Petit jeu d'écriture

[Jundow]

SA main n'était désormais que poussière, et le reste de son corps suivait le même chemin; elle s'était tout simplement dématèrialisée devant moi!
Je n'y comprenait plus rien, cette femme que je croyais connaitre depuis tant d'années se révèlait être une personne douée de pouvoir magique.
Ensuite, elle réapparut devant moi de la même façon qu'elle avait disparue. J'avait du mal a croire ce que je voyait et ma femme éclata de rire devant mon regard ébahis.

prochaine phrase:

La mort l'avait emportée...

[fashion-girl]

La mort l'avait emportée vers un monde inconnu. Se fut pour lui une délivrance, un soulagement. Il ne pouvais plus vivre ainsi dans la douleur et la souffrance, il voulait juste partir. Est-ce un crime de vouloir choisir sa mort? Pour ne plus subir cette torture qu'est la vie.

[Myok]

La douleur me submergeait. Les armes s'étaient tues et il n'y avait plus qu'obscurité. Obscurité et douleur. Des souvenirs confus me revenaient, de mon enfance ,sous l'oranger de la ferme, de ma femme et moi à Venise, de mes enfants... De la bataille. Du sang et du bruit, beaucoup de bruit. Les visages emplis de terreur... Obscurité et douleur. Douleur et obscurité.
Mes yeux s'ouvrent, est-ce réel ? Autour de moi le silence. Un silence plus bruyant que les mines explosant joyeusement mes amis. Plus bruyant encore que les avions frôlant les hommes pour les arroser d'une pluie empoisonnée de bombes.
Je me rappelle de mon admission dans l'armée. Je travaillais à la ferme quand ma femme est venu me chercher : <<Il est l'heure, elle a dit. Il est l'heure.>>
Quelques jours plus tôt, un militaire était venu. Il affirmait que nous gagnions la guerre et qu'en m'enrôlant, il ne m'arriverait rien. Je toucherai ensuite une bonne paye, << Oui monsieur ! Une très bonne même ! affirmait-il.>> Il prêchait le confort qu'on avait lors des déplacements et des campements. Et ses mots sonnaient comme une promesse.
Et me voilà dans cette chambre, je ne vois rien, je n'entends rien que la mort qui rôde, attendant tranquillement ma fin. Obscurité et douleur. Douleur et obscurité.


Voili-Voilou... Pas très joyeux, je vous l'accorde !
Phrase suivante : <<L'accord vibra encore quelques secondes, puis s'éteignit.>>

[Nihal_Oksa]

Nate baissa alors les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière."

Jouer avec les limites de la magie n'est pas anodin, et on le lui avait toujours répété. Pourtant, le jeune mage, entêté et ambitieux, pensait pouvoir dompter ce pouvoir qui avait entraîné la perte d'un bon nombre de ses prédécesseurs. Il était brillant, incroyablement doué pour son âge, alors après tout, pourquoi n'essayerait-il pas ?
Des mois durant, il avait passé ses nuits à la confection de ce sortilège. Il l'avait tissé avec application, veillant minutieusement au moindre détail.
Rien ne doit être laissé au hasard.
Les jours passant, son visage se creusait, son regard se faisait plus dur. Mais Nate ne semblait pas avoir conscience des effets qu'avaient la préparation de ce rituel sur lui. Il ne pensait plus qu'à cela et son regard avait une lueur étrange, celle d'un homme dont la conscience cède peu à peu à la folie.
Ce soir-là, son heure était enfin venue. La lune était pleine, les étoiles favorables, toutes les conditions étaient réunies.
Nate s'était enfermé dans la tour, et avait tout d'abord tracé un immense pentacle sur le sol. Il avait disposé le matériel qui serait nécessaire, et allumé les bougies. Puis il L'avait appelée.

La Grande Magie grogna. Du fond de son éternité, Elle était dérangée par un homme. Mais le rituel ne lui laissait pas le choix : Elle était appelée.

Il y avait eut comme un grand froid. Nate avait alors découvert qu'il n'est pas plus terrible que ce silence-là : le silence de l'attente.
Mais Elle vint. Il La sentit le traverser, pour arriver au-dessus du récipient, juste là où il La voulait. Il avait besoin de son action pour terminer le sortilège, et il suffirait qu'Elle verse un peu de son pouvoir dans la coup, et il accèderait au rêve le plus terrible de l'homme : l'immortalité.
Ce qui était advenu par la suite était brouillé dans son esprit. Il se rappelait seulement de beaucoup de bruit, d'une lumière, et d'une odeur étrange.

Voilà comment lui, Nate Hawtorn, eut entre ses mains l'illusion absolue, le rêve d'immortalité, la chimère la plus humaine peut-être. Il tremblait, et fit un mouvement brusque qui envoya en l'air quelques gouttelettes du précieux liquide. Il les sentit retomber sur sa main, et eut un hurlement. La coupe lui échappa des mains et le liquide se renversa sur son corps. Nate baissa les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière." Et la sensation de brûlure atroce qui se répandait dans son corps lui fit comprendre quelle serait sa fin.

Au petit matin, quand le soleil déversa sa clarté aveuglante dans la pièce, il ne restait plus qu'un tas de poussière au sol.




Un petit essai sur cette phrase qui m'avait intriguée... Je ne suis pas entièrement satisfaite de ce texte mais je me suis attachée à l'idée, alors voilà :]
Nouvelle phrase ? "Et ses mots sonnaient comme une promesse."

J'adore ! Tu écrit vraiment bien ! Tu devrais écrire plus tard ! ( je lirais tes livres en tout cas )

[Jundow]

Je vous remercie tous pour votre participations
Mais une petite chose: la phrase donnée doit être le début de votre texte, la toute première phrase, il ne faut pas la plaçée n'importe ou dans le textes.
Maintenant, ce n'est rien de grave, les textes que j'ai lu étaient tous très bien mais je préfèrais préciser ceci pour la suite

[Vavi]

Nate baissa alors les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière."

Jouer avec les limites de la magie n'est pas anodin, et on le lui avait toujours répété. Pourtant, le jeune mage, entêté et ambitieux, pensait pouvoir dompter ce pouvoir qui avait entraîné la perte d'un bon nombre de ses prédécesseurs. Il était brillant, incroyablement doué pour son âge, alors après tout, pourquoi n'essayerait-il pas ?
Des mois durant, il avait passé ses nuits à la confection de ce sortilège. Il l'avait tissé avec application, veillant minutieusement au moindre détail.
Rien ne doit être laissé au hasard.
Les jours passant, son visage se creusait, son regard se faisait plus dur. Mais Nate ne semblait pas avoir conscience des effets qu'avaient la préparation de ce rituel sur lui. Il ne pensait plus qu'à cela et son regard avait une lueur étrange, celle d'un homme dont la conscience cède peu à peu à la folie.
Ce soir-là, son heure était enfin venue. La lune était pleine, les étoiles favorables, toutes les conditions étaient réunies.
Nate s'était enfermé dans la tour, et avait tout d'abord tracé un immense pentacle sur le sol. Il avait disposé le matériel qui serait nécessaire, et allumé les bougies. Puis il L'avait appelée.

La Grande Magie grogna. Du fond de son éternité, Elle était dérangée par un homme. Mais le rituel ne lui laissait pas le choix : Elle était appelée.

Il y avait eut comme un grand froid. Nate avait alors découvert qu'il n'est pas plus terrible que ce silence-là : le silence de l'attente.
Mais Elle vint. Il La sentit le traverser, pour arriver au-dessus du récipient, juste là où il La voulait. Il avait besoin de son action pour terminer le sortilège, et il suffirait qu'Elle verse un peu de son pouvoir dans la coup, et il accèderait au rêve le plus terrible de l'homme : l'immortalité.
Ce qui était advenu par la suite était brouillé dans son esprit. Il se rappelait seulement de beaucoup de bruit, d'une lumière, et d'une odeur étrange.

Voilà comment lui, Nate Hawtorn, eut entre ses mains l'illusion absolue, le rêve d'immortalité, la chimère la plus humaine peut-être. Il tremblait, et fit un mouvement brusque qui envoya en l'air quelques gouttelettes du précieux liquide. Il les sentit retomber sur sa main, et eut un hurlement. La coupe lui échappa des mains et le liquide se renversa sur son corps. Nate baissa les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière." Et la sensation de brûlure atroce qui se répandait dans son corps lui fit comprendre quelle serait sa fin.

Au petit matin, quand le soleil déversa sa clarté aveuglante dans la pièce, il ne restait plus qu'un tas de poussière au sol.




Un petit essai sur cette phrase qui m'avait intriguée... Je ne suis pas entièrement satisfaite de ce texte mais je me suis attachée à l'idée, alors voilà :]
Nouvelle phrase ? "Et ses mots sonnaient comme une promesse."

J'adore ! Tu écrit vraiment bien ! Tu devrais écrire plus tard ! ( je lirais tes livres en tout cas )

C'est fort gentil mais je ne pense pas être un jour à même de boucler un livre ! Écrire est pour moi un très beau loisir, mais je laisse à ceux qui en ont le talent le soin d'en faire leur métier. Par contre, je me verrai bien de l'autre côté de la barrière, car les métiers de l'édition m'intéressent de plus en plus Enfin bref ^^

[Jundow]

Nate baissa alors les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière."

Jouer avec les limites de la magie n'est pas anodin, et on le lui avait toujours répété. Pourtant, le jeune mage, entêté et ambitieux, pensait pouvoir dompter ce pouvoir qui avait entraîné la perte d'un bon nombre de ses prédécesseurs. Il était brillant, incroyablement doué pour son âge, alors après tout, pourquoi n'essayerait-il pas ?
Des mois durant, il avait passé ses nuits à la confection de ce sortilège. Il l'avait tissé avec application, veillant minutieusement au moindre détail.
Rien ne doit être laissé au hasard.
Les jours passant, son visage se creusait, son regard se faisait plus dur. Mais Nate ne semblait pas avoir conscience des effets qu'avaient la préparation de ce rituel sur lui. Il ne pensait plus qu'à cela et son regard avait une lueur étrange, celle d'un homme dont la conscience cède peu à peu à la folie.
Ce soir-là, son heure était enfin venue. La lune était pleine, les étoiles favorables, toutes les conditions étaient réunies.
Nate s'était enfermé dans la tour, et avait tout d'abord tracé un immense pentacle sur le sol. Il avait disposé le matériel qui serait nécessaire, et allumé les bougies. Puis il L'avait appelée.

La Grande Magie grogna. Du fond de son éternité, Elle était dérangée par un homme. Mais le rituel ne lui laissait pas le choix : Elle était appelée.

Il y avait eut comme un grand froid. Nate avait alors découvert qu'il n'est pas plus terrible que ce silence-là : le silence de l'attente.
Mais Elle vint. Il La sentit le traverser, pour arriver au-dessus du récipient, juste là où il La voulait. Il avait besoin de son action pour terminer le sortilège, et il suffirait qu'Elle verse un peu de son pouvoir dans la coup, et il accèderait au rêve le plus terrible de l'homme : l'immortalité.
Ce qui était advenu par la suite était brouillé dans son esprit. Il se rappelait seulement de beaucoup de bruit, d'une lumière, et d'une odeur étrange.

Voilà comment lui, Nate Hawtorn, eut entre ses mains l'illusion absolue, le rêve d'immortalité, la chimère la plus humaine peut-être. Il tremblait, et fit un mouvement brusque qui envoya en l'air quelques gouttelettes du précieux liquide. Il les sentit retomber sur sa main, et eut un hurlement. La coupe lui échappa des mains et le liquide se renversa sur son corps. Nate baissa les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière." Et la sensation de brûlure atroce qui se répandait dans son corps lui fit comprendre quelle serait sa fin.

Au petit matin, quand le soleil déversa sa clarté aveuglante dans la pièce, il ne restait plus qu'un tas de poussière au sol.




Un petit essai sur cette phrase qui m'avait intriguée... Je ne suis pas entièrement satisfaite de ce texte mais je me suis attachée à l'idée, alors voilà :]
Nouvelle phrase ? "Et ses mots sonnaient comme une promesse."

J'adore ! Tu écrit vraiment bien ! Tu devrais écrire plus tard ! ( je lirais tes livres en tout cas )

C'est fort gentil mais je ne pense pas être un jour à même de boucler un livre ! Écrire est pour moi un très beau loisir, mais je laisse à ceux qui en ont le talent le soin d'en faire leur métier. Par contre, je me verrai bien de l'autre côté de la barrière, car les métiers de l'édition m'intéressent de plus en plus Enfin bref ^^

A voir ton petit texte, je dirai que tu as déja un certain talent, en continuant a écrire, tu va encore t'améliorée et tu sera capable de faire une histoire complète. Maintenant, ca dépend aussi de toi; si tu en a envie ou non.

[Jundow]

L'accord vibra encore quelques secondes, puis s'éteignit.
Les musiciens posèrent leurs instruments et quittèrent la scène sous les applaudissement du public. Ils se rendirent tous dans leur loges respective pour se débarasser de la tension accumulée durant le spectale.
Pourtant, L'un de ses musiciens ne rentra pas dans sa loge directement. Il se rendit d'abord dans celle du violoniste.
Il entra dans cette petite pièce après avoir enfilés un masque de clown pour ne pas être reconnu. Une lame de dix centimètre au creux de la main, il s'approcha a petit pas de son compagnon de scène qui l'observai avec curiosité dans le reflet du miroir.
Le musicien au masque de clown était maintenant juste dèrrière le violoniste.
-A quoi joue-tu? demanda celui-ci
-Tu ne retouchera plus jamais a un violon...
-Mais qu'est ce qu..."
Il ne put jamais finir sa question; la longue lame lui trancha la gorge d'une oreille à l'autre et il mourru dans le silence le plus complet.
Le musicien au masque de clown quitta la pièce et retourna dans sa loge comme si de rien n'était.

Prochaine phrase:

Il quitta sont lieu de travail, la mine sombre...

[Nihal_Oksa]

viva : Oui mais c'est dommage ! L'édition c'est aussi super ! : P

1956 Paris.
Il quitta sont lieu de travail, la mine sombre...Quand il descendit les marches , un homme vint à lui et le réprimanda.
- Dépêche toi bon sang ! Toi alors ! Tu es toujours aussi feignant ! Tu n'est qu'un lard ! Jamais tu seras à l'heure ! Son père le regardait d'un air qui laissais croire qu'il ne devait pas riposter. De toutes façons David n'en eu pas la force. Il était bien trop fatigué , il avais passé un temps fou à finir ses plans pour sa nouvelle maquette .

La nuit tombait peu à peu sur le vieux Paris et on ne voyait à présent que les bateaux sur la Senne qui s’apprêtaient à partir. Son père le fixait, David le sentait. Son père ne l'avait jamais vraiment apprécié .Durant sa courte enfance il n'avait jamais été là pour lui, et jamais il n'avait eu d’intérêt particulier envers lui. Mais maintenant David avait l'habitude des remarques cyniques de son vieux père et d'un côté il s'en fichait,après tout ça l'avait endurcit.
Il y'a de cela 2 semaines,David avait eu un prix pour avoir réalisé les meilleurs plans d'un avion contenant 789456 places,et ceux depuis 1934.David en était fière et pour une fois son père aussi. Il lui avait d'un ton solennel:
- Bien mon fils ! Tu prouve en fin ta valeur ! Ce n'est pas trop tôt ! Mais comme ont dit il vaut mieux tard que jamais ! Mais ne te réjouie pas trop vite ! Ce n'est pas pour ça que je te classerais dans ma liste des "réussis". Les "réussis" était un nom ou plutôt une étiquette , *comme disait David* inventé de toutes pièces par son père qui permettait d'être "accepté" dans la ligné des grands et des gens qui avaient accomplie leur devoir. Les trois frères de David avaient réussies bien avant lui. Dans le passé , David faisait de son mieux pour plaire à son père mais il avait fini par comprendre qu'il perdait son temps. Donc quand vint le jour où David eu reçu son prix, son père lui avait promis une fête en son honneur 2 semaines plus tard . David n'aimait pourtant pas les fêtes et encore moins dédié à lui. L'idée d''être le centre du monde ne le réjouissait pas le moins du monde. D'un côté ça ne risquerait pas , étant donné qu'il y'aurais ses frères et que son père ferait tout pour le rabaisser et donner au contraire de la fierté a ses trois autres fils qui eux avaient " réussis". Et le voilà,marchands péniblement aux côtés de son père vers la fête censé être donné en son honneur.

[Nihal_Oksa]

Et moi j'écris bien?! Non je plaisante : Aller,bonne nuit ! Et merci pour ce petit divertissement ça m'a beaucoup plu !

[Jundow]

Et moi j'écris bien?! Non je plaisante : Aller,bonne nuit ! Et merci pour ce petit divertissement ça m'a beaucoup plu !

Oui je trouve que tu écrits bien.
De rien, c'est moi qui te remercie d'y avoir participer

[Jundow]

Prochaine phrase:

Le vieux marin admirait avec nostalgie la mer.

[Myok]

"Le vieux marin admirait avec nostalgie la mer." Il ne le faisait que d'un seul œil puisqu'il était borgne, cependant il le faisait avec convictions. En effet, son vieux père désormais dans la tombe, lui avait toujours répéter que s'il voulait faire marin... Il lui faudrait un certains nombre d'accessoires. Premièrement une jambe de bois.
Indispensable.
Puis on lui avait suggéré un œil de verre. Il avait longuement hésité à s’énucléer, mais bon : on est un vieux loup de mer ou on l'est pas. Après ces menues opérations, il s'était concocté un regard lointain qui avait pour mission de traduire la nostalgie. Il était très fier de son regard. Les jurons étaient, eux, venus tout seul. A force de perdre l'équilibre sur son propre navire, il est facile de jurer tel Barbe Rousse. Sacrebleu ! Revenu sur la Terre ferme, son père l'avait entraîné à lamper de la bière infecte.
Il excellait dans son domaine depuis une vingtaine d'années. Aujourd'hui, il se demandait à quoi servait ce déguisement ridicule...

Phrase suivante : "La nuit s'annonçait sanglante."

[Jundow]

La nuit s'annonçait sanglante. J'était près a l'attaque et la bande de salopards qui était planquée dans cette vielle ferme au milieu de nulle part ne savait pas qu'ils vivaient les dernières minutes de leurs misérables existence.
J'était habillé chaudement et m'était équipé d'un gilet par-balles qui était caché en dessous de ma veste en cuir.
Je chargea mes deux pistolet automatique 9 mm et fit sauté le cran de sureté; J'était près et les minutes qui allaient suivres seraient violentes et sanglantes.
Je me redressa et me dirigea vers la porte de la ferme; ca allait faire très mal...

Prochaine phrase:

La plage était déserte.

[Myok]

"La plage était déserte." Il n'y avait absolument personne à part moi et Gap, mon écureuil. L'air marin ne lui plaisait pas mais il n'était pas question de faire demi-tour. Pas maintenant.
S'il était dérangé, ce n'était pas du tout mon cas. Je regardais l'immensité de l'Océan s'étendant par devant moi. L'écume formée par les vagues s'entrechoquant me faisait penser à un troupeau de mouton d'un autre monde. Le vent qui balayait la côte créait des formes fantomatiques avec le sable, son éternel esclave.
Toute ma vie...Toute ma courte vie, on m'avait parlé de l'Océan. On m'avait dit qu'il était meurtrier. Que la solitude qui y régnait amenait à la folie. Que les rochers bordant le littoral combattaient avec ardeur la marée infatigable et qu'un jour, s'ils perdaient, le continent seraient envahi par les monstres marins au sang froid et aux tentacules multiples et plus rien ne pousseraient à cause du sel qui s'infiltrerait dans les plantations.
Que d'ignorance.
Si bataille il y avait eu, l'Océan aurait gagné depuis longtemps. La marée montant et s'abaissant n'était que le souffle endormi d'une immense et paisible créature.
Sans comprendre pourquoi, la Fureur s'empara de moi, ne laissant aucun autre sentiment. Le sable autour de moi se leva violemment et resta en suspension dans l'air. Les vagues doublèrent de volume et leur vitesse s'intensifia. Le soleil disparu derrière un groupe de nuages noirs.
Une légère douleur au bras gauche me ramena à moi et la Fureur s'en alla comme elle était venu. Les vagues se calmèrent et retrouvèrent un rythme rassurant. Le sable retomba sur le sol.
Gap sortit de ma manche et me lança un regard d'écureuil apeuré.
Il venait de sauver le monde.


Ce petit jeu est vraiment sympa. ^_^
Phrase suivante : "Le jour se lèvera bientôt."

[Vavi]

"La plage était déserte." Je m'y tenais debout, seule, sans bouger. J'écoutais.
Aucun bruit humain, pas de piaillements d'oiseaux marins... Simplement le silence. Pas le silence absolu, le silence calme de la pluie.
Avez-vous déjà vu la mer quand il pleut ? Le gris des flots mêlé au gris des nuages, et les gouttes, comme des traits d'union entre le ciel et l'océan. Et ce calme, cet apaisement... Le sentiment que ce moment a toujours été est sera toujours. Oui, c'est cette idée d'infini, d'éternité qui revient. De l'eau, toujours, à perte de vue.
Il n'y avait rien de vivant en soit dans cette scène, et pourtant... Se sent-on plus vivant que là, debout face à l'immensité de l'océan, trempé par la pluie ? Voir les flots se briser sur les galets, entendre le vent...
Je ne sais pas exactement combien de temps je restai là, mais quand je rentrai chez moi, il faisait nuit.



Ce texte est un peu court à mon goût mais bon... :/
Pas de phrase vu que je n'avais pas vu le texte de Myok, désolée ^^"

[Elya]

Je peux aussi participer ?
Parce que ça a l'air vraiment bien et marrant !!

[Vavi]

Je peux aussi participer ?
Parce que ça a l'air vraiment bien et marrant !!

Bah bien sûr
Participe qui veut ! ^^

[Elya]

Ah, génial ! Je prend un peu de temps pour écrire alors, si c'est possible !

[Myok]

Ah, génial ! Je prend un peu de temps pour écrire alors, si c'est possible !

Évidemment ! Je crois qu'une grande partie d'entre nous s'est déjà fait doublé pendant qu'il/elle écrivait. Prends ton temps.

[fashion-girl]

Le jour se lèvera bientôt, la dernière fois que je verrai l'aube et que la chaleur des rayons de soleil me caresserons la peau. Ma mort approche et me fait peur. On ma condamner pour un crime que je n'est commis un crime si sanglant, je revois encore les images de ce crime j’étais la impuissante. On ma tous de suite suspecter et finalement arrêter. Maintenant je vais être pendu. Ma vas vie va ce finir et la mort va arriver est-ce douloureux ou indolore je le serais d'un un instant sous les regards des passants.


phrase suivante: La douleurs me possède

[fashion-girl]

doublé mdr dsl il y en aura deux avec la même phrase =)

[eclairdu87]

Je peux participer ?

La vie est belle enfin c'est ce que je croyais jusquà aujourd'hui. Je me levais pour aller chercher un verre d'eau mais quand je fut arrivé à mon réfrigérateur j'entend de petits cris strident. Je me demandais ce que c'était. Etait-ce ma soeur qui me faisait une blague ? Ou bien quelques chose de complètement démencielle, car je croyais vraiment à la parano de mes copains. J'ignora ce bruit au cas où se soit ma soeur, sinon elle allé se moquait de moi. J'ouvrit donc mon réfrigérateur et je découvris deux éspèces de lutins farceurs qui me regardait d'une tête ahuri. On lisait la peur sur leurs visages alors ils sortirent en vitesse et m'emmenèrent jusqu'à ma cheminée. Ils éssayaient de me faire passé par le trou mais il ne purent pas me soulever. J'avais eu chaud. Et tout à coup je me réveilla en me demandant si j'étais reemontait me coucher et que là je me réveillais ou si ce n'était qu'un rêve. Mais c'était bien la première hipothèse car sur ma table de chevé se trouvait une lettre me disant que les deux lutins allaient finir par m'attrapait. Le lendemain j'étais inquiet à l'idée de revoir ces deux lutins cette nuits mais ma soeur me dit alors tu as vu la lettre sur ta table de chevé je t'ai entendu crier dans ton someil " Eh mais queque vous faites la les lutins! Eh! Eh! Arettez! A ces mots ma peur se dissipa et je fis la même farce à ma soeur qui elle criat avoir vu des loups-garous. C'était bien fait !

Voilà ca vous a plu ?

Voici la prochaine phrase : Perdre son chemin est moins bien que perdre la vie.

[Jundow]

Je peux participer ?

La vie est belle enfin c'est ce que je croyais jusquà aujourd'hui. Je me levais pour aller chercher un verre d'eau mais quand je fut arrivé à mon réfrigérateur j'entend de petits cris strident. Je me demandais ce que c'était. Etait-ce ma soeur qui me faisait une blague ? Ou bien quelques chose de complètement démencielle, car je croyais vraiment à la parano de mes copains. J'ignora ce bruit au cas où se soit ma soeur, sinon elle allé se moquait de moi. J'ouvrit donc mon réfrigérateur et je découvris deux éspèces de lutins farceurs qui me regardait d'une tête ahuri. On lisait la peur sur leurs visages alors ils sortirent en vitesse et m'emmenèrent jusqu'à ma cheminée. Ils éssayaient de me faire passé par le trou mais il ne purent pas me soulever. J'avais eu chaud. Et tout à coup je me réveilla en me demandant si j'étais reemontait me coucher et que là je me réveillais ou si ce n'était qu'un rêve. Mais c'était bien la première hipothèse car sur ma table de chevé se trouvait une lettre me disant que les deux lutins allaient finir par m'attrapait. Le lendemain j'étais inquiet à l'idée de revoir ces deux lutins cette nuits mais ma soeur me dit alors tu as vu la lettre sur ta table de chevé je t'ai entendu crier dans ton someil " Eh mais queque vous faites la les lutins! Eh! Eh! Arettez! A ces mots ma peur se dissipa et je fis la même farce à ma soeur qui elle criat avoir vu des loups-garous. C'était bien fait !

Voilà ca vous a plu ?

Voici la prochaine phrase : Perdre son chemin est moins bien que perdre la vie.

Bien trouvé ce petit texte

[Jundow]

"Perdre son chemin est moins bien que perdre la vie", c'est ce que me répetai tout le temps mon grand-père. Car d'après lui, s'éloigné de sa voie et pire que la mort, on ne sait plus qui on est, on ne sait plus ce que l'on fait sur terre et il est difficile de revenir en arrière...
Je pensais a ce que j'avait été et ce que j'était devenus. J'avait été un brillant élève donc une grande carrière d'avocat attendait mais j'avait perdu mon chemin; j'était devenus un drogués qui volait sa propre famille pour une petite dose de poison, j'était devenus un bon à rien qui n'avait plus sa plaçe sur terre...
J'avait donc décidé d'en finir. Je demanda pardon a toute les personnes qui m'aimaient et m'avaient fait confiance, et dans une dernière prière: me lança du haut de ce gratte-ciel de 200 étages...

Prochaine phrase:

La vie me sembla soudainement plus belle

[Vavi]

La vie me sembla soudainement plus belle. Tu vois, quand le docteur m'annonça la nouvelle, ce fut un peu comme si je redécouvrais le soleil après de longs mois cloîtrée dans un cachot humide, et le soulagement eut sur moi un effet euphorique, grisant. Le remède existait, ta maladie n'était pas incurable ! Bien sûr, ce ne serait pas facile, il te faudrait du courage petite soeur, mais nous serions là, à tes côtés. Et puis tes cheveux repousseraient, tes joues retrouveraient leurs couleurs et ton regard son éclat. Tu perdrais ton air grave, adulte, tu apprendrais à nouveau à jouer comme les autres enfants, tu rirais, enfin, après tous ces mois de souffrance. Tu serais plus heureuse que n'importe qui, parce que toi seule comprendrais à quel point la vie est fragile, précieuse.
Oui, à cet instant, je retrouvai le sourire et l'envie d'aller de l'avant. Pour toi, petite soeur, pour cet espoir renaissant, pour notre bonheur.


Prochaine phrase : "Allongé dans l'herbe sous le ciel étoilé, je songe."

[Myok]

"Allongé dans l'herbe sous le ciel étoilé, je songe."Une décision compliquée m'attend et je n'ai pas le droit à l'erreur.
Dois-je lui faire part de mes sentiments ?
Ahhh... Combien de personnes se sont posés cette éternelle question ? Je l'aime. C'est indéniable ! Mais, et elle ? M'aime-t-elle en retour ?
Je songe. Je repense à ses sourires un peu tordus parce qu'elle n'ose pas dévoiler ses dents, à ses yeux rieurs l'accompagnant. Je me rappelle de ses rires interminables. De celui qui les provoque. Un violent relent de jalousie s'installe en moi, encore et encore je repense à eux... Je me sens ridicule et pitoyable, je chantonne du nirvana pour me donner contenance avec les étoiles pour seul témoin. J'imagine un "nous".
Je me relève tout en jetant un dernier regard au ciel, lui adressant une ultime prière (quelque soit la personne qui la reçoit, elle a intérêt à dire : "No problem")...
Elle est là, près du feu. Il est allé se coucher et il n'y a que nous, elle se retourne vers moi; m'accueillant avec son fameux sourire tordu.
J'observe le feu un instant pour me donner du courage et je pense à ceux qui n'ont pas eu la chance de déclarer leur flamme.
Je me lance.
Son sourire disparait. Merde.


Phrase suivante : "Les braises grésillaient faiblement et les dernières flammes cessaient leurs danses."

[lecture4reveur]

La vie me sembla soudainement plus belle. Tu vois, quand le docteur m'annonça la nouvelle, ce fut un peu comme si je redécouvrais le soleil après de longs mois cloîtrée dans un cachot humide, et le soulagement eut sur moi un effet euphorique, grisant. Le remède existait, ta maladie n'était pas incurable ! Bien sûr, ce ne serait pas facile, il te faudrait du courage petite soeur, mais nous serions là, à tes côtés. Et puis tes cheveux repousseraient, tes joues retrouveraient leurs couleurs et ton regard son éclat. Tu perdrais ton air grave, adulte, tu apprendrais à nouveau à jouer comme les autres enfants, tu rirais, enfin, après tous ces mois de souffrance. Tu serais plus heureuse que n'importe qui, parce que toi seule comprendrais à quel point la vie est fragile, précieuse.
Oui, à cet instant, je retrouvai le sourire et l'envie d'aller de l'avant. Pour toi, petite soeur, pour cet espoir renaissant, pour notre bonheur.


Prochaine phrase : "Allongé dans l'herbe sous le ciel étoilé, je songe."

J'aime beaucoup, de j'ai toujours eu un faible pour les textes traitant les maladies, encore plus quand se sont des enfants qui en sont atteints...

[lecture4reveur]

"Allongé dans l'herbe sous le ciel étoilé, je songe."Une décision compliquée m'attend et je n'ai pas le droit à l'erreur.
Dois-je lui faire part de mes sentiments ?
Ahhh... Combien de personnes se sont posés cette éternelle question ? Je l'aime. C'est indéniable ! Mais, et elle ? M'aime-t-elle en retour ?
Je songe. Je repense à ses sourires un peu tordus parce qu'elle n'ose pas dévoiler ses dents, à ses yeux rieurs l'accompagnant. Je me rappelle de ses rires interminables. De celui qui les provoque. Un violent relent de jalousie s'installe en moi, encore et encore je repense à eux... Je me sens ridicule et pitoyable, je chantonne du nirvana pour me donner contenance avec les étoiles pour seul témoin. J'imagine un "nous".
Je me relève tout en jetant un dernier regard au ciel, lui adressant une ultime prière (quelque soit la personne qui la reçoit, elle a intérêt à dire : "No problem")...
Elle est là, près du feu. Il est allé se coucher et il n'y a que nous, elle se retourne vers moi; m'accueillant avec son fameux sourire tordu.
J'observe le feu un instant pour me donner du courage et je pense à ceux qui n'ont pas eu la chance de déclarer leur flamme.
Je me lance.
Son sourire disparait. Merde.


Phrase suivante : "Les braises grésillaient faiblement et les dernières flammes cessaient leurs danses."

C'est sympa et drôle!
J'aime aussi celui de Jundow, même si je le trouve un peu sombre... = )

"Les braises grésillaient faiblement et les dernières flammes cessaient leur danses." Autour du feu, il ne restait à présent que trois jeunes gens, deux garçons et une fille. L'un des garçons, le plus fatigué - ses nombreuses cernes pouvaient en témoigner - se leva d'un air las et marmonna un salut au deux autres, en bâillant à s'en décrocher la mâchoire.
La fille frotta ses mains l'une contre l'autre et souffla de dessus, dans l'espoir vainc de se réchauffer. L'air s'était rapidement rafraîchi, le foyer s'était dorénavant éteint et elle n'avait pas apporté de gilet, se fiant naïvement a soleil qui brillait intensément à peine quelques heures auparavant. Le garçon quant à lui, restait immobile et ne montrait aucun signe de réaction au froid, bien qu'il avait la chair de poule et parvenait à peine à ne pas claquer des dents. Il se rapprocha sur la bûche, près de la jeune fille. Cette dernière posa doucement sa tête sur son épaule droite un poussant un gros soupir. Ce n'était pas le baiser fougueux auquel il s'attendait, mais bon, ce n'était pas mal non plus. Et puis de toute façon, il était naze et n'avait pas la force d'embrasser qui que soit, même la nana de ses rêves à qui il ne cessait de penser jour et nuit et pour qui il aurait décroché la lune. En plus, des bisous, il aurait tout le plaisir d'en donner et d'en recevoir demain, dans une semaine ou dans un mois... La colo ne faisait que commencer, et elle promettait beaucoup de surprise..
Il s'endormit peu après l'adolescente, ayant pour dernière pensée de ne pas trop penser avant de sombrer dans un sommeil chargé de songes...

Ma phrase: "Elle mordit sauvagement dans sa tablette de chocolat: tant pis pour les kilos et les calories, ils ne lui faisaient plus peur!"