire la suite.

Préviens moi quand tu la mettras!
Bisous et bon courage miss! :D
DanielPagés

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Re: La lune de nos espoirs

Message par DanielPagés »

Tu en as beaucoup comme ça ?
Désolé j'ai lu quelques paragraphes en diagonale et ça m'a l'air vraiment bien. Je m'y remettrai pour le lire en entier un de ces jours.
Pour l'orthographe ça se corrige...
à bientôt donc !
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Pour l'orthographe désolé! :oops: c'est pas trop mon fort. Je sais certains vont dire et ça se voit. Mais bon personne n'est parfait! Et dans tout les livres il y a quelques fautes! :D
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

La suite, et cette fois j'ai essayé de corriger mes erreurs. Encore merci pour vos lectures régulières!

10_Une révélation.

-Autre chose, dit Néfia, on dit que lorsque qu’Ariox mourut, son royaume disparut, et qu’il ne resta plus qu’une terre infertile, et couverte d’une substance violette foncée comme du sang impur d’une autre race. Avez-vous des questions ?
-Non. Répondirent en chœur les deux enfants.
-Bon, j’ai énormément parlé, et je suppose que vous devez être fatigué. C’est pourquoi, un groupe de serviteurs va vous raccompagnez à vos appartements.
Après avoir terminé de parlez, un groupe d’une vingtaine de personnes apparut, et nous escortât jusqu’à nos appartement côte à côte. Nous nous postâmes, chacun devant l’appartement que le groupe, qui c’était divisé en deux d’une dizaine, des hommes et des femmes, jamais mixtes, nous montrait. Je fus séparé de Chey. Je découvris l’intérieur de ma chambre luxueuse. C’était une imposante chambre, dont les mûrs était couverts d’une fine couche d’or où des reliefs dessinant des ails et plein d’autres motifs se faisaient voir. Du marbre recouvrait le sol incrustés de petits morceau d granit rose, et qui se rassemblait au centre de la pièce, pour donner naissance à une sublime…permline rose, dont les contours étaient en rubis polie, incrustés lui-même de diamants et de perles. Tout ça fait avec une extrême finesse ce qui faisait une permline d’une splendeur et d’une perfection à vous couper le souffle. Le lit était composé de quatre colonnes comme tortillées, en verre où on ne voyait aucune rayure, le matelas était en coton, moelleux et le reste en cristal. Les couvertures étaient fines, en lin, seul une plus chaude que les autres, en coton d’un côté, et de l’autre en velours. . Une armoire se tenait près des fenêtres en verre, une armoire en matériaux qui ressemblait à de l’ivoire incrustée de perle, taillé avec finesses, et qui contenait, des tuniques en lin, en coton ou encore en laine toute plus magnifique. Les rideaux en lin étaient retenus par une boucle d’argent comme dans la salle du palais. La salle de bain était composée de quatre grands piliers en or qui se trouvait plus vers le fond de la pièce. Au centre un bassin en marbre où avait été préparé un bain d’eau chaude et derrière lui un plus petit d’eau froide. Entre les deux, une cavité avait été taillé pour contenir des produits de bain (huiles parfumés, savons ect…), des décorations (bougies, pétales de roses…). LE diamant couvrait le mûr comme le sol. Une large fenêtre se tenait au dessus des bassins. En face de l’entrée, un évier, avec au-dessus une petite étagère et un miroir. A droite de l’entrée, plusieurs commodes ou armoires du même matériau que celui de ma chambre, contenait des serviettes, des peignoirs des vêtements, ceintures et accessoires en tout genre. A gauche de l’entrée une coiffeuse dans la sorte d’ivoire, où il y avait des produits de beauté, des peignes, et des produits pour les cheveux. Des chaussons moelleux et confortable, attendait sagement d’être essayé juste au pied de la coiffeuse. Tout avait été installé, pour que la personne qui occupait les lieux passe plus de temps dans cette salle de bain que dans ses appartements. Juste à côté de la salle de bain, se trouvait un couloir, derrière la salle de bain, il y avait des toilettes, puis une petite bibliothèque sombre où brûlait du bois dans une cheminée. IL n’y avait pas de fenêtre, seul éclairage, c’était la cheminée, et quelque lampe accrochée au plafond. Un siège en velours, se tenait face aux flammes. Vers le fond de la mini bibliothèque, se trouvait une table avec quatre chaises autour, et où était déposé quelques manuels d’études.
Voilà comment se tenait ses spacieux et luxueux appartements. Je sentais que j’allais y passer du bon temps.
*
Après s’être lavée, restaurée, et reposée, je me dirigeai vers le terrain d’entraînement, constitué d’un vaste champ de pierre polie blanche, sans aucune éraflure. Sa transparence était telle, que l’on pouvait apercevoir son reflet. Lucas me rejoignit peu de temps après. Nous découvrîmes ensemble des caisses en bois, contenant des armes de toutes tailles, et de toutes sortes. Alors que nous étions en pleine contemplation, devant autant d’objets servant à tuer, un homme grand, mince avec un crâne nue, et portant une tunique argentée qui lui descendait jusqu’au cheville, s’avança vers nous et nous dit :
-Je m’appelle Térian, et je suis vôtre professeur.
IL nous tendit une feuille à chacun.
-Retenez bien ceci, continua-t-il, c’est votre emploi du temps que vous devrez respecter à la lettre. Plusieurs professeurs, choisis par la reine, seront à vôtre disposition. Nous nous réservons les droits de vous donner de la lecture, des exercices à répéter, ou des recherches à faire à la bibliothèque, ou encore interroger certaine personne pour qu’ils vous transmettent leur savoir.
Je me racla la gorge et lus la feuille :
Emploi du temps de Néfiey :
-Réveille au aurore, toilettes (vos servantes sont à votre disposition).
-Petit déjeuner (un repas frugal)
-Entraînement à la guerre avec Térian(M)
-Leçon sur les royaumes, rudiments de la magie par le gouverneur ou la reine.
-Déjeuner (frugal)*
-Temps libre de deux heures (durant ses heures vous pouvez vaquer à vos occupations telles qu’elles soient)
-Leçon de méditation (exercices de souplesse, de détente, ect…) par Zéyouna (F)
-Dîner
-Confrérie des pouvoirs (évaluation sur votre apprentissage du jour, votre évolution, quelques aides et conseils, et une fois par mois, soit par surprise ou soit avertit, vous devrez participer soit à un concours, soit à une évaluation commune ou individuel).
JE grimaçai, malgré moi sur cette emploi du temps chargé. Je vis Lucas faire la même grimace et je pouffai.
-Aujourd’hui nous commencerons la leçon. Les leçons comme celle-ci et de détente seront commune, c'est-à-dire vous les ferez ensemble.
On n’eu même pas le temps de s’échanger un regard, car M. Téran cria :
-Faîtes moi deus tours du terrain d’entraînement, ensuite nous ferons des étirements de souplesse, et ensuite nous commencerons avec des épées en bois.
Quand il vit que nous réfléchissions, il sortit un bâton d’un des plis de sa tunique et dit :
-Nous nous réservons le droit de vous aider par des moyens peu agréable.
Nous sursautâmes, et partîmes à la vitesse de l’éclair. J’eu l’impression que le terrain était sans fin. Nous mîmes deux heures à en faire le tour. Nous fîmes les exercices de souplesse. Je voyais que je n’étais pas la seule à souffrir le martyr, Lucas se tenait les côtes essoufflés, et avait du mal à enchaîner les figures que Téran fait avec une grâce et une souplesse peu commune. Après cet entraînement j’étais essoufflé. Téran d’un air moquer lança :
-Chers amis ! CE n’est que le début !
Je me retins de lui lancer un sort pour lui scotcher la bouche mais je me retins. Lucas lui était à deux doight de se jeter sur Téran. Je m’inclinai, et il fit de même, et nus partîmes, chacun de nôtres côté, étudier.
*
J’étais allongé sur mon lit. J’avais des bleues partout. J’étais épuisé, mais pourtant je ne trouvai pas le sommeil. Je m’accroupie, pris une bougie et éclairai le papier que Téran nous avait donner. Je n’avais pas eu le temps à le comparer avec celui de Chey, mais je savais qu’il était différent. Je lus :
Emploi du temps de Touriak :
- Réveille au aurore, toilettes (vos serviteurs sont à votre disposition).
-Petit déjeuner (un repas frugal)
-Entraînement à la guerre avec Térian(M)
-Leçon sur l’art du combat, ses origines, sciences, cuisine, coutures,comment se débrouiller dans la nature, avec rien dans son sac à dos, option : nourriture+, médecine, fabriquer des armes, menuiseries ou autres au choix,couture +, Combat+
-Déjeuner (frugal)
-Temps libre de deux heures (durant ses heures vous pouvez vaquer à vos occupations telles qu’elles soient)
-Leçon de méditation (exercices de souplesse, de détente, ect…) par Zéyouna (F)
-Dîner
Je soufflai, je n’aimais pas du tout cet emploi du temps chargés ! J’espérais, que Chey et moi, pourrions nous voir sur nôtre temps libre. Je comptai le lui proposer demain. Sur plein de réflexion, je m’endormie, d’un sommeil agité.
*
Les jours passèrent sans aucune monotonie. Durant nos temps libres, Lucas et moi, faisions des résumés de nos apprentissages respectifs, visitait le royaume, et se que l’on aimait faire par-dessus tout, c’étaient observé, les combats, qui se déroulaient sur le terrain d’entraînement. Alors que j’admirais le maniement d’une arme qui m’était inconnu, j’étais tellement observé par cette contemplation, que je ne vis pas venir la flèche qui se dirigeai à grande vitesse sur moi, et qui visait mon cœur. Je vis, alors, Lucas, comme poussée par quelque chose, tendre la main et crier :
-Crundos ! (Un mot en Lambiscrife= brise flèche, un mot rudimentaire, mais efficace !)
Un éclair bleu, jaillit de sa paume, et la flèche se brisa, et tomba en miette à mes pieds.
J’étais bouche bé, il avait… des pouvoirs ! Mais comment cela était-ce possible ? Je réfléchissais à toute vitesse. Autour de moi, les bruits d’armes s’étaient estompés, et touts les regards étaient braqués sur la personne qui avait lancé ce sort.
Ce que je fis, j’avoue, aurait pu tuer Lucas, mais je savais qu’il contrerait, et c’était une vérification. Je rassembla de l’énergie en pensée, et la fit sortir de moi, puis je dirigeai cette pensée, un éclair dorée, qui se mêlait à la lumière, vers Lucas. Il lança plus bas :
Touyinos (ce mot dresse une barrière invisible, pour protéger le lanceur de toute attaque. Seul les magiciens les plus expérimenter y arrive)
Alors là je n’en attendait pas autant, dressé une barrière magique en si peu e temps relève du prodige. Bien sûr je sais le faire en beaucoup moins de temps mais j’ai une certaine force !
*
Je regardais encore mes mains, pétrifié. C’est moi qui avais fait ça ? Et pourtant pour mon corps cela avait été naturel. Je me rappelle que Chey m’avait dit que les pouvoirs, enfin la magie, est une chose complètement imprévisible que s’en est hallucinant.
Mes réflexions, furent troublé par de l’agitation dans la foule qui s’était rassemblées autour de moi, me regardant fascinés. C’était des gardes, de l’armée royale qui surgirent. Un masque de cire plaqué sur leur visage, rendait leur expression indéchiffrable, et je ne savais si ils venaient pour une bonne nouvelle ou non. Sans me prévenir, ils me prirent par les épaules, et me poussèrent devant eux du bout de leur lance. Chey nous suivait. Je la voyais pensive. Je supposais qu’elle analysait la situation et cherchait une explication au phénomène étrange qui s’était produit. Nous arrivâmes, dans la même salle que dernièrement. Cette fois ci des dames et des messieurs, se tenait sur les autres sièges. Le regard dur, et affichant, comme les gardes, une expression indéchiffrable. Néfia se tenait droite, les bras sur les accoudoirs. A notre arrivée, deux sièges firent installés à la même place que lors du dernier entretien. J’aurais juré qu’il n’y avait pas un millimètre en moins ! Chey pris place à côté de moi, et d’un signe de tête, Néfia renvoya les gardes. Après un long silence, qui me mit mal alaise, Néfia prit la parole :
-Eh bien il semble que ce que je redoutais est arrivé…
-Vous saviez ce qui allait arrivée, l’interrompit Chey, dont la voix restait toujours aussi calme. Je comprends que vous doutiez de la sincérité de Lucas, mais pourquoi alors le faire apprendre ce qui aurait pu se retourner contre nous ? Pourquoi ne l’avoir pas préparer. J’ai des réponses, mais je veux des explications que je n’ai pas ! Et je les veux immédiatement !
-Petite insolente ! Cria un homme, plutôt jeune, grand et maigre.
Un homme âgé et barbu dit doucement :
-Je reconnais là, la mère exigeante, et le calme et la sagesse du père.
Certains pouffèrent, et la reine sourit. Pourtant Chey garda son masque de cire. Devant se regard qui ne cillait pas, la reine vacilla et dit d’une voix tremblante :
-J’ai l’impression de voir ma fille devant moi avant que la folie la prenne. Mais soit ! Je vais tout t’expliquer, à toi et à Lucas !
Reprenant un peu d’assurance, elle déclara :
-Cela remonte à l’histoire de la création. Tout se passait bien, le peuple était en pleine harmonie. La magie régnait en maître dans la vallée, et personne n’avait jamais goûté au fruit de la colère. Puis un jour, ce née des permline blanches, commencèrent à souffrir de symptômes étrangers. Mal de tête fréquents, vomissement régulier, perte ou trouble de la mémoire plus que réguliers, chaque jours quelque chose s’en allait de leur mémoire. Tout le monde pensa que ce n’était que passager, mais bientôt, leur corps se transforma. Par exemple leur oreilles, se raccourcissaient et plein de choses bizarres. Bientôt ils dirent que leurs familles étaient des étrangers. Chrufstrym finirent par les appeler Dounia (les fous). Les Dounia finirent par perdre l’usage de la parole et de la magie. Ils communiquaient par des signes et des claquements de langue. Les Dounia, finirent par migrer vers des terres étrangères, pour finir par franchir la barrière magique qui séparai le monde des trolls du notre. Des espions les suivirent et le spectacle qu’ils découvrirent les laissa bouche bé. Je vous lirais une lettre, leur compte rendu. Nos espions, assistèrent à la suite de leurs métamorphose effrayé ! Je vous lis ce compte rendu :
Compte rendu n°1
Votre altesse, nous venons d’assister à un spectacle terrifiant ! Les Dounia ont décimé le clan de Férien, les plus dangereux des trolls, qui résidait en ces lieux. Je suis dans le regret de vous dire qu’ils ne retrouveront jamais la mémoire. Nous continuons nos observations.
Compte rendu n°2
Nous nous sommes trompés, j’ai l’heureuse nouvelle de vous dire qu’ils peuvent retrouver progressivement la mémoire, par le biais de rêves. Ceux-ci sont exterminés, car ils sont dits d’êtres maléfiques par les Doumia. Nous avons découvert, q’une poignée d’entre eux se sont enfuis, et réfugies dans des montagnes. Ils retrouvent peu à peu a mémoire, et nous craignons qu’ils soient un danger. Leur agressivité fait accroître leur force, et nous avons peur qu’ils se révèlent des ennemis. Avec votre accord, nous souhaitons les exterminés jusqu’au dernier.
Réponse royale :
La reine souhaite ne pas les exterminés, mais leur laisser la vie. Toue fois, avec un sort assez puissant, effacez les informations nuisibles. Voir toutes les informations, si cela est nécessaire de leur mémoire. Nous comptons sur vous. Ne revenez pas tant que vous êtes sûr qu’ils ne représentent plus une menace pour nôtre espèce. Continuez à les observez, ainsi que les Doumia, afin de pouvoir avoir un maximum d’informations sur leur mode de vie, et de vérifier si il n’y a plus aucun danger. En cas de guerre ou autre, contacter nous par des messages mentaux. Nous vous envoierons une armée pour vous soutenir. Nous vous envoyons des vivres, et des outils d’observations, des armes, afin que vous ne manquiez de rien durant votre mission. Vos familles seront prévenues du prolongement de vôtre mission. Nous espérons que vous pourrez la mener à bien, pour le bien de notre espèce.
Le Conseil Royale


Compte Rendu n°3
Nous avons reçu vôtre lettre, souveraine. Et nous avons exécuté vos ordres à la lettre. Durant leur sommeil, nous leur avons effacé la mémoire. A leur réveil, ils ne seront que leur prénom et rien d’autre. Nos observations, nous montres, q’ils ont une manière de se comporter, bien différente de la nôtre. Leurs langages, leurs écritures, et leur façon de s’habiller son toute a fait opposée. […]
Des observations, prouveraient, que Baristovoska est un descendant de ce clan. C’est pourquoi il eu besoin des traîtres. Il appris ces origines, par leurs bouches, et le goût de la vengeance s’installa peu à peu dans sa bouche. Les Doumia finirent par devenirs des humains, même si, pour certains, mais ce n’est que un sur une infini, retrouve l’usage de la magie. Il est choisi par la nature, qui décide si elle peut lui donner ou non. Tu as été choisi Touriak. Je sais que c’est dur d’apprendre que son père veut tuer sa chair par pure jalousie.
-Néfia, (le ton de Chey était calme, mais je supposais qu’elle était extrêmement en colère, même si elle gardait une attitude impassible) je suppose que ce là faisait parti du plan ? Oh,(elle fixa sa grand-mère droit dans les yeux d’un regard d’acier) suis-je bête, tu es complètement folle et stupide pour nous l’avoir caché. Attendre patiemment que ça se déclenche. ET si ça s’était déclenché durant une guerre ? Il aurait été plus un boulet qu’un atout, dit elle en me pointant du doight. Regarde comme il a été surpris par ses pouvoirs, il n’a même pas réagis, il se serait fait tué, et on aurait perdu un élément important. La perte de ta fille ne ta pas affaibli à ce point, car je serais d’accord de monté sur le trône afin que tu puisses te remettre les idées en place.
Ces derniers mots furent si acides, que je vis les yeux de Néfia briller. Chey avait été dur avec sa grand-mère, plus dur que personne d’autre. Depuis que l’on était arrivé, en présence de Néfia, elle était sévère. UN murmure d’approbation ce fit entendre dans l’assistance. Sans aucun regard pour la reine, plusieurs partirent. Chey se leva elle aussi, au moment où un Homme, encore assis, dit :
-Petite insolente ! Je suis heureux que ta mère croupisse en enfer pour ne pas voir ce que tu es devenue !
Au moment où il avait terminé sa phrase, je vis de l’écume jaillir de sa bouche, et il s’affaissa sur son fauteuil. Tout le monde regarda l’auteur de cet acte, pétrifié. Le visage sombre, Chey traversa la salle et claqua la porte derrière elle.
Une larme de cristal, roula sur la joue de la reine, d’une voix empreinte d’émotion elle dit :
-Touriak, Lucas, peut m’importe, je t’en supplie de tout mon être ramène moi ma fille, ma petite fille, ce qui me reste.
Puis elle fondit en larme, en silence, le visage enfoui dans les mains, secouant la tête. Alors que je quittai la pièce, une femme, encadré d’une cascade de cheveux bouclé noirs, s’avança vers moi et me chuchota à ‘oreille :
-C’est comme ça qu’à commencé ses différents avec sa fille. Chey est en colère avec sa grand-mère, car celle-ci refuse que tu sois dans le cœur de la petite. Comme elle refusait que son père soit dans le cœur de sa mère. Si Néfia avait donné sa bénédiction, elle aurait peut –être empêché un désastre. Ce n’est que le commencement cela empirera. Chey croit que c’est à cause de sa grand-mère que sa mère est morte. Peut-être n’a-t-elle pas tort.

11_Une seule apparition, pour que tout commence

J’avais le même emploi du temps que Chey maintenant. Nous suivions les mêmes cours, et participons à la réunion du soir. Je lui avais parlé, à ça ! La chose la plus difficile. Elle m’avait évité, jusqu’à ne plus me voir, durant nos heures de pauses. Cela faisait plusieurs mois déjà ! Eh oui c’était passé comme une flèche de pensée dans la lumière. On avait eu 15 ans le mois dernier. Nous avons aussi le même niveau, du côté magie. Mes pouvoirs se sont développés à une vitesse fulgurante. Les duels entre Chey et moi, s’intensifiaient, et, j’avais defois l’impression qu’ils seraient infinis. Le combat, enfin son art, on le maîtrisait. En tous les domaines, nous excellions. Notre amour l’un pour l’autre aussi, était devenu plus fort. Nous avions enduré bien des épreuves, surmontés bien des embûches. Toujours ensemble.
Nos vies elles mêmes avaient changés, et s’étaient transformé, en une, et que si on nous l’avait révélé, on en aurait bien rit. Mais maintenant… Tous nous paraissaient possible et surmontables.
Le soleil, était encore couché, pourtant, le royaume s’affairait. ON chargeait les aigles géants, qui nous transporteraient, rassemblait le armes, les vivres et les vêtements. On chargeait aussi des loups, des chevaux, des ânes, et toutes sortes d’animaux existants, et près à supporter une lourde de charge. Chacun était équipé, cotte de maille, lance, bouclier, épée et armure, avait été revêtu, prêt pour l’emploi. Un groupe d’une cinquantaine de personne, resterait, pour assurer nôtre survie au cas où...
Nous étions prêts, le soleil déclinait, et chacun était monté sur une bête. Le royaume tout entier était silencieux, d’angoisse de plus jamais revoir l’être aimée, de oui non revenir en vie, de perdre ou non la bataille, que nos enfants sans défenses soient pris par surprise et tuer alors que nous restons en vies.
Comme toute personne, allant combattre, je regardai le royaume, espérant que ce n’était pas la dernière fois que je le voyais.
Enfin, une trompette sonna, et je sus que c’était l’heure. Le moment où tout commence…
cap_73

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Re: La lune de nos espoirs

Message par cap_73 »

J'aime tellement tellement trop ton histoire!! Je la trouve vraiment géniale! :D
On comprend de mieux en mieux le destin qui lie les vies de Chey (ou plutot Néfiey) et de Lucas (ou Touriak), et les liens qu'ils entretiennent! :)
On s'imagine aussi très bien les appartements qui ont l'air vraiment très luxueux (j'aimerai même y dormir ^^) et aussi les emplois du temps très chargés!
Je trouve ça aussi super que Lucas ait des pouvoirs aussi puissant que Chey :D

Tu as vraiment beaucoup de Talent et d'imagination! Pour pourvoir imaginer tous les noms, les lieux et l'histoire qui les unie, il faut une sécrée dose d'imagination et de talent quand même! ça vient pas comme ça, tout seul :) et l'histoire de leur royaume et de leurs origines est vraiment super et très très bien expliquée!

Il y a aussi quelques petites fautes, mais elles sont aps très importantes alors c'est pas grave :P

Enfin, tu as compris j'imagine, j'aime vraiment beaucoup ton histoire, elle est super!
Déjà, j'adore le fantastique alors là je suis servie! :P
C'est une des histoires que j'adore lire et dont j'ai tout le temps de lire la suite (avec Pourquoi elle aussi :) )

bon bah voila, j'ai un peu (beaucoup ^^) écrit, mais c'est pas grave, j'adore ça :D! (tu peux demander a AdaSosam)

Gros bisous miss, et préviens moi pour la suite, j'ai trop hâte la lire!
Bon courage, et fais en nous une belle :D
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Toute histoire à une fin! C'est pourquoi je vous propose de découvrir celle-ci!

*
Nous traversâmes la forêt, chevauchant fièrement nos montures, que ce soit dans les airs, comme sur la terre. Néfia et moi, ne nous étions point réconcilié. Je ne la supportais pas, enfin plus. Une haine féroce animait mon cœur, pourtant elle s’adoucissait quand je posais un regard sur elle. La vison qu’elle me renvoyait, c’était celle de ma mère, chevauchant un loup blanc, belle et plein de grâce. Alors que nous faisions halte, après avoir traversés la forêt toute entière, je m’asseyais près du feu, et dans les braises, je vis une vision que j’avais refoulé jusque là, et qui m’avait si atteinte, que je m’étais juré de ne plus jamais la regarder. Pourtant ce soir, je ne pouvais lui échapper…
Maman et papa, chevauchaient côte à côte sur des montures blanches. Maman dans ses bras tenait un petit paquet, enfin quelque chose dans ses bras. Soudain, une nuée de flèche s’abattit sur eux, et tua leurs montures. Sautant à terre avec grâce et souplesse, ils coururent, cherchant un endroit où se cacher. Qu’importe où ils étaient, dans un tronc d’arbre ou autre, a chaque fois jaillissait une nuée de flèche empoisonnée. Ils couraient à bout de souffle, ne pouvant même pas s’arrêter pour s’abreuver, de peur de se faire tuer. Mon père finit par arrêter ma mère, et l’embrassa tendrement. Elle ne savait pas ce qui se passait, pourtant moi je le savais et comme la première fois où je vis cet instant, je me sentis déchirée. Mon père prononça quelque mot, et une rose apparut, enfermant ma mère et la chose qu’elle portait à l’intérieur. La rose rapetissât, devenant qu’un petit bout rouge, se mêlant à la couleur étrange, rougeâtre, du sable par terre. Je voyais ma mère à l’intérieur, se débattre. Mon père dehors s’était écroulé, et le sol consumait son corps inerte, le faisant tremblés, et faisant sortir ses yeux de leurs trous. Ma mère sentit la perte d’un être chair, et compris, se débattant de plus belle pour venir en aide à son époux.Dehors, on ne voyait plus rien de lui , si ce n’est qu’un affaissement du sol à l’endroit où il était. Soudain, une femme, Néfia, ramassa la rose, et l’écrasa entre ses doight, me tuant et tuant ma mère. Ma mère avant de rendre son dernier souffle, entendit :
« Le jour de ses 15 ans, là elle trouvera le bonheur, qui lui sera enlevé par sa dernière âme. Sa dernière âme ne voulait plus de bourgeon, ne voulait plus se faner. Pour sa elle ira se suicider. »
J’entendit ma mère poussé un cris et dire :
-Néfiey survis, écoute je t’en prie l’avertissement du destin, ne succombe pas.
Je vis ma mère s’écrouler, et je criai, mais je ne savais pas que je criais aussi dans la réalité…
*
J’entendis Chey crier, et je la vis à terre, secouer par de violents tremblements. Néfia s’approcha d’elle et je vis, Chey crier :
-Rien que pour le pouvoir tu veux m’exterminer, sale vermine !
Elle lui griffa le visage, avant que Néfia puisse dire :
-Dit moi, dit moi ce que tu as entendu. Elle était haletante
Chey lui répéta la phrase et Néfia hurla, d’un cri plein de détresse.
-Non, non ! Jamais, jamais…
Puis elle s’enfuie le visage dans les mains, courant dans les profondeurs obscures de la forêt.






12_Réponse à une énigme oubliée

Nous étions, tapis dans l’ombre des buissons, à l’affût du moindre geste suspect, qui trahirais la présence d’éventuels ennemis. Le paysage que nous observions, depuis déjà plusieurs heures, était nu. Plusieurs kilomètres de terre infertile, puis un fossé, et un château du style Moyen-Age, mais on devinait que les outils de guerre étaient d’une autre époque. Un grand pont-levis en bois, se tenait redressé. Sur les tourelles, et les remparts, des gardes faisaient des rondes qui semblaient interminables. Ce paysage, et cette vue, tout était parfait pour reconnaître un assaillant ce découpé à l’horizon. Nous n’attendions qu’une seule chose, la cérémonie de « Change armée, une cérémonie, durant laquelle un valet, dit que telle ou telle personne va dans la nouvelle armée. Cette cérémonie dure quelques heures, mais durant ces quelques heures, Baristovoska et son armée sont vulnérable.
Enfin elle commence, l’armée défile, en armure, sans aucune grâce. On ne peut les identifier, de là où on est. Mais nous attendions.
J’observais Lucas, et je voyais qu’il était tendu, en moins d’une minute, nous pouvions nous retrouver au milieu d’un champ de bataille à guerroyer.
Alors, que nous étions à la moitié de la cérémonie, le gouverneur Géron, fit signe, que c’était le moment. Alors dans le silence le plus total, nous glissâmes, telle des félins, sur ce qui allait être, peut-être notre tombe.
C’est un garde, qui poussât l’alerte. Chacun se retournât en sursaut et dégaina son arme. Nous fonçâmes alors sur eux, en silence, mais avec une rapidité telle, que certain n’eurent même pas le temps de se rendre compte, qu’ils étaient attaqués.
Soudain, je m’arrêtai, au beau milieu du champ, et regardai les casques tombés. Une larme sale, roula sur ma joue, quand je découvris les têtes de tous ceux qu’on avait tué. C’était ma famille, Qünza ! Je criai, et Néfia se retourna. Elle vint vers moi et me dit :
-Es-tu folle, tu tiens dans tes mains la tête d’un mort, d’un de nos ennemis !
-Néfia, je pleurais, ce ne sont pas nos ennemis, ils ont été ensorcelés.
Elle parut horrifiée, malgré ça je continuai :
-Ce sont (je retournai la tête couverte de sang, pour lui montrer le visage. Lorsqu’elle le vu elle poussa un cri de stupeur), les gens de Qünza que nous combattons. Les gens de Qünza ensorcelés que nous combattons.
Nous étions face à un dilemme de taille, combatte nos frères ensorcelés, qui voulaient nous tuer, ou ne pas les combattre et mourir. Nous ne sachions que faire. Le gouverneur Géron s’avança vers nous et nous dit :
-Vous ne commettrez aucun crime. Ils ont été tués, et vidé de leurs pouvoirs, ce sont des fantômes, des corps sans conscience que nous combattons. Ce ne sont plus les gens de Qünza.
Cette nouvelle me serra encore plus le cœur, malgré ça je combattu de mon mieux. Lucas et moi, combattions côte à côte, et comme le sage l’eu prédit, notre force fut décuplé. Si bien que nous réussîmes à terrasser bien des adversaires, malgré leur force surhumaine.
Soudain, un cri nous déchira les tympans. Alors que nous courions vers celui-ci, nous découvrîmes avec horreur Néfia, le cœur transpercés, sa vider de son sang. Les larmes me brouillèrent la vue, et je m’agenouillai, vers celle envers qui j’avais été si dur, pourtant la seule personne de mon sang qui me restait.
-Néfiey écoute, Toukoumé Néfiey Ounta my.
Puis elle se tourna vers Lucas et dit :
-Touriak écouté, Toukoumé Touriak Ounta my.
Elle me caressa la joue et termina :
-Pardonne moi, et je te pardonnerai.
-Je te pardonne.
Satisfaite de cette réponse, elle ferma les yeux, pour entamer son dernier voyage.
*
Alors que nous nous éloignons, alors que tout le monde pleurait les morts, et que toute l’armée de Baristovoska avait été décimée, j’aperçus, une âme pleurant sur le corps de Néfia. J’en informai Néfiey. Elle se retourna, et poussa un crie de stupeur. Elle s’élança vers l’âme, et la tint dans ses bras, pleurant. Je constatai soudain que l’âme avait une étrange ressemblance avec Néfia, mais que quelques traits les différenciaient. Alors je sus que c’était la mère de Néfiey.
Elle se redressa et dit:
-Nous avons peu de temps, je vais vous ouvrir le chemin, jusqu’à la porte qui vous mènera à Baristovoska. Pour le combattre, vous devrez joindre vos forces, et faire appel à la lune, et à l’espoir. En gros au divinité. C’est ça la réponse à l’énigme de l’aveugle. Toutes vos réponses seront dans les divinités de la lune et de l’espoir. C’est deux divinités, sont particulièrement contre Baristovoska. Depuis votre nom, vous aviez la réponse. Car vous avez le nom des divinités, que vous devrez appelez. Celle-ci vous ressemble, sauf en plus vieux. Néfiey, garde courage, car tu ne seras jamais seul dans ta vie. Nos âmes seront là pour veillez sur toi. Quand à toi Touriak ne baisse pas les bras. Qu’importe que ce soit ton père, rappelle toi qu’il n’est plus le même. Ma mère vous a bénis, j’espère que cette bénédiction vous protègera.
Après nous avoir guidé, dans les dédales obscurs, défraîchis, délabrés et infinis du château, nous arrivâmes, devant une grande porte en bois cirée. Dans une pièce dénudée de décorations, un homme, grand, mince, qui ressemblait fortement à Lucas, portait une cape rouge sang et se tenait devant un trône d’or. Nous savions, que si nous voulions monter sur le trône des elfes, nous devrons vaincre, ce sombre personnage. Au moment de s’élancer dans la pièce Néfiey se rappela de ce que lui avait dit sa mère quand elle n’était encore qu’un enfant :
-Baristovoska totaliatiké, Baristovoska n’est qu’illusion, sa force est fausse rappelle en toi ma fille. Car un jour tu sera devant lui.
Oui ce jour était arrivée. Il est temps de mettre un point final à cette histoire et de vivre en paix, enfin. Baristovoska enleva sa cape d’un geste théâtrale et dit :
-Mon fils et ma souveraine elfique, je vous attendais !
cap_73

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Re: La lune de nos espoirs

Message par cap_73 »

oh! trop bien la suite! :D
mais c'est déjà fini? ya plus de suite? :(
mais c'ets bizarre quand même, parce qu'on sait pas ce qu'il va se passer entre Chey, Lucas et son père! :)

mais sinon, j'adore vraiment ton histoire! si elle est fini, je pense que tu devrai l'envoyer à un éditeur pour voir si il peut l'éditer en nouvelle! :)
je pense que ça serait trop bien! j'adore vraiment ton histoire!

bon bah voila miss! :)
préviens moi si il y a une suite!
Gros bisous, et bon courage pour la suite :D
DanielPagés

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Re: La lune de nos espoirs

Message par DanielPagés »

Tu es vraiment née en 98 ? Décidément, la valeur n'attend pas le nombre des années comme disait le vieux Corneille !! :D Tu écris vraiment bien. Il y a des fautes, et quelques formulations à revoir un peu, certes, mais l'écriture est fluide, c'est poétique et attachant. bravo Eltie !
morgane.j

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Re: La lune de nos espoirs

Message par morgane.j »

super histoire, mais il faudrait la continuer un peu plus pour savoir ce qui va ce passer entre Chey Lucas et son père.
sinon, super ! ;)
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Merci beaucoup. Pour l'éditeur je sais pas. On ma souvent proposé mais ça n'a jamais vraiment abouti. Sinon je ne sais pas quoi dire pour la suite. Je voulais faire soit un deuxième tome, mais pour dire quoi. En vérité je n'ai pas trop d'idée pour une suite. Sinon je laisse votre imagination s'emballer.
DanielPagés

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Re: La lune de nos espoirs

Message par DanielPagés »

Il n'y a peut-être pas besoin de suite... et tu peux te lancer dans une autre histoire !
Vu comment tu es douée pour l'écriture, tu vas évoluer très vite en lisant et écrivant beaucoup.

Mais celle-là mérite que tu la reprenne, que tu la relise à haute voix, que tu corrige ce qui cloche, ce qu'on ne comprend pas très bien..
Et quand tu penseras qu'elle est prête, si tu veux, je te ferai une dernière correction et une mise en page comme un vrai livre... Après tu décideras si tu as envie de la publier ou si tu la gardes précieusement dans ton coffre à secrets :)


http://www.danielpages.fr
Eltie

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Re: La lune de nos espoirs

Message par Eltie »

Merci Daniel (si je peux vous appelez comme ca) c'est très gentil. Souvent jefais une assez longue pause por un histoire avant de me reploger dans le bain. Ca fait un bien foux. D'ailleurs j'en ai écrit tout pleindes histores (révélation que j'ai posté récement en fait partie et est l'histoire dont je suis la plus fière). La je fais une pause pour le dexième tome de révélation pour pouvoir raiment cerner l'histoire qui est encore un peu flou dans ma tête. De pls je profit souvet des acances pour tout bien écrire. Mais ne vous inquiétez pas je penserais à ous! ;)
DanielPagés

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Re: La lune de nos espoirs

Message par DanielPagés »

Eltie, je n'ai pas l'habitude qu'on m'appelle autrement que "Daniel" et si on me dit "tu" c'est encore mieux... je suis pas Victor Hugo, hein !! :D
Les vacances ne sont pas loin à l'horizon !! Continue !
DanielPagés

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Re: La lune de nos espoirs

Message par DanielPagés »

Ça m’intéresserait d'avoir ton avis et tes commentaires sur le début de mon roman "Clara des tempêtes"
J'ai mis les 4 premiers chapitres dans "vos essais" et je rajouterai le cinquième un de ces jours... Tu veux bien le lire ?
;)

hé, c'est valable pour tout le monde !! Merci.
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