Des récits sans but précis

[mickaela]

Je compte poster ici quelques textes que j'ai écris. Et dont j'aimerais avoir des avis pour m'améliorer.
Tous textes postés ici et venant de moi ne pourront être recopié.

"On ne se souvient pas les paroles de son ennemis, mais le silence de ses amis."
Te souviens-tu de toutes les fois où tu m'as répété cette phrase ? Du nombre de fois où tu m'as aidé à me relever ?
Moi, Je ne les compte plus.
Mais s'il est une chose dont je suis sûr, c'est que dans tous ces moments difficiles tu étais là pour moi.
Tu étais là... Mais pas moi...
Aujourd'hui, tu es parti et ton silence emplit mon cœur.
Si je suis sûr d'une chose, c'est bien que jamais je ne t’oublierais, pas plus que chaque moment, qu'il soit heureux ou malheureusement triste. Que je sois jeune ou vieux, j'essaierais toujours de faire pour les autres ce que tu as fais pour moi.
J’aurais voulu te dire tant de choses, des chose insignifiantes comme des importantes. Pouvoir passer plus de temps en ta compagnie.
Mais voilà, aujourd'hui, tu es parti et je ne te reverrai plus que dans mes souvenirs.
Avant, je ne savais rien de la vie, mais tu m'as tout appris et maintenant je réalise que tout bonheur est une innocence.


Voici un texte que j'ai écris il y à un bout de temps et qui avais pour thème de mettre une citation au début et à la fin.

[folledelivre3112]

C'est pas mal, mais il y a vraiment beaucoup de fautes, surtout au niveau des conjugaisons.

[ChloPlume]

Je compte poster ici quelques textes que j'ai écris. Et don -dont- On parle ici du pronom, pas du nom commun. j'aimerais avoir des avis pour m'améliorais -m'améliorer- Ici c'est l'infinitif. UN moyen de savoir si tu dois conjuguer ton verbe ou le garder à l'infinitif ? Utilise le verbe -prendre-. Ex : -j'aimerais des avis pour me prendre/pris.- Lequel sonne le mieux ?.
Tout Je dirais -tous- non ? Cf : http://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... utes/78772. Le verbe n'est pas à l'infinitif ici ! Il concerne directement ton sujet, c'est-à-dire les textes, c'est un participe passé. Donc -postés-, je l'accorde car dans sa formulation canonique, on utiliserais le verbe être. Les textes sont postés. Ensuite, les textes, cela exprime la troisième personne du pluriel. Or, ton verbe -pouvoir- comporte un -s- en terminaisons : c'est faux. À la troisième personne, que ce soit du singulier ou du pluriel, c'est un -t- la plupart du temps. Donc -pourront-. Ensuite. On applique la même méthode que précédemment pour savoir si -recopier- doit être à l'infinitif. -Tous textes postés ici et venant de moi ne pourront être pris/prendre.- Lequel sonne le mieux ? Pris. Donc tu l'accordes : -ne pourront être recopié.-. textes poster ici et venant de moi ne pourrons être recopier.
Ton texte n'a même pas commencé et déjà de nombreuses fautes sautent aux yeux. Lorsqu'on écrit, il est impératif de se relire, de vérifier, en s'aidant d'un dictionnaire, d'un bescherelle, voir d'un dictionnaire des synonymes. Tu trouves aujourd'hui des sites fiables en ligne. Pourquoi c'est important ? Premièrement, quand tu écris, tu veux raconter quelque chose, faire passer un message. Mais si ton message est incompréhensible, ou difficilement lisible, alors qui voudra le lire ? Deuxièmement, c'est aussi une question de respect par-rapport aux lecteurs : celui-ci est là pour te lire, il veut passer un bon moment grâce à tes mots, pas déchiffrer un texte bourré de fautes.
J'espère que je ne te vexe pas en disant cela ; mais il est important que tu en prennes conscience en publiant sur ce forum. Et nous sommes là pour t'aider, te faire apprendre et évoluer, tout comme tu es là pour nous aider, nous faire apprendre et évoluer.

"On ne se souvient pas les paroles de son ennemis Pourquoi mettre ton nom -ennemis- au pluriel avec un pronom au singulier ? Sois cohérente dans tes accords., mais le silence de son ami."
Te souviens-tu de toutes les fois où tu m'as répété cette phrase ? Du nombre de fois où tu m'as aidé à me relever ?
Moi ! À quoi sert ce point d'exclamation exactement ? Il n'apporte rien à ta phrase, au contraire, il la divise sans raison apparente ... Je ne les compte plus.
Mais s'il est une chose dont je suis sûr, c'est que dans tous ces moments difficiles tu as été là pour moi.
Tu as était là ... Tu ne remarques rien dans ce que j'ai mit en gras ? Une GROSSE différence d'écriture. Tu as utilisé du passé composé dans le premier cas, puis tu m'as fait un espèce de mélange de passé composé mais avec ton verbe à l'imparfait au lieu du participe passé ... Dans ce cas, le plus pertinent est l'imparfait. Il est simple, c'est le temps de prédilection des récits et il s'utilise pour désigner une situation passé, une habitude ... Ce qui nous donne -tu étais là pour moi. Tu étais là ...- Mais pas moi...
Aujourd'hui, tu es parti et ton silence emplit mon cœur. Magnifique ! Pas une faute, poétique, c'est très bien.
Si je suis sûr d'une chose, c'est bien que jamais je ne t’oublierais pas Il m'a fallut un temps pour comprendre que le -pas- concernait -chaque moment-. L'absence de ponctuation ne rythme pas ta phrase, elle la fait durer, ce qui essouffle ton propos et perds ton lecteur qui croit lire une double négation (avec -jamais- et -pas-) de prime abord. plus que chaque moments -Chaque- est, par nature, singulier. Donc ton nom doit l'être aussi, cohérence des accords oblige., qu'il soit heureux ou malheureusement triste. Que je sois jeune ou vieux, j'essaierais toujours de faire pour les autres ce que tu as fait pour moi.
J’aurais voulu te dire tant de choses, des chose insignifiantes Encore une fois, sois cohérente dans tes accords : ton pronom est pluriel, ton nom est au singulier mais ton adjectif au pluriel ... comme des importantes Le mot -important- se suffit à lui-même, tu n'as pas besoin d'un pronom.. Pouvoir passer plus de temps en ta compagnie.
Mais voilà, aujourd'hui, tu es parti et je ne te reverrai plus que dans mes souvenirs. PONCTUATION ! Une phrase commence avec une majuscule et finit avec un point.
Avant, je ne savais rien de la vie, mais tu m'as tout appris et maintenant je réalise que tout bonheur est une innocence.


Voici un texte que j'ai écris il y a un bout de temps et qui avais pour thèmes de mettre une citation au début et a la fin. Encore une fois, attention à tes accords. Il s'agit là d'un seul thème, donc ton nom doit être au singulier. Ensuite, pour -a- ou -à-. Le premier est le verbe -avoir- au présent, à la troisième personne du singulier. Le deuxième est une préposition qui sert à introduire une autre proposition, en général un COI mais aussi un complément circonstanciel de lieu, de moyen, ou d'autres choses, etc. Le moyen de les différencier et donc de savoir si tu dois mettre un accent ? Conjugue. Met ton -a/à- à l'imparfait. -(...) au début et -avait- la fin. Pas cohérent ? Accent.

Bon alors.
Il a de nombreuses fautes. Des fautes d'accords et de conjugaison qui gâche vraiment ton texte. C'est dommage. Prend le temps de te relire, de te corriger, avec un Bescherelle par exemple. Un truc aussi : essaie de te relire à voix haute. Cela te permettra de voir où ton texte manque de souffle et de le rythmer en conséquence, notamment avec la ponctuation.
Voilà pour la forme.
Le fond : ton texte est très court et pourtant, tu étires le propos sur la longueur, tu pousses la sensation du manque sans pourtant révéler quoi que ce soit. C'est un équilibre. Mais penses à étoffer tes récits, à leur apporter de la matière. Là, ça va parce qu'il est court mais pour un texte plus long, n'hésite pas à apporter des éléments.
On sent que tu aimes écrire, on sent que tu écris avec le cœur. Et c'est génial. Tu as encore du travail ; j'ai lu sur ton profil que tu avais 14 ans, je ne sais pas si cela est toujours le cas mais tu m'as l'air très jeune. Continue de travailler et d'écrire, tu vas t'améliorer. J'espère que mes critiques ne sont pas trop dures pour toi.
J'espère te relire, si tu es d'accord.
Au plaisir.

PS : En début de texte, tu expliques que tes textes t'appartiennent. Ça s'appelle un copyright, c'est la loi. Et plutôt que poster cette phrase qui juridiquement n'a aucune valeur, utilise le petite symbole ©. Pour l'obtenir, sur un clavier d'ordinateur, tu dois appuyer sur la touche "Alt" qui est à côté de ta touche espace, juste à gauche. Tu la maintiens enfoncée et avec ton autre main, sur le clavier numérique, tu tapes les chiffres 0169. Ensuite, tu relâches la touche "Alt". Ensuite, tu ajoute ton nom ou ton nom de plume, un nom d'emprunt que tu utilises pour signer tes écrits (comme Margaret Astrid Lindholm Ogden a signé ses romans Robin Hobb ou Megan Lindholm ou Aurore Dupuis qui a pris le nom de Georges Sand) et la date d'écriture de ton texte. Ça n'est pas obligatoire mais c'est mieux.

[mickaela]

Je redresse la tête, ouvre un œil, puis l'autre, pour les refermer illico.
Je laisse échappait un grognement que j'étouffe aussitôt, tous mes sens en alerte ! Je reste immobile, allonger là, quelque part. Après quelques minutes d'immobilité totale, je retente le coup. Mais plus doucement cette fois, je laisse la lumière percée le noir dans lequel je suis plongé depuis une éternité (une seconde de souffrance ne compte pas, pas pour moi en tout cas).
Ce que je vois en premier c'est une forme verte, ronde et qui est dure et froide comme la pierre sous ma main.
« Peut-être parce que c'est une pierre justement, me dis-je avec un sourire. »
Mais je ne dois pas penser à la pierre. Je ferais mieux de tâcher de me repérer.
Et puis, pourquoi pas de savoir qui je suis et qu'est-ce que je peux bien faire allonger sur le sol, face à un rocher avec des arbres à perte de vue. D’ailleurs ils sont bizarres ces arbres, ils sont immenses, je ne peux en distinguer que les premières branches.
Je ne sais pas ce que j'ai faits pour en arriver là, mais ce n'était une bonne idée.
Après quelques minutes d'inspection visuelle je commence à réfléchir à ce qu'il faut faire.
Je finis par en déduire qu'il faut que je me lève, que je marche et que je parle à quelqu'un, peut-être que l'on pourra m'aider.
Rassemblant mon courage je me lève et me mets en marche, vers un endroit moins mystérieux que celui-ci je l’espère.
Pendant ma promenade je rencontre de tout, sauf des humains ; et tout est gigantesque.
Je finis par m’asseoir sur un rocher près d'un petit étang et réfléchi -encore- à ma situation plus qu'anormale.
« Eh bien Lisa, on dirait bien que le monde a décidé de grandir sans toi ! »
J'avais fini par décidais que, à défaut de souvenirs il me fallait au moins un nom. Même si je doutais qu'il me serve à quoi que ce soit dans cet endroit dénué d'humanité.
-Ou bien c'est toi qui as rapetissé sans lui !
-Que... Qui... Qui a dit ça ? Qui est là ?
Mais je n'obtiens pas de réponse, je réessayais donc.
-Où suis-je ? Savez-vous pourquoi je suis là ? Et...
Mais je m’arrêtais soudain, qu'avait-il dit déjà ? Que j'avais rapetissé sans lui ? Mais comment ? Cela n'était pas possible !
Ho et puis, après tout pourquoi pas, je ne sais même pas qui je suis exactement, je ne saurais même pas le dire dans les grandes lignes.
-Hé bien, c'est moi qui es dis ça et c'est moi qui suis là. Tu es où tu es et tu es ici parce que c'est là ta place.
La « voix » avait dit ça avec sarcasme, je vois bien que tout cela l'amuse, mais cela m'est égal, car au moins je ne suis pas seul ici.
Et puis s'il -j'identifiais la voie comme masculine- veux jouer à ça je peux aussi le faire.
-Merci pour ces réponses constructives et tellement réfléchies. D’ailleurs il t'a fallu tout ce temps pour me répondre ça ? J'imagine que pour toi ça doit être un exploit.
Il y a un silence qui ne dure que quelques secondes vite troubler par un léger sifflement et le bruit de feuilles froisser par des bottes. Je réprime un sourire « gagner »
La silhouette qui se tient devant moi doit faire ma taille « Au moins je ne suis pas la seule » et est habillée de botes et pantalon marron et d'une veste verte, des cheveux bruns coupés cours entourent son visage mat.
-Mais pour qui vous prenez vous ?
Sa voie a changé. Elle est devenu féminine et très irritée.
Je lui jette un regard surpris, mais je n’aie pas le temps d’ouvrir la bouche, qu'une secousse m’emmène loin d'ici, loin de ce monde fantastique et de ce garçon mystérieux.
Je relève la tête et découvre l’archétype de l'autorité : Chignon enfermant des cheveux blancs avec sévérité, air sévère, outré et... en colère ?
L’ambiance est tellement lourde que même une mouche n’oserait pas volé.
Je regarde la dame et toutes les personnes qui m'entourent sans comprendre, mais bien vite la réalité me rattrape. Tout ceci n'était qu'un rêve et j'aurais préféré y rester au lieu de me retrouver face à mon professeur de mathématiques. Et pour le coup pas besoin d'aide pour savoir que le résultat de ce rêve ne sera pas fantastique mais plutôt cauchemardesque.
Pourquoi je n'ai pas gardé ma taille de coccinelle ?!