Le jeu de la phrase

[naomie73]

* une VOIX que j'aimais tant
quelque MOIS
désolé je me suis tromper

[Marshoo]

Allez je me lance !

"-Damien ? Damien. DAMIEN !
-Ouiiii ?
-Tu étais encore dans les nuages...
-Désolé. Tu me parlais de quoi ?
-Et toi à quoi tu pensais ?"

... Ce n'est pas à quoi mais à qui. Je ne la reverrai jamais.

"-Rien d'important, dit-il.
-Est-ce que tu penses avoir fini de rédiger le dossier pour la réunion de demain ?
-Ne t'inquiète pas.
-N'oubli pas, tu joues ta carrière."

Rian à faire. Rien à faire. Depuis que je l'ai croisé il y a deux jours, ma vie est devenue brumeuse. J'évolue dans un espèce de brouillard où seul un radar à la recherche de son visage est activé. Le boulot ? Oublié. La maison, le ménage, les courses ? Oublié.
C'est impossible, allons Damien, ressaisis toi ! Elle t'a marché dessus, puis s'est excusée. Tu as discuté 15 minutes avec elle. Pas plus.
Oui, mais elle était si mignonne, à bredouiller des excuses... J'aurai tellement aimé passer la main dans ses longs cheveux noirs... Et puis ses yeux ! Elle parlait plus avec ses yeux qu'avec sa bouche... Et sa bouche, aux lèvres pulpeuses... Comme il aurait été agréable de...
BORDEL ! STOP ! Je suis complètement cinglé, ma parole, ce n'est pas possible ! Y a pas à dire, je suis complètement stupide en plus. Les coups de foudre, ça n'existe pas.
Si ? ... Sinon, pourquoi la chercher dans le train, tous les matins ? Pourquoi l'avoir tout le temps dans la tête ? Hein? Pauvre crétin. Elle ne se souvient même plus de toi, à l'heure qu'il est. Après tout, qu'est-ce que 15 minutes dans une vie ? Les plus belles minutes de ma vie. C'est décidé.
Un jour je te retrouverais et je t'aimerais comme jamais personne ne t'a aimé. Je te prouverai que les coups de foudre existe. Et j'y crois. Si nous nous somme rencontré il y a peu, nous nous reverrons. Ce soir ou demain matin. Oui. Ce soir ou demain matin.

Bon, c'est pas le tout, de prendre des bonne résolutions, mais j'ai quand même un travail à achever ! Au boulot et haut les coeurs !



Voilà ^^ C'est pas top. (Désolée pour les fautes, je suis au boulot et faut que je fasse bonne figure xD)

Prochaine phrase :
Il vit la lame, sentit une douleur fulgurante : son propre sang lui coulait sur les mains.

[AngelaGrebere]

J'avais peur. Il m'avait dit qu'il arriverait à 19h, il lui restait cinq minutes alors j'attendais. Je savais qu'il arriverait, autrefois il avait toujours tenu ses promesses mieux que personne, je ne voulais pas croire qu'il avait changé, je savais qu'il n'avait pas changé. Après tout il m'avait promis, quand il avait du s'enfuir il me l'avait dit : "dans trois ans, ici à 19 heures, je t'aime et je serai là". Je le croyais. Je voulais y croire, cette phrase m'avait permis de tenir trois ans alors elle ne pouvait qu'être vraie.
J'entendis des pas. Etait-ce lui ? Etait-ce possible qu'après tout ce temps il soit là, si près ? Je tendis l'oreille mais les pas avait cessé, mon imagination qui tournait à plein volume avait du me jouer des tours. J'attendis encore cinq minutes puis je l'aperçu. Au bout de l'allée. C'était lui. J'aurai reconnu cette silhouette entre mille, c'était celui que si longtemps j'avais appelé "bébé", c'était celui que j'avais élevé, c'était mon petit-frère, c'était ce petit bout de chou qui m'avait saisi le coeur, qui m'avait tant de fois inquiétée, c'était mon ange, mon chéri, c'était celui pour qui je m'étais battue jour et nuit toute ma vie. Et il était là, en vie apparemment. Je l'aimais toujours autant qu'avant, c'était la chair de ma chair.
Je le regardais, vis un éclat de lumière, réalisai puis enfin j'hurlai tout en l'observant, et comme avant, je ressentis tout ce qu'il ressentit en même temps que lui. Il vit la lame, ressentit une douleur fulgurante : son propre sang lui coulait entre les mains. Il hurla. J'hurlai. Je n'avais même pas eu le temps de le revoir, même pas eu le temps de lui mordre l'oreille comme avant. Je n'avais pas eu le temps de lui dire tant de choses. Mais c'était fini pour lui et pour moi, je le savais. Au bout de quelques secondes d'agonie il expira et j'expirai avec lui.



Voili voilou pas très gai tout ça !

Quand je l'aurai trouvé je lui dirait tout, lui il me croirait, il m'avait toujours crue.

[MissOublie46]

->Quand je l'aurai trouvé je lui dirait tout, lui il me croirait, il m'avait toujours crue.


J'avais froid, j'avais mal au pieds car j'avais courut si longtemps.. J'avais mal au bras car il m'avait serrée si fort.. Je me rappelle encore ses mots : "Tu vas te taire, tu ne vas dire à personne ce que tu viens de voir. Ou je te tuerai. Je te tuerai toi, mais avant je tuerai ta famille devant tes yeux. De toute façon personne ne te croira. Tu es juste une gamine destinée à.. A quoi je te pris ? A rien, pauvre fille. Dis un seul mot de ce que tu viens de voir et tu le regretteras!" Alors il m'avait lâché le bras, qu'il avait serré si fort... Et moi j'avais penser à une seule chose, malgré les menaces : courir et tout dire à Père. Père, le seul qui pourrait faire quelque chose. Car Jason n'a pas le droit. Je l'avais vu de mes propres yeux : c'était bien des esclaves qu'il était en train de fouetter. Je me devais de le dénoncer. Je suis presque arrivée, me dis-je. Père serait là, à m'attendre. Moi qui devrait être rentrée depuis si longtemps. Il saurait quoi faire. Quand je l'aurai trouvé je lui dirait tout, lui il me croirait, il m'avait toujours crue. Même quand les psychiatres me disait folles parce-que je voyais d'étranges ombres sur les murs.. Père m'avait toujours crue, me croirait toujours. Alors aujourd'hui il me croira, et agira en conséquence.


Prochaine phrase : "Mais la morsure du froid m'empêchait à présent de me relever, pourtant il allait le faire..."

[alexia_33]

Cela faisait des heures que j'étais là assise au beau milieux de la forêt sombre est lugubre, il faisait très froid en ce mois de janvier. Je ne savais pas quoi faire. je me contentais des rester là en attendant quelqu'un ou quelque chose pour bouger.
Au bout de plusieurs heures d'attente, j'entendis un bruit de pas dans les feuilles mortent présentes sur le sol, un jeune homme arriva en me demandant ce que je faisait là mais la morsure du froid m'empêchait à présent de me relever, pourtant il allait le faire, il allait m'aidait à me relever est à marcher sans même me connaitre !

Je relance : "Quand soudain ses lèvres s'approchèrent des miennes, et ce fut l'explosion, je sentis toute les fibres de mon corps..."

[crows]

bon je suis pas une experte pour ce qui est question d'ecrir mais bon...

"A la base c'était une soirée chouette le seul problème c'était lui. pourquoi Lilou avait emmené son copain ? Elles, je ne pouvais que l'aimer mais lui je ne pouvais que le haïr. Mais je n'avais pas le choix ; avec ou sans lui j'étais résolue à passer une bonne soirée avec ma Lilou adorée et tous les autres.
La soirée était bien entamée et moi un peu ivre, je n'avais pas les idées très claires. Je venais de me rendre compte que j'observai Mathieu depuis un certain temps. Mais pourquoi, lui, cet idiot fini m'observait-il ? Et ou était passé Lilou ?
Quand j' aperçu enfin Lilou endormie sur le canapé, Mathieu s'était lever « sans doute pour aller pisser dans les plantes ,me dis-je intérieurement,... putain ! mais je dis que des conneries. Même pour aller pisser il se lèverait pas, vu l'état dans le quelle il est. »
Quand soudain ses lèvres s'approchèrent des miennes, et ce fut l'explosion, je sentis toutes les fibres de mon corps se crisper. Comment avait-il osé ! J'avais du mal a croire que l'être que je haïssais le plus venait de m'embrasser, et en plus a 10 mètres de Lilou !! mais quel salop ce mec ! Heureusement pour lui, je fonctionnait trop au ralenti pour avoir le temps de réagir. J'essayais de me fair a l'idée que le lendemain j'aurai tout oublié, il valait mieux pour lui en tout cas, et que les mecs ne sont pas tous les même. Bref pour le moment j'étais dans mon pire cauchemar."

voila ...

phrase: je mange une pomme matin midi et soir, trois par jour...

[AngelaGrebere]

Oui j'ai une vie parfaite c'est vrai. Ou du moins en apparence. Je m'appelle Alex Gauthier, fils du cinquième homme le plus riche de la Terre. Je viens d'avoir dix huit ans, j'ai une petite amie jolie et aimante, je suis premier de tennis de ma catégorie dans la région, j'ai des parents qui me donnent ce que je veux quand je le veux, j'ai une bonne bande de potes, je mange une pomme matin, midi et soir, trois par jour, il parait que ça maintient en forme. Mais bon sang ce que je m'ennuie, il me manque l'étincelle qui mettra un peu de piment dans ma vie. Pour l'instant mon existence est triste à en mourir, rien ne se passe, rien de bien intéressant. Alors je l'attends, j'attends cet événement qui changera ma vie. Je sais qu'il est proche, je le sens.

Encore et toujours ce même message d'erreur dans ma vie

[bcjohanna]

Elle m'en voulait tellement!Comment ai je fais?Pourquoi l'ai je fait?
Je lui ai mentit comme j'ai mentit au autres et je mérite ce qu'il m'arrive...Je mérite d'être seul,repoussé de tous.J'essayait toujours de me rendre interressant auprès des autres pour êtres appréciée. Encore et toujours ce même message d'erreur dans ma vie.

Prochaine phrase Je l'aimais,il/elle m'aimait mais notre union était impossible

[fsljn]

Loin et seul, l'unique chose qui me permet encore d'avoir cette espoir, se sentiment qu’un jour nous pourrons enfin être réunis ensemble pour l'éternité, c'est elle. Celle que j'admire, celle qui me fait rêve toute mais nuit ou plutôt qui me donne des insomnies. Oui cette grande dame "La Lune" je pense que moi soleil, je pourrais tout donner tout pour n'avoir ne serais-se qu'un baisé. Un seul et unique. Mais nous sommes si loin notre amour est impossible. Je l'aime, elle m'aime mais notre union est impossible... Malheureusement...


Prochaine phrase : "Dans le vent, une larme glissa sur sa joue..."

[Doudou44]

J'essuyait rageusement d'un revers de main le flot de sang poisseux qui me coulait dans les yeux. Je plongea mes yeux dans les siens, lui prit la main et déclara d'une voix tremblante :
- Tu n'as pas le droit tu m'entends ? Je t'ordonne de rester avec moi ! C'est trop facile de mourir, c'est une solution de lâche ! Martelais-je avec hargne.
Dans le vent, une larme glissa sur sa joue:
- Kit, regarde moi. tu crois que j'ai choisi ce poignard dans le ventre ? Non. Et pourtant je l'accepte. A toi d'en faire autant à présent.
Je secouai la tête avec force, des larmes brulantes ruisselant sur mon visage. Elle me serra les doigts avec force et me supplia du regard.

[Yalee]

Dommage que ça se soit arrêté.

[x-Key]

Dommage que ça se soit arrêté.

Dommage, en effet...

La vieille fête foraine se dressait face à eux, ses vieilles attractions oubliées dressées vers le ciel tels des monstres de métal. Des grillages en fer cloîtraient les stands de tir, de hot-dogs ou encore celui de barbe à papas dont l'enseigne rose bonbon gisait à présent sur le sol jonché de gobelets, confettis et autres papiers malmenés par le vent. De lourdes chaines cadenassées fermaient les barrières menant aux montagnes russes, ou les portes des trains fantômes et labyrinthes aux miroirs qui n'avaient plus fait peur à quiconque depuis des années.
Ophéa balaya d'un regard triste les lieux. Son regard accrocha un manège, un peu plus loin. Se glissant à travers le trou dans le grillage, elle s'approcha des chevaux de bois qui, sous leur peinture écaillées, décrépissaient au rythme du temps. Elle poussa un soupir et revint sur ses pas en soufflant d'une voix triste :
- Dommage que ça se soit arrêté.

Les poils du chat se hérissèrent sur son dos, il poussa un feulement apeuré avant de s'enfuir sous une voiture.

[Emimi]

Bonjour à tous,

Je n'ai vraiment pas l'habitude d'écrire, et je sais que je n'ai pas le talent de certain pour ce faire, mais la phrase de x-Key m'a plu. Alors je me lance... S'il vous plait, soyez indugent autant sur le fond que la forme

Ce matin en me levant un brin nostalgique, je n’avais qu’une envie, retourner sur ces lieux qui ont bercés mon enfance. Cette vieille bâtisse qui m’a vu grandir jusqu’au jour malheureux où mon père a perdu son emploi et, par la même occasion, les moyens de l’entretenir.
L’ancien patron de papa, cet escroc, est parti, du jour au lendemain emportant avec lui l’acompte versé pour une grosse commande. Je le déteste ! Tout est de sa faute ! J’entends souvent le soir papa au téléphone avec ses anciens collègues, il raconte comment il les a tous laissé sur la paille. Clients, fournisseurs, employés, chacun d’eux y a laissé des plumes… Même moi ! J’aimais cette maison, j’y ai eu tant de souvenirs !

C’est la dernière semaine des vacances et il va falloir que je recommence une nouvelle vie loin de ce cocon, loin de mes amis, loin de mon école et de ma maitresse si gentille. Tout cela me rend vraiment triste.

Me voilà donc partie, en route pour un retour aux sources qui, je l’espère, me donnera du courage et me remettra du baume au cœur pour cette rentrée qui s’annonce difficile…
J’y suis presque, je reconnais l’odeur du jasmin qui bordait la clôture, rien que ce doux parfum fait déjà remonté en moi beaucoup d’émotions.
Le cœur battant, je me rapproche à pas de loup. J’ai peur. Est-ce que la nature aura repris ses droits ? As-t ’elle rebouchée le petit trou par lequel je me faufilé parfois ? Plus que quelques mètres et j’aurai la réponse…
Ouf ! Il est toujours là, ce petit trou de souris m’a attendu tout ce temps, il n’a pas changé.

Sans plus attendre, je m’accroupis et je passe la haie pour atterrir enfin dans ce Avre de paix qui m’a tant manqué. Un bonheur incommensurable m’envahi, je suis chez moi.
Après avoir fait le tour du jardin, je me dirige doucement vers la porte d’entrée. Je suis bientôt sur les marches du perron quand j’aperçois une petite boule de poil blottie sur le paillasson. Que fait là ce petit chaton ? Ou est sa maman ? Il est si petit… Je m’approche un peu plus en ne le quittant pas des yeux et en essayant de faire le moins de bruit possible mais lorsque je pose le pied sur la première marche : un grincement atroce de vieux plancher résonne. D’un coup, les poils du chat se hérissèrent sur son dos, il poussa un feulement apeuré avant de s'enfuir sous une voiture garée devant le portail.

Pour la suite Par cette belle nuit étoilée, je connu enfin ce qu'est le bonheur...

[Yalee]

Par cette belle nuit étoilée, je connu enfin ce qu'est le bonheur...

Bien qu'on est toujours été attiré l'un par l'autre, nous n'avons jamais osé aller au-delà de ce lien d'amitié si fort. Timothé était devenu indispensable à ma vie, à mon bien-être, d'une manière que jamais je ne saurais expliquer. Il était mon confident comme il aurait pû être mon amant, mais j'avais si peur de perdre son amitié et sa considération que je ne cherchais pas plus loin. Jamais. Je resterais cette oreille qui écoute , cette épaule qui réconforte, cette voix qui console.
Ce soir, on avait décidé de pic-niquer. Il faisait bon, on était en plein été.
J'appréciais pleinement le moment, je me fabriquais des souvenirs.
Comme d'habitude, aucun de nous n'a vu le temps passer, et sans s'en rendre compte, la nuit était là. Quand j'en ai pris conscience, mon coeur s'est emballé. Quel idiot, celui-là. Il se croit malin, à s'emballer pour un rien, petit ventricule au bord de l'implosion.
Et comme si Tim l'avait entendu, il s'est tourné vers moi, avec son sourire craquant :
- C'est magnifique. Ce ciel éclairé ainsi, parsemé de lumières probablement déjà mortes. Viens, appuie toi contre moi, je vais te montrer les constellations.
Comment dire non, hein ? Vous voyez, même vous, vous ne résistez pas.
Cette nuit a tout changé. Parce que je me suis rapprochée, que j'ai tourné la tête, et mes yeux sont tombés dans les siens. Oui, ils sont tombés. Ils se sont noyés dans la profondeur de son regard. Et sans savoir comment, nos lèvres se sont soudées. Il s'est reculé. M'a regardé. Moi, complètement perdue, à moitié choquée, mais carrément consentante. Il est revenu vers moi, et tendrement, on s'est de nouveaux embrassés. Sa main qui me caressait la joue... Un souvenir à jamais gravé en moi.
Par cette belle nuit étoilée, je connu enfin ce qu'est le bonheur...

Voilà. Alors -> Mes poumons se remplissaient, mon air s'échappait, lentement mais sûrement...

[CindySB]

Je voulais absolument m'éloigner de lui. Plus rien n'allait entre nous et nous nous disputions à chaque conversation, à chaque soirée... Même là, pourtant en week-end avec des amis, nous nous disputions. Je savais que si ces conversations houleuses ne cessaient pas rapidement, notre couple ne survivrait pas, mais après ce qu'il avait fait, je n'arrivais pas à me raisonner, je ne l'excusais pas et m'énervais contre lui pour un oui ou pour un non. Alors, après cette énième brimade entre nous, je décidais d'aller nager loin pour me détendre. Etant donné qu'il n'aimait pas nager, je savais qu'il resterait sur la plage avec ses amis.
Je nageais, encore et encore. Lorsque je me retournais, je constatais que j'étais déjà assez loin de la berge, mais pas tout à fait calmée, je décidais malgré tout de continuer ma nage.
J'étais pourtant consciente que je n'avais pas pris mon traitement contre l'asthme depuis déjà quelques jours et que je soufflais déjà, mais la colère m'aveuglais.
Lorsque la crise me saisie, j'étais loin du bords et seule, je ne pu rien faire. Mes poumons se remplissaient, mon air s'échappait, lentement mais sûrement... Lorsque, privée d'air, je perdis conscience, mes dernières pensées furent pour lui. "Pardonnes-moi. J'aurai du faire plus d'efforts pour enterrer ma colère contre toi. J'aurai du comprendre que le temps passé avec toi était un cadeau du ciel et que je ne vivrai jamais plus ce bonheur. J'aurai du voir la difficulté que tu avais eu à me dire la vérité, et t'excuser. Je suis désolée pour mon incompréhension. Sois heureux sans moi maintenant."

Prochaine phrase :
Les larmes embuèrent sont regard et je sus à quel point elle avait comptée pour lui.

PS : désolée pour les fautes, surtout de conjugaisons..

[Cassie-AN-LJS]

Je me reveille et sent la truffe mouillée de Jimmy - mon chat - me carresser la joue et ronronner en se frottant contre mon épaule. Cette matinée est différente de toutes les autres matinées de l'année puisque c'est la photo de classe et tout le monde se doit d'être irréprochable. J'ai donc décider de mettre une jolie robe bleu nuit qui fait ressortir mes yeux du meme ton et ma peau pâle. J'attache mes cheveux brins en queue de cheval et choisie une paire de boucle d'oreille en argent.
J'attrape mon sac et une veste puis fonce au lycée. Devant l'établissement, Tom et Cassie m'attendent. Ce sont mes meilleurs amis depuis la maternelle et nous ne nous sommes jamais séparé.Ils sont tous les deux très elegants. Cassie porte un chemisier blanc et un jeans de la même couleur que ses cheveux - noir. Tom, lui, porte un haut gris comme a son habitude.
Nous partons en direction de notre classe lorsque nous croisons Lisa. Lisa est la cousine de Tom. Il dit qu'il l'as deteste depuis qu'elle est revenu de Paris pour venir vivre dans sa famille, ici en Normandie. Moi non plus je ne l'aime pas, ses cheveux blond platine reflettent sa méchanstée a chaque fois qu'elle rejette sa frange en arrière.
Elle nous rejoins et nous embrasse chacun notre tour. Elle pense que nous l'apprecions et ceci ne me derange pas car au moins elle nous fiche la paix.
Je trouve étrange que la lumière du 3ème étage soit allumer en regardant en haut des escaliers. Le couloir est désert. Je propose à Cassie de m'accompagner la-haut. Nous n'avons pas le droit de monter a cet étage d'habitude mais aujourd'hui il n'y a personne et la porte est entrouverte.
Tom et Lisa nous suivent non loin derrière. Nous entrons dans cette pièce interdite et decouvrons... un couloir. Un couloir avec des centaines de portes de chaque coté. Cet endroit est très etrange mais je me sent attiré par la porte du fond du couloir. Je m'approche de la 1ere porte et entend un grognement. Je recule d'un bond et prend la main de Tom, qui se trouvais derrière moi. Lisa est déja plus loin dans l'allée. Elle a l'air comme hypnotisée. Elle saisit une poignée et...
_Ahhhhhhhh
_ Non!!!!!!!, hurle Tom. Lisa!!!!!!!!
Elle avais disparut. Je pris Tom dans mes bras puis me reculla pour mieux le regarder.Les larmes embuèrent son regard et je sus à quel point elle avait comptée pour lui. Il s'est toujours plaind de sa mauvaise humeur mais en fait il tenait beaucoup à elle.
Durant un instant j'avais perdu Cassie de vu. Elle attrapa une poignée et une tornade nous emporta de l'autre coté de la porte. Alors que Tom me lachait la mains je perdis connaissance.


Voila!!!


La prochaine phrase sera : Je sentis une main se poser sur mon épaule, j'émis un hurlement digne d'une alarme incendie puis perdis toute notion du haut et du bas avant de m'efondrer sur le sol.

Bisous à tous!

Cassie
;D

[girlpower]

J'avais déja écrit un texte sur la phrase de Cindy alors voila:

J'aime Harry .Mais je ne peux pas le lui dire, alors je fait comme si je le détestais, ce qui donne comme résultat que nous passons notre temps à nous disputer. Un jour que nous nous disputions, je lui ai sorti que si son ex l'avait quitté c'était parce qu'elle le trouvais trop désagréable. Je voulais juste le mettre en colère, pas lui faire du mal, mais ma remarque n'eue pas l'effet esconté.
Les larmes embuèrent son regard et je sus à quel point elle avait comptée pour lui. Me rendre compte de ça me fit si mal au coeur que je fis volte face et je parti en courant, les larmes me coulant le long des joues. Je l'entendit m'appeler mais je ne répondit pas
Au bout d'un moment, épuisé, je m'écroulais sur le sol, épuisée. A ce moment là, j'entendis quelqun avancant au pas de course, puis je sentis une main sur mon épaule. Je me retournai pour voir qui étais là et je vis Harry, qui me regardais d'un air décidé. Pendant une seconde je me demandais à quoi il pensais avant de me rappeler que je n'en avais rien à faire. Je me dégagait et me relevait et voulu repartir mais Harry m'appella:
"Melinda, attends, s'il te plaît."
"Quoi?? lui répondis-je, en me retournant"
Tout ce passa très vite. Il me prit dans ses bras et m'embrassa avec passion. Puis il me relacha et dit d'une voix tendre:
"Je t'aime."
Je lui répondit "Moi aussi" avant de l'embrasser.

Je ne donne pas de phrase vu que Cassie l'a fait avant moi

[ma-et-lys]

A trois heure du matin je sors, j'ai un peu trop bu a la fête de Lucie j'ai la tête qui tourne.
dehors il fait vraiment froid pour un début d'hiver! La nuit est sombre on n'y vois pas grand chose dans se coin pommé de la ville, cela fais a moitié peur surtout que je ne connais pas. Je commence a marché pour rejoindre ma voiture mais impossible de me souvenir ou je l'ai garé en plus je crois qu'elle est a dix minutes d'ici. Je m’arrête pour réfléchir, il n'y a pas un bruit dans la rue ce qui me fait encore plus flippé. j'entendis un bruit tous proche et m’arrêta pour savoir d'ou ça venait puis je sentis une main se poser sur mon épaule, j'émis un hurlement digne d'une alarme incendie puis perdis toute notion du haut et du bas avant de m'efondrer sur le sol. je me réveilla et je sursauta quand je vis a coté de moi une personne que je ne reconnu pas tous de suite.
-G...Gildas? Ma voix n'étais qu'un chuchotement de surprise, il étais là. LUI! le garçon qui m'a abandonné il y a deux mois. je ne l'avais pas revu depuis qu'il avais déménager sans me le dire, tous le monde le savais sauf moi, moi sa petite amie bon sang! ma surprise se transforma très vite en colère. Je voulais une explication!

la phrase suivante "il est partit avec toute les réponses de mes questions"

[CindySB]

Je voulais avoir des réponses. Je voulais savoit pourquoi il m'avait fait ça...
Bien sur, c'était en partie de ma faute. Si je n'avais jamais cru en lui, si je ne lui avait jamais fait confiance, je n'aurai jamais ressenti cette déception ! Trompée par mon premier amour... Je voulais savoir pourquoi. Qu'avais-je fait de mal ? C'est pour ça que je voulais le revoir malgres notre séparation. Je voulais des explications sincères.
Nous nous étions donc donné rendez-vous une dernière fois, chez lui.
Lorque j'arrivai, c'est sa mère qui m'ouvrit. En me voyant, elle eu l'air surpris.
"- Bonjour, Est-ce que Marc est là ?"
"- Il ne t'as rien dit alors..."
"- Eu... A propos de ?"
"- Il est parti. Avec Antonio et Fatima. Ils sont rentré au Portugal et il a décidé d'aller avec eux. Il nous a quitté. Désolée."
Elle referma la porte, les joues mouillées de larmes.
Je regagnai ma voiture et parti. Je ne voyais presque pas la route tellement je pleurai moi aussi. Au fond de moi, même si j'étais très en colère contre lui, j'avais pensé que notre séparation ne serait pas définitive. Je l'avais quitté sous le coup de la colère. Mais c'etait vraiment finit. Et en plus, il est parti avec toute les réponses à mes questions.

La trahison porte bien son nom. Elle vient toujours des personnes pour lesquelles ont s'y attend le moins...

[leaszecel]

Hahahaha ! Mon Dieu (ou plutôt ma Mort) si on m'avait dit un jour qu'Elle elle m'aurait trahie ! C'est trop drôle ! Alors que je La reniais depuis mes 15 ans. Depuis qu'Elle m'avait pris mon amie, mon amour, ma confidente, ma sœur. Depuis qu'Elle m'avais pris Panonime. Et alors que je suis prête à L’accueillir, à L'aimer et La chérir, Elle me tourne le dos et me renie à son tour. Quel comble! Elle accepte tout le monde sauf moi ! Elle m'a voulu quand je me battais et alors que je m'offre à Elle sur un plateau d'argent, Elle me souffle à l'oreille qu'il est encore trop tôt, que se n'est pas encore mon tour. A lala!La trahison porte bien son nom. Elle vient toujours des personnes pour lesquelles on s'y attend le moins... Mais de là à croire que la Mort en personne m'a trahi ! Je n'en reviens pas ! Depuis ma naissance Elle essaye de m'avoir, et là, elle se refuse à moi ! Rahh je la déteste! Alors je vais me battre jusqu'à la fin parce que je la déteste ! A 2 ans Elle me faisait tomber de mon berceau mais je me suis battu pour survivre à ce bras cassé. A 7 ans Elle me faisait tomber dans le lac de la maison de vacances ou j'ai faillis me noyer, avant d'avoir un éclair de lucidité et de me rappeler les conseils de tonton Dédé. Je me laisse flotter avant de sentir papa m'attraper pour me ramener le long des bords du lac. A 12 ans Elle m' a faite renversé par un chauffard alors que je roulais tranquille à vélo. Je m'en suis tiré plutôt pas mal avec une commotion. Le jour de mes 18 ans je me suis fait renverser, à pied cette fois. Là, Elle a faillit gagner. Je suit rester presque une semaine dans le coma. Et alors que j'approche de mes 25 ans mes parents ont peur qu'Elle vienne me chercher pour de bon cette fois. Alors j'en ai eu marre mais pas au point de m'abandonner à elle. Non, la chose de trop, ça a été la mort de Lily. Elle devait se faire opérer d'un grave problème de poumon. Seulement, ce jour là, le médecin avait eu une mauvaise journée et c'était une opération terriblement difficile. Cinq millimètres trop bas. Il a suffit de cinq petits millimètres en trop pour qu'après dix malheureuses secondes pour que son poumon se remplisse de sang. Alors je me suis dit:
"Pourquoi Lui résister? Elle essayera encore de venir me chercher."
Mais je ne voulais pas mourir de la façon dont Elle Elle avait envie. Je ne voulais pas Lui donner cette victoire, ce choix. Alors j'ai pris des somnifères et une bonne bouteille de mon meilleur whisky . Malheureusement, je ne m'y connaissait pas assez et pendant mon sommeil Elle m'a murmuré:
- Non, non, NON ! Ce n'est pas encore ton tour Andrew. Et puis tu es tellement distrayant. Attend encore une cinquantaine d'année et nous serons réuni, enfin.
Avant de me quitter, Elle me donne un baiser. Le baiser de la Mort, me dis-je en souriant. Je me réveille et je vais vômir dans les toilettes. J'étais tiré d'affaire. Elle ne m'aurait pas encore cette année.

Désolée encore une fois j'ai écrit un peu trop .
Je l'adore cette petite. Même si elle me prend pour un tyran elle comprendra plus tard que c'était pour son bien.

[ma-et-lys]

Cela fais déjà deux semaine que je lui dit de ne pas aller avec ce garçons! Mais elle n'en fais qu'a sa tête, elle sort derrière mon dos pour le rejoindre... Non mais je rêve, elle n'a pas encore 15 ans!
Hé oui, je suis le méchant père du monde d'après elle! Mais ce garçons il ne m'inspire pas confiance avec ses piercings et sa moto! Et si il la blesse? Ou qu'il roule trop vite et... PAF! Plus de Hélène...
Le soir quand je m'aperçois qu'elle c'est éclipser je me sens incapable de lui faire comprendre que ce n'est pas le bon garçon... Il va falloir que je m'y prenne autrement. Il faut que je la protège, elle est si vulnérable depuis que Jeanne, sa maman et... morte, accident de la route. Je l'adore cette petite. Même si elle me prend pour un tyran elle comprendra plus tard que c'était pour son bien. Il faut quelle me comprenne, je lui en reparlerais plus tard, tiens, la voila qui rentre de ça balade au claire de lune en larme...

a un virage, la voiture fit quelque zigs-zags avant d'atterrir dans le fossé, anéanti j'appelais vite les secours, il ne fallait pas perdre une seconde, ma mère était dedans.

[BlackBeauty01]

La chaussé était recouverte de verglas. J'ai senti que nous dérapions. C'est à ce moment-là que je les vis. Les virages. Mon père également. Il appuya sur le frein. Il pris le premier un peu vite, mais bientôt, ralentit. Je jetai alors un coup d'oeil derrière, à la deuxième voiture. Celle de ma mère et de mes cousins. Ma mère allait vite. Trop vite. Tout à coup, j'hurlai: A un virage, la voiture fit quelque zigs-zags avant d'atterrir dans le fossé, anéanti j'appelais vite les secours, il ne fallait pas perdre une seconde, ma mère était dedans.

"Ne te retourne pas. IL est encore là, me murmura Alice."

[maplv8]

Je le savais derrière moi. Je ne voulais pas le voir, ni lui ni ses belles paroles. Toute ma vie, gâchée à cause de lui, cet imbécile sans nom. Dire que je l'avais aimé, chéri, que je m'étais confiée à cet être tout simplement exécrable... J'avais peur. Peur de croiser de nouveau ce regard, si implorant et si moqueur à la fois. Je m'étais jurée de ne plus lui adressé la parole, de ne plus le croiser, de ne plus rien à voir avec Jules. Plus rien. Malheureusement, je n'avais pas prévu qu'il me colle toute la journée, dans l'espoir d'attirer mon attention. Nous avions rompu un mois auparavant, et depuis, c'était l'Enfer S sur terre. Tout d'abord, il était dans la même classe que moi, et notre professeur de mathématiques, avait eu la brillante idée de nous placer l'un à côté de l'autre. Je sentais son regard sur moi tout le temps....
Alice se tenait devant moi, les yeux regardant derrière moi. Je savait qu'elle aimait Jules depuis longtemps, et quand il m'avait avoué avoir un faible pour moi, elle l'avait très très mal pris. Depuis que j'étais célibataire de nouveau, Alice et moi nous étions parlées de nouveau. Je commençais à en avoir marre de cette glue, toujours à me suivre et à m'implorer de me remettre avec lui..... Alice et moi parlions de devoirs, et de choses dans le genre..... Lorsque Etienne passa devant moi. C'était mon meilleur ami depuis des années et des années. Je voulut me retourner pour suivre mon meilleur ami, lorsque :
"Ne te retournes pas. Il est encore là, me murmura Alice "





" J'avais envie de lui hurler ma souffrance, et de lui demander de reprendre mon coeur, même si il était en miettes...."

[ma-et-lys]

J'avais envie de lui hurler ma souffrance, et de lui demander de reprendre mon cœur, même si il était en miettes... Mais je ne pouvais pas... Il étais partit, partit avec elle, Argh cette morue!
Il est tombé dans ses filets, je ne peux rien y faire... Je lui ai donné mon cœur et pendant que je prenais soin du sien il a brisé le mien... Je n'ai plus rien, rien a quoi m'attaché, a prendre prise sur quelque chose et reprendre pied, c'est décidé je m'en vais. J'enlevais mes vêtements un a un, mon jeans, mon pull, mon t-shirt et mes chausettes. je rentrais dans l'eau, elle n'étais pas vraiment froide mais je me laissais emporter dans le courant et quand j'en ai eu marre d'essayer de rester a la surface je me laissais coulé, Je disparu a jamais.

"Il s'envola, j'étais heureuse et triste à la fois, je ne le reverrais plus..."

[Jenifael_]

J'adore le printemps, pensais-je.
Je humais l'air qui embaumé les fleurs et la terre humide puis, soupirai de contentement. Un bruit de craquement et un piaillement venant du buisson qui bordait la route me sortit de ma rêverie. Je me précipitai vers le buisson et y découvrit un oiseau. Surement qu'il était sur le chemin de retour vers sa maison après un hiver passer dans le sud à se prélasser. Je le prit délicatement et lui flatta la tête.
-Alors mon petit,dis-je à l'oiseau, tu es tomber? As-tu mal quelques part?
L'oiseau me répondit avec un sifflement joyeux et se releva dans ma main.
-Contente que tu ailles bien, lui répondis-je en souriant.
L'oiseau m'observa un moment puis il s'envola. J'étais heureuse et triste à la fois, je ne le reverrai plus...
-Au revoir, bel oiseau, chuchotais-je.
Et je repris ma marche matinale, chamboulée par cette petite rencontre.




La phrase suivante sera: Mon rêve à moi, c'est d'être immortel.

[Braise]

Quand vous osez dire à un enfant que son rêve ne se réalisera jamais, ses yeux se remplissent de larmes et le monde qui l'entour n'a plus aucun sans.
C'est ce qui est arrivé à la petite Manon. Enfant à la chevelure dorée et aux yeux éclatants.
...
C'est le jour de la rentrée, Manon, élève de CP, se dirige vers sa classe, heureuse de devenir une grande fille. Sa nouvelle maîtresse est très souriante, ce qui met en confiance la petite. Alors que les enfants s'asseyaient en classe, Mlle Denis -comme elle s'appelait- leur annonça qu'ils allaient devoir parler de leur rêves futurs.
- Moi, je voudrais être pilote d'avion ! cria Mathieu.
- ET moi, infirmière ! s'exclama Sarah.
Manon, elle, ne parlait pas, elle écoutait.
- Et toi ? demanda Mlle Denis à l'enfant, que veux-tu faire ?
- Je... je voudrais être immortelle, répondit Manon, pour pouvoir profiter de la vie.
Toute la classe s'était tut.
La maîtresse dit tout clairement ceci :
- Oui, c'est un beau rêve, mais, tu sais, tout à une fin. Rien n'est éternel.

Depuis ce jour, Manon ne parle plus, elle attend. La fin de sa vie peut-être ?


( je sais, c'est nul)

la suite : pendant qu'elle regardait les nuages, elle dit ces mots : "qui sait ? peut-être un jour lui pardonnerai-je"

[simple-system]

Le ciel était bleu, il n'y avait que quelques nuages à l'horizon et pourtant, c'est tristement qu'Hélène marchait dans la rue. Sa mère, cette sorcière, venait de jeter tous les souvenirs qu'elle avait gardé de son père qui les avait quitté quelques semaines plus tôt, emporté par un cancer. Elle gardait les yeux rivés sur le sol crasseux de la ville, les mains dans les poches et bousculant de tant à autre un passant qui, lui non plus, ne regardait pas où il allait.

Elle se laissait entraîner par ses pieds, comme s'ils avançaient de leur propre chef vers une destination inconnue. Tout ce qu'Hélène savait, c'est que ce lieu était loin de la maison et de sa génitrice. Cette petite escapade dura environs une demi-heure mais là, Hélène savait enfin où elle allait : à l'étang.
C'était là-bas qu'elle avait les meilleurs souvenirs de son enfance, ceux avec son père et dieu savait à quel point elle avait besoin de se raccrocher à ça, c'était tout ce qui lui restait de lui à présent.

A peine arrivée qu'elle se senti déjà plus apaisée. Elle alla directement sur "leur" emplacement, là où ils plantaient leur tente pour le weekend. Elle s'approcha du bord de l'étang, s'accroupi et se remémora toutes leurs parties de pèches. Soudain, Hélène bascula brusquement vers l'avant et n'eut d'autres choix que de lancer son téléphone sur la berge avant de tomber à l'eau.
Elle hurla de surprise tant l'eau en cette saison était froide mais n'eut pas le courage de sortir directement, tant pis si elle attrapait froid, ça ferrait les pieds à la sorcière ! "Quitte à être mouillée, autant l'être complètement !" se dit-elle en plongeant dans l'eau vaseuse de l'étang.

En remontant à la surface, Hélène repensa à la fois où, plus jeune, elle était tombée pour la première fois dans cet étang. Son père n'était pas venu la chercher mais lui avait dit calmement de se mettre sur le dos et de battre de pieds jusqu'à la rive.

Plongée dans son souvenir, Hélène refit exactement ce que son père lui avait demandé et pendant qu'elle regardait les nuages, elle dit ces mots : "qui sait ? peut-être un jour lui pardonnerai-je ?". Elle sortit enfin, frissonnante et dégoulinante d'eau vaseuse et puante, et rentra chez elle en se disant que, d'une manière ou d'une autre, elle ne serait jamais totalement seule car les souvenirs qu'elle garde en elle ne pourront jamais être effacés.

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et la phrase suivante est :

Avec son bouquet de pissenlits à la main, elle était totalement ridicule.

[ma-et-lys]

je suis tranquille chez moi, ma mère et partit faire les courses je suis donc seul. J'appelle Sarah, c'est ma petite copine, je ne suis pas amoureux d'elle, je n'ai jamais été amoureux d'une autre fille qu'elle... Léna... Elle est d'une beauté que je ne saurais décrire, avec ses cheveux brun ondulé et ses yeux vert elle est a croqué. Mais elle est tellement timide, elle n'ose pas m'approché, en même tant je suis le garçon le plus populaire du lycée. Je suis tombé amoureux d'elle au collège, on devait faire un exposé sur un tableau de Picasso en classe de 4ème, elle devenais toute rouge quand je lui parlais, une proie facile pour moi mais elle sortais déjà avec un type. la sonnerie de la maison coupe cour a mes pensé, j’entrouvre la porte et je la vois, non pas Sarah, elle. Léna . Avec son bouquet de pissenlits à la main, elle était totalement ridicule. et elle été toute rouge ce qui me fit rire mais je suis sur que j'étais pire. elle étais la devant moi et j'avais envie le la prendre dans mes bras. Elle a commencé a bafouillé quelque mots mais je l'en ai empêché en posant ma bouche sur ses lèvres, elles étaient douce.

Je lui ai donné un baffe et je suis partie sans me retourné, les larmes au yeux.

[Elsa-Vercellino]

Nan mais quel salaud! Vraiment, je m'éclipse deux mois et le voilà de retour avec trois autres "petites copines" sur les bras. Je savais bien que se serait une histoire sans lendemain apparent, une fille populaire avec un mec populaire pour devenir encore plus populaire. Le genre de choses qui plaisent aux autres élèves, plus ou moins populaires eux aussi. Mais même quand on a envie d'être aimé, envié, on peut toujours tomber amoureuse d'un parfait crétin. Ce que j'étais irrémédiablement entrain de faire deux semaines après être sortie avec lui. Quelle idiote, vraiment quelle idiote.

Avant de me mettre à hurler, de me jeter dans les bras de mes copines comme je le faisais d'habitude dans ce genre de situation, je partais sans un mot. Ou plutôt je revins sur mes pas et me plantais fixement face à lui, les yeux dans les yeux. Déterminée. Froide.

- Au revoir... Nathan.

Je lui ai donné un baffe et je suis partie sans me retourné, les larmes au yeux. Bon, ne pas pleurer, sinon mon mascara coulera et je n'aurais rien pour le remplacer. Ma débile de petite sœur l'avait emmené dans son sac le matin même. Je soupirais, lasse...

Une éléphant rose me trompeta à la figure.

[simple-system]

"Waaah, c'est carrément autre chose ça..." dis-je, complètement HS.. Un ami venait de me faire goûter une de ses fameuses recettes de cuisine dont il avait le "secret", le genre de recette que je ne ferais pas goûter à ma petite soeur quoi..

J'étais allongée sur son lit, à fixer au plafond des créatures tellement étranges que je ne savais plus si je devais avoir peur ou rire.. Je crois que j'ai opté pour le rire car je me suis rendue compte, après quelques secondes - à moins que ça n'ait été des minutes ? - que je riais à gorge déployée.. J'y voyais des pommes à gueule de tigre violet à pois oranges, des fées multicolores et dans un coin au dessus de la porte, des termites qui dansaient un tango habillés comme des vikings !

"Reste couchée, tu risques de tomber" m'avait prévenu Tom, mon pote le "cuistot" mais j'avais une forte envie de faire pipi ! C'est donc avec toutes les peines du monde, et toujours entourée des créatures étranges, que je me levai - enfin, non, selon Randy, je rampais comme un militaire en plein entrainement - et me dirigeai vers les toilettes.. En chemin, une éléphant rose me trompeta à la figure, des souris à peau de lézard jouaient à cache-cache et m'ont marché dessus et pour finir, un Yéti m'a aidé à me relever pour m'asseoir sur les toilettes. Quand j'ai eu fini, il m'a prise dans ses bras et m'a rallongée sur le lit où j'ai fini par m'endormir.

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"Tu n'auras jamais le dernier mot, ma chère !" me dit-il furieusement.