Jeu : Joyeux Noël, en histoires

[teter49770]

J'lai pas fini, et j'ai la flemme de m'y mettre

[lulu29g]

les premiers textes posté sont supers!!
bon, à mon tour:

C'est la nuit de noël. Comme chaque année. Emma serre contre elle son unique peluche. Assise sur son petit au fond du dortoir de l’orphelinat Johnson, elle frisonne de froid et replie ses genoux contre elle-même. Ses cheveux rouges tombent sur visage fin et pâle. Ses yeux marrons trahissent sa fatigue, mais cette année, elle a décidé d'attendre minuit. Abandonnée à l'âge de seulement quelques heures, dans la nuit du 24 décembre, Emma n'a pas d'histoire. Tout ce qu'on sait d'elle, c'est d'un message posée avec elle qu'on a trouvée en même temps que la petite. Une nuit d'hiver, le schéma de l'abandon qui revient souvent: quelqu'un sonne à la porte de l’orphelinat, on ouvre la porte, et hop! un nourrisson trouvé sur le pas de la porte, seul, avec un message. Cette fois-ci, le message était:
né à minuit
le 24 décembre
se nomme Emma
Et c'est tout. Rien de plus. La feuille est toujours là, dans son dossier. La jeune enfant rousse ne l'a vu qu'une fois, et c'est cette fois-là.
La neige tombe dehors. Son lit est près d'une fenêtre, et elle peut observer la tombée de neige aussi blanche que sa peau. Pour se donner du courage, elle chantonne doucement:
C'est la belle nuit de Noël
La neige étend son manteau blanc
Et les yeux levés vers le ciel
A genoux, les petits enfants
Avant de fermer les paupières
Font une dernière prière...
Du coin de l'œil, elle surveille la grande horloge. Minuit sonne. Elle regarde autour d'elle. Personne.
Tout ces faibles espoirs s'envolent. à ce moment précis, elle vient d'avoir trois ans. Et à johnson, être encore à l'orphelinat à cette âge rend vos chances d'être adoptés nulle. Elle jette un coup d'œil vers la cheminée, son deuxième espoirs de la journée. Personne.
Des larmes se mettent à couler sur son visage au teint d’albâtre et sur les ecchymoses qui parsèment
son visage, seul vestiges de lorsqu'elle s'est battu cette journée. Pour une cause perdue. Toute la journée, elle n'a cessé de répéter que cette nuit, le père noël viendrait. A johnson, les enfants ne veulent plus entendre parler du personnages apportant les cadeaux. Tout le monde sait qu'il ne viendra jamais. Cela lui a valu de se battre avec d'autres personnes. Elle a aussi dis qu'elle partirait ce soir, que sa mère viendrait la chercher. Elle voulait tant y croire. Mais ces espoirs sont réduits à néant.
Et dans la longue salle du dortoir, au milieu des enfants endormis, Emma pleure doucement. Elle le sait maintenant. Les enfants ne peuvent partir qu'à l'age de 18ans s'il ne sont pas adoptés. Encore 15 ans à attendre avant de pouvoir quitter son enfer habituelle.

[Piper]

Voilà, je poste le mien aujourd'hui, parce que demain je n'aurai pas le temps. Style, la fille surbookée. En fait je dois garder mes petits frères. Donc :

Madness

La nuit est tombée sur Etival, minuscule village perdu dans les vallées montagneuses des Pyrénées. Le ciel d'encre est éclairé par un magnifique croissant de lune et des étoiles lumineuses. Les villageois sont rentrés depuis longtemps, et pour cause : ce soir, c'est la nuit de Noël.
Une nuit que personne n'est prêt d'oublier.

Au pied des vallées se trouvait un lac splendide. Imaginez, en pleine hiver, une étendue gelée et craquelée brillante sous la douce lumière des astres. Imaginez un paysage silencieux et immobile. Imaginez le calme de l'extérieur, cachant une détresse incommensurable sous cette épaisse couche de glace.

C'est cette vue sereine qu'avait l'occupante du petit chalet qui surplombait le creux dans lequel l'étendue d'eau s'était nichée. D'épais flocons de neige venaient s'écraser contre la baie vitrée. L'intérieur était cosy, un grand feu réchauffait la pièce que des bougies parfumaient d'une senteur épicée. Un imposant sapin venait frôler le plafond. Couvert de décorations, il était le symbole des traditions hivernales, avec son étoile argentée en équilibre instable sur le sommet épineux. A son pied, un chapelet de cadeaux aux emballages colorés.

Une longue table en chêne vernis traverse la petite pièce. Dessus, une quizaine d'assiette de porcelaine, remplies de nourriture appétissante. Des couverts en argent, des verres en cristal. Du vin, du fois gras, de la dinde,...
Tout est réuni pour le meilleur des réveillon. A un détail près.
Autour de cette table enveloppée d'une nappe bordeaux, croulante sous des mets à l'aspect délicieux, il n'y a qu'une petite vieille ridée sur une chaise deux fois trop grande pour elle.
Ysée Cadeillas arbore un large sourire que quatre-vingt années de travail et de deuil ne parviennent pas à effacer.
Soudain, elle frappe trois fois dans ses mains et s'écrit gaiement :
- Allons, allons, vous pouvez commencer à manger ! Jacques, laisse ton choléstérol en paix et déguste, pour une fois. Raphaël, chéri, bois ta soupe, elle fait grandir !

Grand-Mère Cadeillas, les yeux vitreux, parle au vide de la solitude. Depuis la mort de son mari, il ya trois ans, et le déménagement de ses enfants et petits-enfants aux Etats-Unis l'année dernière, Ysée, vit seule avec le spectre des jours heureux en famille. Alors, reniant son mal-être, elle s'imagine un monde où sa famille ne l'oublierait pas et lui ferait vivre une deuxième jeunesse.
- Alors, Lise, c'est pour bientôt, ces jumeaux ?
Elle croit entendre une réponse enjouée, apercevoir un sourire et une main sur le ventre rebondit de sa fille.

Ysée s'apprête à repiquer dans son assiette quand un son étrange la fait sursauter. Elle ouvre les yeux, et ce qu'elle voit fait trembler son cœur fatigué.
Une table sans convives. Des plats sans dégustateurs. Une... vieille sans famille.
Le son se reproduit, une, deux fois et un souvenir apparaît dans l'esprit de la femme. C'était l'époque où on lui rendait visite, où sa famille lui parlait tous les jours, où les gens aimaient vivre à la campagne ou à la montagne.
On sonne à sa porte.
Elle se lève mécaniquement, traverse le salon, et dans un geste absent, actionne la poignée de la porte d'entrée. Derrière elle, une silhouette féminine qui se fond dans l'obscurité.
La voix de Cadeillas se fait entendre dans une sorte d'éraillement.
- Entrez, mademoiselle.
Se glissant dans la lumière, la jeune fille, apparaît, grande, mince, et tétanisée d'effroi.
Des traînées argentés marquent ses joues pâles. Une chevelure brune et lisse tombe en cascade sur son dos. Ses vêtements sont simples, sombres. Elle est belle mais frêle et effrayée, comme une proie traquée.
Ses yeux bleus sont rougis et affolés.
Rakel Leone, sans famille, droguée, mise à la porte, jeune fille perdue dans un monde traître.
- Comment vous appelez-vous, mademoiselle ?
Une voix rauque et mélodieuse, des mots chuchotés.
- Rakel.
- Enchantée, Rakel.
La vieille Ysée la serre dans les bras, puis va l'installer dans le salon et lui sert une tasse de chocolat.
- Merci.
- C'est moi qui te remercie, Rakel.

Ysée Cadeillas vient de sortir de sa douce folie.

Pas génial, mais je n'étais pas super inspirée !
Voilà, Merry Christmas en avance les BN !
Pip's

[Vahane]

MAGNIFIQUE ton texte Piper!!! C'est trop bien.

[Vahane]

Mais si c'est pas mal du tout soso et tu sais, je demande pas forcément des truc super rechercher, c'est vraiment bien ce que tu as fait. ET BIENVENUE!!!

Bon, je suis un peu en retard mais c'est normal, j'ai pris le train.
Entre les glaciés, une petite usine fonctionne encore le jour de noël. La fumée sort des deux grandes cheminées mais le toit est plein de neige fraichement tombée. Tout près de cette usine, une chaumière elle aussi fumante est installée. Si nous nous avançons un peu, nous pouvons apercevoir une étable pleine de rennes et, au fond, un traineau rouge sertie de grelots.
Cette étable est en boit et elle contient plusieurs box. L’un d’entre eux est plus luxueux. La porte a des bordures en or et un sol recouvert de pailles nouvelles. Si on ouvre cette porte, un renne au nez rond et rouge est allongé au fond près d’un seau d’eau fraiche et un monticule de carottes et de pommes. Mais retournons à notre chaumière toute fait de boit, elle aussi. Une couronne de sapin décoré de nœuds rouge et de petites clochettes jaune or, orne la porte d’entrée. En passant l’entré, nous pouvons découvrir, attention les yeux ! La maison du père noël ! Traditionnel et rustique, la maison ne change pas de nos idées d’humain. A par, éventuellement, de la technologie haute performance. En même temps, il fait voler un traineau avec des rennes, alors il peu bien avoir un GPS des années 3050, une télévision qui informe de tout, dans tout le monde entier de 2073 et Un téléphone portable de 3002, qui sert d’ailleurs à tout, mais quand je dis tout, c’est tout ! Ménage, cuisine… ça facilite la vie de la mère noël, moi je vous le dit ! Bref ! Vous devinés à quoi sert l’usine maintenant ? Et bin oui, ‘est l’usine des lutins. Ils ne sont pas plus de 125 000 vous savez ! Et ils habitent tous dans un petit village non loin d’ici, à, environ 10 minutes à tirs d’ailes. Oui, les lutins ont des ailes, invisible, serte, mais ils ont des ailes. C’est tout de même plus pratique pour s’occuper des cadeaux de touts les enfants.
J’espère que cette visite vous a plut. Ah, oui au faite ! Si vous gardés votre âmes d’enfant assez longtemps, vous pouvez entendre, à minuit, les grelots du père noël qui passe dans le ciel.
GLING, GLING…………………..

[Vahane]

Vite, vite, vite avant que ma mère arrive!

La froid est arrivé depuis longtemps sur les hautes collines de Rome. Un frère de 13 ans et une sœur de 10 ans ce tiennent chaud mutuellement dans les rues pavée recouverte de givre. C’est le 24 décembre et tout le monde est chez sois, bien au chaud, sauf eux. Leur parents sont morts dans un incendie il y a quelque jour et personnes ne les a recueillie. Il reste là, a faire la manche pour pouvoir ce payer à manger. Ça fait 2 jours qu’il n’on rien mangé et ils ont faim, ils ont soif et froid. Ils parcourent les trottoirs de jour en jour et cette année, pour la première fois, ils ne fêteront pas noël. Mais, une vieille dame à sa porte les appelle.
-Les enfants ! Les enfants !
Ils approchent l’entement d’abord, puis de plus en plus vite. La vieille dame les invite à entrée. Les enfants entre, la vieille dame leurs offre un siège et une tasse de chocolats chaud.
-Les enfants,-dit-elle une fois que les petit on fini leurs tasses.- je vous propose de travailler pour moi et en échange vous serez logés, blanchie et nourrit. Cela vous va t’ils ?
Ils se regardèrent un long moment comme quand ils se faisaient disputer par leurs parents, avant, et le garçon répondit :
-Oui, cela nous va, de toute façon nous n’avons pas le choix.
-Très bien ! Je m’appelle Popinilia et vous ?
- Moi, je suis Lavinia ! Répond la fillette. Et lui c’est Marcus.
-Très bien ! répète encore Popinilia. Alors joyeux noël les enfants ! Mais ce n’ait pas l’heure pour vous de vous reposer, vous aller commencer pas nettoyer ma maison, j’attends des invités.
***
Les jours passaient et les enfants grandirent. La vieille dame, à sa mort légat tout ce qu’elle possédait aux enfants devenu grands et tout rentra dans l’ordre jusqu'à ce qu’eux, eux aussi meurs dans un incendie, laissant leurs enfants tout seul. Et ainsi de suite, c’était la malédiction de leur famille, qu’avait lancé la vieille dame juste avant de mourir.

C'est pas très long mais j'ai pas trop eu le temps! t'en pis ce sera mieux demain!

[Piper]

De très beaux textes que voilà...
Bravo tout le monde !

Pip's

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Bonjour ! Voici un petit texte tapé de mes magnifiques mains

La sœur maléfique

" - Mais mais... Enfin Grisouillet ! Tu n'y penses pas ! cria le Père Noël. Un jour comme celui-là, elle ose me faire ça ! Ah, elle va me le payer je te le jure !
- Mais Père Noël, elle ne l'a pas fait exprès enfin. C'est venu tout seul, ça ne se contrôle pas...
- Mais mon bon lutin ! Tu es si naïf, tu penses vraiment qu'elle ne l'a pas fait exprès ? Viens, allons lui parler, tu verras. "
Le petit lutin en vert et le gros bonhomme en rouge s'en allèrent alors d'un bon pas vers les chambres. Ils traversèrent la porte rouge, la porte verte, la porte bleue enfin bref, vous l'aurez compris, il y a une porte de chaque couleur pour arriver à destination !
" - Alors ma chère sœur ? Comment allez-vous ? commença le père Noël d'un air sarcastique.
- Mais vous voyez bien que je viens d'accoucher espèce d'idiot ! répondit Grâce, la sœur de Noël d'un air féroce, qui n'avait de grâce que son nom.
- Justement, justement... Nous sommes le 24 décembre ma chère. Et vous décidez comme cela de mettre au monde le futur père Noël -qui vous a malheureusement pour mère- alors que vous savez très bien que s'il naît le 24 ou le 25 décembre, Noël est fichu ! Toute la magie s'annule le jour de la naissance de l'Envoyé ! C'est la malédiction du père Fouettard. Ne seriez-vous pas de mèche avec lui ? " dit-il en plissant les yeux.
- Mon cheeeer frère, persifla Grâce, vous savez bien qu'un accouchement ne se contrôle pas. N'est-ce pas ? dit-elle tout sourire.
- Ah ma bonne mère Noël m'avait prévenu... murmura-t-il. Et le sortilège de la rapidité vous croyez que je ne suis pas au courant ? Vous l'avez conçu exprès il y a neuf mois, vous n'aviez pas le droit ! s'énerva le Père Noël. Oh mais comment vais-je faire, comment... ? "
Grâce en profita pour ricaner discrètement.

[...]

À suivre...

[Vahane]

Tous génial vos histoire!!!
Bon à moi,

-Mais ou est le père Noël! S’exclama la mère Noël.
Un groupe de petit lutins ce formait bientôt tout autour de Maman. C'est ainsi que surnomme ces petite créature, la mère Noël.
Elle courait partout dans les couloirs de l'usine, de la maison et pris même le traineau pour aller chercher sur la banquise.
Aujourd'hui c'est le jour ou le père Noël est sensé faire sa tournée. C'est le jour de Noël. La mère Noël sait que cet homme qu'elle a épousé ne voulait pas devenir père Noël comme le faisait, de père en fils, les autres pères Noël précédant. Mais ce n'était pas une raison pour qu'il ni est pas de noël!
-Chéri!-cri t'elle- Chéri! C'est l'heure de partir! Les enfants n’auront pas de jouets si tu continue à te cacher!!!
Un groupe de lutins est avec Maman dans le traineau. Un autre est resté à la maison.
Soudain le téléphone portable de la mère Noël sonne.
C'est la sonnerie d’urgence.
-Oui? Qui à t'il, lutin? Bafouilla t'elle avec plein de stress au lutin qui se trouvait derrière le combiner du téléphone "urgence".
-Vite Maman! Il faut que vous rentriez tout de suite!
-Que ce passe t'il moi chère?
-Je ne peux pas vous le dire au téléphone! Rentrez et vous verrez par vous même. La vois de la petite créature était remplie de peurs. Il raccrochât.
La mère Noël commença à vraiment s'inquiéter. Qu'était il arrivé au père Noël?
***
Après le long retour en traineau que la mère Noël trouva interminable, elle accourut dans sa maison. Une dizaine de lutins l'attendaient. Tous ce turent quand ils aperçurent la Maman. Tous sans exception, dans un silence de mort.
L’expression est bien choisie pour ce qui va suivre.
Le chef de tout ce petit groupe avança vers la mère Noël.
-Venez, Maman...
Elle le suivit dans le bureau abandonné de l'ancien père Noël. Quand elle ouvrit le porte, elle découvrit, pendu au lustre, le père Noël.
Cette année, l'année 1846, n’aurais pas de noël. La magie qui ce transmettais de père en fils n’aurais plus lieu d’être et c'est ainsi que l’espèce des pères Noël disparut.

[Vahane]

Père Noël : Tueur en série

« Depuis plusieurs jours, un mystérieux homme habillé en père Noël tue des enfants et les emballes comme un cadeau avec, à chaque fois, un mot « Cadeau pour les parents -P.Noël- » … »
Une femme regardait les informations à la télévision. Aurifiée par cette nouvelle, elle dit à son mari :
-Chéri ! Chéri ! Il faut aller voir si tout va bien dans la chambre de Marcel ! Un fou furieux tue des enfants.
-Je vais voir chérie.
L’homme, qui s’avérait être le beau père de l’enfant qui dormait tranquillement dans sa chambre, alla voir. Tout était parfaitement parfait.
-Tout va bien ! Dit-il en chuchotant pour ne pas réveiller l’enfant. Pourquoi me demandes-tu ça ? Je ne vais jamais voir normalement.
-Parce qu’un homme déguisé en Père Noël tue des enfants et écrit un truc du genre cadeau au parent.
« Attention ! Mesdames et Monsieur ! Le père Noël est de sortie, restez avec vos enfants et fermez les fenêtres !
Soudain dans la chambre de Marcel, un « Oh, Oh, Oh ! » se fait entendre. Ils accourent dans la chambre et, sur le lit, égorgé et emballé dans du papier cadeau, avec un mot, LE mot !
-NON ! Cri la mère. Jean, fait quelque chose ! C’est noël ! Comme même !
Tétanisé, il répond :
-Je suis désolé…Bertrande, il est mort… Mais je te promets, je vais le venger, je vais les venger ! Ce père Noël aura à bien ce cacher !
… à suivre …

[Vahane]

coucou, hier j'ai oublié de poster un texte alors je poste une image pour animer un peut tout ça.

Jean prépara son sac de voyage. Ces deux ans dans l’armée lui serviront maintenant.
-Chérie, j’y vais ! Prend soin de la maison pendant mon absence.
Il parait plus grand et plus fort dans sa tenu de sport.
De hors, il neige, normal, c’est noël. Tout est blanc, mais les voitures de police fusent à travers les rues, des hélicoptères en guise de compagnons. Le DARK père Noël montre le bout de son bonnet. Et surprise, un traineau rouge vif tiré pas douze renne, et qui vole, lui sert de voiture. Ou devrais-je dire d’avion. C’est le moment de frapper se dit Jean.
Il court, très vite, et saute de toits en toits pour essayer de rattraper ce fou père Noël.
***
La course effrénée dura plusieurs minutes. Jean finit par prendre le risque, et sauta sur le traineau. La lutte commence. Le père Noël ne l’aperçoit pas tout de suite. Jean se cache derrière un sac maculé de sang. Mais à qui appartient ce sang.
Jean ne cherche pas à savoir, il vient ici pour se débaracer de LUI.
-Ah nous deux, père Noël ! Cri Jean en sautant sur l’homme aux commandes du traineau.
Surprit, le père Noël se retourna et fit basculer les rênes en un mouvement bref et rapide des mains. Jean perd l’équilibre quelques seconde et ce redresse. Une lutte acharnée commence. En dessous d’eux, le vide menaçait. Un seul faux mouvement et il s’écrasait tout les deux au sol, comme des crêpes.
Personne ne pouvait plus rien faire. Le traineau allait dans tout les sens, plus personne ne le contrôlait.
Les rênes, effrayés par tout ses mouvements foncèrent tout droit sur un gratte ciel. Et ce fut fatal ! Ils tombèrent tout les deux à la renverse dans une chute libre incontrôlée. Le père Noël s’écrasa à quelques mètres de Jean, une grosse tache de sang immaculé la route.
Jean a plus de chance, il tombe sur une voiture de police. Bien sur, il a des fracture, les trouble de la mémoire … Mais il n’est pas mort.
Tout est bien qui finit bien, encore une fois !

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Voilà la suite !

La sœur maléfique, partie 2 : Noël perdu ?

- "Oh, mais comment vais-je faire ?? Comment ? Comment ? Comment ? Sainte Mère de Dieu, aidez-moi, je vous en supplie ! se lamentait le père Noël.
- Mais, mais voyons père Noël, ne dramatisons pas... positivait Grisouillet le lutin.
- Mais comment veux-tu que je ne dramatise pas ?? Noël est fichu ! FI-CHU !"
À ce moment-là, on toqua à la porte du bureau.
- "Entrez !"
C'était Grâce. Elle portait son enfant dans les bras et avait un air dépité.
- "Noël, je t'en supplie écoute-moi, s'il te plaît, écoute-moi...
- Ah non ! Tu es la dernière personne que j'ai envie de voir ! Sors de là ! SORS !
- S'il te pl...
- Va-t-en !"
Elle sortit, un rictus aux lèvres.
- "Aaaah ! Mais pourquoi, pourquoi ? Dans quelques heures, c'est Noël, et toutes les machines magiquement orchestrées se sont stoppées, la production est fichue, il reste encore 1000 cadeaux à confectionner.
- Père Noël, j'ai une idée ! Pourquoi ne pas... "
Grisouillet murmura à l'oreille du Père Noël son idée vraiment ingénieuse.

[À suivre...]