Petit jeu d'écriture

[lectrice-en-herbe]

... mais tu n'as pas mis de phrase

[Mondaye]

Alors nouvelle phrase ( Vive Jacques Prevert) :

Et pourquoi pas?

[Jundow]

Vu que la phrase proposée n'inspire personne; je vais en mettre une autre:

"l'operation avait échouer"

[lectrice-en-herbe]

L'opération avait échoué. Encore. Malheureusement. C'était notre dernière chance. Un par un nous nous écroulâmes sur le sol goudronné. On aurait pourtant du réussir. On avait réussit à s'infiltrer dans le manoir sans problème. Nous avions assommé les gardes devant la porte. Tout se déroulait à merveille. On avant tout prévu sauf... la toute petite alarmes glissé dans le mur sous un tableau. Elle a aussitôt signalé notre présence aux gardes. Maintenant nous étions des hommes morts. Je fermais les yeux alors que tout se brouillait autour de nous. C'était surement à cause de la plaie béante à mon abdomen.

Dans sa chambre, un garçon de 10 ans, à peine, claqua sa console de jeu. Il avait perdu. Encore. Malheureusement. Et dire que ce n'étais qu'à cause d'une toute petite alarmes.


Phrase: Elle fignola son dessin.

[lecture4reveur]

Je trouve que ton texte est sympa, il est sympa!

Elle fignola son dessin. Elle gomma des traits, en retraça d'autres. Elle recommença encore et encore, toujours insatisfaite de son travail qui était pourtant réussi. Mais pas assez au goût de Margaux qui cherchait sans cesse la perfection. Si elle ne pouvait l'atteindre, elle ferait tout pour s'en rapprocher au maximum. Il fallait à tout prix que tous ses efforts paient afin que les juges voient son talent et qu'elle puisse enfin avoir sa chance. Si elle remportait ce concours, ce serait une porte ouverte sur le monde merveilleux mais pratiquement inaccessible, du moins, professionnellement... Mais elle ferait tout pour pénétrer dans cet univers, même s'il fallait pour ça en forcer l'entrée.
Elle soupira et se reporta sur son chevalet qu'elle avait un instant quitté des yeux pour se plonger dans la contemplation de sa fenêtre qui donnait sur la Tour Effeil. Elle prit du recul, se demandant quels défauts pourrait-elle effacer. Et puis, après tout, Margaux se dit que si son oeuvre lui plaisait, c'était l'important. Mais ce n'était hélas pas tout ce qui comptait. Il restait l'excellence qu'elle avait peine à apercevoir, tout en bas de la montagne de boulot devant laquelle elle se retrouvait. Vaincue, elle repris son fusain et s'y remit avec acharnement... et passion.

Prochaine phrase: Le chocolat chaud me brûla les lèvres et je ne pus retenir un cri.

[Allis]

Le chocolat chaud me brûla les lèvres et je ne pus retenir un cri. Mon père releva son nez du journal et me fusilla du regard. Confuse, je reposais ma tasse. Comme il ne disait rien, je la vidait dans l'évier, et repassant la langue sur mes lèvres douloureuses, je pris mon sac, fermais mon manteau et sortais en silence.
Dehors, l'air était froid, le ciel encore sombre. Je baissais la tête et accélérais le pas. J'avais toujours eu peur du noir. On voyait peu de gens à cette heure, tout au plus deux-trois personnes à moitié endormies, parties tôt pour aller traverser à l'autre bout de la ville.
Moi, j'aurais bien pris la voiture, plutôt que de devoir marcher ces vingt minutes puis attendre mon bus dix minutes dans le froid. Mais depuis qu'il était interdit d'utiliser des engins "polluants", il était considéré comme normal de prendre plus d'une heure pour atteindre le travail. Je savais qu'avec un peu de chance le bus serait à l'heure, puis que j'aurais le métro, et arriverais pour 8h. Mais en cas de grève, la longue traversée devenait carrément un enfer. Bien sur, d'autres m'auraient conseillé le vélo. Ben tiens, vous vous êtes déjà fait plus de cinq kilomètres de côte en vélo, dans le froid? J'aimerais vous y voir.
Je songeais que cette journée serait comme les autres: grise, froide et épuisante.


phrase: Elle lève la tête, et

[lectrice-en-herbe]

[quote="lecture4reveur"]Je trouve que ton texte est sympa, il est sympa!

Merci

[lecture4reveur]

Je t'en prie.

[lectrice-en-herbe]

Elle lève la tête et me fais un clin d’œil. Je lui répond par une grimace. Elle serai bientôt tranquille, elle allait être acclimaté. Tout le monde y passe et en ressort changer pour la vie. C'est pour notre bien mais personne ne savait ce qu'il y avait dans cette salle qui rendait les gens matures. Mon amie resta une dizaine de minutes dans la pièce et lorsqu'elle en ressortit son visage était plus pâle et plus fermé. Elle ne jeta pas un regard dans ma direction. Je rentrais moi aussi dans la pièce. Une femme habillé en blanc du haut à la tête me prit par les épaules et me fit allonger sur une table d'opération. Elle m'y attacha, glissant les sangles par-dessus mon corps. Elle braqua un objet ressemblant à un polaroids sur mon visage. Une lumière blanche m’éblouis et je papillonnais des yeux durant une ou deux minutes. Lorsque je retrouvais ma vision, une violente douleur envahis mon crane. Je voulu crier mais l'infirmière me glissa quelque chose entre les dents afin de m'en empêcher.Je m'agitais entre les sangles étroitement serré.
Soudain, je cessais de me débattre. Cela ne servait à rien. Tout cela était bien trop infantile. Ces pensées ne me surprirent même pas.
On me détacha et je pus sortir. Un garçon fit une grimace et un autre éclatait de rire. Je ne leur accordait pas un regard, il ne le méritaient pas. Ils étaient bien trop... bête et ce ils n'étaient que des gamins.
Je continuais mon chemin avec un mépris sans borne pour ces gosses.



Je suis pas trop fière de mon texte, je savais pas à quoi écrire ^^'
Phrase: La musique était à son point le plus fort.

[pandou451]

La musique était à son point fort. Je commençais à me fatiguer mais, entraînée par mes amies, je continuais malgré tout de danser. Mais bientôt, je commençais à avoir des vertiges. Je quittais donc à regret la piste de danse pour aller me désaltérer au bar. Là, je m'assis avec joie sur un siège et commandait une boisson fraîche. Ensuite, je la dégustais pendant que mes amies me rejoignaient. Elles ne semblaient pas plus épuisées que ça et ne semblaient quitter la piste de danse uniquement pour me tenir compagnie. L'une d'elle me prit dans ses bras pour me réconforter et me demanda ce que j'avais. Je lui parlais de la migraine que je commençais à avoir ainsi que des vertiges. Elle m'écoutait mais je voyais bien qu'elle mourrait d'envie de rejoindre les filles qui, bien entendue, étaient retournées danser. Je lui fis signe qu'elle pouvait les rejoindre, prétextant que, de toute façon, j'allais bientôt rentrer. Elle ne se fit pas attendre pour me quitter... C'est là où on se rend compte si on a des vrais amies ou non.

J'aime pas trop mon texte...
Enfin, voici la phrase: "La jeune femme se promenait au parc"

[lectrice-en-herbe]

La jeune femme se promenait au parc. Personne ne la voyait comme toujours. Voilà trois ans, qu'elle venait, chaque jours sans exception. Aucun passants habituelle ne lui avait jamais adressé un salut amicale. Jamais. Pourtant elle continuait d'espérer. Cela ne changerait pas sa vie mais lui prouverait qu'elle n'est pas aussi invisible qu'elle ne le croit. L'espoir fait vivre dit-on.
Elle marchait à grandes enjambée calme sur le petit chemin de terre. Là, sur cet hideux banc vert, était assit un homme à la petite moustache. Il venait tous les lundi et samedi afin de lire son journal. Jamais il ne l'avait remarquée. Elle croisa une femme, les écouteurs glissés dans les oreilles, elle courrait, fuyant ce lieux où elle c'était disputé avec son mari, il y a un an. Ce petit chien, qui grattait discrètement du bout des pattes les racines d'un arbre, appartenait à la vieille dame assise plus loin, celle qui portait un large manteau violet sur les épaules et qui venait chaque jour nourrir les oiseaux.
Elle connaissait tous le monde ici, avait pu observé chaque personne mais personne jamais ne c'était demandé qui elle était.
Personne n'a jamais pensé: " Elle est encore là, cache t-elle quelque chose derrière son apparente tristesse ?", "Désire-t-elle quelque chose ?"," Et si j'allais la saluer ?".
Elle refoula sa solitude et sa tristesse, s'assit sur le même banc que d'habitude et continua d'observer autour d'elle.
Un détail retint son attention. Un homme. Un inconnu. Elle ne l'avait jamais vu. Jamais. Comment était-ce possible ? Personne à l'exception des habitués ne connaissait ce parc.
Il flânait sur le petit chemin. Il posa son regard sur elle. C'était le premier à la voir.


Phrase:Il l'avait, enfin.

[pandou451]

Il l'avait, enfin. Ce mot tant désiré, ce mot tant espéré... Cette écriture, il l'aurait reconnu entre mille. Il n'avait même pas besoin de lire la signature pour savoir de qui venait ce billet qu'il avait trouvé la veille dans sa boîte aux lettres. Une écriture grande et fine, des lettres serrées entre elles ou parfois agrémentées d'arabesques. Savoir que sa bien-aimée avait touché ce même papier avant lui le faisait frémir... En respirant la lettre, il croyait distinguer son parfum qu'il connaissait par cœur. Un parfum d'orchidée, ou quelque chose qui y ressemble. Il avait déplié et replié tellement de fois la missive que celle-ci commençait à se déchirer au niveau des pliures. Et pourtant, ce qu'il désirait que le papier reste éternellement intact! Le perdre, ce serait perdre ce dernier mot. Le dernier qu'il recevra d'elle. Malgré le triste message que porte le papier, il le gardera toujours, jusqu'à ce que l'encre s'efface, jusqu'à ce que le papier se fane comme une fleur qu'on abandonne sans eau. Il le laisse dans la poche de sa chemise, près de son cœur. Il sait très bien que ce n'est pas ça qui la ramènera vers lui ou même effacera les erreurs qu'il a put faire. Pourtant, il n'abandonnera pas. Jamais. Et il continuera d'espérer pouvoir croiser de nouveau sa bien-aimée... Un jour, peut-être qu'il aura une nouvelle chance.

Phrase: "Elle était perdue dans ses pensées."

[lectrice-en-herbe]

Elle était perdu dans ses pensées. Comme d'habitude. Toujours la lune, jamais sur Terre.
-Talie ? Pouvez-vous répondre à ma question ?
Elle sursauta et fixa le professeur d'un œil absent. Bien sur que non, elle ne pouvait pas répondre, elle ne pourrait pas répéter la question alors y répondre...
Je la regardait de ma place, attendant qu'elle me voie pour que je puisses l'aider. Ses yeux marron se posèrent sur moi un court instant, papillonnèrent, regardèrent une nouvelle fois en direction du professeur avant de revenir sur moi. Je me concentrais sur elle, fermais les yeux et lui soufflais la réponse par la pensée. C'était un exercice difficile qui n'étais pas fiable à 100%. Mais cette fois, je sus que j'avais réussit. Talie baissa le regard sur ses genoux, me fit un clin d'oeil discret et leva ses yeux vers le professeur.
Il attendait, bras croisés, sourcil arqué, une expression de fierté peinte sur son visage, il était sur de l'avoir coincé.
- En 1833, monsieur.
Son visage se décomposa lentement tandis qu'elle lui fit un large sourire.
Nous faisions toujours équipe, elle avait réponse à tout et moi j'écoutais tout. Nous formions la paire parfaite.
Je me retournais, pour la regarder quelques instant. C'était une très belle fille, tout le monde pensait que je voulais sortir avec elle, mais non, c'était ma meilleure amie, rien de plus. Ses yeux marrons se levèrent afin de rencontrer les miens. Son visage resta absolument impassible tandis qu'elle m'envoyais un éclatant sourire télépathique.

phrase: Réfléchir ? Mais pourquoi ?

[pandou451]

Réfléchir? Mais pourquoi? A quoi bon puisque, de toute façon, la question n'éveille rien dans sa tête. Son cerveau tourne dans le vide, elle est perdue et ne comprend rien à ce que le prof lui demande.
- Julie?
Elle lève son regard bleu vers l'homme qui la fixe derrière ses lunettes. La jeune fille baisse rapidement le regard. Non...
- Vous ne savez donc pas quelle est la réponse.
Non, elle ne connaît pas la réponse. Et alors? Elle pourrait quand même réussir l'interrogation si... Mais oui! Elle avise la fenêtre ouverte près du bureau du professeur. Si elle parvenait à... Doucement, elle ferme ses yeux et se concentre très fort. Il faut qu'elle réussisse, il le faut... Quelques minutes plus tard, une forte bourrasque traverse la salle de cours. Suffisamment pour que les papiers empilés sur le bureau s'envole, ainsi que les feuilles des élèves. Le professeur laisse échapper un juron, l'élève interrogée un soupire de soulagement. Elle se baisse pour ramasser sa feuille et en profite pour demander à sa voisine la réponse.
- Berlin.
La jeune fille hoche la tête, rassurée. Le prof revient vers elle, ayant ramassé la paperasse en un tas de feuilles compact sur son bureau.
- Alors, Julie, dois-je en conclure que je dois vous mettre un zéro? Ou bien cette petite... interruption vous a-t-elle permit de vous remettre de vos émotions?
Il pince les lèvres, il se doute qu'elle n'est pas innocente en ce qui vient d'arriver. Elle ignore ce petit signe, et annonce fièrement la réponse... L'homme ne dit rien, inscrit quelque chose sur son cahier puis retourne au tableau continuer ses explications.
Julie sourit à sa voisine. Encore une fois, elle s'en est sortie...

La prochaine phrase est: "Il avait un regard sombre et sauvage, de quoi vous rendre dingue avant même qu'il vous ait parlé"

[lectrice-en-herbe]

Il avait un regard sombre et sauvage, de quoi vous rendre dingue avant même qu'il vous ait parlé. Je me détachais de l'abime de ses yeux priant pour qu'il cesse de m'observer. Je passais la main dans mes cheveux afin de les ramener contre mes joues. Oui, je me cachais de ce regard. Mais, n'importe qui aurait fait la même chose, non ? Je n'avais rien à craindre. Il se leva, s'approcha de moi.
- Madame, pouvez-vous me montrer vos papiers, svp ?
J'eus l'impression que tout s'effondrait autour de moi. Je plongeait nerveusement ma main dans mon sac à main en tissu. Je ne regardait pas l'homme en face de moi. Lui au contraire me fixait avec intensité. Mes doigts rencontrèrent le vieux cuir de mon porte-feuille. Je le sortis, et en sortis lentement ma carte d'identité. Comme si la lenteur pouvait me sauver ! Quelle idiote ! Pourquoi avait-je été dans cette rame de métro ?
L'homme déchiffra la fine écriture penché inscrite sur ma carte puis fouilla du regard mon manteau.
- Où est votre étoile ?
J'ouvris de grand yeux jouant l'innocence.
- Une étoile ? Comment ça ? Pourriez-vous vous expliquer monsieur ?
Il resserra sa main sur la bandoulière de son arme. Je déglutit tandis qu'il me guettait, les yeux légèrement plissé. C'était des yeux de traqueur.
- Je vais devoir vous emmener Madame. Vous n'avez pas respecté la loi.
- Une loi ?!? Non, mais vous rigolez j’espère ! Si ça c'est une loi, que devient le monde ? Pourquoi nous obligé à porter cette stupide étoile ? Avez-vous essayer de réfléchir une seule fois au moins ?
J'avais fait tomber le masque d'un seule coup. Il n'en parut pas surpris.
- Je ne suis pas payer pour réfléchir.
Sur ces mots, il m'entraina son arme pointé dans mon dos. Pour lui, j'étais juive, et j'avais essayer de fuir. Et vous savez quoi ? Il avait raison.


Phrase: Le trou apparut.

[MinuitEnsanglante]

Il avait un regard sombre et sauvage, de quoi vous rendre dingue avant même qu'il ne vous ait parlé. D'ailleurs il n'eut aucunement le temps de parler, la plupart des filles de la salle chuchotaient entre elles en le dévorant des yeux, leur regard revenant inlassablement sur son visage fin. Pour ma part je me mis à essayer de remarquer tout ce que les autres n'auraient pas remarqué. Sa démarche aurait pu être fluide s'il ne sautillait pas de temps en temps sur son pied gauche comme si des graviers étaient placés dans ses chaussures. Son regard quoi qu'ombrageux paraissait en constant mouvement, examinant chaque personnes présentes, leurs vêtements, leurs sacs, leurs bijoux. Ses yeux allaient vers les fenêtres, survolaient les têtes pour se perdre dans le tableau du fond, et revenaient inexorablement vers la porte comme s'il avait voulu en sortir immédiatement. Je me demandais s'il n'était pas claustrophobe.
Je passais en revu sa tenue un peu étrange. Il portait des rangers hautes et à lacets rouges, un jean slim rentré dans les chaussures, une chemise noire un peu déboutonnée et un long manteau descendant au moins jusqu'au haut des bottes. Un style un peu cow boy class' vraiment bizarre....Il tourna la tête vers moi ou plutôt vers la seule place de libre à côté de moi. Il pivota, se retourna cherchant sans doute une place seule mais n'en trouva pas. Il posa lourdement son sac sur le sol, et s'assit sur le tabouret.
Le professeur de français entra, fit l'appel et le remarqua:
- Bonjour, vous êtes un nouveau dans l'établissement je présume, vous voulez bien vous présenter ?
Le nouveau leva la tête, vit tous les visages braqués dans sa direction et soupira.
- Je m'appelle Julian Heyrs, j'ai 19 ans et j'ai redoublé ma seconde. J'ai beaucoup voyagé, et je viens du Texas. Voilà c'est tout.
- Votre date de naissance c'est le ...?s'enquit le prof, notant avec application tout ce qu'il disait.
- En Mars 1993, pas de jours.
Et il retourna à son carnet qu'il venait de sortir. Pendant tout le cours, il ne copia rien. Bien sûr son crayon bougeait, grattait la feuille mais il n'écrivait pas. Je crois qu'il dessinais. De temps en temps il jetait des coups d'oeil derrière moi. N'empêche que toutes les filles me jetaient des regards noirs. Comme d'habitude tout le monde avait déjà rangé ses affaires avant que la sonnerie ne résonne dans le couloir. Sauf moi. J'allais pour sortir de ma rangée quand une forme au crayon me fit tourner le regard.
Sur la table de mon voisin, il y avait mon portrait.

[MinuitEnsanglante]

OUps.....

Le trou apparut. Immense. Que faire ? Le sol s'engloutissait sous mes pieds, mon coeur faisait des bonds, je me maintenais aux bords effrités tout en sachant que soit je réussissais à remonter soit je tombais. La deuxième solution s'offrit à moi.
Je rendis copie blanche.

Prochaine phrase : Il ne m'écoutait jamais.

[pandou451]

Le trou apparut. Pile au moment où je ne le désirais pas. Mais quelle idée aussi de remettre cette vieille veste... Je savais bien que je prenais le risque de voir la marque d'usure céder, mais je n'aurais jamais pensé qu'elle le ferait vraiment lors de mon entretien.
- Mademoiselle?
Je relève la tête. La femme me regarde avec attention. Ah oui, sa question.
- Je n'ai jamais travaillé dans les journaux auparavant.
Elle fronce les sourcils, j'essaie de dissimuler le trou avec mon foulard.
- Je vous avais demandé si vous aviez quelques connaissances en mode.
Mince. Absorbée par le trou, je ne faisais plus attention à son discours. D'ailleurs, le foulard ne cache aucunement l'horreur qui tache complètement mon portrait de jeune femme provenant d'un milieu aisé mais qui cherche un petit emploi pour payer ses études...
- Euh oui, oui, je m'y connais un peu... en mode.
Même que les trous dans les vestes sont des atrocités qui ne devraient pas exister, je songe en mon for intérieur.
- Et vous pensez que vous seriez capable d'écrire des articles à ce sujet?
- Je pense que oui. Ah... Les trous dans les vêtements sont des horreurs.
Elle rit, je me mords la lèvre mais elle ne semble pas se rendre compte que j'ai exprimé à voix haute ce que je pensais. Pour elle, j'essayais de détendre l’atmosphère. Tant mieux.
- Effectivement, ce n'est pas très... euh, classe.
Je souris à mon tour, rassurée. Mon entretien se termina sans autres accrocs et finalement la jeune femme ne remarqua même pas l'usure de ma veste... Après tout, il est vrai que, avec du recul, on peut constaté que le trou n'est pas si gros que ça.

Phrase: Il était pétrifié sans savoir quoi faire face à une telle situation.

[pandou451]

Il ne m'écoutait jamais. Et après il se plaignait de ce qui lui arrivait. J'ai presque abandonné l'idée de vouloir lui faire entendre raison. Ce frère... Il n'en fera toujours qu'à sa tête, jamais il ne voudra m'écouter et suivre mes conseils. Il faudra toujours qu'il fasse l'inverse. Pourtant, je l'apprécie mais quand je vois qu'après il ose me critiquer parce que les conseils que je lui donne ne fonctionnent jamais...
- Élise? Tu pourrais m'expliquer pourquoi quand j'utilise mon équerre je ne réussis pas pour autant à faire la figure?
Je soupire. Comme toujours, Louis a réussi à me tirer de ma rêverie.
- C'est normal. Je t'avais dis d'utiliser le compas...
- Aaaaah !
Il quitte précipitamment ma chambre et se rue sur son bureau, probablement pour utiliser (encore une fois) autre chose que ce que je lui ai dis. Mais non.
- Aïïïe!
Il s'est piqué avec son compas. Trop fort. Il est en 4e et il réussit encore à se piquer avec son compas. Remarque, je n'ai rien à dire car moi aussi je le fais encore... Et puis, lui et moi possédons la même maladresse.
- Eh ça marche Élise! C'est la première fois que tu me dis pas un truc faux...
Je ris. Mais bien sûr. C'est plutôt la première fois que tu m'écoutes. Enfin, les petits frères, c'est toujours comme ça...

[MinuitEnsanglante]

Voilààà c'est bon on est revenu dans le bon sens

[lectrice-en-herbe]

Il était pétrifié sans savoir quoi faire face à une telle situation. Elles devaient être bien plus d'une centaine.
Sur le boulevard devant lui, se dressaient des... créatures. Elles formaient un rang serré. On aurait dit une armée. Une armée tout à fait monstrueuse. Ses soldats n'avaient rien d'humain. Leurs trois têtes fixées à un long coup pendaient légèrement en avant tandis que leur bouche ( pouvait-on vraiment en parler sous ce terme ?), grande ouverte, laissait apparaître plusieurs rangées de toutes petites dent acérées. Ils devaient mesurés 2 mètres de haut avec leur tête baissée.
Le jeune garçon frémis. C'était de sa faute. Entièrement. Et il le savait. Il attrapa sa petite sœur par le bras et se mit à courir afin d'échapper à ses monstre. C'était une chose impossible et ça aussi il le savait.
Il tourna dans une ruelle. Son cœur semblait vouloir sortir de sa poitrine. Sa petite sœur, Jeanne, ne semblait pas comprendre le danger qu'elle encourrait. Âgée de 4 ans, elle jouait joyeusement avec son chat en peluche. Il la prit pas les épaules et la cacha dans une des grandes poubelles. Il eut juste le temps de s'y glisser avant que l'ombre d'un long coup apparut dans la rue. Il prit une profonde respiration silencieuse afin de calmer les battements de son coeur. Un frémissement se fit entendre au-dessus de la poubelle. Il serra les bras autour de sa sœur. Elle n'avait rien à voir avec tout ça, il fallait absolument la protéger. Le couvercle de la poubelle se souleva. Six yeux qui les fixaient. Ce fut la dernière chose qu'il vit avant de ressentir un violente douleur à l'abdomen. Sa petite soeur se mit à pleurer. De douleur ? Impossible de savoir. Une tache pourpre se formait sur son sweet tandis que la vie le quittait petit à petit. Son pied le faisait souffrir. Il jeta un regard et faillit tourner de l'oeil, une des têtes du monstre lui dévorait le pied droit. Il serra la main de sa soeur dans la sienne. Pourquoi avait-il crée ces monstres ? Quel idiot il pouvait être parfois ! Le noir se fit.


Phrase:Elle écrivait, assise sur son lit.

[pandou451]

Elle écrivait, assise sur son lit. La plume glissait sur le papier sans qu'elle réfléchisse vraiment à ce qu'elle écrivait. Elle couchait ses idées, tout simplement. Pas besoin de cogiter longtemps pour en trouver... Elenna possédait un esprit très vif qui lui valait une imagination débordante. De sa plume pouvait jaillir un texte sans même qu'elle sache d'où il venait. Elle adorait lire et ses créations proviennent certainement de là. Elle pouvait rester longtemps assise, à griffonner en vrac ses idées... C'était son passe-temps, son hobby. A l'école, on ne la comprenait pas. Pourquoi passe-t-elle ses journées à écrire, seule, assise dans un coin de la cour? Pendant les récréations, après la cantine, toujours, elle noircissait des pages et des pages de cahiers. Tant et si bien qu'il en fallait plusieurs par semaines. Un jour, Elenna deviendra écrivaine, ou quelque chose dans le genre. C'est son rêve. Et elle compte bien le réaliser malgré les difficultés et les différences qu'elle pourrait ressentir vis à vis des autres élèves.



Phrase: Le loup, craintif, se tenait à deux pas de lui et était sur ses gardes, ne sachant comme réagir face à cette étrange apparition.

[Vava21]

j'ai pas trop d'idée sur cette phrase

[lectrice-en-herbe]

Le loup, craintif, se tenait à deux pas de lui et était sur ses gardes, ne sachant comme réagir face à cette étrange apparition. Les hommes l'avaient tellement persécuté par le passé que leur seul présence l'effrayait. Mais cet humain different. Un halo de lumière bleuté l'accompagnait formant un sillage à sa suite. Il hésita et prit finalement la fuite. Du moins, il essaya. Quelque chose le retint, l'arrêta, s'aggripant à lui.
A la une des journée, on découvrit le lendemain:
Un monstre traine t-il dans les rues de notre ville. Un loup aurait-été retrouvé mort complètement vidé de son sang. Les analyse sont formelle, ce n'est pas un humain qui l'an fait.

[pandou451]

J'aime bien ton texte! Mais... il n'y a pas de phrase?

[Vava21]

apparement lectrice-en-herbe n'est pas décider a en mettre une ^^ non je rigole

[lectrice-en-herbe]

désolé, j'avais pas le temps

Phrase: Le métal était brulant.

[pandou451]

Pas grave

Le métal était brûlant. Si brûlant, même, que la fillette ne pouvait pas le tenir dans ses mains. De toute façon, il était trop lourd pour elle. Son père rit lorsqu'elle le pose, le laisse tomber presque, au sol.
- Ce n'est pas aujourd'hui que tu feras mon métier...
- Oh, non, c'est bien trop dur! Même grand-frère a du mal, alors moi...
L'homme se penche de nouveau sur son travail, en silence. L'enfant le regarde, fascinée, modeler avec facilité les métaux, les transformer en armes. Cela relève de la magie pour elle, si jeune et innocente.
- Un jour, je te ferais ta propre épée, déclare-t-il.
La fillette, heureuse, le remercie tout en précisant qu'elle est impatiente de découvrir sa future arme. Son père lui explique qu'elle ne le saura que le jour de son anniversaire, lorsqu'elle aura treize ans. La fillette ne dit rien, heureuse. Elle avait déjà hâte de grandir... Son envie a doubler.

Phrase: Tétanisée, elle se force à sourire malgré la nervosité qui l'envahit.

[Vava21]

Tétanisée, elle se force à sourire malgré la nervosité qui l'envahit. Cette fois c'était son tour. La personne en face d'elle venait de le lui annoncer. Elle se leva, pris son sac et suivi son guide. Elle arriva devant une porte en bois sombre, l'homme l'ouvrit et elle entra. La pièce était un grand salon richemant décorer. Les couleurs étaient vives, les murs était ornés de tableaux tous plus beaux les uns que les autres. Sa nervosité grandi encore plus. Un homme se tenait assit devant le bureau, il lui sourit et lui demmanda de s'assoir.

Plusieurs heures plus tard, elle poussa la porte le sourire aux lèvres, elle était confiante. Une semaine passa et elle découvrit, dans sa boite aux lettres, une lettre de l'homme qu'elle avait été voir. Elle s'insatalla a la table, dans sa cuisine. Délicatement elle ouvrit la lettre qui allait peut-être changer son destin. Elle avait le coeur au bord des lèvres. Elle lit la lettre avec précipitation. Elle se lava et courru jusqu'au telephone. Elle inscrit un numéro qu'elle connaissait par coeur. Une personne déccrocha a la deuxième sonnerie. Elle ne prit même pas la peine de se présenter et annonca, super joyeusement ;

-Je suis enfin prise a un entretien d'emboche !!

Elle parti le soir même au restorant et au cinéma fêté cet évenement !

Pas tip top mais j'avais pas trop d'imagination

Prochaine phrase ; Elle était passée tellement de fois devant cette patisserie qu'elle se laissa tentée.

[pandou451]

Mais si, il est bien ton texte!  Juste, je pense que tu as fais une petite faute, de frappe certainement.... Tu as écris: "elle se lava puis couru (un seul r) jusqu'au téléphone. Enfin maintenant, moi aussi je fais sûrement des fautes....

Elle était passée tellement de fois devant cette patisserie qu'elle se laissa tentée. Une fois rentrée à l'intérieur, elle regretta immédiatement sa décision. Que devait-elle choisir? Ce pain aux pépites de chocolat qui avait l'air délicieux ou encore ce beignet aux pommes? Le choix était décidément trop dur.... La femme a la caisse sourit en voyant son hésitation et se mit à lui conseiller mille et une merveille. Le choix devint alors encore plus dur, la cliente était enthousiasmée par tous les aliments. Finalement, elle se décida après un quart d'heure de réflexion. Elle prit la plupart des pâtisseries conseillées par la gérante, et c'est seulement à l'extérieur qu'elle se rendit compte qu'elle en avait certainement trop pris...

Moi non plus c'est pas trop tip top