Synesthésie : Aventure/Sci-Fi/Héros Adolescents [Histoire terminée]

[15Lina15]

Salut ! =D

Désolée, j'ai mis un peu de temps avant de venir... :v Mais me voilà ! ^^'

Tu entends quoi par "extrémités du lac" ?
J'aime bien le paragraphe de description du lac, c'est très serein ! Et les sentiments de Lina très bien exploités, tu as su retransmettre sa douleur et ses remords ^-^

Allons, Lina, te laisse pas mourir Et Idris, rassure-la ! (Oui, il est pas content, héhé !)

10 min sous l'eau ? Mais elle serait bel et bien morte, là (et, si encore vivante, dans le coma avec dommages cérébraux irréversibles )
Dis donc, il se laisse aller aux sentiments Idris ? En vrai, ça me fait plaisir qu'il l'ait prise dans ses bras, même si c'était rapide et un peu "instinctif"
(Lina qui enlève des vêtements après un câlin avec Idris... You see what I mean )

Lina, je comprends que tu sois vexée qu'on ait dû de te sauver, mais c'était ça ou mourir, donc faut relativiser

J'sais toujours pas qui c'est Ernesto ?

Bon, on a un "ils" assez mystérieux pour conclure ce chapitre, j'espère que tu nous en diras plus au prochain chapitre et pas laisser ça en plan !
(Juste, petit chipotage sur la mise en page : il vaut mieux mettre en italique les mots que tu veux accentuer, ici "ils", qu'en gras ^^)

A bientôt !

Salut ^^

Non tkt, je comprends on a tous des choses à faire, surtout avec les cours on devient vite débordés !!
Merci pour ton commentaire, oui c'est surtout instinctif sa réaction.

(Lina qui enlève des vêtements après un câlin avec Idris... You see what I mean )

--> Mais dis-donc !! , c'est vrai que l'idée m'a traversé aussi en relisant mais elle enlève seulement la première couche, elle n'est pas en sous-vêtements.

Je croyais pourtant en avoir parlé dans le dernier chapitre (je l'ai reposté) c'est le vieux qui les a appelé à l'aide pour la mission. C'est chez lui qu'ils vont.

Merci pour la mise en page

À bientôt !

[louji]

Salut ^^

Non tkt, je comprends on a tous des choses à faire, surtout avec les cours on devient vite débordés !!
Merci pour ton commentaire, oui c'est surtout instinctif sa réaction.

(Lina qui enlève des vêtements après un câlin avec Idris... You see what I mean )

--> Mais dis-donc !! , c'est vrai que l'idée m'a traversé aussi en relisant mais elle enlève seulement la première couche, elle n'est pas en sous-vêtements.

Je croyais pourtant en avoir parlé dans le dernier chapitre (je l'ai reposté) c'est le vieux qui les a appelé à l'aide pour la mission. C'est chez lui qu'ils vont.

Merci pour la mise en page

À bientôt !

Oui, voilà x')
De rien

XD j'aime beaucoup ton indignation ! Je me doutais bien qu'elle se dénudait pas devant lui, mais j'ai sauté sur l'occasion quand même

Ah, c'est parce que je n'ai pas lu la version corrigée, pardon ! Je vois, merci

Bonne soirée, à bientôt

[15Lina15]

Chapitre 23
— — Le Contrat — —

— Mais enfin, qui sont-ils à la fin, m’énervé-je. Vous aller finir par me dire la vérité ?! Vous me demander de vous faire confiance, mais après tout ce temps passé avec vous, vous me cachez encore des trucs ! Vous pouvez pas comprendre à quel point c’est frustrant.
— Lina, le souci c’est qu’on a tous signé un contrat de confidentialité. Si on le brise, l’accord passé avec notre supérieur devient caduc. L’organisation nous assure un apport, c’est uniquement grâce à ça qu’on a pu se permettre de laisser tomber nos anciennes vies. Ce poste est bien trop important, je suis désolé on ne peut rien faire.
Un silence pesant tombe et les bruits de la forêt couvrent les respirations tendus du groupe.
— Eh bien moi aussi je suis désolée. Parce que si vous ne m’en dites pas plus sur ce que je dois affronter, je fait demi-tour, et rien ne pourra m’en empêcher.
Rangsei se tourne vers Gabrielle en posant une question du regard. Celle-ci acquiesce.
— Pendant la mission, on ne pourra plus veiller sur toi comme avant, alors compte tenu de la situation… je suppose qu’il faut que tu saches ce qu’il en retourne si tu te fais attraper.
Tia me fait signe de m’asseoir à côté d’elle mais je préfère me tenir prête à ce que je vais entendre.
— Quand la Synesthésie a été découverte, une coalition des scientifiques s’est créée pour garder le secret, pensant que le reste de l’humanité ne pourrait nous accepter. Deux camps se sont alors formés en son sein, ceux pensant que l’on pouvait améliorer celle-ci en faisant des recherches, que la Synesthésie était un gène comme les autres qui pouvait être transmit ; et ceux qui pensaient qu’il fallait préserver ces personnes, que c’était un don. Après des années à traquer des Synesthètes, à les torturer et faire des expériences ; les recherches, infructueuses, ont été abandonnées. Malheureusement, il y avait un homme qui travaillait dans ces laboratoires et qui avait déjà beaucoup investis qui refusa de laisser tomber. Il se cacha du reste de l’organisation et forma des mercenaires pour qu’ils lui fournissent… disons des cobayes à étudier.

— Rangsei, tu resteras en arrière pour nous prévenir du danger, et tu veilleras sur Lina. Idris, Tia et moi, on se répartira autour de la maison. L’objectif : repérer et neutraliser les ennemis avant de rejoindre Ernesto pour s’assurer qu’il aille bien. Des questions ?
— Ouai, m’exprime-je en levant la main. J’ai plus d’expérience dans la vie qu’une adulte de 30 ans et j’ai un baby-sitter.
— Lina, réprime Gabrielle en me regardant d’un air tranchant.
— Ton sens c’est la voix ou le goût, en tout cas il est concentré dans ta bouche, fais-je. C’est pour ça que tu es aussi proche de Rangsei, puisque lui c’est l’odorat. Tia c’est la vue, ce qui te permet d’aller aussi vite et de prévoir le moindre geste que je vais faire et être meilleure pour tout combat rapproché. Idris, c’est le toucher, dis-je en les regardant un par un. Je refuse de rester en retrait, je me suis entrainée, je veux servir.
— On fera comme j’ai dit, c’est non discutable, gronde la belle brune en se redressant.
La toute petite aux yeux glacés s’élance pour me défendre mais Gabrielle la fait taire d’un coup d’œil. La patronne se lève, ralentie par la fatigue.
— Tu comprendras plus tard, c’est pour toi que je le fais. Je ne veux pas que tu vives ce que j’ai vécu plus jeune, me dit-elle d’une voix éteinte et me tournant le dos.
Elle part et je remarque à quel point son dos est fin et ses pieds petits. Je baisse les yeux, des sentiments contradictoires, des voix dans ma tête argumentant.

Je me réveille, sans bouger. Les lumières sont éteintes, tout le monde dort. Certains ronflent, Idris n’est pas visible. Je souris en voyant Tia proche de Rangsei et Gabrielle. Le visage apaisé, les cheveux blond épais sur le côté, elle en parait cinq ans de moins. Gabrielle fait des bruits inquiets, elle semble faire un cauchemar.
Je m’éloigne pour souffler un peu. Le vent est doux et les étoiles fraîches. Mon esprit se nettoie à mesure que mon visage mange la nuit. Je ferme les yeux et les battements de mon cœur ralentissent. Je m’arrête, debout, me concentre sur mon intérieur pour apaiser mes anxiétés. J’oublie où je suis, mes nouveaux amis, mon corps et mes pensées. Tout est noir et vide. Un monde inconsistant et infini m’engloutit.

Des sons lointains me parviennent par bribes. Je m’accroche à ces voix et tient bon.
Je crois reconnaître celle d’Idris.
— … il te reste une barre ?
— … toujours chercher à taxer… mais juste une… et toi la cigale, fait une voix plus féminine.
— C’est ça fait la maligne, on verra…
Oui, cette fois j’en suis sûre, c’est bien lui. Il est en train de parler avec une fille. Est-il plus loin ou est-ce que je rêve ?
— Essaie pas de me la mettre à l’envers, s’exclame la voix.
Le mirage disparait, je reprends conscience et ouvre les yeux le cœur battant.
— Qu’est-ce que tu faisais ?
Je sursaute en me retournant. Des arbres m’entourent, je suis à quelques pas du camp.
— Ce n’est rien, c’est Idris. Je t’ai senti partir, je me doutais que tu allais bouger cette nuit.
— Tu me surveillais, m’indigne-je.
Ma main couvre ma bouche sans que je n’y ai pensé. La voix, ma voix, ce sont les mêmes. C’était moi et je ne me rappelle pas de cette discussion, qu’ai-je fait ? J’évite sa question et retourne au camp sans vraiment parvenir à me rendormir.
Des questions forment un labyrinthe dans mon cerveau, moi, cherchant l’issue vers la rationalité. Le souvenir de la vision d’une Lina plus vielle, assise et vêtue d’affaires d’étranger me revient. On prenait l’Hyperloop, je l’avais croisée au milieu de la gare, la seconde d’après elle avait disparue et Gabrielle m’appelait. Fatiguée par ces délires, je laisse tomber.

Gabrielle mène toute l’équipe en silence. On a convenu de gestes pour communiquer sans se faire repérer.
Interdiction de parler depuis dix minutes. Le feuillage se noircit. Je n’avais pas compris que l’opération se ferait de nuit, qu’on ne dormirait que quelques heures. Idris est trop grand devant moi, il me cache la vue. Gabrielle s’arrête et indique sa place à chacun. On est arrivé, la maison est derrière ces arbres, devant nous.
Gabrielle et Idris partent dans des directions opposées. J’aperçois difficilement Tia, aux côtés d’Idris. Ils nous ont laissé leur sacs à dos.
Rangsei m’entraîne vers un coin plus discret qui permet d’avoir une vue plus large des environs. Mon cœur s’accélère et un stress positif s’empare de moi. J’essaie de me déplacer dans le calme mais avec deux sacs à transporter et le stress, on n’entend que moi. Le garçon brun aux cheveux courts se retourne pour me faire signe de me taire. J’ai encore du mal à me déplacer sans bouger de feuilles ou casser de branches, comme eux. Il me montre où me poser et laisse les sacs quelques pas plus loin. La nuit est nuageuse mais mes yeux suffisent pour apercevoir les endroits où les autres se sont postés.
La maison, seule, au milieu d’un jardin vide est surélevée par une colline et entourée par la forêt. Un ruisseau coule pas loin, je peux l’entendre. Gabrielle nous a dit de faire très attention, ils peuvent être partout et on ne sait combien ils sont.
Je sens que quelque chose cloche. Rangsei est concentré sur sa tâche. Sur les genoux, en avant, il ferme les yeux et tente de détecter ce qu’il peut. Je regarde autour de moi et essaye d’analyser la situation.
Idris et Tia sont restés ensemble et Gabrielle est partie seule pour couvrir un autre point. La maison est beaucoup trop facile à approcher. De là où je suis, une pointe d’ombre cache un espace. Je sais que si des mercenaires viennent, c’est par cette voie libre qu’ils passeront. Ils pourront et nous encercler et nous empêcher d’accéder à la maison en y rentrant avant. On serait alors piégés d’une facilité…
Je sais que Gabrielle fait de son mieux, mais ce plan comporte une faille immense. Sur les quatre points stratégiques, seulement trois sont en place. Je connais Rangsei, il les éviterait avant même qu’ils aient décidé de s’approcher de lui.
Mes jambes s’agitent, elles ont besoin d’agir. Je ne supporte pas de rester en retrait et risquer d’échouer la mission juste par ma faute. Il n’y a personne d’autre pour nous aider.
Je me tourne encore une fois vers mon compagnon. Celui-ci n’ayant pas bougé, je me décide à me mettre en action.
Une main vive me saisit le poignet, et le visage de Rangsei qui tente de négocier. Je refuse et il me montre la direction de Gabrielle. Il veut certainement que je la rejoigne pour qu’elle me dise quoi faire et me protège, encore. Il doit sentir mon besoin d’agir mais je ne peux pas aller là-bas. Je ne peux pas me mettre à l’abris.
Je me lève et pars en courant, frôlant le sol pour rejoindre le point opposé. Cette zone d’ombre vide à surveiller.

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[louji]

B'soir !
(Hallelujah, j'suis pas trop en retard )


"— Mais enfin, qui sont-ils à la fin, je m’énerve. Vous aller finir par me dire la vérité ?! Vous me demander de vous faire confiance, mais après tout ce temps passé avec vous, vous me cachez encore des trucs ! Vous pouvez pas comprendre à quel point c’est frustrant."
Ce serait plus joli si tu mettais "m'énervé-je" =D (après les deux sont corrects, simple question de sonorité et présentation ^-^)


"— Je suis désolée Lina, le souci c’est qu’on a tous signé un contrat de confidentialité. Si on le brise, l’accord passé avec notre supérieur devient caduc et on se retrouve tous à la rue, à la merci de ces gens." MDRRR Pardon, mais c'est très bizarre.

"— Pendant la mission, on ne pourra plus pour veiller sur toi comme avant, alors compte tenu de la situation… je suppose qu’il faille faut que tu sache sacheS ce qu’il en retourne si tu te fais attraper. "

"Malheureusement, il y a un homme qui travaillait dans ces laboratoires et ayant les formes passives ne sont pas très jolies, et pas forcément pertinentes à l'oral... "qui avait" sonne mieux déjà beaucoup investis, il refusa de laisser tomber. Il se cacha du reste de l’organisation et forma des mercenaires pour qu’ils lui fournissent… disons des cobayes décédés drôle de tournure ! à étudier. " d'ailleurs, le passé simple ne s'utilise pas vraiment à l'oral... C'est plutôt le passé composé !


J'ai remarqué que tu avais tendance à zapper le s de la 2ème personne du singulier au futur... Comme ici : "— Rangsei, tu resteraS en arrière pour nous prévenir du danger, et tu veilleraS sur Lina."

Du coup, est-ce que Gabrielle n'aurait justement pas été enlevée et torturée par le vil groupe de scientifiques ?

"Essaie pas de me la mettre à l’envers, s’exclame LA voix." Pourquoi en majuscules ?

"On prenait l’Hyperloop" Encore une fois, il vaut mieux mettre en italique qu'en gras C'est une règle typographique

Mmh, je n'ai pas trop compris, à la fin, le cheminement de pensée de Lina ? Pourquoi rejoindre Gabrielle ?


Bon, j'imagine que tout ne va pas être facile pour Lina & co, mais j'ai espoir en leur réussite, tout de même J'espère surtout qu'il ne va pas y avoir de gros dommages chez les protagonistes 0^0

Courage pour la suite !

[15Lina15]

B'soir !
(Hallelujah, j'suis pas trop en retard )


"— Mais enfin, qui sont-ils à la fin, je m’énerve. Vous aller finir par me dire la vérité ?! Vous me demander de vous faire confiance, mais après tout ce temps passé avec vous, vous me cachez encore des trucs ! Vous pouvez pas comprendre à quel point c’est frustrant."
Ce serait plus joli si tu mettais "m'énervé-je" =D (après les deux sont corrects, simple question de sonorité et présentation ^-^)


"— Je suis désolée Lina, le souci c’est qu’on a tous signé un contrat de confidentialité. Si on le brise, l’accord passé avec notre supérieur devient caduc et on se retrouve tous à la rue, à la merci de ces gens." MDRRR Pardon, mais c'est très bizarre.

"— Pendant la mission, on ne pourra plus pour veiller sur toi comme avant, alors compte tenu de la situation… je suppose qu’il faille faut que tu sache sacheS ce qu’il en retourne si tu te fais attraper. "

"Malheureusement, il y a un homme qui travaillait dans ces laboratoires et ayant les formes passives ne sont pas très jolies, et pas forcément pertinentes à l'oral... "qui avait" sonne mieux déjà beaucoup investis, il refusa de laisser tomber. Il se cacha du reste de l’organisation et forma des mercenaires pour qu’ils lui fournissent… disons des cobayes décédés drôle de tournure ! à étudier. " d'ailleurs, le passé simple ne s'utilise pas vraiment à l'oral... C'est plutôt le passé composé !


J'ai remarqué que tu avais tendance à zapper le s de la 2ème personne du singulier au futur... Comme ici : "— Rangsei, tu resteraS en arrière pour nous prévenir du danger, et tu veilleraS sur Lina."

Du coup, est-ce que Gabrielle n'aurait justement pas été enlevée et torturée par le vil groupe de scientifiques ?

"Essaie pas de me la mettre à l’envers, s’exclame LA voix." Pourquoi en majuscules ?

"On prenait l’Hyperloop" Encore une fois, il vaut mieux mettre en italique qu'en gras C'est une règle typographique

Mmh, je n'ai pas trop compris, à la fin, le cheminement de pensée de Lina ? Pourquoi rejoindre Gabrielle ?


Bon, j'imagine que tout ne va pas être facile pour Lina & co, mais j'ai espoir en leur réussite, tout de même J'espère surtout qu'il ne va pas y avoir de gros dommages chez les protagonistes 0^0

Courage pour la suite !

Bonsooir,
merci beaucoup pour ton aide sur la syntaxe, je ferai les améliorations
Je t'avoue que je ne respecte pas trop les règles et fais plus comme je le sens mais je vais plutôt t'écouter…
Si tu veux, je réécrirai plus tard la fin, je n'y ai pas suffisamment réfléchi, je pense. J'aimerai qu'on sente l'action mais je sens que c'est encore mou, c'est difficile
Hmhm l'histoire de Gabrielle…
Moi j'ai surtout hâte que tu découvres Ernesto *dis avec un accent mexicain* alors qu'il est pas du tout mexicain
À la prochaine

[louji]

Bonsooir,
merci beaucoup pour ton aide sur la syntaxe, je ferai les améliorations
Je t'avoue que je ne respecte pas trop les règles et fais plus comme je le sens mais je vais plutôt t'écouter…
Si tu veux, je réécrirai plus tard la fin, je n'y ai pas suffisamment réfléchi, je pense. J'aimerai qu'on sente l'action mais je sens que c'est encore mou, c'est difficile
Hmhm l'histoire de Gabrielle…
Moi j'ai surtout hâte que tu découvres Ernesto *dis avec un accent mexicain* alors qu'il est pas du tout mexicain
À la prochaine

De rien !

Oh, c'est si tu veux toi plutôt C'est pas que c'est spécialement mou, mais... un peu flou, peut-être un peu cafouillis ^^

XD Ben on va bientôt découvrir Errrnesto, je te fais confiance !

A bientôt

[15Lina15]

De rien !

Oh, c'est si tu veux toi plutôt C'est pas que c'est spécialement mou, mais... un peu flou, peut-être un peu cafouillis ^^

XD Ben on va bientôt découvrir Errrnesto, je te fais confiance !

A bientôt

Hey ! J'ai fait une mise à jour du dernier chapitre

[15Lina15]

.

[15Lina15]

Chapitre 24
— — Souffle Coupé — —

Le point vide que je vise se rapproche. Je cours pour m’y placer le plus discrètement possible. Je ne connais pas ces mercenaires mais il est possible qu’il y en ai posté un à cet endroit. J’évite une branche et recherche la zone, rien n’a bougé. Je continue à accélérer, plus vite j’y serai, moins j’aurais de chance de me faire attraper. De là où je suis, je ne peux pas encore dire ce qui m’attend à cette extrémité ouest de la maison. J’espère tellement que ce n’est pas trop tard. Je ferme les yeux une seconde, la respiration en tension, je ne suis plus qu’à quelques mètres.
Il n’y a rien. Seules quelques petites fleurs bordant la maison ressortent de l’herbe.
Je scrute les alentours, il y a tellement de petits craquements dans cette forêt que ce pourrait être n’importe quoi. Je me concentre enfin sur l’espace dégagée et trouve où me poser à l’orée des bois.

J‘ai une vue globale et pourtant cachée par la forêt. Je peux voir l’avant de la maison, qui est à ma gauche, là où se situe encore probablement Rangsei. À ma droite, le dos de la propriété, avec un plus petit coin de verdure avant l’obscurité des bois.
J’observe attentivement, soudain un fin reflet blond file entre les branches en direction de l’arrière de la maison. Je reconnais les cheveux d’Idris. Un léger soupir perce le silence et je couvre ma bouche. S’il va bien et qu’il n’a pas donné de signe, cela veut dire qu’il n’a encore croisé personne et que Tia aussi est en forme. Il devrait s’attacher les cheveux, ils sont bien trop voyants.
Je cherche des yeux Gabrielle mais je ne la trouve pas. Elle est censée être en face de moi, sauf que l’habitation se trouve entre nous. La situation est stressante, il n’y a aucun moyen de la voir de là où je suis. Elle a beau être forte et expérimentée, je ne peux m’empêcher de m’inquiéter. C’est le comble, avoir plus peur pour elle que pour ma propre vie, alors que je suis de toute évidence la plus vulnérable. Dans ma situation, je crois que j’aurais même peur qu’un chat se fasse dévorer par une souris.
Une idée me vient enfin. Mon regard attiré par un petit mouvement dans la forêt reconnaît Tia et, à plusieurs mètres, Idris qui tente de la rejoindre. Je ne peux rien distinguer d’aussi loin mais je peux sentir sous mes pieds les pas pressants et anormaux du jeune homme. Je détourne le regard et le point représentant Tia a disparu.
Un sifflement court et très faible se fait entendre. Cela m’interloque, il est difficile de savoir s’il appartient à l’un d’entre nous ou si c’est juste un bruit de la nature. Je décide de me concentrer sur ce son, prête au cas où il resurgisse.

J’attends mais il ne se répète pas. Ma jambe sautille d’anxiété. Ce n’est pas normal, cela commence à durer trop longtemps. Les trois devaient se poster à des points stratégiques autour de la maison et attendre avant de faire le tour tandis qu’avec Rangsei on restait à l’arrière.
Je ne sais plus quoi faire.
Soudain, une main se presse contre mon cou et m’emporte en arrière. Froide, elle me tire vivement puis redescend sur mon corps tandis que je me débats. J’essaye de me tourner pour faire face mais un bras puissant s’arc sur mon torse et me tire loin dans l’obscurité.
L’emprise est ferme et j’ai le souffle coupé.

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[louji]

Bonsoir !
Oh, mais c'est un minuscule chapitre, trop mignon C'est la 1ère fois que tu en écris un aussi court, non ? (rien de mal à faire quelque chose de court, d'ailleurs ! =o)

"soudain un fin reflet blond file entre les branches en direction de l’arrière de la maison. Je reconnais les cheveux d’Idris." wtf, il est pas brun lui ? XD

Oh, la fin est rapide et prenante ! Je ne sais pas du tout si c'est un allié décidé à la mettre en sécurité ou l'un des ennemis... A voir au prochain chapitre !

[15Lina15]

Bonsoir !
Oh, mais c'est un minuscule chapitre, trop mignon C'est la 1ère fois que tu en écris un aussi court, non ? (rien de mal à faire quelque chose de court, d'ailleurs ! =o)

"soudain un fin reflet blond file entre les branches en direction de l’arrière de la maison. Je reconnais les cheveux d’Idris." wtf, il est pas brun lui ? XD

Oh, la fin est rapide et prenante ! Je ne sais pas du tout si c'est un allié décidé à la mettre en sécurité ou l'un des ennemis... A voir au prochain chapitre !

Bonsoir ^_^
Je sais pas, c'est possible, après il est déjà arrivé que un ou deux chapitres soient très courts (mais peut-être pas à ce point ?). C'est aussi ce que je me suis dit, je voulais caser ce passage dans le chapitre précédent mais je trouvais que ça faisait trop long et après j'avais pas envie de rallonger (pour le suspense) alors j'ai juste coupé.
J'essaie de le caser le plus souvent possible mais il est bel et bien blond !! Les cheveux très clairs, Gab bruns, Rangsei très foncés presque noirs, Tia blonds d'orge.
Merci, à la prochaine.

[louji]

Bonsoir ^_^
Je sais pas, c'est possible, après il est déjà arrivé que un ou deux chapitres soient très courts (mais peut-être pas à ce point ?). C'est aussi ce que je me suis dit, je voulais caser ce passage dans le chapitre précédent mais je trouvais que ça faisait trop long et après j'avais pas envie de rallonger (pour le suspense) alors j'ai juste coupé.
J'essaie de le caser le plus souvent possible mais il est bel et bien blond !! Les cheveux très clairs, Gab bruns, Rangsei très foncés presque noirs, Tia blonds d'orge.
Merci, à la prochaine.

Yep, le découpage de chapitre, fais-le comme tu sens

Merde, je me l'imaginais brun, je sais pas pourquoi (c'est parce que je préfère les bruns en vrai XD)

A plus !

[15Lina15]

Salut à tous !
Pour bien finir l'année et en cadeau de Noël, j'ai posté la couverture de l'histoire, je la met en-dessous mais elle est surtout présente dans le premier post, le sommaire. J'espère qu'elle te.vous plaira, je l'ai fait moi-même. En attendant, rendez-vous mercredi pour le nouveau chapitre, lire les suites des aventures de Lina
Bonnes fêtes à tous !!

-- COUVERTURE --

couverture-Syn.png (2.73 Mio) Consulté 588 fois

[15Lina15]

Chapitre 25
— — L’Épaisseur De La Nuit — —
Mes pieds dérapent, je perds le contrôle et me fais tirer hors de vue. Je sens l’agressivité dans le geste et la panique monte en moi. Je suis projetée contre le sol et des racines s’enfoncent dans mon dos. La douleur me fait échapper un gémissement.
— Oh, ça va hein, tu vas pas te plaindre en plus, m’invective une voix féminine connue.
Je parviens enfin à me retourner et reconnaît la posture de la belle brune. Gabrielle est venue jusqu’à moi, en rage.
— Tu m’as fait peur ! J’ai cru que c’était…
— Eh bien j’espère que t’as eu peur, parce qu’il est hors de question que tu ailles faire ce que tu veux sans réfléchir, encore une fois. Retiens bien aussi que t’es pas toute seule tu…
Un mouvement dans mon dos me titille, j’inspecte les alentours, méfiante.
— S’il te plaît, concentres-toi je n’ai pas beaucoup de temps et…
— Attends, je crois qu’il y a quelque chose, l’alarmé-je.
Elle me tend le bras, aidant à me remettre debout. Sa colère se transforme et elle se concentre sur ses sens, prête à tout pour réagir.
Une silhouette noire passe l’espace d’un instant dans la zone d’en face. Celle où se trouvait Idris et Tia, il se passe réellement quelque chose d’anormal.
— Ils sont là, déclare Gabrielle. Reste près de moi, c’est trop tard pour rentrer, ce sera plus sûr.
Elle sort un couteau sous un pli de son pantalon. Je la vois marcher à pas de chat, cachée par l’ombre des arbres. Elle se retourne et me fait signe de la suivre et faisant pareil.
Ce manège se répète plusieurs fois, quand elle pose, imprévisible, une main sur mon épaule. Je sursaute et heureusement, en silence. Du bout du doigt, elle désigne l’emplacement qu’elle m’a fait quitter. Un homme, en noir, passe en marchant un arme à la main. Malgré la chaleur, il porte des vêtements de combat et une ceinture d’où dépassent de multiples outils tranchants. Massif, il regarde autour de lui. Il se tourne vers nous et son regard se dirige dans notre direction. Je veux réagir quand Gabrielle m’en empêche. Nous fixons nos pieds sur le sol, priant pour être suffisamment cachée par les ombres de la nuit.

Je peux entendre son souffle, puissant et jeune, ses yeux se rapprochent et je découvre une couleur aussi noire, plus intense que l’encre. Son âme de chasseur me transperce, je suis la proie qu’il cherche et je ne peux plus m’échapper. Mon pouls s’accélère, je prie qu’il ne m’ai pas vu, que ce n’est pas sur moi que ses yeux sont posés. Quand je deviens persuadée qu’il m’a repéré et qu’il va me tuer, il lâche sa vue et continue dans une autre direction.
Un poids imposant se libère de sur ma poitrine. Je prends une grande inspiration, soulagée de ne pas avoir été prise. Je tourne la tête vers Gabrielle, elle n’a pas bougé d’un pouce depuis la dernière fois. Son immobilité de pierre est fascinante. Ses yeux roulent dans ma direction, puis vers l’homme soldat et elle reprend vie. Son visage reflète à nouveau des émotions, la rancune en particulier ; ses pupilles noircissent.
— Ça, je n’oublierai pas, me gronde-t-elle.
— Comment ça se fait qu’il soit si jeune, il a pratiquement mon âge, chuchoté-je.
— Ils sont plus faciles à embrigader, on en reparlera plus tard. Il faut qu’on y aille, on doit prévenir Idris et Tia avant qu’ils ne se fassent piéger. Dans l'obscurité des bois, on doit pouvoir…
— Je crois qu’ils sont déjà au courant, je crois même qu’ils le savaient avant nous et qu’ils en ont rencontrés un. J’ai vu Idris courir tout à l’heure.
Gabrielle oriente sa tête face à moi, avec un mélange de surprise et de colère, les pupilles noires. Elle prend une inspiration et quand je crois qu’elle va m’apostropher, un sifflement se fait entendre.
Léger et pourtant clair, il perce l’épaisseur de la nuit et nous rappelle que nous ne sommes pas seuls. Je reconnais la couleur de Tia, brouillonne, je sens qu’elle n’est pas en forme. Je vais pour m’élancer et suivre sa piste, mais la brune me devance. Tout en vérifiant que le soldat soit bien parti, elle sort de l’ombre, courant sur l’herbe près de la maison. Je compte jusqu’à deux, et pars aussi vite que je peux.

Je retrouve le groupe, ils sont cinq. Méfiante, je ralentis, deux d’entre eux sont inconscients. Grand, les cheveux clairs cachant son visage, Idris tient par la veste un homme sur le sol. Tia, à côté dans l’herbe, se tient le bras saignant. Rangsei et Gabrielle interrogent Idris.
— Et l’autre aussi, ils étaient ensemble, demande la capitaine en désignant le corps abandonné à deux pas.
— Oui, fait le blond en hochant la tête, ils s’en sont pris à deux sur Tia ces lâches. Ils nous avaient repérés et ont pris la plus jeune.
Je m’approche et mon coach m’aperçoit. Je poursuis mon chemin jusqu’à Tia.
— Hey, ça va aller ? fais-je en m’asseyant avec elle.
Elle lève ses yeux océans sur moi avec un sourire crispé en se mordant la lèvre.
— Il va falloir des points de suture, intervient une voix grave dans mon dos.
Rangsei sort de son sac son kit de médecin et s’affaire sur le bras frêle en le désinfectant. Je remarque enfin qu’il a ramené les nôtres. Je me lève, récupérer mon sac à dos. Idris et Gabrielle discutent sur la manière de traiter les hommes endormis. Je m’arrête une minute pour les regarder, ils sont très jeunes, mon âge peut-être deux ans de plus. Leur tenues de combat les dissimulent à la perfection.
Par instinct, je soulève le foulard du soldat à l’écart. Son visage s’imprègne dans mon cerveau, je cherche à comprendre. Mèches brunes, visage allongé et gros nez. Je réfléchis pourquoi il m’est familier, je l’ai déjà vu quelque part, il y a longtemps.
Je lui décoche un grand coup de botte cranté sur le côté droit, rancunière. Cet adolescent, je l’ai reconnu.
Je fais demi-tour et après vérification, administre le même traitement à son frère. Idris et Tia, trop pris par leur dispute restent perplexes.
— Il y a une raison pour laquelle tu l’as frappé ? demande le belle brune d’une voix mielleuse.
Je suis trop énervée pour lui répondre pourtant…
— Il… lui et l’autre là-bas sont jumeaux, ils m’ont piégés. Je les ai déjà vu, alors même que je ne connaissait pas la Synesthésie. J’étais au ski, je les avaient jamais vu et ils m’ont pris en grippe, j’en suis sûre. Par leur faute, j’ai chuté et finis à l’hôpital.
Calmée par la voix de Gabrielle, j’y réfléchis à nouveau. C’est juste après cela que j’ai commencé à ressentir la connexion entre mes sens.
— Tu n’as pas le droit, Gaby, il faut que t’arrêtes de l’influencer, elle ne s’en rend même pas compte.
Je lui fait un faux sourire. Merci, Idris, j’avais compris qu’avec sa voix d’ange, elle influençait les émotions et décisions des autres.
— C’est possible qu’il ai poussé le processus ? demandé-je.
— Quel processus, s’enquit Gabrielle.
— Vous m’avez expliqué qu’il fallait un choc au cerveau pour pousser les neurones à se rencontrer et réveiller la Synesthésie. C’est possible qu’ils aient découvert que j’étais une potentielle et qu’ils aient provoqué mon accident dans le but de me rendre Synesthète ?
— Oui, enfin je ne vois pas pourquoi ils auraient fait ça, réfléchit-elle tout haut. Ils ont toujours été hostiles envers nous sans chercher à s’attaquer à des êtres non doués. Ernesto est Synesthète, comme nous, c’est pour ça qu’il était en danger et a pu nous contacter. Je ne vois pas l'intérêt d'aller pousser le processus si c'est simplement pour l'accélérer.
Nous pensons quelques minutes sans parvenir à une réponse.

Les jumeaux étaient venus en Terrafugia, Idris l'avait retrouvé dans les arbres après les avoir assommés par derrière. Je l’aide avec Gabrielle à les porter jusque dans l'appareil. Le temps que l’on programme une destination lointaine, Rangsei et la petite nous rejoignent. Nous mettons en route le vaisseau et nous en voilà débarrassés.

Nous nous avançons tous ensemble jusqu’au palier de la maison, hagards. La nuit s’éclaircit, mes muscles, tendus, sont fatigués. La belle brune aux yeux noisettes se tourne vers chacun de nous, elle préfère éviter une mauvaise surprise.
Tia s’écarte et se poste devant chaque murs un instant. Gabrielle m’explique qu’elle a une vision claire voyante, elle peut voir à travers la matière.
— Il n’y a rien, fait celle-ci en revenant en un clin d’œil. J'ai vérifié l'intérieur de toutes les pièces.
— Tu vois vraiment derrière les murs ? m’étonné-je.
— Seulement en noir et blanc, et ça reste flou, répond-t-elle déçue en haussant les épaules.
— Bon, j’y vais, demande notre cheffe.
— Oui, répond la plus jeune.
Elle s’élance, le bras tendu, des bracelets dépassant de sa manche.

La porte s’ouvre, un homme, d’une cinquantaine d’années se tient devant nous. Chemise, pantalon classe, cheveux propres, il nous accueille avec un sourire protecteur. Pourtant, une tache de sang ressort d’un bandage sous son cou.

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[louji]

Holà !

J'espère que tu as passé un joyeux Noël (et que tu passeras un bon jour de l'An)

Pour la couverture, je préfère les choses assez minimalistes avec des paysages ou des symboles (du coup, j'ai l'impression qu'il y en a "un peu trop" sur la couv'), mais j'apprécie bien le travail que tu as réalisé pour cette couverture

Aller, j'attaque le chapitre !

Bon, je suis rassurée que ce soit Gab au final Et, pour le coup, c'est pas plus mal qu'elle lui ait rappelé les enjeux de la mission

"Je la vois sortir un couteau dessous son pantalon" La formulation n'est pas très jolie

"Malgré la chaleur, il porte des vêtements de combat et une ceinture d’où dépasse dépassENT de multiples d’outils pas besoin du D apostrophe ici tranchants."

Il y a quelques petites fautes, mais rien de grave ^^ Une tache, comme une tache de sang, ne prend pas d'accent (la "tâche", c'est le travail). Les verbes du 1er groupe (terminaison en -ER) à l'impératif ne prennent pas de "S" =D On dit "Reste ici" et non "Restes ici" Pour les verbes de dialogue du 1er groupe et à la 1ère personne du singulier, le "e" prend un accent. On a ainsi :
- Ca va ? demandé-je (et non pas "demande-je" ^^)

Et je sais que je t'embête avec ça, mais les mots inventés, d'origine étrangère, mis en avant, les pensées... doivent apparaître en italique et non en gras

Bon, on a enfin notre rencontre avec Ernesto ! (depuis le temps ) Je me demande bien ce qu'il va pouvoir leur dire, du coup
Quant aux jumeaux, je me rappelle qu'on en était venues à la conclusion que la Synesthésie de Lina avait été provoquée, qu'elle était apparue suite à son accident de ski, donc je m'y attendais... Reste à savoir pourquoi ils ont fait ça ^^

[15Lina15]

Holà !

J'espère que tu as passé un joyeux Noël (et que tu passeras un bon jour de l'An)

Pour la couverture, je préfère les choses assez minimalistes avec des paysages ou des symboles (du coup, j'ai l'impression qu'il y en a "un peu trop" sur la couv'), mais j'apprécie bien le travail que tu as réalisé pour cette couverture

Aller, j'attaque le chapitre !

Bon, je suis rassurée que ce soit Gab au final Et, pour le coup, c'est pas plus mal qu'elle lui ait rappelé les enjeux de la mission

"Je la vois sortir un couteau dessous son pantalon" La formulation n'est pas très jolie

"Malgré la chaleur, il porte des vêtements de combat et une ceinture d’où dépasse dépassENT de multiples d’outils pas besoin du D apostrophe ici tranchants."

Il y a quelques petites fautes, mais rien de grave ^^ Une tache, comme une tache de sang, ne prend pas d'accent (la "tâche", c'est le travail). Les verbes du 1er groupe (terminaison en -ER) à l'impératif ne prennent pas de "S" =D On dit "Reste ici" et non "Restes ici" Pour les verbes de dialogue du 1er groupe et à la 1ère personne du singulier, le "e" prend un accent. On a ainsi :
- Ca va ? demandé-je (et non pas "demande-je" ^^)

Et je sais que je t'embête avec ça, mais les mots inventés, d'origine étrangère, mis en avant, les pensées... doivent apparaître en italique et non en gras

Bon, on a enfin notre rencontre avec Ernesto ! (depuis le temps ) Je me demande bien ce qu'il va pouvoir leur dire, du coup
Quant aux jumeaux, je me rappelle qu'on en était venues à la conclusion que la Synesthésie de Lina avait été provoquée, qu'elle était apparue suite à son accident de ski, donc je m'y attendais... Reste à savoir pourquoi ils ont fait ça ^^

Salut, oui très bien merci, et toi ?

T'as tout à fait le droit de pas aimer, chacun ses goûts. D'autant plus que je n'ai pas de talent esthétique (ça se ressent dans la formation que je fait mais bon on s'y fait).

Merci pour les formulations et oui, désolée je sais pas pourquoi j'oublie encore les -é à chaque fois
Pour la tache, sache que tu me l'apprends, je ne savais pas du tout

Oui, j'étais contente d'avoir réussi à être plus fluide et mettre un peu de suspense, j'espérai que l'on se rappelle de ces mecs au ski (ça fait longtemps), c'est pour ça que j'en reparlais de temps en temps dans des chapitres entre temps .

J'espère que la suite te plaira, je bosse dessus très sérieusement parce que je sens la fin approcher et j'aimerai que tout rentre correctement, que je n'oublie rien et que ça se conclu logiquement. Après, pas sûr que tout sera révélé…

[louji]

Salut, oui très bien merci, et toi ?

T'as tout à fait le droit de pas aimer, chacun ses goûts. D'autant plus que je n'ai pas de talent esthétique (ça se ressent dans la formation que je fait mais bon on s'y fait).

Merci pour les formulations et oui, désolée je sais pas pourquoi j'oublie encore les -é à chaque fois
Pour la tache, sache que tu me l'apprends, je ne savais pas du tout

Oui, j'étais contente d'avoir réussi à être plus fluide et mettre un peu de suspense, j'espérai que l'on se rappelle de ces mecs au ski (ça fait longtemps), c'est pour ça que j'en reparlais de temps en temps dans des chapitres entre temps .

J'espère que la suite te plaira, je bosse dessus très sérieusement parce que je sens la fin approcher et j'aimerai que tout rentre correctement, que je n'oublie rien et que ça se conclu logiquement. Après, pas sûr que tout sera révélé…

Yep, nickel !

Bah, je suis pas sûre d'avoir le sens de l'esthétisme non plus, si ça peut te rassurer

Pas de soucis !
Haha, on en apprend tous les jours après tout

Oui, tu as réussi ton coup, on se rappelle bien de ces gars du ski

La fin approcher... la fin de l'histoire, tu veux dire ?
Au pire, tu auras toujours des retours, donc tu pourras encore modifier la fin si elle ne te convient pas Tu penses partir sur autre chose après Synesthésie ? ^-^

[15Lina15]

Yep, nickel !

Bah, je suis pas sûre d'avoir le sens de l'esthétisme non plus, si ça peut te rassurer

Pas de soucis !
Haha, on en apprend tous les jours après tout

Oui, tu as réussi ton coup, on se rappelle bien de ces gars du ski

La fin approcher... la fin de l'histoire, tu veux dire ?
Au pire, tu auras toujours des retours, donc tu pourras encore modifier la fin si elle ne te convient pas Tu penses partir sur autre chose après Synesthésie ? ^-^

Super alors ^^
Oui, la fin approche… oui c'est sûr. Après je ferai une pause, je vais me concentrer sur d'autres projets mis en pause, mais c'est sûr que je reviendrai à l'écriture (j'ai prévu une suite) mais peut-être pas sous le même format

[louji]

Super alors ^^
Oui, la fin approche… oui c'est sûr. Après je ferai une pause, je vais me concentrer sur d'autres projets mis en pause, mais c'est sûr que je reviendrai à l'écriture (j'ai prévu une suite) mais peut-être pas sous le même format

D'acc ! Et quel genre de projets as-tu, du coup ?
Tu as prévu une suite pour Synesthésie... mais pas sous la même forme ?

[15Lina15]

Super alors ^^
Oui, la fin approche… oui c'est sûr. Après je ferai une pause, je vais me concentrer sur d'autres projets mis en pause, mais c'est sûr que je reviendrai à l'écriture (j'ai prévu une suite) mais peut-être pas sous le même format

D'acc ! Et quel genre de projets as-tu, du coup ?
Tu as prévu une suite pour Synesthésie... mais pas sous la même forme ?

Peut-être des écrits plus courts, des projets en-dehors de l'écriture, comme lire ou faire des activités autre. En fait, ce serait physiquement la même forme mais peut-être que je l'écrirai à l'avance pour pouvoir avoir le temps de la relecture et réécriture (un peu comme toi avec The Dept) afin d'avoir le temps de mûrir mes chapitres et corriger les fautes pour être plus tranquille et rendre quelque chose de plus aboutit
Il y a quelques temps, j'avais commencé Syn puis j'avais abandonné parce que j'étais pas satisfaite de ma technique. J'ai donc essayé un écrit totalement autre dans la structure, comme ce n'était pas naturel pour moi, ça m'a demandé plus d'efforts et j'ai remarqué une belle progression. Je me demande si je ne referai pas ça et si au final, ce n'est pas cette façon d'écrire qui me correspond le mieux. C'était sur l'histoire d'un petit garçon, puis d'un avocat, quelque chose de très réaliste et en plus à la 3e personne, donc quelque chose de tout autre mais au final j'étais très fière de l'avoir écrit. Donc à voir.

[louji]

Peut-être des écrits plus courts, des projets en-dehors de l'écriture, comme lire ou faire des activités autre. En fait, ce serait physiquement la même forme mais peut-être que je l'écrirai à l'avance pour pouvoir avoir le temps de la relecture et réécriture (un peu comme toi avec The Dept) afin d'avoir le temps de mûrir mes chapitres et corriger les fautes pour être plus tranquille et rendre quelque chose de plus aboutit
Il y a quelques temps, j'avais commencé Syn puis j'avais abandonné parce que j'étais pas satisfaite de ma technique. J'ai donc essayé un écrit totalement autre dans la structure, comme ce n'était pas naturel pour moi, ça m'a demandé plus d'efforts et j'ai remarqué une belle progression. Je me demande si je ne referai pas ça et si au final, ce n'est pas cette façon d'écrire qui me correspond le mieux. C'était sur l'histoire d'un petit garçon, puis d'un avocat, quelque chose de très réaliste et en plus à la 3e personne, donc quelque chose de tout autre mais au final j'étais très fière de l'avoir écrit. Donc à voir.

Mmh, je vois ! C'est vrai qu'avoir de l'avance sur la publication des chapitres est bien pratique et permet un peu d'anticipation
Oh, je vois ! C'est vrai que ça changeait de Synesthésie autant sur la forme que le fond. Mais c'est bien aussi de changer, pour s'entraîner à faire autre chose ^-^ Puis changer les points de vue de narration permet de savoir ce qui nous va le mieux, en effet En tout cas, même si ça t'a fait comprendre que ce n'était pas ce qui te convenait le mieux sur la forme, ça t'a permis de voir autre chose !

[15Lina15]

Chapitre 26
— — Jeux d'Enfants — —
Nous sommes tous les cinq devant la porte, la fraîcheur de la maison venant face à nous. Le jour se réveille lentement, les animaux s’agitent doucement un par un, le sol se réchauffe, le soleil éclaire au loin le ciel.
Il est là, se tient devant nous, fort et de l’âge de mon père. Cheveux longs avec une petite barbe brune et des yeux bleus, il est avenant bien que blessé.
— Bonjour, entrez ! Excusez-moi, je ne suis pas sorti vous accueillir. La vérité, je les ai aussi entendu arriver, je pensais que vous réussirez à vous en débarrasser seuls. Mon intention n’était pas que vous vous blessiez, mais connaissant Gabrielle, je ne voulais pas faire de l’ingérence. Encore merci de m’avoir aidé, entrez, entrez ! nous presse-t-il en dégageant de l’espace pour que l’on puisse passer.
— Merci, font Gabrielle, Rangsei et Tia en passant devant.
Je me met à mon tour en marche mais Idris réagit au même moment et mon épaule cogne son bras. À peine ai-je le temps de le comprendre qu’il sursaute et s’écarte. Nos yeux se croisent, il est perplexe, puis les baisse presque aussitôt.

Ernesto nous invite à boire au salon, il nous sert des chocolats chauds tandis que nous nous asseyons. La maison est très propre, assez design tout en restant sobre. Il y a peu d’éléments et ont tous l’air de matériaux chers. Avec un père comme le mien, on apprend vite à reconnaître ce qui vaut quelque chose à ce qui ne vaut rien.
Alors qu’il nous sert, je pose une question dans ce silence confus.
— Vous faites quoi exactement dans la vie, demandé-je curieuse.
L’homme ralenti son mouvement mais n’est pas perturbé. Il continu de nous servir en me regardant à l’occasion.

— Cette maison n’est pas à moi, si c’est la question que vous vous posez. C’est celle d’un ami, j’étais venu pour avoir un peu de tranquillité, loin de la ville. On ne peux pas dire que ce soit réussi, s’amuse-t-il.
Je trouve étonnante sa détente malgré le fait qu’il ai été encerclé récemment par des mercenaires et apparemment blessé.
— Attends, tu vis encore une vie active, et ton ami est normal ? Et il sait ? s’insurge Gabrielle.
— Normal, relève Rangsei d’un ton négatif.
Très calme, il finit de servir la dernière tasse avec efficacité et lui tend. Je souris, il est d’une arrogance, il impose son propre rythme. Il ne s’offusque même pas du comment on lui parle. Avec ses décennies d’expérience en plus, il se contente de vivre comme il le souhaite.
— Oui, c’est un très bon ami. Depuis des années, il m’a aidé et je lui ai rendu de nombreuses fois, justement grâce à mon don. Il vit seul, donc moins de risque qu’il partage mon secret. C’est un riche homme d’affaire, tout comme vous avez pu le voir. Tout ce qu’il y a dedans lui appartiens, je vous demande donc de ne rien casser, vous pouvez bien-sûr rester autant de temps que vous en avez besoin.
Je m’interroge quand même, que veut-il dire par don…
— On ne compte pas trainer, répond la belle brune d’un ton ferme. Pleins de choses à faire nous attendent.
— Allez, Gaby, intervient Tia. La maison est super grande, il est cool, on reste un peu.
Celle-ci la regarde, usant de toute son autorité pour la faire changer d’avis. Mais la petite est trop enthousiaste.
— C’est bon, d’accord, abdique la capitaine en levant les mains.
— Ouai ! Saute de joie Tia en lui enlaçant de ses fins bras.
— Ça te dérangerai… On peut rester jusqu'à ce soir ? demande Gabrielle à Ernesto.
L’homme aux yeux bleus translucides se gratte une barbe de plusieurs jours, perdu dans ses pensées avant de se reconnecter.
— Oui, il y a pas de soucis, autant que vous le voudrez comme j’ai dit, ajoute-t-il dans un sourire fatigué.

Ernesto est parti, il nous a laissé entre nous, nous indiquant au cas, où le trouver.
Tout le monde se détend, fait l’inventaire de son sac, observe la pièce ou discute. Je suis tentée de visiter la maison mais Idris me conseille d’attendre. Rangsei s’en va demander du matériel de soin et reviens nettoyer à nouveau la plaie de Tia. Gabrielle est concentrée sur la tablette et Idris fini de ranger ses affaires.
— Qu’est-ce qu’il voulait dire par ´don’ exactement, m’enquit-je auprès du jeune homme.
— Il est comme toi.
— Comment ça, comme moi ? Tu peux développer ? m’impatienté-je.
— Comme toi, il est Synesthète.
Dans ma tête, un grand moment d’éclairement et de solitude m’envahit. Je finis par en rire.
Apparemment, ils veulent rester groupés pour discuter de la suite avant toute chose. J’attends donc en trépignant malgré la fatigue d’une nuit blanche plutôt stressante. J’espère qu’on aura le temps de se poser et dormir avant de repartir.
Je suppose que ce n’est qu’une halte et la prochaine destination sera au cœur de l’organisation, ou du moins là où se trouve leur boss comme ils l’appellent. Je n’ai pas encore pris de décision, je pense les suivre, voir ce qu’ils me présenteront.
Je ne sais pas exactement quel mode de vie j’aimerais mener, quand je vois des gens qui parviennent à s’intégrer et d’un autre côté, eux, vivant au rythme de leurs missions, ostracisé de la société. Au fond, ils ne peuvent compter sur eux mêmes, mais surtout, il n’y a pas de retour possible. J’ignorais jusqu’alors que des individus tel Ernesto pouvaient exister, en dehors de leur groupe. Je me demande maintenant combien il peut y en avoir.
— Pas tant que ça, en fait, me répond le grand blond en me poussant pour s’asseoir.
— Quoi ? fais-je interloquée.
— Des Synesthètes vivant la vie d’Ernesto, ils se comptent sur les doigts. Et très clairement, à cet âge, je pense que c’est le seul. Quoi que, il y a une histoire sur un moine tibétain de plus de quatre-vingt ans qui traine, mais j’y crois pas des masses.
Je le regarde, les yeux grands ouverts, puis réfléchis dans le vide. Je me dis que j’ai dû parler à haute voix, quand il me cogne la tête en remontant sa manche. Énervée, je me frotte l’endroit du choc.
— ‘Excuse. Non, si je te touches, je peux lire dans tes pensées. J’ai le toucher plutôt, aiguisé, ajoute-t-il en grimaçant.
C’est un fou, il y a des limites à ce que je peux croire. Perdue, je laisse glisser. L’esprit trop embrouillé pour réfléchir à quoi que ce soit. Et puis, la fatigue me gagne petit à petit.

Gabrielle et Ransgei nous ont fait un résumé de l’opération, ont annoncé des primes pour Tia et surtout Idris qui a neutralisé les mercenaires tout en protégeant en priorité sa coéquipière. Je leur demande ce qu’ils feront de cet argent, Tia me répond pour des friandises et l’autre se contente d’hausser les épaules.
C’est à ce moment que la belle brune me regarde, avec l’air de réfléchir.
— Tu ne connais pas grand chose de nous, hein, remarque-t-elle. Je comprends que ce soit d’autant plus difficile de nous faire confiance. Et je remarque, comme tu as agis cette nuit, que tu te méfies encore.
Je détourne le regard, gênée. Je sais que c’est la vérité, mais je ne peux m’en empêcher. Je sais qu’ils ont fait beaucoup pour moi, peut-être à cause du fait que je le mes connaisse pas eux, leurs histoires et motivations.
— On pourrait faire un Menteur ? lance énergiquement la petite à la coiffure touffue.
— Un menteur, relève Rangsei. C’est quoi ?
La belle fille aux cheveux bruns sourit avec bienveillance en le regardant. Je m’empresse d’oublier cette preuve d’amour dégoulinante.
— J’oublie trop souvent que tu n’as jamais vu les jeux d’enfants comme un priorité, monsieur le bosseur, ajoute-t-elle dans une voix faussement grave.
— Tu peux parler, plaisante-t-il à son tour.
— Vous pouvez arrêter ? les rappelle à l’ordre Idris. Tu peux redire les règles, demande-t-il à la plus jeune en me regardant au coin.
— Chacun raconte trois trucs, avec deux qui sont des mensonges et un est vrai. Tout le monde doit deviner lequel est le vrai.
— On peut y jouer si ça te dit, me propose la capitaine en prenant la main de son petit ami.
— Oui, si vous voulez, fais-je hésitante.
Je suis mal à l’aise dans ce genre de situation, mais je crois que je n’ai pas le choix. Je dois faire des efforts pour m’entendre avec eux, pour l’instant, et puis cela va me permettre d’en apprendre plus.

L’ambiance est très détendue, j’oublie peu à peu qui je suis et ce que je fais là, envahit par la curiosité et surtout l’envie de jouer. Rangsei a essayé de nous faire croire qu’il faisait de très bonnes blagues au temps où il vivait avec ses parents. J’ai beau ne pas encore bien le connaître, je crois que n’importe qui aurait su qu’il mentait.
— Ok, à mon tour alors, énonce Gabrielle. Je suis un bébé génétiquement modifié, mais je ne précise pas pour quoi, ajoute-t-elle malicieusement. Ça peut être pour mon physique, mon intellect, une maladie… Ce que vous voulez.
— Ok, et après, la pousse Tia à continuer.
— Je fais très bien la cuisine. Et… Je fais des bijoux à la main depuis que je suis petite.
— Huuum, réfléchit Ransgei, tu ne sais pas faire la cuisine, ça c’était facile, même Lina l’a remarqué.
Je rougis en faisant mine de n’avoir rien entendu. Je ne veux pas la vexer, mais il a raison, à chaque fois que c’est son tour de préparer, je mange à petites doses.
— C’est vrai, reconnait-elle. Dans ce cas, taisez-vous. Lina, devine quel est le mensonge ?
Je pèse les arguments, je ne veux surtout pas me tromper, en plus, ils attendent tous ma réponse.
— Je dirai que tu as plus l’air d’une fille normale qui fabrique ses bijoux elle-même. D’autant que j’ai vu que tu portais des bracelets qui ont l’air artisanaux. Si c’est bien vrai, alors bravo, ils sont réussi, je crois.
— Oui, c’est ça, rit-elle. À ton tour.
— Euh, je sais pas trop, je peux pas passer en dernière, demandé-je embarrassée.
— Bien sûr. Idris, à toi !
Celui-ci se passe une main dans ses cheveux clairs en grimaçant. Tia sautille assise, je ne sais même pas comment c’est possible. Cela me fait sourire.
— J’ai. Alors euh… ma famille travaille dans le bois, ils sont exploitants forestiers en Louisiane. J’ai remporté une compétition sportive de haut niveau à mes treize ans et… j’ai deux mamans.
À l’énonce du mot mamans par le grand costaud, tout le monde se met à partir en fou rire. Rien qu’à l’imaginer avec ses mamans qui lui font des bisous partout.
Je finis par lâcher prise, la main devant la bouche, puis à me tenir le ventre, j’éclate de rire.

Nous nous amusons comme ça plusieurs heures. Je me prête au jeu, en révélant de petites vérités qui ne fassent pas trop mal. Et il s’avère que je suis une très mauvaise menteuse. À la fin, à peine ai-je commencé à parler qu’ils se marrent et démontent mes mensonges ridicules. Tia triche en essayant le lire dans le battement de nos cœurs à travers nos cages thoraciques.
J’apprends des choses étonnantes comme Gabrielle qui a remporté un célèbre concours de chant et que c’est par ce biais qu’elle a pu rencontrer Rangsei, connu pour ses recherches malgré son jeune âge. Ou encore qu’Idris avait eu une petite amie et travaillait le bois avec ses parents et qu’il n’avait jamais été premier dans quoi que ce soit. Plus sombre, j’apprends que le père de Tia était alcoolique et violent, ce qui calme l’ambiance joueuse du jeu. Elle me ramène brutalement à ma propre histoire, dans le froid et la sueur. Elle raconte qu’elle a trafiqué sa carte d’identité pour partir et ne pas se faire rattraper par lui, puisqu’avant de partir elle l’avait sérieusement blessé. « Il le méritait » dit-elle sans se démonter.

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[louji]

Holà !

"Avec une petite barbe, des yeux bleus, et brun, il est avenant bien que blessé." j'ai trouvé étrange l'enchaînement "des yeux bleus, et brun" ^^ On se doute que tu parles de ses cheveux, mais peut-être le préciser, ou placer "brun" ailleurs ?

"Mon intention n’était pas vous vous blessiez" il manque un "que" =)

J'ai bien souri devant Idris et Lina qui passent en même temps la porte et se rentrent dedans... Les prémices de la romance, c'est super cute

"L’homme ralenti son mouvement mais n’est pas perturbé. Il continu de nous servir en me regardant à l’occasion.
— Cette maison n’est pas à moi," Y'a un drôle de symbole qui s'est glissé là

"— Normal, relève négatif Rangsei. " "relève négatif" ?

"— Allez, Gaby. La maison est super grande, il est cool, on reste un peu.
Celle-ci la regarde, usant de toute son autorité pour la faire changer d’avis. Mais la petite est trop enthousiaste." Tu n'as pas précisé que c'était Tia qui parlait juste avant

"— Pas tant que ça, en fait, me répond le grand blond ente poussant pour s’asseoir. " Y'a un petit souci avec la phrase ^^

Haha, le jeu du menteur... C'est à la fois amusant pour détendre l'atmosphère, mais c'est un peu bête pour faire connaissance... autant se présenter d'un coup !
Au final, je pensais en apprendre plus sur le groupe ^^ Comment dire... On a appris des anecdotes sur eux, mais pas vraiment qui ils étaient... J'espère faire plus ample connaissance dans les prochains chapitres ^^

A bientôt

[15Lina15]

Holà !

"Avec une petite barbe, des yeux bleus, et brun, il est avenant bien que blessé." j'ai trouvé étrange l'enchaînement "des yeux bleus, et brun" ^^ On se doute que tu parles de ses cheveux, mais peut-être le préciser, ou placer "brun" ailleurs ?

"Mon intention n’était pas vous vous blessiez" il manque un "que" =)

J'ai bien souri devant Idris et Lina qui passent en même temps la porte et se rentrent dedans... Les prémices de la romance, c'est super cute

"L’homme ralenti son mouvement mais n’est pas perturbé. Il continu de nous servir en me regardant à l’occasion.
— Cette maison n’est pas à moi," Y'a un drôle de symbole qui s'est glissé là

"— Normal, relève négatif Rangsei. " "relève négatif" ?

"— Allez, Gaby. La maison est super grande, il est cool, on reste un peu.
Celle-ci la regarde, usant de toute son autorité pour la faire changer d’avis. Mais la petite est trop enthousiaste." Tu n'as pas précisé que c'était Tia qui parlait juste avant

"— Pas tant que ça, en fait, me répond le grand blond ente poussant pour s’asseoir. " Y'a un petit souci avec la phrase ^^

Haha, le jeu du menteur... C'est à la fois amusant pour détendre l'atmosphère, mais c'est un peu bête pour faire connaissance... autant se présenter d'un coup !
Au final, je pensais en apprendre plus sur le groupe ^^ Comment dire... On a appris des anecdotes sur eux, mais pas vraiment qui ils étaient... J'espère faire plus ample connaissance dans les prochains chapitres ^^

A bientôt

Hey ! Pas de soucis pour les fautes, merci de me les montrer, je corrigerai ça ^^ Pour le "relève négatif" j'ai essayé plusieurs formulations mais je butai dessus, c'est pour dire que Rangsei relève ce qu'elle vient de dire mais de façon négative, comme pour critiquer sa façon de parler et voir les choses.
Pour le jeu du menteur, c'était pour détendre l'atmosphère, Lina a beaucoup de mal à faire confiance, c'est la première fois qu'elle riait avec eux, et qu'il y avait cette entente détendue.
Je ne sais pas jusqu'à quel point ni dans quel sens tu veux que je fasse connaître les personnages, même si je compte le faire…

[louji]

Hey ! Pas de soucis pour les fautes, merci de me les montrer, je corrigerai ça ^^ Pour le "relève négatif" j'ai essayé plusieurs formulations mais je butai dessus, c'est pour dire que Rangsei relève ce qu'elle vient de dire mais de façon négative, comme pour critiquer sa façon de parler et voir les choses.
Pour le jeu du menteur, c'était pour détendre l'atmosphère, Lina a beaucoup de mal à faire confiance, c'est la première fois qu'elle riait avec eux, et qu'il y avait cette entente détendue.
Je ne sais pas jusqu'à quel point ni dans quel sens tu veux que je fasse connaître les personnages, même si je compte le faire…

Ah, je vois ! Mmh, tu peux peut-être essayer "relève Rangsei d'un ton pessimiste/abattu/morne" ou "relève Rangsei avec pessimisme"...
Oui, on est plutôt au courant de la méfiance (compréhensible) de Lina envers les autres
Haha, je sais pas trop quoi te répondre, car un lecteur veut toujours en savoir le plus possible sur les personnages : leur passé, présent et futur, leurs motivations, leurs qualités et faiblesses, leurs tics, leur langage... Tout ce qui fait les nuances d'un personnage, quoi

[15Lina15]

Salut à tous !

Il s’est avéré que mon histoire nécessitait d’être développée. J’accorde alors plus de temps que prévu en ajoutant plus de chapitres ^^
Bien qu’il soit encore trop tôt pour le dire, cela devrait nous mener juste avant le début de l’été. Quoi qu’il en soit, j’apprecie tous vos commentaires, qu’ils soient longs ou non. Ils me permettent de progresser et d’améliorer cette histoire en faisant des choix comme celui-ci.

Si vous avez d’autres retours à faire, n’hésitez surtout pas !
Merci beaucoup et à mercredi prochain !!

[15Lina15]

Chapitre 27
— — Après La Vague — —

J’ouvre les yeux, les membres lourds. Je suis confortablement camouflée, sous des draps à parfaite température, d’un poids suffisant. Mon dos est au paradis, je me réfugie sous la couette, en souriant pour profiter de cette douceur. Quand soudain je comprends que je ne me souviens pas du tout comment j’ai pu arriver ici. Un lit douillet, un lieu inconnu. Je prends des forces et regarde à l’extérieur : une petite chambre, des meubles neufs, pas de présence humaine, pas d’affaires, excepté mon sac posé à mes pieds.
Je me lève aux aguets, prends mon sac et fais le tour de la pièce. Je tombe sur l’unique porte et regarde par-dessus mon épaule. Hier, nous étions dans la maison d’un homme qu’on a sauvé, je crois. Je dois toujours y être, me dis-je. Je me rassure, tout en occultant le fait que j’ai été déplacée malgré moi.
Je pousse la porte et personne n’est derrière, alors l’exploration continue.
Après plusieurs pièces visitées, un jardin intérieur, et deux autres chambres, je me trouve dans un long couloir. Éclairée par des led à détection de mouvements qui s’adaptent à la lumière du jour, je traverse. Le sol est vitré, je peux voir l’étage du dessous en marchant, c’est une sensation grisante.
En levant les yeux, je reconnais des papillons accrochés dans un tableau. Je m’arrête pour les regarder, je n’en n’avais jamais vu en vrai.
— Ils sont magnifiques, fais-je en touchant la plaque de verre.
Après la vague de pollution, les États se sont enfin unis pour nettoyer les espaces les plus touchés et entretenir à l’avenir régulièrement les plus sensibles. Ils ont réussi à récupérer une atmosphère vivable pour l’humanité et les autres espèces vivantes. Avec l’innovation technologique, nous avons pu à nouveau sortir dehors, manger de la nourriture non polluée. Des piles anti-pollution sont apparues, transformant le CO2 en O2 ; filtrage à grande échelle des eaux naturelles, drones automatisés pour le nettoyage en extérieur…
Mais il était trop tard, le mal était fait. La moitié des espèces vivantes ont définitivement disparues, le réchauffement climatique est devenu incontrôlable et les catastrophes naturelles quotidiennes. L’été, la chaleur nous empêche de sortir dehors, nous vivons reclus à l’abri. Les espèces végétales du printemps et de l’hiver meurent et de nouvelles, plus résistantes apparaissent. Des incendies qui durent des semaines, des carcasses d’animaux sauvages qui meurent de faim et de soif sur les routes, des ouragans qui détruisent les bâtiments les plus sophistiqués qu’on puisse inventer. Seuls les pays du nord sont épargnés, ils ont conservé un cycle à peu près naturel.

Je retrouve le groupe en train de prendre un déjeuner copieux à la cuisine. Gabrielle montre à Tia comment faire des œufs au plats en forme de poule, un plat qu’elle semble maitriser. Quant à Rangsei et Idris, discutent avec l’homme de maison, Ernesto.
Nous nous asseyons autour d’une table simple pour manger un peu et discuter. J’apprend alors qu’ils se sont bien amusés. Tandis que je dormais, ils m’ont transporté dans toute la maison, ensemble, à la recherche d’un lit. Il semblerait qu’ils m’aient fait cogner contre les murs une ou deux fois. À cette remarque, Tia se remet à pouffer de rire et s’étouffe avec ses céréales. Je ne peux m’empêcher de sourire.
Je remarque que le bandage au cou du seul adulte à la table est refait. Rangsei, notre médecin du groupe a dû passer par là.
— Qu’est-ce qu’il s’est passé au final, avant que vous n’appeliez l’organisation ? demandé-je.
L’interrogé finit sa fourchette et avale une gorgée de sa pinte avant de tourner ses yeux clairs et bienveillants directement sur moi. Son regard est à la fois intimidant et rassurant, c’est quelque peu perturbant, une mèche de cheveux ondulé lui tombe sur la joue.
— Quand je suis arrivé, je me suis douté que cette maison ne serai pas sûre, par sa situation et le passé que semblait conserver le terrain. J’ai tout de suite senti qu’il y avait un risque qu’ILS passent par là, avec l’habitude. J’ai donc passé un coup de fil pour prévenir d’où je me trouvais, au cas où il y aurait un problème. Et puis, il y a deux, trois jours, un petit malin faisait du repérage, je l’ai chopé en train de fouiner dans le jardin. Il était rapide, mais j’étais plus fort et expérimenté, alors j’ai pu prendre le dessus, mais il m’a laissé un petit souvenir, ajoute-t-il en touchant tacitement son cou. Il m’a échappé, et pensant qu’il appeler des renforts je vous ai rappelé. C’est tout, conclu-t-il en reprenant une gorgée, une main dans les cheveux.
— Et tu ne veux pas partir avec nous ? Ce serai quand même plus sûr, maintenant qu’ils sachent où tu te trouves, ils risquent de te surveiller et te tracer, s’inquiète Gabrielle.
— Ne t’inquiètes pas pour moi, je les ai déjà semé plusieurs fois. C’est vrai que j’ai un peu pris la confiance, je vais disparaitre quelques temps et ça ira. Ne t’en fais pas, faites ce que vous avez à faire, je sais m’occuper de moi, et puis, j’ai encore quelque chose à faire par ici, glisse-t-il dans ses pensées.
La brune aux yeux noisettes pince son nez fin, cela n’a pas l’air de la réjouir. Ce n’est pas à elle de décider, il est plus âgé et avisé qu’elle.
— C’est qu’on n’a pas vraiment le choix de partir, le patron attend de rencontrer Lina. Plus le temps passe et plus on lui en dit et moins ça plaît à l’organisation.
— Je comprends, ça me rappelle des souvenirs. J’ai été à ta place, j’étais encore plus jeune que toi quand ils m’ont approché, je n’ai jamais réussi à m’intégrer, alors ils m’ont laissé partir. De force, ajoute-t-il à voix si basse que je comprends grâce à ses formes et couleurs.
Il me jette un oeil en souriant malicieusement, je détourne et souris de mon côté, il n’y a que moi qui semble avoir compris ses derniers mots.

Alors que nous nous apprêtons à partir, le trentenaire me fait signe de venir. Il m’emmène dans une pièce de la maison à côté, il parait calme avec l’envie de discuter. La lumière est tamisée, l’ensemble semblable aux autres pièces de la maison : design avec seulement un canapé, un bar et une bibliothèque. Surement un coin pour lire.
Tandis qu’il va s’asseoir, je fais le tour et lui demande ce qu’il me veut, assez intriguée.
— Je suis content de t’avoir rencontré, à vrai dire. Bien sûr, je suis content de tous vous avoir rencontré, j’ai déjà pu parler avec les autres pendant que tu dormais. Je connais Gaby depuis qu’elle est arrivée à l’organisation. Elle était épatante, elle l’est toujours, ajoute-t-il dans un petit rire calme. J’ai été, en quelque sorte son tuteur pendant plusieurs années.
— Pourquoi vous êtes parti ? m’enquit-je.
— J’étouffais, je voulais voir autre chose que leur entrainement, essayer de vivre comme avant, comme tout le monde. Je m’étais dit qu’il y avait d’autre manière d’aider avec mon don qu’en restant caché et à l’écart. À l’époque, ils m’ont dit que j’étais inconscient, ils m’ont quasiment empêché de partir. Tu ne dois pas les laisser t’influencer, fais ce que tu as envie, avant tout. Si tu as de la famille, ce n’est pas nécessaire de t’en…
— Non, l’interrompé-je, je vous arrête tout de suite, ils ne comptent pas et n’en valent pas la peine. Je n’étais déjà plus avec eux quand le groupe m’a trouvé.
— Comme tu veux, fait-il assis sur le bout du canapé, le regard perdu. Tu sais, tu ressembles un peu à la Gabrielle que je connaissais quand je l’ai rencontré. Elle était très silencieuse, dans son coin, elle ne partageait rien d’elle. Elle ne parlait pas beaucoup, certes, en partie à cause de sa prédilection pour la suggestion avec… sa voix. Mais c’était beaucoup plus profond, elle a passé du temps seule, incomprise et s’était renfermée. Je crois que le concours qu’elle a fait a empiré les choses, la célébrité ça n’a jamais été pour elle.
Les yeux fixés sur les livres dans la bibliothèque en face de moi, je les touche comme pour m’y raccrocher et puiser de l’aide. Ses paroles me font mal, je n’arrive pas à parler, la gorge bloquée. Je réfléchis un peu et avant de me lancer à approfondir, je vérifie quelque chose.
— Ça ne va pas la déranger, que vous disiez tout ça sur elle, fais-je en me tournant avec un geste vers la porte.
Un sourire malicieux nait sur son visage à peine abîmé par les années. Il se redresse, s’avance un peu, les cheveux en arrière.
— Elle n’entendra rien, personne d’autre que nous deux n’entendra cette discussion, fait-il en me regardant dans les yeux.
Je ne me dérobe pas, je tiens bon et reste droite, légèrement à l’affût.
— Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
— Je pensais que tu avais déjà compris, ou qu’au moins tu t’en rendrai compte pendant que je parlais. Excuse-moi de te l’apprendre comme ça mais… Moi comme toi, nous avons une préférence pour l’ouïe, c’est le sens dans lequel nous sommes doués. Tu n’as fait que lire à travers moi jusqu’à maintenant, rien de tout cela n’a été prononcé à voix haute.

Je ne réagis pas comme lui ou moi on se serait attendu. Un fou rire incontrôlable part, je rejoins le canapé en délire.
— Au point où j’en suis, vous savez, je ne comprends toujours pas comment on peut encore me surprendre. Bon, c’est pas grave, merci de me l’apprendre, ajoutais-je en finissant de rire.
— Tu peux me tutoyer, tu sais, fait-il en se servant un verre au bar.
— Oui, fais-je. C’est juste, de vieilles habitudes, vous me rappelez mon père.
— Ton père, s’étonne-t-il perturbé.
— Vous inquiétez pas, je ne vais pas vous sauter dessus pour des câlins, en plaisantant. En plus, vous ne lui ressemblez pas du tout, vous êtes… différent. Non, mon père est un enfoiré pour faire court, ajoutais-je avec un petit rire. Il n’est pas le genre de personne avec qui on devient ami et à qui on prête aveuglément sa maison.
— Je comprends, glisse-t-il en vidant son verre. J’avais le même type de père.

J’ouvre la porte, Ernesto derrière moi et nous rejoignons les autres. Gabrielle est en train d’embrasser Rangsei alors que l’adolescent blond lit debout le seul et même livre rouge qu’il ai.
— En tout cas, je suis rassuré qu’elle ai trouvé quelqu’un comme Rangsei, ajoute-t-il discrètement. Il est un bon, il voulait pas me lâcher jusqu’à ce que j’accepte qu’il me soigne. Il m’a fait promettre comme un enfant, de prendre mes médicaments pour soigner ma coupure, renchérit-il faussement rancunier.
— Sur ce coup, je pense qu’il avait raison, plaisantais-je sur le même ton.
— En tout cas, merci d’être venu, fait-il à haute voix en me tendant sa main.
Je la regarde une poignée de secondes avant de la saisir tranquillement. Ça me fait plaisir qu’un contact me soit demandé avant d’être opéré sans mon consentement. Si c’est lui, je suis contente de la serrer, il m’a beaucoup aidé.

Alors que tout le monde s’est dit au revoir, il jette un dernier regard sur nous en nous souhaitant un bon voyage.

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[louji]

Holà ! ^^

"Je me lève, sur mes aguets, prends mon sac et fais le tour de la pièce." On dit plutôt "aux aguets"

" J’apprend alors qu’ils ses ont bien amusés. " Je crois qu'il y a eu un conflit entre les pronoms là

Ernesto n'a que 30 ans ? Et ils arrêtent pas de le traiter de vieux depuis le début de leur mission ? Sympa

"pensais que vous aviez déjà compris, ou qu’au moins tu t’en rendrai compte pendant que je parlais." Ernesto la vouvoie ou la tutoie ?

Autrement, assez fun la discussion "muette" qu'ils entretiennent, même si j'ai encore un peu de mal à comprendre comment ça fonctionne

"Je la regarde une poignée de secondes avant de la saisir en le regardant tranquillement." Petite répétition ^^


Bon, un chapitre assez calme, qui marque la fin de l'histoire avec Ernesto, je suppose ? A présent, j'imagine qu'ils vont rejoindre le fameux "patron"... Depuis le temps qu'on attend ! Je me demande bien à quoi il ressemble et ce qu'il va pouvoir apporter à Lina ^^
Courage pour Synesthésie et les cours et à bientôt =)

[15Lina15]

Holà ! ^^

"Je me lève, sur mes aguets, prends mon sac et fais le tour de la pièce." On dit plutôt "aux aguets"

" J’apprend alors qu’ils ses ont bien amusés. " Je crois qu'il y a eu un conflit entre les pronoms là

Ernesto n'a que 30 ans ? Et ils arrêtent pas de le traiter de vieux depuis le début de leur mission ? Sympa

"pensais que vous aviez déjà compris, ou qu’au moins tu t’en rendrai compte pendant que je parlais." Ernesto la vouvoie ou la tutoie ?

Autrement, assez fun la discussion "muette" qu'ils entretiennent, même si j'ai encore un peu de mal à comprendre comment ça fonctionne

"Je la regarde une poignée de secondes avant de la saisir en le regardant tranquillement." Petite répétition ^^


Bon, un chapitre assez calme, qui marque la fin de l'histoire avec Ernesto, je suppose ? A présent, j'imagine qu'ils vont rejoindre le fameux "patron"... Depuis le temps qu'on attend ! Je me demande bien à quoi il ressemble et ce qu'il va pouvoir apporter à Lina ^^
Courage pour Synesthésie et les cours et à bientôt =)

Hey !
Merci beaucoup pour tes corrections j’irai remettre tout ça en ordre.
Oui, c’est justement parce que pour un Synesthète il est vieux
Oui c’est ça, ils vont sérieusement se mettre en route vers le QG ^^

Merci c’est sympa, en ce moment les cours sont plus doux que prévu donc ça va. J’ai même réussi à avoir 3 chapitres d’avance

[louji]

Hey !
Merci beaucoup pour tes corrections j’irai remettre tout ça en ordre.
Oui, c’est justement parce que pour un Synesthète il est vieux
Oui c’est ça, ils vont sérieusement se mettre en route vers le QG ^^

Merci c’est sympa, en ce moment les cours sont plus doux que prévu donc ça va. J’ai même réussi à avoir 3 chapitres d’avance

Pas de soucis
Tout de même, du coup, j'imaginais qu'on avait affaire au moins à un soixantenaire Mais Ernesto est encore jeune sur le plan humain, bichette x')

Yes, moi aussi, j'ai pas encore trop trop d'heures... Mais ça va arriver
Oh nice ! J'espère que tu vas pouvoir les conserver ^^