Le jeux des images (une image -> un texte)

[Jay117]

Je ne peux aps non plus ^^

[luciole241998]

Bienvenue au club hehe

[Jay117]

A mon avis, nous sommes nombreux

[Mareike]

Résister au sadisme me demande beaucoup d´efforts
Mais parfois il faut se dire que c´est important pour l´histoire que certains meurent, et là...

Voila une nouvelle image que je viens de dénicher J´espère que ca peut vous inspirer !

[Clemt]

L'orage éclatait autour de moi. La pluie et le vent, déchaînés, hurlaient à mes oreilles. Toute trace de vie semblait avoir déserté l'horizon. Semblait. Un papillon, luttant contre les éléments, essayait désespérément de s'abriter. Je lui tendis la main, geste d'amitié et de soutien. Le papillon, jetant ses dernières forces dans la bataille, battit des ailes férocement. Il parvint, au prix d'un effort démesuré, dans le refuge de ma main, puis s'effondra. L'effort l'avait achevé...

[Jay117]

Vos deux textes sont très jolis, je préfère celui de Marie. Le dernier mot de fin ♥

[Jay117]

Un petit texte que j'ai écris à l'instant sur cette image:

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Que suis-je dans ce monde au-delà des barreaux? Ai-je été jetée ici pour que l'on m'oublie?
Je ne sais pas… Je voudrais pouvoir revoir ma maman… Je ne sais pas… Je n'avais pourtant rien fait de mal…
Deux jours que j'écris ceci, deux mois que j'y songe vraiment, deux ans que je veux m'évader, douze ans que je suis arrivée. Une enfant comme les autres à ce qu'il paraissait, juste une gamine de quatre ans. Je ne me souviens même pas d'avant.
Je ne connais que les barreaux de ma cellule, que les pierres qui sont mes amies sur les murs, que les pavés qui sont sous mes pieds… Rien d'autre…
J'aurai voulu être une jeune fille comme les autres, aller à l'école, faire mes devoirs le soir, me disputer avec mes amies, être normale…
Au lieu de ça on m'a enfermée, je ne sais toujours pas pourquoi…
"Alors, tu aimes écrire?" me demande si souvent le psychiatre qui passe son temps avec moi.
Et moi je réponds:
"Je préfère ne pas oublier davantage."
Alors, il part et referme derrière lui la porte à clé. Des infirmières se succèdent, m'analysent…
Le psychiatre ne cesse de me répéter:
"Tu n'es pas en prison, c'est un endroit grâce auquel tu iras mieux."
C'est tout comme… Cet hôpital me terrifie, il m'a privé d'une vie.
Je ne suis pas folle.
Ne suis pas folle.
Suis pas folle.
Pas folle.
Folle.

[fashion-girl]

Voilà ce que cette image m'a inspiré =)

Petite fille enfermé dans ce donjon
Ne sais que demander pardon
Elle voit les morts s'entasser
Du haut de sa fenêtre barricadé

Petite fille se sait coupable
Elle ne veut plus faire mal
Mais arrivera-t-elle à en finir
Réussira-t-elle à la détruire

Cette malédiction qui la hante
Depuis que sa famille est morte
Elle a crié espérant que les anges l'entendent.
Bien qu'elle savait que se n'était qu'une légende

Ils sont apparus au coure d'une nuit noire
Seul elle pouvait les voir
Elle leur a demandé de la venger
Ils lui ont donnés une arme remplie de danger

Un seul de ses regards bleus
Pouvais briser un cœur en deux
Ainsi elle put se venger
De ce qu'on leur avait affligé.

Mais très vite elle vit les morts tomber
Des innocents ce faisait enterrer
Elle comprit que rien ne l'arrêtera
Mise à part la mort qui l'emportera.

[Emy-Lou]

voila une nouvel image en espèrent que elle vous inspirera

[luciole241998]

Un tout petit truc

La jeune fille est venue de la mer un beau matin de printemps. Comme une perle, elle s'est révélée en sortant des embruns. Le soleil était radieux, les oiseaux côtiers volaient à ses côtés. Elle a joué avec les vaguelettes qui léchaient ses pieds fins, et elle s'est allongée dans le sable. Elle a aperçu son prénom dans les nuages capricieux. Ari. Elle a fermé les yeux, s'est rappelée.
Elle s'est souvenue de tout.
De la tempête.
Du bateau.
D'un prince tombant à l'eau.
Et puis de cette sorcière aux allures de faucheuse.
Elle s'est rappelée du pacte qu'elle a signé de son nom Arielle ...
Et qui lui promettait pour sa queue de poisson et de sa voix, une ravissante paire de jambes.

[fashion-girl]

Je ne sais pas si j'ai aussi le droit de mettre une image mais je la trouve vraiment magnifique donc j’espère qu'elle vous inspirera

Voici ce qu'elle m'a inspiré :

Aucun espoir

Je ne ressens plus rien, aucune douleur n'arrive encore à me faire ressentir quoi que ce soit. Je suis enfermé ici depuis si longtemps que je ne saurais dire le nombre d'hiver qui a fait rougir mes joues et engourdir mes doigts. Je vois autour de moi les fleurs naître, éclore et se faner. Elles ont se pouvoir de pouvoir en finir en quelques minutes, de disparaitre en quelques secondes. Moi je n'ai pas ce droit-là. Je disparaîtrais quand il l'aura décidé, quand il me trouvera trop vieille pour lui. En attendant j'attends, j'attends en pensant à tout ce que j'aurais pu accomplir à tout ce que la vie aurait pu me donner d'autre. Mais à quoi bon ? Je sais que jamais je ne pourrais m'échapper, que jamais plus je ne verrais ces visages flous que mes pensées effacent de jour en jour. Je sais qu'ils comtés pour moi mais je n'arrive plus à me rappeler qui ils étaient. Je me demande parfois si on me recherche encore, si des personnes ont encore espoir de me retrouver vivante. Mais si c'est le cas j'ai envie de leur dire d'arrêter, cet espoir ne vous fera que du mal car jamais vous n'arriverez à me retrouver il ne me là que trop répété.

[Mareike]

Je ne sais pas si j'ai aussi le droit de mettre une image mais je la trouve vraiment magnifique donc j’espère qu'elle vous inspirera

Bien sûr que tu peux ! C´est fait pour ca Ton image est magnifique et ton texte colle super bien ! J´aime beaucoup !!

[Mareike]

(bon a part que la fille est super maquillée, et que ses mains sont couvertes de terre mais que le visage n´a rien... étrange ^^ mais belle image !)

[fashion-girl]

(bon a part que la fille est super maquillée, et que ses mains sont couvertes de terre mais que le visage n´a rien... étrange ^^ mais belle image !)

Ah oups =)
Moi la rougeurs de ces joues me faisait penser au froid

[Jay117]

Une nouvelle image, si elle peut en inspirer certains

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[Chlawee]

Une nouvelle image, si elle peut en inspirer certains

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J'ai longtemps contemplé le ciel, en rêvant d'une liberté qui ne m'était pas, et ne me serais jamais, donnée. Combien de fois ais-je souhaité être à la place de ces centaines d'oiseaux, que je voyais tous les jours, parsemer le magnifique ciel bleu sous lequel tout le monde vit. J'ai toujours voulu voler. Pour enfin me sentir libérée. Libérée de cet enfer. Mon enfer quotidien.
J'ai l'impression que tout autour de moi, est gris. Terne. Même vous, majestueux oiseaux noirs, êtes beaucoup plus agréables à contempler, entourés de ce ciel bleu.
Le noir, n'est pas une couleur joyeuse. Le blanc est trop pur. Alors tout le monde pourrait croire que le gris est l'équilibre parfait, seulement, pour moi, il n'est représentatif que de la tristesse, et du désespoir. Le noir c'est la fin de ce désespoir. Lui, il a une forte présence. Inévitable.
Même s'il est... la fin de tout.
J'aimerais m'envoler avec vous, et ne jamais reposé le moindre orteil sur cette terre d'égoïstes. Sur la terre de ceux qui ne savent pas apprécier la vie, et qui la passent à combattre leurs propres confrères.
Je me suis baissé et j'ai prié pour que vous reveniez.
J'ai vu une lime à ongles.
Un peu plus tard l'un de vous est revenu. J'ai souris. Et je me suis envolée.

[Jay117]

C'est superbe, bravo!

[lilaura]

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Elle avance les cheveux au vent, le regard décidé. De gros nuages zèbrent le ciel, des centaines d’oiseaux volent et piaillent. Mais elle ne voit pas le ciel, elle n’entend pas les cris.
Elle suit le chemin, va droit devant soi, ne fait aucun détour.
Elle s’en va vers la liberté, vers cet Eldorado promis. Elle y rejoindra ceux qu’elle aime.
Elle ne s’arrête ni pour manger ni pour boire. Elle ne se repose pas. Parfois elle ferme les yeux quelques secondes sans cesser de marcher, toujours tout droit.
Elle ne pense à rien, son esprit est vidé. Plus de doutes, plus de peurs, plus d’interrogations. Tout est clair.
Les heures passent et ne la fatiguent pas. La nuit vient et elle ne s’endort pas. Le lendemain arrive dans des flamboiements de roses, mais elle ne remarque rien.
Le soleil est haut dans le ciel, il est chaud, brûlant même. Mais elle ne le sent pas. Elle ignore le rouge sur ses joues et sur ses épaules.
Sa gorge s’assèche, sa langue lui colle au palais. De la transpiration égoutte de son front et ses cheveux semblent mouillés. Pourtant, elle ne s’arrête pas.
Son ventre gargouille, lui rappelle qu’elle a faim. Mais elle ne l’écoute pas.
Ses muscles sont endoloris, ses jambes, douloureuses. Elle avance moins vite mais avance toujours.
Sa robe la gêne, colle à sa peau. Elle n’abandonne pas, elle ne l’enlève pas.
La nuit revient, lui procure un peu de fraicheur.
Midi vient puis s’en va. Elle souffre de plus en plus, ses forces la lâchent. Des vertiges la prennent, elle se sent mal. Ses genoux se dérobent sous son poids. Elle essaie de se relever mais sans succès. Elle s’écroule finalement, vaincue mais heureuse. Elle y est enfin.

[coco19]

J'ai une nouvelle image
En espérant qu'elle vous inspirera. (Merci à Emy-Lou)

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Je sais que c'est une vieille image mais je la trouve vraiment magnifique et inspirante donc je la réutilise :p
Desolée, mon texte est un peu long mais j'espère que vous le lirez quand meme ^^

Je la regarde se balancer d’avant en arrière, les joues rosies par l’effort, les yeux pétillants de joies, les cheveux rejetés en arrière par le vent froid. Qui pourrait se douter du malheur qui vient de s’abattre sur elle ? Qui pourrait deviner, en la voyant, qu’elle vient d’apprendre que le temps qu’il lui reste à vivre est totalement incertain ? Un an, un mois, une semaine, un jour, une heure ? La seule certitude est qu’elle ne pourra pas fêter ses 10 ans. Son monde vient de s’écrouler. Désormais il ne lui reste plus qu’une chose à faire : profiter de la vie, de ce qu’elle peut encore lui offrir. Nous savons tous qu’elle nous manquera, je pleurerais tous les soirs dans l’obscurité de ma chambre, ma mère fera une dépression, mon père nous quittera, nous ne nous en remettront surement jamais. Mais le plus important pour l’instant, c’est de profiter avec elle du temps que Dieu daigne encore lui accorder, de la soutenir et de graver à jamais dans notre mémoire des souvenirs inoubliables. Je ne veux pas me rappeler d’elle comme d’un corps sans âme à l’aube de la mort. Non. Ma sœur n’est pas comme ça. Elle a toujours été un concentré de bonheur et d’energie, c’est ainsi que nous devons nous souvenir d’elle. Un jour quelqu’un a dit qu’une personne ne mourait jamais vraiment tant qu’il restait encore un morceau d’elle au fond de nos cœurs. Ce morceau se traduit souvent par des souvenirs. C’est pour ça que je l’observe, que j’essaye de graver cet instant dans ma mémoire. Plus tard, je serais heureuse de me rappeler ce moment magique où sa seule préoccupation était de pousser plus fort, d’aller plus vite, de monter plus haut.

[Jay117]

coco19: Pas si long que ça
C'est très joli en tout cas, bravo!

[coco19]

pas faux, ça paraissait plus long sur word :p Merci

[luciole241998]

Bon je vous propose une nouvelle image
J'ai pas encore eu le temps d'écrire, mais en espérant qu'elle vous inspirera ...

the_mysterious_garden_by_dezzan-d4zfys3.jpg (488.76 Kio) Consulté 611 fois

[Emy-Lou]

ton image est super belle

juste si jamais sa intéresse des gens j ai une galerie images et photos si vous voulez plus d images pour vos textes ou autre : http://booknode.com/forum/viewtopic.php?f=34&t=152303

[luciole241998]

Ben ptêtre que ça vous a pas inspiré u.u
Je vous poste quand même mon texte


Alice aurait bien aimé rebrousser chemin. Cela l’aurait même enchanté. Mais elle ne se rappelait plus ce qui l’avait emmené devant cette grille forgée. C’était assez lugubre comme impression. Deux gargouilles la regardait avec un mépris non dissimulé. Une l’apostropha.
- Dégage d’ici fillette!
Alice se contenta de pousser cette grille qui semblait refermer mille et un secrets. La porte grinça douloureusement. La jeune fille aurait bien huilé ses gonds, mais elle ne savait pas où elle pourrait trouver ce qu’il lui fallait. Alors elle se contenta de passer la grille et avança. Au passage, sa robe agrippa une ronce. Alice fut obligée de laisser à la plante un bout de soie jaune.
Elle fit encore quelques pas et déboucha sur un gigantesque jardin. C’était peut-être plus une friche qu’autre chose mais en le regardant, on pouvait tout de même apercevoir des vestiges de sa beauté passée.
Des arbres aux ramures gigantesques étaient sûrement ce qui avait du faire sa gloire. Alice savait qu’ils atteignaient une taille pareille seulement après des siècles et des siècles d’existence. Des mauvaises herbes avaient poussé un peu partout, jaillissant comme des champignons, et couvraient à moitié des dalles de pierre. Ces dernières menaient à une magnifique fontaine de marbre. Au sommet de celle-ci, un petit démon avait une vue sur sur tout le jardin. Ses petites cornes étaient mignonnes.
Alice emprunta le chemin opposé, mue par une volonté qui ne semblait pas lui appartenir. Elle commença à courir vers le fond du jardin et les buissons d’acacia, qui poussaient aléatoirement, lui griffèrent le visage. Quand elle s’arrêta enfin, son visage était en sang, ses cheveux hérissés et sa robe maculée de boue. Mais la jeune fille ne s’en souciait pas.
Elle avait trouvée bien mieux. Un trésor.
Un coffre trônait sur un pilier de granit, entouré par des haies épaisses et hautes de plusieurs mètres. Alice s’approcha. Ouvrir ce coffre était une délicieuse tentation qui lui tenaillait l’esprit. Après ses autres aventures, elle aurait dû se dire que la curiosité était un vilain défaut. Mais sur le coup, cela ne la frappait pas et elle écarta cette pensée comme on le ferait pour une mouche. La jeune fille tendit la main, entrouvrit le coffre.
Des voix s’échappèrent alors.
Par centaines, puis par milliers.
Des voix maléfiques qui torturaient son âme.
La vieillesse.
La maladie.
Le chagrin.
La guerre.
Et tant d’autres, tant d’autres qui faisaient de son corps leur jeu.
Des maux tellement monstrueux. 
Puis Alice comprit. Le coffre était un piège, un traquenard remontant à l’antiquité.
La boîte de Pandore.
Elle hurla.

∞

Quand elle se réveilla, Alice respira de soulagement. Quand bien même sa dernière aventure avait été mouvementée, elle aurait préféré revoir son lapin blanc plutôt que de subir les dieux de la mythologie

[luciole241998]

ton image est super belle

juste si jamais sa intéresse des gens j ai une galerie images et photos si vous voulez plus d images pour vos textes ou autre : http://booknode.com/forum/viewtopic.php?f=34&t=152303

Merci au fait
J'irais jeter un coup d'oeil perso

[luciole241998]

Y a personne ?
Je peux pas proposer deux images de suite ...
Surtout qu'elle a pas inspiré xD

[Jay117]

Si, moi

ballons.jpg (61.68 Kio) Consulté 592 fois