L'histoire dont vous êtes le héros.
Règles du forum
Attention! Dans ce Forum, uniquement les jeux littéraires, pour des jeux non littéraires allez dans : Jeux libres
Attention! Dans ce Forum, uniquement les jeux littéraires, pour des jeux non littéraires allez dans : Jeux libres
-
- Messages : 34
- http://tworzymyatmosfere.pl/poszewki-jedwabne-na-poduszki/
- Inscription : jeu. 30 août, 2012 3:14 pm
L'histoire dont vous êtes le héros.
Vous connaissez ces livres dont vous êtes le héros de l’histoire ?
Voilà, j’ai eu cette idée : quelqu’un lance un texte ( environ 10 lignes pour chaque textes. ) à la fin de celui-ci il donne deux ou trois propositions pour le suivant. Imaginons, vous écrivez un texte qui parle de pirates. Il finit par =>
Le méchant pirate sortit :
A. son épée.
B. son chapeau
C. Une barre chocolatée.
Le suivant, choisi parmi ces propositions celle qui lui plaît et continu le texte en écrivant A, B, ou C au début de celui-ci. À la fin de son texte il fait à son tour quelques propositions. Et ainsi de suite ...
J'espère que j'ai assez bien expliquée
Pour celui qui commence ce serai bien d'éviter de continuer avec l'idée des pirates
Bon, bah ... A vous !
Voilà, j’ai eu cette idée : quelqu’un lance un texte ( environ 10 lignes pour chaque textes. ) à la fin de celui-ci il donne deux ou trois propositions pour le suivant. Imaginons, vous écrivez un texte qui parle de pirates. Il finit par =>
Le méchant pirate sortit :
A. son épée.
B. son chapeau
C. Une barre chocolatée.
Le suivant, choisi parmi ces propositions celle qui lui plaît et continu le texte en écrivant A, B, ou C au début de celui-ci. À la fin de son texte il fait à son tour quelques propositions. Et ainsi de suite ...
J'espère que j'ai assez bien expliquée
Pour celui qui commence ce serai bien d'éviter de continuer avec l'idée des pirates
Bon, bah ... A vous !
-
- Messages : 34
- Inscription : jeu. 30 août, 2012 3:14 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
D'accord, bon et bien voilà :
La nuit était tombée et les étoiles brillaient à travers le ciel. La ville était très silencieuse, j'aurais presque pue entendre le ronflement de ses habitants. Les astres blancs au-dessus de ma tête éclairaient mon chemin.
3h00 du matin. Pas vraiment une heure à laquelle on devrait s'aventurer dehors ... Je tressaillais, j'avais l'impression d'être suivie, épiée, je me retournais à chaque pas en remarquant bel et bien que j'étais la seule à m'aventurer dehors.
Vous-vous dites que je suis inconsciente . Eh bien, voyez-vous 3h00 du matin est l'heure idéale à laquelle l'on pourrait partir de chez soi. Tout plaquer. J'avais pris 500 euros deux mois plus tôt grâce à la carte bleue de ma mère. De quoi tenir pas mal de temps sans être trop dépensière. Mon père mort je ne savais plus quoi penser, , partir était la seule solution que j'eu trouvée. Un chat fila à vive allure devant mes yeux. Je ne savais pas si j'étais triste ou bien ... heureuse ... de partir ? Prendre son envol. Oui, tout oublié pour tout recommencer. Ailleurs. La route se faisait longue. Tout à coup des :
A.Coups de fusil retentirent.
B.Des bruits de pas se firent entendre.
C.Un flash d'appareil photo m'éblouit.
La nuit était tombée et les étoiles brillaient à travers le ciel. La ville était très silencieuse, j'aurais presque pue entendre le ronflement de ses habitants. Les astres blancs au-dessus de ma tête éclairaient mon chemin.
3h00 du matin. Pas vraiment une heure à laquelle on devrait s'aventurer dehors ... Je tressaillais, j'avais l'impression d'être suivie, épiée, je me retournais à chaque pas en remarquant bel et bien que j'étais la seule à m'aventurer dehors.
Vous-vous dites que je suis inconsciente . Eh bien, voyez-vous 3h00 du matin est l'heure idéale à laquelle l'on pourrait partir de chez soi. Tout plaquer. J'avais pris 500 euros deux mois plus tôt grâce à la carte bleue de ma mère. De quoi tenir pas mal de temps sans être trop dépensière. Mon père mort je ne savais plus quoi penser, , partir était la seule solution que j'eu trouvée. Un chat fila à vive allure devant mes yeux. Je ne savais pas si j'étais triste ou bien ... heureuse ... de partir ? Prendre son envol. Oui, tout oublié pour tout recommencer. Ailleurs. La route se faisait longue. Tout à coup des :
A.Coups de fusil retentirent.
B.Des bruits de pas se firent entendre.
C.Un flash d'appareil photo m'éblouit.
-
- Messages : 4
- Inscription : sam. 11 févr., 2012 5:40 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
merci d'avoir commencé ! ^^
(peu pas encore jouer moi .... TToTT)
(peu pas encore jouer moi .... TToTT)
-
- Messages : 34
- Inscription : jeu. 30 août, 2012 3:14 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
C'etait bien ce qu'il fallait faire ! Ton texte est super sheireen !
-
- Messages : 17
- Inscription : dim. 25 nov., 2012 10:43 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Les pas se rapprochaient, je me relevai quand même et courut de nouveau. Merde! Mais qu'est-ce qu'ils me voulaient à la fin! Je n'avais jamais couru aussi vite de ma vie, l'adrénaline faisait de merveilles. Il fallait que je me trouve une cachette. Aussitôt j'aperçus une minuscule ruelle planquée derrière une boutique de bijoux fantaisie. Exactement le genre d'endroit dans lequel on a certainement pas envie d'aller faire un tour au beau milieu de la nuit! Mais au point où j'en étais... . Sans plus hésité je fonçais. Par miracle deux grosses poubelles et un empilement de cartons permirent de me cacher. J'essayais de reprendre mon souffle, qui donc pouvait bien me courir après à 3 heures du matin. Si j'étais partis c'était pour avoir une vie nouvelle, tout recommencer et partir sur de meilleurs bases. Apparemment le destin n'est pas très clément. Les bruits de pas se calmèrent, ils devaient avoir arrêter de courir. Mon coeur battait la chamade j'espérais qu'il ne me découvre pas sous mon abri de fortune. Quelqu'un jura et cria:" Retrouvez là! Elle est là, je le sais, je le sens!". Il finit dans une sorte de grognement qui me glaça le sang.
A-Soudain une main me tira de là où je me trouvais
B-Je les entendais s'activer, mais aucun n'approchais de là où j'étais
C-J'aperçus au bout de la ruelle où je me trouvais ce qui pouvait devenir mon issue de secours
A-Soudain une main me tira de là où je me trouvais
B-Je les entendais s'activer, mais aucun n'approchais de là où j'étais
C-J'aperçus au bout de la ruelle où je me trouvais ce qui pouvait devenir mon issue de secours
-
- Messages : 1948
- Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Soudain une main me tira de là où je me trouvais.Une autre se mit devant ma bouche et aucun son ne sortit de celle-ci.Enfin,on me lacha et je fit volte-face.Un garçon en guenilles avait son doight devant sa bouche :
-chuttttttttt !il vont te trouver !On dirai un éléphant !
-désoler,je fais ce que je peut.Qui est-tu ?
-Je m'apelle Mathéo.Je suis,comme on dit,un vagabond !Suis moi ou tes poursuivants vont te retrouver !
Je n'arrivais pas à lui donné un age .Mais il avais l'air sympatique,alors,confiante,je le suivis.
A-Il l'enmènne dans une petit cabane en bois
B-Il l'enmènne dans un bidon ville
C-il courent vers la forêt
-chuttttttttt !il vont te trouver !On dirai un éléphant !
-désoler,je fais ce que je peut.Qui est-tu ?
-Je m'apelle Mathéo.Je suis,comme on dit,un vagabond !Suis moi ou tes poursuivants vont te retrouver !
Je n'arrivais pas à lui donné un age .Mais il avais l'air sympatique,alors,confiante,je le suivis.
A-Il l'enmènne dans une petit cabane en bois
B-Il l'enmènne dans un bidon ville
C-il courent vers la forêt
-
- Messages : 21
- Inscription : mar. 06 nov., 2012 11:04 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Nous courûmes vers la forêt. Je me demandais comment se faisait-il que je suive un inconnu à cette heure-ci dans la forêt sans poser de questions. Peut-être étais-ce une espèce d'état de choc ? Non. Je me sentais parfaitement consciente; je me sentais juste bien avec lui qui me tenait la main derrière lui pour pas que je me perde. C'est un de ces garçons qui paraîssent distants et froids, alors que, quand on a besoin d'eux, ils n'hésitent pas à aider. Nous arrivâmes, après une dizaine de minutes de marche rapide, devant une petite clairrière où, la première chose que je vis fut :
a) une tente
b) un chien
c) une maison qui semblait abandonnée
a) une tente
b) un chien
c) une maison qui semblait abandonnée
-
- Messages : 17
- Inscription : dim. 25 nov., 2012 10:43 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
une maison qui me sembla abandonnée. Je jetais un coup d'oeil à mon "héro", il était grand, il me dépassait d'une bonne tête et malgré l'obscurité je vis qu'il était blond, il semblait bien connaitre l'endroit. Déboussolée je lui demandais:
- Où est-ce qu'on est ? Et puis t'es qui toi?
Je commençais à me rendre compte de l'absurdité de la chose, comment tout cela avait-il bien pu dégénérer de la sorte? Il me répondit calmement:
-Dans un lieu sur. Je te ferais également remarquer que je viens de te sauver la vie la moindre des choses serait de me remercier non?
Il avait une voix grave et douce mais qui se fit plus cassante, apparemment je l'avais vexé mais hors de question de m'excuser, je n'avais pas demander d'aide de sa part à ce que je sache! De plus je ne lui faisait pas confiance. Après tout il m'avait entrainer dans un endroit complètement perdu sans me donner d'autres explications.
-Je n'ais pas demander à ce que tu m'aides! Je savais exactement comment me sortir de là!
C'était sans doute le plus gros mensonge de toute ma vie... . En réalité s'il ne m'avait pas aider je n'ai aucune de comment je m'en serais sortis. Je crus apercevoir une ombre de sourire sur son visage. Mais
A-il m'ignora et me pris par la main pour m'entrainer vers la maison
B-il me répondit:
C-il soupira et me regarda doit dans les yeux
- Où est-ce qu'on est ? Et puis t'es qui toi?
Je commençais à me rendre compte de l'absurdité de la chose, comment tout cela avait-il bien pu dégénérer de la sorte? Il me répondit calmement:
-Dans un lieu sur. Je te ferais également remarquer que je viens de te sauver la vie la moindre des choses serait de me remercier non?
Il avait une voix grave et douce mais qui se fit plus cassante, apparemment je l'avais vexé mais hors de question de m'excuser, je n'avais pas demander d'aide de sa part à ce que je sache! De plus je ne lui faisait pas confiance. Après tout il m'avait entrainer dans un endroit complètement perdu sans me donner d'autres explications.
-Je n'ais pas demander à ce que tu m'aides! Je savais exactement comment me sortir de là!
C'était sans doute le plus gros mensonge de toute ma vie... . En réalité s'il ne m'avait pas aider je n'ai aucune de comment je m'en serais sortis. Je crus apercevoir une ombre de sourire sur son visage. Mais
A-il m'ignora et me pris par la main pour m'entrainer vers la maison
B-il me répondit:
C-il soupira et me regarda doit dans les yeux
-
- Messages : 34
- Inscription : jeu. 30 août, 2012 3:14 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Il soupira et me regarda droit dans les yeux :
- Part dans ce cas. Mais c'est à tes risques et périls.
Idiote ! Je n'allais quand même pas partir maintenant ! Pourquoi je venais de dire de telles sottises ?
- Non, je ne vais pas partir. Je reste avec toi ... Pour te ... Euh... Surveiller !
- Ben voyons ...
Je me rendis compte que je ne l'avais pas lâché des yeux depuis le début de notre conversation. Ils étaient aussi brillants que deux émeraudes, aussi coloré que l'océan et, aussi profond que l'infini.
Ma rêverie fut interrompue par ses deux mains fortes et solides qui venaient me prendre les épaules pour me pousser à courir vers la maison abandonnée. Je reconnus pour la seconde fois la poigne de fer de Mathéo. Les bruits de pas étaient revenus. Je courais bien plus vite que je ne le pensais. L'adrénaline, la peur. Mathéo me talloné. J'ouvris à la volée la porte de bois qui émit un grincement strident. J'entendis derière moi mon sauveur crier que nos poursuivants ne m'auraient pas. Mais qu'est-ce qu'ils me voulaient à la fin ? Je n'avais rien d'extraordinaire, non ? Apeurée je me recroquevillai sous une vieille table et attendis Mathéo. 10 minutes. 20 minutes. 30 minutes. Je m'imaginais tout sorte de scénario. L'attente qui se refermais sur moi comme un étau m'invita à ressortir de la maison pour y découvrir à ma plus grande stupéfaction
A. Mathéo haletant sur le seuil de la porte
B. Un homme pointant une arme sur moi.
C. Un vieux pendentif gravé d'une phrase en une langue qui m'était inconnue.
- Part dans ce cas. Mais c'est à tes risques et périls.
Idiote ! Je n'allais quand même pas partir maintenant ! Pourquoi je venais de dire de telles sottises ?
- Non, je ne vais pas partir. Je reste avec toi ... Pour te ... Euh... Surveiller !
- Ben voyons ...
Je me rendis compte que je ne l'avais pas lâché des yeux depuis le début de notre conversation. Ils étaient aussi brillants que deux émeraudes, aussi coloré que l'océan et, aussi profond que l'infini.
Ma rêverie fut interrompue par ses deux mains fortes et solides qui venaient me prendre les épaules pour me pousser à courir vers la maison abandonnée. Je reconnus pour la seconde fois la poigne de fer de Mathéo. Les bruits de pas étaient revenus. Je courais bien plus vite que je ne le pensais. L'adrénaline, la peur. Mathéo me talloné. J'ouvris à la volée la porte de bois qui émit un grincement strident. J'entendis derière moi mon sauveur crier que nos poursuivants ne m'auraient pas. Mais qu'est-ce qu'ils me voulaient à la fin ? Je n'avais rien d'extraordinaire, non ? Apeurée je me recroquevillai sous une vieille table et attendis Mathéo. 10 minutes. 20 minutes. 30 minutes. Je m'imaginais tout sorte de scénario. L'attente qui se refermais sur moi comme un étau m'invita à ressortir de la maison pour y découvrir à ma plus grande stupéfaction
A. Mathéo haletant sur le seuil de la porte
B. Un homme pointant une arme sur moi.
C. Un vieux pendentif gravé d'une phrase en une langue qui m'était inconnue.
-
- Messages : 1948
- Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Mathéo haletant sur le seuil de la porte .
-Ca va ? ,demandai-je.
-Ca va !
Je remarquais à présent grâce a la lune qu'il était grand mais que son visage parraissait puéril.
-Quel âge as-tu ?
-Je ne sais pas.Je suis un enfant des rues.D'ailleurs,ces gents t'ont pris pour une de mes semblables !Ils nous pourchassent car nous facilitons la transmition des maladies.
J'étais de moins en moins rassurée.Il était 3h du matin, j'étais avec un garçon inconnu, sale et peut-être mal intentionné.Je frissonnais.Malrès moi,je reculais d'un pas.Mathéo
A-me regarda méchament
B-sortit un couteau
C-sourit en découvrant ses dents sales et aiguisées.
-Ca va ? ,demandai-je.
-Ca va !
Je remarquais à présent grâce a la lune qu'il était grand mais que son visage parraissait puéril.
-Quel âge as-tu ?
-Je ne sais pas.Je suis un enfant des rues.D'ailleurs,ces gents t'ont pris pour une de mes semblables !Ils nous pourchassent car nous facilitons la transmition des maladies.
J'étais de moins en moins rassurée.Il était 3h du matin, j'étais avec un garçon inconnu, sale et peut-être mal intentionné.Je frissonnais.Malrès moi,je reculais d'un pas.Mathéo
A-me regarda méchament
B-sortit un couteau
C-sourit en découvrant ses dents sales et aiguisées.
-
- Messages : 29
- Inscription : ven. 09 nov., 2012 9:43 am
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Mathéo sourit en découvrant ses dents sales et aiguisées. Alors qu'il me parlait, je ne l'écoutais pas, et me demandais comment où pouvait vivre comme ça, sans même se laver les dents de temps en temps. Je hochais la tête pour lui faire croire que je m'intéressais à ce qu'il disait (je suis perdue, et seule s'il me laisse, alors mieux vaut ne pas le vexer). Je commençais à comprendre que j'aurais dû l'écouter au moment...
A= où ses lèvres se rapprochaient des miennes
B= où il partit en me laissant en plan
C= où il appela toute sa famille
A= où ses lèvres se rapprochaient des miennes
B= où il partit en me laissant en plan
C= où il appela toute sa famille
-
- Messages : 1948
- Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
où il partit en me laissant en plan.Abasourdie, je l'apellais :
-hey Mathéo !tu va où ?
-Là où la vie me menne !Apparament, tu sais ce que tu fais et où tu va puisque tu ne prend même pas la peine de me répondre...!
-Non, désoler, j'écoutais pas,lachais-je.
Il sourit à nouveau.
-Puis-je deviné ce qu'une jeune fille fait au milieu de la nuit loin de chez elle ?tu fugue ?
-heu...
-tu as bien tort de laisser un nid douillet et des repas chauds.
Le rouge me monta aux joues et je devins confuse.La mort de mon père m'avais détruite.Je pleurais en silence.
A-Mathéo me prit délicatement dans ses bras
B-Mathéo,géné, me laissa seule
C-Mathéo, déçu par ma conduite, part.
-hey Mathéo !tu va où ?
-Là où la vie me menne !Apparament, tu sais ce que tu fais et où tu va puisque tu ne prend même pas la peine de me répondre...!
-Non, désoler, j'écoutais pas,lachais-je.
Il sourit à nouveau.
-Puis-je deviné ce qu'une jeune fille fait au milieu de la nuit loin de chez elle ?tu fugue ?
-heu...
-tu as bien tort de laisser un nid douillet et des repas chauds.
Le rouge me monta aux joues et je devins confuse.La mort de mon père m'avais détruite.Je pleurais en silence.
A-Mathéo me prit délicatement dans ses bras
B-Mathéo,géné, me laissa seule
C-Mathéo, déçu par ma conduite, part.
-
- Messages : 82
- Inscription : mar. 21 févr., 2012 3:05 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Étonné, il me sera quand même doucement contre lui.
_ Merci, merci, merci... murmurais-je contre son tee-shirt sale.
_ De rien.
_ Tu n'étais pourtant pas obligé de faire ça, répliquais-je d'une voix rendue suraiguë par l'émotion.
Il passa sa main dans ses cheveux en un geste naturel, qu'on sentait plein de gène. Il m'offrit un sourire penaud.
_ J'aurais aimé que quelqu'un me tende la main quand j'en avais besoin. Même si je ne suis pas d'accord avec ce que tu as fait - tu as quitté tout ce que je n'ai pas - je n'allais pas te laisser... comma ça.
Il me désigna d'un geste de la main.
Alors, je m'observais. J'étais toute débraillée, le jean taché de terre de m'être accroupie dans cette ruelle. Mon pull ample dénudait l'une de mes épaules et mes cheveux bruns en bataille retombaient, hirsutes. Il m'était aisé de deviner mon visage. Ma bouche fine très rouge naturellement, mon petit nez en trompette et mes yeux bleus écarquillés, ahuris.
_ C'est vrai que j'ai l'air d'une folle.
_ Peut-être, mais tu as tes raisons. On a tous tes raisons.
_ Et toi, quel est la raison pour laquelle tu n'essaie pas de changer de vie ? dis-je d'une voix acerbe.
Son regard se durcie et...
A Je crus qu'il allait me frapper
B Il fondit en larmes
C Il s'enfuit en courant vers la maison
_ Merci, merci, merci... murmurais-je contre son tee-shirt sale.
_ De rien.
_ Tu n'étais pourtant pas obligé de faire ça, répliquais-je d'une voix rendue suraiguë par l'émotion.
Il passa sa main dans ses cheveux en un geste naturel, qu'on sentait plein de gène. Il m'offrit un sourire penaud.
_ J'aurais aimé que quelqu'un me tende la main quand j'en avais besoin. Même si je ne suis pas d'accord avec ce que tu as fait - tu as quitté tout ce que je n'ai pas - je n'allais pas te laisser... comma ça.
Il me désigna d'un geste de la main.
Alors, je m'observais. J'étais toute débraillée, le jean taché de terre de m'être accroupie dans cette ruelle. Mon pull ample dénudait l'une de mes épaules et mes cheveux bruns en bataille retombaient, hirsutes. Il m'était aisé de deviner mon visage. Ma bouche fine très rouge naturellement, mon petit nez en trompette et mes yeux bleus écarquillés, ahuris.
_ C'est vrai que j'ai l'air d'une folle.
_ Peut-être, mais tu as tes raisons. On a tous tes raisons.
_ Et toi, quel est la raison pour laquelle tu n'essaie pas de changer de vie ? dis-je d'une voix acerbe.
Son regard se durcie et...
A Je crus qu'il allait me frapper
B Il fondit en larmes
C Il s'enfuit en courant vers la maison
-
- Messages : 1948
- Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Nous retournâmes dans la maison abandonnée.Là, il alluma un feu avec les moyens du bord.
-C'est un peu mon refuge ici, même si c'est en ruine, répondit-il a ma question silencieuse.
Je lisais la tristesse dans ses yeux et je m'en voulais.
-Et maintenant on fait quoi ?demandais-je.
-Toi, tu rentre chez toi d'abord.Et puis, il n'y a pas de "on",répliqua-t-il d'un ton acccerbe.
J'ouvris la bouche pour parler mais je la refermais.Il me prennait pour une gamine et en plus, il voulait que je le quitte au plus vite !J'imaginais très bien mes yeux bleus ouverts bien grands et ma bouche entrouverte de stupeur.Il est certain que j'avais une tête d'ahurie à ce moment-là.Il me regarda fixement.Je ne savais pas si je devais prendre la porte ou rester là.Pourtant il avait été clair.Alors, couragesement je lui dit :
-Tu as raison, j'ai été bête de partir comme ça de chez moi.Ca ne va pas rescusiter mon père de toute façon !
Malgrès moi, je me mis à pleurer.C'était mort pour le côté courageux.Adoussit, il me prit dans ses bras et
A-me dit quelque chose a l'oreille que je ne compris pas
B-me dit au revoir
C-ma parla à voix basse :<<...
-C'est un peu mon refuge ici, même si c'est en ruine, répondit-il a ma question silencieuse.
Je lisais la tristesse dans ses yeux et je m'en voulais.
-Et maintenant on fait quoi ?demandais-je.
-Toi, tu rentre chez toi d'abord.Et puis, il n'y a pas de "on",répliqua-t-il d'un ton acccerbe.
J'ouvris la bouche pour parler mais je la refermais.Il me prennait pour une gamine et en plus, il voulait que je le quitte au plus vite !J'imaginais très bien mes yeux bleus ouverts bien grands et ma bouche entrouverte de stupeur.Il est certain que j'avais une tête d'ahurie à ce moment-là.Il me regarda fixement.Je ne savais pas si je devais prendre la porte ou rester là.Pourtant il avait été clair.Alors, couragesement je lui dit :
-Tu as raison, j'ai été bête de partir comme ça de chez moi.Ca ne va pas rescusiter mon père de toute façon !
Malgrès moi, je me mis à pleurer.C'était mort pour le côté courageux.Adoussit, il me prit dans ses bras et
A-me dit quelque chose a l'oreille que je ne compris pas
B-me dit au revoir
C-ma parla à voix basse :<<...
-
- Messages : 744
- Inscription : mer. 04 janv., 2012 10:15 am
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Il leva les yeux au ciel et répliqua aussitôt:
-Je n'ai pas...Et puis...Oh!Tu m'exaspères!
Il repartit vers la maison abandonnée sans un autre mot. Je voulus continuer ma route sans me soucier outre mesure de lui mais à peine avais-je fait quelques pas que je ressenti une douleur lancinante dans la cheville. Je grimacais. Malgré tout,je poursuivi mon chemin quelques instants. Ma nuque ma picotait desagreablement. Il m'observait,je le savais. Pour me donner une contenance,je redressai ma démarche lorsque mon pierd heurta une pierre. Ce fut le choc de trop. Je m'effondrais
A-inconsciente
B-En pleurs
C-Comme une souche
-Je n'ai pas...Et puis...Oh!Tu m'exaspères!
Il repartit vers la maison abandonnée sans un autre mot. Je voulus continuer ma route sans me soucier outre mesure de lui mais à peine avais-je fait quelques pas que je ressenti une douleur lancinante dans la cheville. Je grimacais. Malgré tout,je poursuivi mon chemin quelques instants. Ma nuque ma picotait desagreablement. Il m'observait,je le savais. Pour me donner une contenance,je redressai ma démarche lorsque mon pierd heurta une pierre. Ce fut le choc de trop. Je m'effondrais
A-inconsciente
B-En pleurs
C-Comme une souche
-
- Messages : 1948
- Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Je m'effondrais comme une souche.Un éclat de rire retentit dans mon dos.Et je savais très bien de qui il venait.Blessée dans mon amour-propre, je me relevais la tête haute, ce qui le fit encore plus rire.Je soupirais et revins vers lui.
-Alors l'aventurière, on à mal à sa papatte ? , me charria-il, Bon, aller viens, on retourne se reposer à la cabane.Ca ira mieux demain !
Je le suivit et nous revinrent sur nos pas.Le feu crépitait toujours, nous eumes pas besoin de le rallumer.Mathéo me fit asseoir et il m'appliqua une espèce de crème argileuse sur la cheville.Ses gestes calmes et précis me réconfortèrent.Même si j'étais génée de le sentir masser ma cheville, j'étais bien.Il apperçut mon trouble et
A-me sourit
B-defit l'ourlet de mon pantalon
C- me proposa de dormir.
-Alors l'aventurière, on à mal à sa papatte ? , me charria-il, Bon, aller viens, on retourne se reposer à la cabane.Ca ira mieux demain !
Je le suivit et nous revinrent sur nos pas.Le feu crépitait toujours, nous eumes pas besoin de le rallumer.Mathéo me fit asseoir et il m'appliqua une espèce de crème argileuse sur la cheville.Ses gestes calmes et précis me réconfortèrent.Même si j'étais génée de le sentir masser ma cheville, j'étais bien.Il apperçut mon trouble et
A-me sourit
B-defit l'ourlet de mon pantalon
C- me proposa de dormir.
-
- Messages : 1948
- Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Je m'assis à ses côtés et attendis qu'il se calme.Quand sa respiration fut moins rapide, je lui dit:
-Souhate, je rentrerai chez moi.Mais à une condition !
-Je ne marche pas au chantage.Mais dit toujours.
-Demain après-midi, sois ici !
-Ca marche !Bonne nuit l'amie !
Et je partis seule dans la nuit.Arrivée dans ma cours, je rentrais par le fenêtre laissée entrouverte et me recouchais.Le lendemain étéait un samedi, je pourrai dormir.Je m'assoupis tout de suite.
A-je revais de Mathéo
B- ce fut maman qui me réveilla
C- quand je me réveilla, il était 2h de l'après midi
-Souhate, je rentrerai chez moi.Mais à une condition !
-Je ne marche pas au chantage.Mais dit toujours.
-Demain après-midi, sois ici !
-Ca marche !Bonne nuit l'amie !
Et je partis seule dans la nuit.Arrivée dans ma cours, je rentrais par le fenêtre laissée entrouverte et me recouchais.Le lendemain étéait un samedi, je pourrai dormir.Je m'assoupis tout de suite.
A-je revais de Mathéo
B- ce fut maman qui me réveilla
C- quand je me réveilla, il était 2h de l'après midi
-
- Messages : 744
- Inscription : mer. 04 janv., 2012 10:15 am
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Très impatiente d'en avoir,je partis tout de suite vers le lieu de rendez-vous. Pressée,je réussis à oublier momentanéent ma douleur à la cheville. Je hatais le pas-si tant est que la chose soit possible-dès que j'apercu la forêt. Au loin,je vis une fumée grise et acariâtre s'élever vers les nuages. Ainsi,il était là. Déjà.Soulagée,je poussais un soupir. Je n'allais pas avoir à l'attendre ou pire,à le chercher. Je continuait ma route quand je me rendis compte que les retrouvailles allaient être plus compliquées que je le pensais quelques instants plus tôt. Arrivée à la maison délabrée,je vis Mathéo
A-Seul,les yeux fermés,assis au coin du feu
B-Sur le perron,à pleurer.
C-Assis à l'intérieur avec une femme.
A-Seul,les yeux fermés,assis au coin du feu
B-Sur le perron,à pleurer.
C-Assis à l'intérieur avec une femme.
-
- Messages : 1948
- Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Assis à l'intérieur avec une femme.Je signalais mon entrée en toussotant.Mathéo sursauta et fit une drôle de moue en me voyant.
-Salut, dit-il sans chaleur.
La femme, elle, me regarda mais n'ouvrit pas la bouche.Un grand silence s'installa.Enfin, elle prit la parole et me dit:
-Dite donc la miss !Tu vois pas que tu gènne ?Bouge !
-He bien !Vous avez une façon d'accueillir les gens vous !Et toi, Mathéo, tu as de bien curieux amis !
Je partis en claquant la porte le plus fort possible.J'étais vexée que Mathéo ne m'ais même pas défendue.Un instant plus tard,
A-ils sortirent et se séparèrent
B-Mathéo vint me voir
C-Il sortirent en s'embrassant.
-Salut, dit-il sans chaleur.
La femme, elle, me regarda mais n'ouvrit pas la bouche.Un grand silence s'installa.Enfin, elle prit la parole et me dit:
-Dite donc la miss !Tu vois pas que tu gènne ?Bouge !
-He bien !Vous avez une façon d'accueillir les gens vous !Et toi, Mathéo, tu as de bien curieux amis !
Je partis en claquant la porte le plus fort possible.J'étais vexée que Mathéo ne m'ais même pas défendue.Un instant plus tard,
A-ils sortirent et se séparèrent
B-Mathéo vint me voir
C-Il sortirent en s'embrassant.
-
- Messages : 744
- Inscription : mer. 04 janv., 2012 10:15 am
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Ils sortirent et se séparerent.Furieuse,je n'attendis même pas que Mathéo vienne me trouver-et ce,si c'était vraiment son envie.Je me précipitais vers et,sans douceur,je le giflai. Ma réaction n'a rien d'explicable car elle était due à un je ne sais quoi de jalousie qui avait poussé en moi.(Je ne sais absolument pas pourquoi)Mathéo,vexé,en colère et déterminée me cria:
-Alors,la demoiselle me frappe maintenant. Serait-elle jalouse?
-Jamais,ça jamais!
Plus gros mensonge de ma vie.
-Quoi donc alors,me demanda-t-il,mesquin.
-Je...euh,je ne peux plus.
Deuxième plus gros mensonge de ma vie.Mathéo interpréta mal mon silence car il me frappa durement.
Je tombais
A-Evanouie sous la violence du choc
B-E n pleurs et honteuse
C-Mollement
-Alors,la demoiselle me frappe maintenant. Serait-elle jalouse?
-Jamais,ça jamais!
Plus gros mensonge de ma vie.
-Quoi donc alors,me demanda-t-il,mesquin.
-Je...euh,je ne peux plus.
Deuxième plus gros mensonge de ma vie.Mathéo interpréta mal mon silence car il me frappa durement.
Je tombais
A-Evanouie sous la violence du choc
B-E n pleurs et honteuse
C-Mollement
-
- Messages : 82
- Inscription : mar. 21 févr., 2012 3:05 pm
Re: L'histoire dont vous êtes le héros.
Je tombais en pleur et honteuse. Ne comprenait-il pas que toute cette situation était absurde ? Dans un emportement purement hormonal - on va dire ça comme ça hein - je l'avais giflé. Mais il fallait me comprendre ! J'étais tellement déboussolée que l'avoir trouvé ici avec cette femme - pas franchement jolie soit dit en passant - m'avait mise hors de moi. J'étais venu ici pour trouver des réponses et m'évader de cet foutu maison - vide, si vide...
_ T'es calmée maintenant !?
_ Peut être.
Je me redressais en frottant ma joue meurtrie.
Il me fixa quelques minutes puis poussa un long soupir.
_ Je suis désolé si ta petite personne a été dérangée par la présence de mon amie, mais je n'y peux rien changer. Pourquoi t'es revenu ?
_ Parce que je te l'avais dit.
Il leva les yeux au ciel.
_ Pourquoi es-tu revenu ?
_ Parce que...
A_ Je voulais m'assurer que la dernière nuit était bien réelle
B _ J'ai rêvé de toi
C _ Il fallait que je te revois
_ T'es calmée maintenant !?
_ Peut être.
Je me redressais en frottant ma joue meurtrie.
Il me fixa quelques minutes puis poussa un long soupir.
_ Je suis désolé si ta petite personne a été dérangée par la présence de mon amie, mais je n'y peux rien changer. Pourquoi t'es revenu ?
_ Parce que je te l'avais dit.
Il leva les yeux au ciel.
_ Pourquoi es-tu revenu ?
_ Parce que...
A_ Je voulais m'assurer que la dernière nuit était bien réelle
B _ J'ai rêvé de toi
C _ Il fallait que je te revois