* Une BD, un manga ou un comics : en l’occurrence une BD avec Putain de Chat, tome 6, de Stephane Lapuss'
Toujours un régal de suivre les aventures de cette bande de chats déterminés à renverser leur humain et à affirmer la domination des chats sur le monde. Entre la maman qui essaie de leur inculquer comment bien rendre fou leur maître, un chaton complètement psychopathe qui suit plus qu'à la lettre les leçons de sa mère, le second qui est tout l'inverse et tout mignon, et le dernier qui parle espagnol et est totalement décalé par rapport au reste de la famille, on a là de quoi bien se marrer !
Un tome aussi chouette que les précédents, et dont la fin annonce un prochain tome encore bien mouvementé.
* Un livre avec une couverture représentant les personnages, avec Les Bannis et les Proscrits, Tome 1 : Le Feu de la Sor'cière, de James Clemens -> ma couverture représente Elena, l'héroïne du roman
J’ai été complètement transportée par ce récit, j’ai voyagé avec nos personnages. Toute l’histoire est vraiment bien écrite du début à la fin, tout m’a plu et m’a captivée, des personnages aux paysages, des légendes de chacun des peuples rencontrés aux mystères et questionnements soulevés au fil des découvertes…
J’ai apprécié l’alternance de points de vue pour la narration, nous faisant ainsi découvrir les motivations et les origines de chacun des personnages qui ont entrepris ce long voyage. Les protagonistes rencontrés sont tous très intéressants, même ceux que j’ai moins appréciés, principaux ou secondaires, décrits comme « bons » ou comme « maléfiques », que ce soit par leur personnalité, leurs objectifs, ou leur passé. Ils sont tous charismatiques, foncièrement différents, et apportent tous ce qu’il faut pour rendre cette aventure passionnante au point de ne plus vouloir lâcher le livre.
Ma préférence va à Kral, ce combattant au grand cœur, fort et touchant, déterminé et loyal jusqu’au bout. Au contraire, Mogweed est celui auquel je me suis le moins attachée, un peureux doublé d’un égoïste plutôt ingrat.
L’auteur nous livre un récit parfaitement construit et rythmé, on ne s’ennuie pas une seule seconde à suivre le périple de nos groupes d’individus si différents. On va de rencontres improbables en révélations, de querelles en unions forcées, tout en en apprenant plus sur les races auxquelles appartiennent nos personnages. Le mystère de la Sor’cière et de la renaissance de ce pouvoir depuis des siècles disparu est une trame de fond intrigante sur laquelle tout repose.
La façon dont les événements nous sont présentés dans la préface et le prologue, ainsi que les diverses légendes et prédictions des peuples rencontrés au fil du récit laissent entendre une fin assez sombre ; le préambule quant à lui nous annonce dès le départ que « l’auteur est un menteur »… ; tout est là pour nous donner envie de continuer cette histoire pour en connaître les détails jusqu’au fin mot.
Mes dégustations