[Jeu] Écriture : sentiments, qualités, défauts

[WinterSpirit]

Dans la vie, j'ai toujours préféré prendre la facilité. Mentir. Comme une arracheuse de dents. Il y a deux voies, et moi, je n'ai emprunté celle de la vérité que très rarement. Pourquoi me compliquerai-je la vie quand je peux éviter les drames ou les problèmes en transformant la réalité ? Je la modèle, cette vérité, jusqu'à ce qu'elle me convienne et que moi-même j'y crois. Mais je peux faire ce que je veux, le mensonge est éphémère. Comme un papillon de nuit, il survole les ombres jusqu'à ce que la lumière l'éblouisse et l'empêche de survivre. Alors le papillon de nuit s'éteint, ne laissant qu'une vieille carcasse qui demeure sur le sol jusqu'à ce que quelqu'un vienne la jeter et la faire disparaître. Le mensonge est malléable à souhait, mais se disloque presque aussitôt que quelqu'un s'en approche de trop près. Voilà pourquoi le mensonge est mon meilleur ami, comme il est mon pire ennemi.

la fureur

[glamour123]

J'ai toujours voulu passer une vie normal, sans artifice, sans me faire trop remarquer. Malheureusement, je suis née avec de beaux cheveux roux. Difficile de passer inaperçue, surtout quand quelqu'un cri : Poil de carotte ! Voilà à quoi se résume pas misérable vie. Aux moqueries. Mais on peut dire qu'à un moment de ma vie, elle fut un peu différente. Je vais vous l'expliquez. Alors que je marchai tranquillement dans la rue sans faire trop attention aux personnes qui m'entoure, je percutai quelqu'un. Et comme tu te sens complétement bête, tu ne réponds que : " Désolée" et tu prends un air désolé. C'est ce que je fis. La personne que j'avais percuté était quelqu'un homme, d'environ mon âge, grand... qui a tout pour plaire. Mais, lorsque j'eue croisé son regard, je fus pétrifiée. Des flammes. Brûlantes. Voilà ce qu'il y a avait dans son regard. De la fureur. Il passa son chemin et je pus reprendre ma vie. Mais je me souviens de ses flammes à en glacer le sang. Quelques jours passèrent où tout était normal. Je ne t'ai pas revue. Je ne te cherche pas. Je vis ma vie. Puis le prof nous annonça qu'on aurait un nouvel élève mais seulement pour quelques jours. Il le présenta. Lui. Les flammes. Les yeux. Lorsqu'il me vit il poussa un juron. On se sent aimé. Le prof le mit au premier rang. Je suis au dernier. Les jours où il était dans ma classe durent vraiment bizarres. Il passa son temps à me regarder avec ses yeux. Puis un jour il repartit. Je n'était pas triste ni contente. Je me souviendrais juste de sa fureur. Pour toujours.

le choix.

[CapClaire]

Dilemme. Dilemme, je me crois dans une mauvaise tragédie grecque. Me voila face à mon destin. Partir à la fac, avoir un bon diplôme et à la suite un bon travail, gagner de l'argent et vivre comme n'importe qui de normal sur cette terre. Ou alors, partir naviguer tous les jours ou presque, vivre avec ma passion, avec tous ce qui fais que j'aime vivre aujourd'hui et faire pourquoi pas une préparation olympique. C'est un rêve que je nourris depuis que je suis enfant, même si à l'époque sa avait commencer avec un autre sport. Je me retrouve là, avec mon BAC dans la poche, un BAC avec mention et un choix cornélien à faire. Qu'est-ce qui serai le mieux pour moi? Je peux aller aux deux endroits en même temps, j'y ai été accepté mais j'ai fais l'erreur, ou pas, de ne le dire à personne, je n'ai rien dis parce que je pensais que c'était le mieux à faire, mais maintenant je ne sais lus où j'en suis. Que faire face à ce choix qui me déchire de toute part.

La beauté

[glamour123]

Mon seul et unique objectif dans la vie c'est être belle. J'aime tout ce qui est beau. Je veux être belle. Peu importe combien cela coûte. Après tout, je suis riche. On dit que la beauté ne fait pas le bonheur mais si tu es moche, tu ne peux pas être heureuse. Bah oui, personne ne te remarquera, tu resteras célibataire pour la fin de tes jours. Je suis belle. Je suis heureuse. C'est aussi simple que ça. Mon emploi du temps se résumé à ça : 5 heures dans la salle de bain par jour, 2 séances de spa dans une semaine, 1 séance chez le coiffeur tous les mois voire deux. 1 séance manucure par semaine, 20 heures de shopping par semaine. Comme je vous l'ai dit précédemment, je passe 4 heures dans la salle de bain le matin et 1 heure le soir mais pour tout vous dire, je passe 1 heure à choisir ma tenue du lendemain et parfois je peux changer à la dernière minute pour un quelconque motif. Mais le plus magique dans tout ça, c'est que je ne suis pas fatiguée et que j'arrive à l'heure chaque matin. Pour les vêtements, je ne porte que du sur-mesure d'un grand tailleur haut de gamme et bien évidemment j'ai un styliste personnel. Je ne suis jamais rentrée dans une boutique prêt-à-porter. Beurk..! Voilà ce qu'est ma vie. Beauté. Beauté. Beauté.

J'ai adoré la reprise du l'argent ne fait pas le bonheur XD

stress.

[CapClaire]

Je le déteste, il est toujours là à me suivre dans chacun de mes déplacements. Il me suis comme s'il était coller à moi 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 12 mois sur 12. Ma vie est devenue à cause de lui un véritable cauchemar. Je suis une grande stresser de la vie, rendre un devoir pour les cours, aller à un rendez-vous, me rendre chez des amis. J'ai constamment peur d'arriver en retard, de ne pas être à la hauteur de ce que l'on attend de moi. J'ai cette peur, ce stress qui monte en moi comme taureau en rage, il me dévore et me consume de l'intérieur sans que je ne puisse rien y faire. Fichu hérédité familiale, mes grands parents étaient vraiment obligés de me refiler un tel poids sur les épaules?! Je ne peux pas vivre une vie d'adolescente normale à cause de lui, je n'ai jamais eu de petits copain parce que je e renferme sur moi, je suis carrément pire qu'une huître, impossible de parler à personne, encore moins à un garçons, j'espère vraiment qu'un jour cela passera, parce qu'aujourd'hui je me demande vraiment si c'est bon de vivre sans cesse avec une dose de stress aussi élevée chaque jours qui compose ma vie. J'ai consulté bon nombres de médecins, mais personne ne connait un moyen de m'en débarrasser, tous ce qu'ils ont puent me dire, c'est qu'il fallait que je trouve de moi même un moyen pour atténuer les effet; car à long terme cela pourrais me poser de nombreux problèmes psychologique et même cardiaque. Je ne peux même pas me suicidé, j’hésite à chaque fois sans pouvoir passer à l'acte, ma vie est une vrais vie de merde.

L'évasion

[glamour123]

Je suis une fille normale. C'est ce que j'aimerais pouvoir dire, mais je ne peux le dire. En effet, je suis bien une fille mais loin d'une fille normal pour la simple et bonne raison que j'ai un don. Oui, un don est une sorte de pouvoir magique en moins évolué. Mon don est celui de la télépathie. Je peux lire tes pensées, tes souvenirs, tu ne peux pas me mentir. A l'école, personne ne connaissait l'existence de mon don alors j'ai vécu heureuse. Mais un jour, mes parents m'avaient échangés contre une somme d'argent. Je suis allée dans un centre pour enfants "spéciaux". Là-bas, les scientifique nous traite comme des rats de laboratoire, on ne peux pas sortir ni communiquer avec des personnes extérieures, on subit chaque jour des tests plus ou moins bizarres; certains scientifiques ont même des comportements violents envers nous. Ils nous traitent comme des monstres. Ca va faire 7 ans que je suis là-bas. 7 ans à vivre l'enfer. Seul. Coupée du monde. Il ne me reste plus qu'un idée en tête : l'évasion.

la chaleur

[CapClaire]

Non mais qu'est-ce qui m'a pris de partir seule dan le désert. Trois jours que j'y suis et toujours personne à l'horizon. Il fait tellement chaud, je n'ai presque plus d'eau dans les bouteilles et je transpire tellement que je pourrais essorer mes vêtements. D'ailleurs, c'est ce que je devrais faire, comme j'aurai un truc à boire, tant pis pour le goût. Le soleil est accablant, le sable brulant, l'air est lourd et en mouvement irréguliers. Un véritable cauchemar, je me demande si je ne devrais pas resté là et attendre que sa passe, attendre de mourir de chaud, de cette affreuse chaleur qui me dévore depuis tant de temps et qui me prend le corps de toute part. Si je pouvais encore parler, je dirais à voudras l'entendre, que c'est du suicide de partir seule dans le désert, une bêtise à ne pas faire.

La haine

[Shirohime]

La haine. Tel un feu dévorant, elle me consume, elle me dévore. Telle des tentacules ténébreuses, elle obscurcit mon âme, elle me vrille au corps. Jamais je ne pourrais m'en débarrasser. Car, pour les tourments que tu m'as fait subir, aucun pardon n'est possible. Tu pourras te mettre à genoux, humblement me supplier de t'épargner, aucune indulgence ne te seras accordé.

Bien plus que l'amour, l'amitié, elle me soutient. Tant qu'elle sera là, j'aurais une raison d'avancer. De toujours me relever. Et, peu importe les sacrifices, peu importe prix, de toujours résister. Car, tant que tu te dresseras devant moi, tant que je ne t'aurais pas anéanti, mon âme ne connaîtra jamais le repos. Et, même si cela doit être ma dernière action, je jure de t'emporter avec moi dans la tombe.

Prochain thème: la bonté

[CapClaire]

Joli texte!

Je me souviens, un moi de Décembre, il faisait un froid polaire et j'avais 17 ans. J'avais fini dans la rue ou presque, j'étais en faite recueillis par une famille forains qui avaient posés leurs caravanes dans le coin. Comme l'école est gratuite je continuais d'y aller et préparais mon BAC tant bien que mal. Plus mal d'ailleurs, parce qu'il y a toujours ou presque du bruit dans ces familles qui ont une joie de vivre sans égale. C'est ce qu'il m'ont appris, prendre la vie comme elle vient et ne pas laisser filer sa chance. Et c'est ce que j'ai fais. Je passais le plus claire de mon temps à la bibliothèque du quartier, le seule endroit où je pouvais vraiment travailler en silence, même si à le caravane ils étaient tous près à m'aider, ils ont vite compris que j'aimais être seule. Et ils l'ont acceptés. I=ce sont des gents tellement bon, sans eux je ne serais pas là, avec eux à vivre une vie que je n'aurais jamais eu avec mes parents, parents qui un jour sont parties pour ne jamais revenir, de toute façon ils avaient toujours fait comme si je n'existais pas. Les forains sont ma nouvelle famille et ils sont tellement avec moi dans ma course au BAC, un diplôme qu'eux même n'ont pas forcément, qu'ils ont obtenues l'autorisation du maire de la ville pour rester jusqu'à ce que j'ai mon BAC. Quand ils m'ont annoncer la nouvelle, j'en ai tellement pleurer de joie, ils n'avaient pas pitié de moi, juste de la bonté et de la compassion, ils savent ce que sa fait d'être dans la rue, ils se sont aidé quand ils se sont trouvés, c'est pourquoi ils l'ont fait avec moi. Je pense que notre société a beaucoup à apprendre de leur mode de vie. En tout cas, eux ont sauver ma vie, je ne saurais pas leur rendre l'appareil.

Être aventurier(è)

[glamour123]

Tout le monde veut prendre soin de moi. Tout le monde souhaite me protéger. Impossible de porter quelque chose car soi-disant je cours le risque de me faire mal. Je ne dois pas trop écrire sinon je risque d'avoir mal à la main. Tout le monde me protège car tout le monde croit que je suis fragile. Mon apparence ne m'aide pas. En effet, avec une peau blanche comme la neige, des cheveux noirs comme le charbon ainsi que mes yeux couleur des limbes, tout le monde me trouve mignonne. Par contre personne de me jalouse car je renvoie l'image d'une fille fragile qu'il faut protéger . Même les profs pensent ça. Je ne fais pas de sport. Je ne cours pas. Je risque de ma faire mal ou d'être essoufflée. Je peux dire que j'en ai marre de l'école. Ce que j'aime c'est l'adrénaline! L'aventure! J'aime prendre des risques. Quand je dois choisir une colo pour les vacances c'est toujours celle avec le plus de sensations fortes. Ma chambre est tout sauf celle d'une fille fragile. J'aime le risque, les sensations, l'adrénaline. Adieu miss fragile ou autre, Bonjour l'aventurière!

perfectionniste

[Shirohime]

- Un peu plus à gauche.

Lucien déplaça légèrement le cadre avant de fixer sa patronne, Miss Chabrey, en quête de son approbation.

- Encore un peu plus.

Le jeune homme déplaça le cadre de quelques centimètres.

- Vous le faites exprès!? On ne voit pas la différence!

Le jeune domestique se retint de soupirer. Cela faisait une demi-heure que son employeuse lui faisait déplacer le tableau à gauche, à droite, en haut, en bas, sans jamais s'avérer satisfaite. N'en pouvant plus, il décala la peinture hors de prix d'une vingtaine de centimètres.

- Et comme ça milady? Demanda-t-il d'un ton exaspéré.

- Mais enfin Lucien, vous voyez bien que c'est trop, le tableau n'est même plus dans l'alignement du salon, cela gâche toute la perspective.

Mais qu'est-ce-qu'il lui avait pris de postuler pour cet emploi de domestique dans le château? Tout le village savait bien que Miss Chabrey était particulièrement exigeante et qu'elle menait la vie dure à son personnel, n'hésitant pas à le réprimander au moindre grain de poussière qu'elle constatait sur les vitres ou l'argenterie. Mais il n'avait vu que le bon salaire, la stabilité de l'emploi, et s'était que comme toujours, les rumeurs étaient exagérées. A tort. Miss Chabrey était vraiment... perfectionniste.

Le jeune valet redéplaça une nouvelle fois le cadre.

- Est-ce-mieux ainsi milady?

La jeune femme inclina la tête, songeuse.

- Tout bien considéré, le style classique de cette toile ne s'accorde pas avec le mobilier du petit salon. Allez donc la remiser au grenier, déclara-t-elle avant de tourner les talons, laissant derrière elle un Lucien exaspéré d'avoir passer une demi-heure à déplacer le lourd tableau dans tous le sens pour rien.

Prochain thème: avarice

[Anahita10]

René faisait comme chaque semaine l'inventaire de son précieux argent. Et comme chaque semaine, il comptait un à un chaque billet et chaque pièces. Cela lui prenait des heures. René était à présent assis à son bureau et terminé de comptait son argent.

_ 18 998, 18 999 et ...

Im regarda partout mais il ne trouva pas le dernier euro pour pouvoir complétait c'est 19 000. Alors il commença à paniquer. il cria dans toute la maison qu'il lui avez pris son argent il de manda à chaque personne s'il avait son 1 euro. Mais non. Il revint s'assoir et mis sa tête entre les mais comment allait-faire sans son 1euros ?
Puis soudain on frappa à la porte.

_ Entrez, dit René avec une vois de désespoir.

Sa fille entra toute joyeuse. Elle tenait à la main sa pièce de 1 euros

_ Regarde papa ce que j'ai gagné.
Le père regarda sa fille et ses yeux s'illuminèrent quand il vu la pièce.

_ Oh qu'elle belle pièce tu as. Te souviens-tu la semaine dernière quand je t'ai payé une glace.
La petite fille hocha de tête.
_ Il faut que tu me rende ce que je t'ai payé.
_ Tu veux une glace papa.
_ Non je voudrais bien ta pièce

La fille lui donna sa pièce avec regret puis elle questionna son père.

_ Papa tu te souviens quand je t'ai donnée un euros la semaine dernière pour te rembourser ma glace.
Le père fit semblant de ne pas l'entendre. Puis elle insista mais lui l'ignora toujours. Alors la petite fille reprit la pièce dans la main de son père mais au moment où elle voulu prendre la pièce son père l'en empêcha. Son père du lâcher la pièce car elle avait raison. Alors quand elle partit avec la pièce dans la main. René pleura toute la fin de semaine.

[Anahita10]

pitié

[CapClaire]

Voila des jours, des semaines, des mois que je vis dans la rue. Mais pas dans n'importe laquelle. La plus passante, parce que je n'étais accepté nulpart ailleur par les autreq sdf. Je suis tombé dans la misère parce que comme beaucoup d'atutre avant moi, j'ais tout perdu, mon emplois, ma dignité, mes amis, ma famille. Je suis seule au milieu de femmes et d'hommes qui vivent au chaud sous un toit, ils sont au sec, pas moi. Chaque jour ils me regarde comme si je venais d'un autre monde, ils me regarde avec jne pitié et un mépris non caché. Ils ont pitié de mon parce que je n'ais rien d'autre que ma pauvre et minable petite vie sans intérêt. Mais à l'inverse, eux aussi m'inspire de la pitié. Une pitié tellement élevée que je ne saurais la décrire. J'ais potié d'eux parce qu'ils sont lâchent, déjà envert eux-même, ils s'enferment dans leur monde et ne savent plus regardé plus loin que le biut de leur nez. Ils ne coient qu'eux et leur suprématie sur les autres qui n'ont rien. Mais ils me font aussi pitié, car moi qun suis tiu en bas de l'échelle sociale, j'ai l'impression que j'ai bien plus à leur offrir qu'eux. Les choses s'inverseraient? Hé bien pourquoi pas, sa ne ferait de mal à aucun d'entre eux de descendre de leurnpiedestale, pour voir un peu ce qu'il se passe quand on est tout en bas, quand on a tout perdu... la curiosité

[EliSM]

Le monde est une question
Sans cesse renouvelée
Et de chercher la clé
Jamais nous ne cessons

Au coin de ton esprit
Aux lisières de ton âme
Te brûle sans répit
Cette petite flamme

Dénouer tous les mystères
Dévoiler les secrets
Rêver, extrapoler
Et arpenter la terre

Tous les moyens sont bons
Pour qui veut out savoir
De poser des questions
Sans s’arrêter, vouloir...

--> Le rêve

[CapClaire]

Mon monde est épique, fabuleux, merveilleux, fantastique, majestueux, drôle, touchant, incroyable, féerique, magique, aventureux, abracadabrantesque, enfin bref c'est mon mode à moi, il me ressemble autant que je me ressemble. C'est un lieu à par, il est comme invisible parce que seul moi sais où il est et à quoi il ressemble. C'est un endroit de liberté où je peut être ce que je veut, une princesse, un chevalier, une sorcière ou toute autre créature mythique et fantastique. Je suis comme les quatre enfants dans Narnia ou Bilbot plonger dans quelque chose qui le dépasse. Katniss propulsée sur le devant de la scène un peu malgré elle, Harry Potter face à son destin, et bien d'autre encore. Un coup devant un dilemme cornélien, un coup devant tous ce dont j'ai envie. C'est un monde de rêves, c'est fictif, tellement fictif et irréel que j'espère que c'est ce qui fait qu'il deviendra un jour vrais. C'est chez moi, dans mon jardin secret, dans mon lieu de vie rêvée parce que je ne suis que rêves, je me suis toujours dis que je ne vivais pas au bon endroit, que je n'avais rie à faire là où je suis. Hé bien là, dans ce lieu fictif je l'ai trouver mon endroit rêver pour vivre bien et comme je l'entend; dommage que ce ne soit pour le moment que de pauvres rêves sans incidence et sans contenance pure, mais un jour viendra, qui sait, il pourra être vrais...

L'euphorie

[glamour123]

-_- en panne d'idée.

[Deby-1]

Nous étions là ensemble. Ce sentiment m'a pris quand je t'ai tenue dans mes mains. Un sentiment grandissant. J'étais exalté. Je voulais courir te montrant à chaque personne autour de moi, je voulais crier ton nom, je voulais monter sur le balcon et hurler à la lune. Ma joie a bondi dans mes entraille m'obligeant à danser de façon frénésique, de façon tribal... Je te faisais une danse hypnotique. Rien que pour toi... Et doucement ce sentiment s'est éteint... Tout en même temps que ma gueule de bois est apparu.. Je te tenais dans mes mains... Toi ma bouteille de rhum.. tu es vide.. tu n'es plus rien...

bordélique

[glamour123]

Il y en a partout. A gauche. A droite. A la droite de sa gauche qui est peut-être aussi sa droite si je le regarde de face, donc aussi à sa gauche. Un livre. Un paquet de friandises. Une paire de chaussettes uniquement composée d'une chaussette, l'autre probablement perdue dans la reste. Sous ce coussin ? Derrière cette lampe ? Peut-être sur le bureau, si on enlève les stylos, la gomme, les feuilles, le classeur, la laque, la maquette, l'emballage vide de nougats, les préservatifs, les publicités, la crème, le fusain, les mouchoirs, les clefs, le trombone, le verre de soda, la balle de tennis de table, la photographie, le bracelet, le foulard et le short. Sa chambre est un vrai bordel, il n'existe pas d'autres mots pour la définir. La seule chose qui est rangée, bien ordonnée, c'est la poussière. Sur le sac, les cartons, le papier toilette, la barre de fer, la fourchette, l'ampoule, la rallonge, la raquette de tennis, la carte de crédit, le radiateur, le tableau, la perceuse, le chiffon, la serpillière, les rondins de bois, les mégots de cigarettes, la console, l'autre pot de crème, les figurines.

L'inconscience !