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Anny Duperey illumine hier dimanche par sa présence la Plage aux écrivains.
Sur l' édition locale (du Bassin d'Arcachon),du quotidien:
Sud-Ouest, en début d'article, retrace exactement ce que j'ai posté hier sur ce forum.
Sud-Ouest début de l' article (page entière):
Anny Duperey n'était encore jamais venue à Arcachon. Hier à midi, alors que les auteurs embarquaient
*pour une balade-déjeuner autour de l' île aux oiseaux, elle a fait le salon buissonnier jusqu'à la Co(o)niche, escortée par Bernard Cazaubon ("la mer à tout son temps"), pour découvrir la dune du Pilat "
c'est sublime".
*Pour ce qui est de la ballade autour de l'île aux oiseaux , je l'apprend en lisant cet article.
Cette escapade lui a aussi permis de respirer un peu car, pour son unique jour de présence à la Plage aux écrivains, la comédienne et auteure de plusieurs ouvrages dont "le Rêve de ma mère" aux éditions (Seuil) a répondu avec toujours beaucoup de gentillesse aux sollicitations d'une file ininterrompue devant sa petite
table de dédicaces. Chaque fois, un mot gentil, une primevère dessinée avec la dédicace, et une photo souvenir.
"
C'est toujours agréable de constater que j'ai des lecteurs fidèles qui me suivent dans cette carrière".
Ils viennent aussi voir la comédienne: "
il y un effet Famille Formidable (série télé)".
Une personne sur deux lui parle également de son combat sur le Levothyrox (pour les malades de la thyroïde).
Hier matin, sous la tente des conférences archicomble, Anny Duperey, qui avait 8 ans et demi à la mort de ses deux parents, a parlé de sa famille, des anges, de ses institutions, de sa mère et même de l'encouragement d'une lectrice au salon de Brives: "
n'ayez pas peur, une confiance honore vos lecteurs".
"*
Il y a des choses que je ne peux pas lire ou relire, je lis juste le début de mon livre",a-t-elle expliqué, hier après-midi, en prenant place sous le parasol,sur la plage , pour la lecture sur le sable.
Extrait du Sud-Ouest local du lundi 7 mai 2018.
*Dans son explication en prenant place sous le parasol pour sa lecture sur le sable, Anny Duperey m'a rappelé une autre citation de
Gabriel Garcia Màrquez:
"
je n'ai jamais relu aucun de mes livres par crainte de me repentir de les avoir écrits".
