Les Sept phusis, La trahison du Serment [Percy Jackson]

[MaudValdez]

Superbe, je ne peut dire que ça et surtout que j'ai hâte de voir le capture l'étendart même si cette histoire d'épidémie m'inquiète... Et quand j'ai vu le nom: "Clarisse", c'était limite si je sautais pas de joie du genre "Encore un ancien personnage!!!!" Sinon continue sur ta lancée car c'est très bien parti!!!

Maud..., éternellement fan

[Opalescence18]

J'aime beaucoup Percy Jackson ainsi que ton histoire !
Pourras-tu me prévenir pour la suite s'il te plaît ?

[Aprila]

Merci, merci de votre patiente et fidélité (non je ne travaille pas dans un magasin!^^) et bienvenue aux nouveaux lecteurs. Je suis désolée, désolée mais je n'ai pas fut faire la suite de l'histoire tout de suite car j'avais une sorte de carnet de bord (une histoire pour le français et qui est notée! ) et qu'il fallait que je me grouille si je voulais le rendre aujourd'hui. Ainsi donc, je n'ai pas pu continuer ma chère histoire donc elle sera un p'tit peu courte! En tout cas, je n'ai pas corriger mais bonne lecture tout de même!

Chapitre 5

-Il faut faire quelque chose...
C'était Chiron. Pourtant, il ne semblait pas vouloir bouger.
-Chiron, m'empressai-je de dire, il y a une épidémie, n'est-ce pas?
Il haussa les sourcils:
-Comment tu sais ça?
-Pas le temps d'expliquer, soupirai-je. Pourquoi ne vous le dites pas et mettez les contaminés en quarantaine?
Chiron soupira. Les oiseaux gazouillèrent tranquillement dans leurs arbres aux grands feuillages. On avait longtemps couru dans les bois. J'avais eu une crampe pendant notre course pour s'éloigner des pensionnaires. Chiron avait trouvé cela bon de s'éloigner d'eux. Premièrement, pour ne pas sûrement à nouveaux recevoir un bouclier en pleine face et deuxième, cet étrange épidémie semblait se passer par contact. Chiron me répondit enfin:
-Je ne peux pas. Cela va les effrayer.
-Beaucoup moins si, sans raison, des amis commencent à s'entre-tuer!
Chiron a secoué de la tête comme toute réponse:
-Non, je ne peux pas.
-Chiron...
-Leina, quelque chose de grave se passe. Cela ne se limite pas à une petite épidémie!
-Une petite?! m'exclamai-je. Pour vous, c'est une petite épidémie?
-Oui comparé à ce qui se trame...
-Mais... Mais pourquoi ne vous empêchez pas ça? Pourquoi? Pourquoi ne pas se battre contre ça?
Chiron m'a regardé. Son regard était triste et chagriné:
-Tu es tellement jeune... murmura-t-il. Tellement jeune que tu ne connais pas encore le fait de céder, d'abandonner.
-Mais..., essayai-je de protester.
Cependant je n'avais plus de mots. Plus de mots pour m'opposer, contester. Céder. Il fallait céder.
-Très bien, finis-je par dire.
Chiron a esquissé un faible sourire:
-Tu commences à t'en rendre compte...
-A m'en rendre compte?
Chiron a levé les yeux au ciel. Oui, il a vraiment levé les yeux au ciel, pas l'expression. Puis il a reporté son attention sur moi.
-Si tout se passe comme dans ces plans, tu le sauras ce soir.
-Pourquoi ce soir? Pourquoi repousser le moment? Pourquoi pas maintenant?
-Ne sois pas impatiente, me conseilla le centaure.
J'ai soupiré encore une fois.
-Très bien, lâchai-je.
-Tu fais des progrès, me dit-il tout sourire.
Puis le silence s'est installé. Enfin pas complètement. J'entendais les bruissements des feuilles, les roucoulements des oiseaux, les craquements de brindilles produit par des petits animaux. La forêt regorgeait de vie. Puis je remarquai de l'œil, un lapin qui avait l'air terrifié. Je ne sais pas pourquoi, j'ai tendu de la main.
-Viens, n'ai pas peur...
Chiron était parti pour explorer les environs, me laissant seule avec ce lapin. Ce dernier remua sa petite truffe avant de faire quelques bonds hésitant vers moi. Puis quand il faut assez prés, je caressai son doux pelage.
-Alors, tu as faim?
En entendant le mot "faim", le lapin dressa ses deux grandes oreilles, le nez se remuant pour détecter de l'odeur de nourriture. Il était à l'affut. Puis il se tourna vers moi, ses yeux de couleur rouge comme ceux d'un albinos. Pourtant, j'aurai juré que ce lapin avait les yeux bleus deux minutes avant. Soudainement, une voix jaillit du lapin. Une voix légère, celle d'une petite fille mais sûre d'elle et mature d'esprit, s'adressa à moi:
-Tu veux savoir la vérité? La suite de l'histoire? Découvrir en peu plus le voile de l'ignorance pour contempler le tableau du savoir? Tu auras cela et sans plus attendre...
Puis le lapin aux yeux rouges se jeta sur moi. Je fermai les yeux tandis que tout mon corps semblait brûlait de l'intérieur et qu'un cri, sûrement le mien, résonnait à mes oreilles...

[Lunaspes]

Toujours aussi merveilleux.
J'ai hate de connaitre la suite !
Je suis une fan depuis le debut et je le resterai pour tres tres tres longtemps !

Lili...

[Miss_Love]

Je suis tout simplement dessus... Vraiment hyper, mega, super dessus...........
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que ton chapitre ne sois pas plus long !!!!!
Je veut la suite, c'est intrigant, je suis dans le feu de l'action la !! J'aime beaucoup Leina !
Je veut tout savoir, mais qu'elle est son pouvoir ?^^ dsl s'tu la dit, J'adore continue comme sa !

[va1464]

sa va o niveau du chapitre. Au faite sa fais longtemps que jai devine ki etait le parent divin de Leina

[sevi24]

Toujours aussi merveilleux.
J'ai hate de connaitre la suite !
Je suis une fan depuis le debut et je le resterai pour tres tres tres longtemps !

Lili...

Pareil pour moi! Jdr! Vivement la suite!XD

[Bulma33]

Très bon chapitre et assez intriguant je dois dire ^^

[Aprila]

Alors c'est très court mais très intéressant. Étant donné qu'il y a beaucoup de nouvelles informations, le passage est plus court!^^ Voici la suite:

Chapitre 5

Partie 2

-Vas-tu avouer maintenant?
Je me trouvais dans une petite pièce obscure. Au centre de la pièce, une table où reposait une victime, le visage barbouillé de liquide doré. Le sang des dieux. La victime avait les poignets, les chevilles et le cou liés à la table par des liens de cuir. Pas très loin d'elle se trouvait une élégante femme aux cheveux noirs et aux yeux gris acier. Athéna...
La victime poussa un râle avant de répondre:
-Athéna... Ce n'est pas ma fille.... Ce n'est pas ma fille...
Celle-ci se précipita furieusement vers son visage et lui murmura ces mots douceâtres à l'oreille:
-Tu sais très bien pourquoi je t'ai choisis la première. Je sais que cette fille est la tienne... Je sais ce que tu as fait. C'est à cause de toi, rien que toi que l'épidémie à commencer! Toi et ta stupide fille!!
Puis, aussi vif que l'éclair, Athéna dégaina un poignard et fit une profonde coupure à sa joue droite. A celle-ci j'en voyais une dizaine d'autre.
-Et tu sais que plus je te marquerais, signe du nombre de fois que j'ai du te torturer pour avoir une réponse honnête, plus ta sentence sera grande...
La victime n'a rien dit. Sur son visage barbouillé de sang doré, une larme roula sur sa joue entaillée.
-Arès! appela aussitôt Athéna.
-Oui? répondit une voix dans l'obscurité.
Puis celui-ci surgit, grand et fort, une hache de guerre ramenée sur son épaule comme un bûcheron, avec un sourire malsain figé sur son visage. Le dieu de la guerre...
-Arès, j'ai besoin encore de toi, dit Athéna.
Il jeta un coup d'œil vers la table où la victime ne bougeait pas.
-Encore elle? soupira-t-il avant de s'adresser à la victime: Si ton frère le savait il te ferait griller sur place! En plus il a l'équipement pour!
Il a ricané bêtement avant de demander à Athéna:
-Que dois-je faire Athéna?
Athéna a soupiré:
-Ce que tu veux tant que cela lui fasse très mal et qu'elle en garde des séquelles en souvenir.
-Très bien ma chère, conclut Arès avant de se diriger vers la victime.
Athéna s'éloigna en peu tout en soupirant.
-Pas trop de sang tout de même! s'exclama-t-elle en évitant une giclait.
Arès ne répondit pas. Il continua son travail tandis que la victime hurlait, hurlait à jamais s'en finir. Au bout d'un moment il s'éloigna et annonça à Athéna:
-Voici!
Athéna s'approcha de la victime et contempla sur son cou une longue phrase écrit en grec ancien: "Ο ψεύτης παρθένο"
-Parfait, déclara-t-elle avant de s'adresser à la victime qui pleurait silencieusement: veux-tu encore une seizième séance?
-Ce n'est pas ma fille, murmura-t-elle.
Athéna soupira:
-Très bien, Artémis.
Puis elle traça une seizième langue de feu sur le visage de la victime.
Puis j'ouvris les yeux dans la forêt de la colonie, baignant dans la sueur et avec un lapin aux yeux bleus sur ma poitrine.

[Lunaspes]

J'adore les rêve Leina ^^ en plus tu reprends bien le principe de Percy Jackson comme quoi leurs cauchemars sont la réalité.
Sinon que veut dire la phrase en grec ancien ?
Une dernière chose : continue comme ça.

[Aprila]

J'adore les rêve Leina ^^ en plus tu reprends bien le principe de Percy Jackson comme quoi leurs cauchemars sont la réalité.
Sinon que veut dire la phrase en grec ancien ?
Une dernière chose : continue comme ça.

A la phrase en grec... Sois tu es impatiente et tu cherche sur google traduction, sois tu attends!

[va1464]

c'est bien, tu aurais pu nous traduire la phrase comme dans les livres

[Miss_Love]

J'adore !!
Toujours aussi dessus ... je veut en savoir plus moi !!
Alors comme sa, on cache des chose à Leina,hein ?
De toute facon je le savait ! Les dieux son sadiques !! et cruels !!
Ba ma tite athena, ces pas très gentille ... Ares.... j'ai honte pour toi...
Leina, tu sais ce qui te reste a faire !!
J'adore vraiment !! Bravo, c'est super
Bonne continuaton, la suite j'adorre ton hist biz

[Bulma33]

Un court chapitre tout à fait intéressant !
Je me douté que se serait Artémis mais comment Athéna et Arès s'en occupe... C'est sanglant!
Bref, j'ai adoré. Continue

[MaudValdez]

Waouw, j'adore les rêve de Leina, j'ai hâte de voir la suite mais cette Athena me fait pensé beaucoup à le déesse Minerve de Rome qui est beaucoup plus retorse que celle de Grèce. Continue c'est tout!!!!!!!
Maud... L'éternelle fan

[Talie]

Salut, je viens de lire ton histoire et comme ça fait longtemps que tu as pas publié je me demandais si tu allais continuer voila donc previens moi si tu continue stp

[Aprila]

Voici la suite!

Chapitre 5

Partie 3

-Leina? Ça va?
Je n'ai rien dit. Mon cœur battait à deux cents à l'heure. Artémis... Etait-ce ma mère? L'arc, la nuit, les animaux... J'écarquillai des yeux. Oui, c'était ma mère. Mon souffle se coupa. Artémis était ma mère. J'étais choquée, abasourdie, complètement déroutée. Artémis ne devait pas rester vierge? Elle a trahi son serment, son pacte, de rester vierge et de ne jamais s'allier avec un homme. Et j'étais le fruit de cette trahison. Qui était mon père? Etait-il véritablement mort dans un accident? Pour la première fois de ma vie, je trouvais quelque chose à quoi me rallier, m'appuyer. Et cette chose n'aurait pas du exister.
-Leina? Ça.... Oh mon dieu!
J'ai cligné des yeux. Percy me tenait dans ses bras, avec une expression choquée sur le visage, les yeux levés au-dessus de ma tête. J'ai levé moi aussi les yeux. J'ai eu juste le temps d'apercevoir une sorte d'anagramme composé d'un arc et d'une lune brillant d'une lueur argentée. Artémis avait avoué.


-Leina, maintenant que ta mère t'a revendiqué, tu vas aller dans son bungalow.
J'ai détourné de la tête:
-Très bien, Chiron.
J'avais les larmes aux yeux. Pas plus tard qu'hier je vivais la vie d'une pauvre adolescente orpheline à problèmes. Mais depuis, j'avais découvert que j'étais une sang-mêlé mais en plus, mon parent divin était Artémis.
J'étais dans ma chambre, devant mon lit. J'avais déjà prévu l'arrivé de Chiron. J'avais préparé ma valise que j'avais acheté juste après ma revendication, sans attendre. J'y avais rangé à l'intérieur mes maigres affaires. Elles se composaient de quelques affaires de toilette et de rechange gentiment offert par Grover. En faisant cette valise, je me rendais compte qu'elle représentait ma vie, mon existence. Je n'avais rien de personnel, comme si je n'existais pas vraiment. J'étais devant mon lit, mais il me semble que je l'ai déjà dit. J'avais envie de sangloter.
Chiron a compris et n'a rien répondu. Il s'est contenté de retourné sur ses pas et de fermer la porte à son passage. J'étais seule. A nouveau. Ma valise dans les mains, je serrai la poignée avec tellement de force que mes jointures de mes doigts devinrent blanches. Je ne me sentais pas bien. J'avais mal au cœur et celui-ci battait avec férocité contre ma poitrine. A tout dire, j'avais peur. Que se passerait-il maintenant? Artémis n'aurait jamais du trahir son serment. C'est illogique. Je n'aurais pas du exister tout simplement. A cette idée, j'eu le vertige. Mes doigts se resserrèrent brusquement sur la poignée de la valise. Enfin de compte, ma vie, mes souvenirs se trouvaient dans cette fragile valise. Mon cœur, mon esprit ne servaient juste à me faire avancer. Mon âme n'était pas en moi. Je n'étais qu'une enveloppe charnelle qui tourne en rond, à la recherche de but, d'existence.
J'inspirai soudainement. Sans me rendre compte, j'avais coupé ma respiration. Puis j'entendis un bruit d'une porte qu'on ouvre. La mienne.
-Leina, tu veux que je t'accompagne à ton bungalow sans te perde?
J'ai rapidement séché mes larmes.
-Non merci, Grover.
Il eut un silence.
-Ce n'est pas Grover, finit par répondre l'arriviste.
Je me suis retournée. Il était là, tout sourire.
-Percy... lâchai-je.
-Allez, viens, me dit-il en s'approchant de moi.
J'ai jeté un dernier coup d'œil à ma valise dont je serrai la poignée entre mes doigts. Puis je m'avançai vers Percy.



Percy avait pris du temps avant de se rendre compte que la plaine ou se trouvaient les bungalows n'était pas au fond du lac. Puis, comprenant sa fâcheuse erreur, il m'avait ramenée sur la plaine car, évidemment, j'avais aussi sauté à l'eau comme une idiote de première. Se fut ainsi trempée que j'arrivai au bungalow d'Artémis.
Je croyais y trouver des animaux empaillés mais rien de tout cela. Le bungalow était chaleureux, composé de nombreuses couvertures en peau d'animaux et des meubles en cuir. Un seul lit à deux places trônait au fond du bungalow. On y voyait des superbes panoplies d'arc et de flèches de toutes sortent accrochaient au mur. Sans attendre, je me jetai sur le lit à ressors qui me fit rebondir comme sur un trampoline.
-Bon, j'y vais, annonça Percy avant de repartir.
La porte claqua. Je me retrouvais encore seule. Après une longue hésitation, je me levai de mon lit et rangeai mes maigres affaires. Lorsque que j'eu finis mon rangement, je décollai quelques mèches de mon front trempé de sueur avant de me laissait tomber sur mon lit, prête à faire un petit somme. Cependant, alors que j'allais fermer les yeux, la porte du bungalow s'ouvris avec fracas pour laisser découvrir la silhouette d'une jeune femme frêle. Son regard était affolé, sa démarche vacillante et hésitante. Elle semblait luttée contre une force en elle.
-Leina Daylor, dit-elle, Chiron veut te voir.
Pour toute réponse, je grommelai:
-Laisse-moi dormir, Annabeth!

[Lunaspes]

C'est très bien écris, continue c'est parfait ^^!

[Miss_Love]

J'aime beaucoup c'est bête je veut la suite T.T
J'adore la pauvre Leina
Ba toujours aussi fluide, et genial, la suite ♥

[va1464]

j'adore préviens moi pour la suite

[Bulma33]

C'est vraiment génial!
Tu as superbement décris les émotions de Leïna.
Continue comme ça!

[eclairdu87]

Désolé du grand retard !
Tout de façon j ai une seule chose à dire:

À quand la suite ?

[Talie]

Super, sur le coup j'avais pas compris que c'etait le fille d'Artemis --'
En tout cas j'attend la suite

[Aprila]

C'est très bien écris, continue c'est parfait ^^!

Merci mais c'est loin d'être parfait!

J'aime beaucoup c'est bête je veut la suite T.T
J'adore la pauvre Leina
Ba toujours aussi fluide, et genial, la suite ♥

Merci! C'est vrai mais si Leina ne piquait pas une dépression ce ne serait pas moi qui écrirait cette histoire!

j'adore préviens moi pour la suite

Merci et je te préviendrez toujours!

C'est vraiment génial!
Tu as superbement décris les émotions de Leïna.
Continue comme ça!

Merci! Je suis assez forte pour les décrire les sentiments dépressif et le doute qui s’installe, la peur et les questions mais quand ça doit-être joyeux, c'est une autre paire de manches!

Désolé du grand retard !
Tout de façon j ai une seule chose à dire:

À quand la suite ?

Ce n'est pas grave! Et la suite? Pas pour aujourd'hui sûrement!

Super, sur le coup j'avais pas compris que c'etait le fille d'Artemis --'
En tout cas j'attend la suite

C'est quand que tu as compris alors? Et la suite ce n'est pas pour maintenant!

[Justi25]

C'estt bien ce que je pensais ! Artemis a trahi ! Mais c'est une super idée !!!
Vraiment trop bien cette suite, à quand la prochaine partie ?
Annabeth va mieux alors ?

[Aprila]

C'estt bien ce que je pensais ! Artemis a trahi ! Mais c'est une super idée !!!
Vraiment trop bien cette suite, à quand la prochaine partie ?
Annabeth va mieux alors ?

Artémis a trahi et ça va tout chamboulé! Et Annabeth ne va pas tellement mieux: "Cependant, alors que j'allais fermer les yeux, la porte du bungalow s'ouvris avec fracas pour laisser découvrir la silhouette d'une jeune femme frêle. Son regard était affolé, sa démarche vacillante et hésitante. Elle semblait luttée contre une force en elle."

[Talie]

Je l'ai compris que quand Leina a deviner en faite

[Aprila]

Ah! Bah c'est bien! Au moins tu as eu la surprise! Tu penses que c'était une bonne idée?

[Aprila]

Voici la suite! (Et bah si, la suite c'est pour aujourd'hui! Ca dépend de mon imagination en fait!^^)

Chapitre 5

Partie 4

Annabeth avait pris du temps pour me faire sortir du lit. J'étais dans la Grande Maison, au près de Chiron. Celui-ci avait pris le mode "handicapé". Il était devant la cheminée de la pièce où on se trouvait et il contemplait l'âtre d'un œil sombre.
-Chiron, intervint Annabeth, vous voulez dire quelque chose à Leina, non?
Rien que prononçaient ces mots lui semblait être un effort immense. Elle semblait tanguait sur place, et de plus près on pouvait apercevoir qu'elle coulait de sueur. Son regard était hagard, perdu et affolé à la fois comme si elle était ailleurs. Elle luttait de toutes ses forces et ça se voyait. Chiron se retourna vers nous et, en voyant Annabeth, il lui conseilla:
-Merci Annabeth. Tu devrais revoir Percy. Tu te sentirais sûrement mieux.
Annabeth haussa les sourcils, étonnée.
-Vous ne savez pas la nouvelle? dit-elle.
-Quelle nouvelle? s'inquiéta Chiron.
-Percy... Il... Il me calme plus. Je.... Je suis perdue maintenant, Chiron. J'ai... J'ai envie de le tuer! avoua-t-elle, les larmes aux yeux.
Puis elle s'effondra en sanglot. J'aurai voulu à courir auprès d'elle, la soulager, la réconforter. Je savais ce que cela faisait d'être perdue. Mais Chiron m'interrompit d'un geste de la main, observant avec inquiétude Annabeth. Elle tomba à genoux, puis sur le flanc et se recroquevilla. Au bout d'un moment, les sanglots s'arrêtèrent, et Annabeth se releva, les yeux fermés. Quand elle les rouvrit, ils étaient noirs de jais, avalant tout l'œil. Dans un sourire, elle dégaina son poignard. Puis elle fut parcouru d'un long et violent frisson. Elle lâcha son poignard, elle tomba à nouveaux à genoux tout tant fermant les yeux. Quand elle les rouvrit encore une fois, ils étaient redevenus gris. Elle se leva difficilement et regarda Chiron, affolée.
-Chiron, quand cela partira?
Pas de réponse.
-Chiron... supplia Annabeth.
Chiron soupira et fixa Annabeth:
-Si on ne trouve pas le remède, cela ne partira jamais et tu tueras tous ceux qui ne sont pas de ton bungalow, avoua-t-il.
Annabeth laissa couler une larme sur sa joue.
-Donc Percy....
-Donc Percy, confirma le centaure.
Annabeth a ouvert la bouche puis la refermée, comme un poisson dans un bocal. Elle paraissait hébétée. Puis soudainement, elle tourna des talons et s'enfuie en courant.
-Pauvre Annabeth.... Elle n'a pas une vie facile.... soupira Chiron avant de s'adresser à moi: Leina, je voulais te parler.
-Ça, j'ai compris, marmonnai-je.
-Leina, étant donné que tu es la fille d'Artémis, tu as un lien envers l'épidémie.
-Késako? m'étonnai-je.
-Leina, Artémis a son pouvoir de préserver les monstres qu'elle a chassé au tant qu'elle veut, si elle les surveille bien, que par sa promesse de rester vierge et de jamais s'allier avec un homme. Elle a trahi sa promesse et tu es le fruit de cette trahison.
-Je ne comprends toujours pas, avouai-je.
Chiron soupira.
-Elle a trahi son serment, son pacte, sa promesse! Elle perd donc petit à petit ses pouvoirs. Et en les perdants, elle a libéré contre son gré une créature maléfique. Une créature si ancienne, qu'on ne l'a jamais mentionné dans les mythologies. Et cette créature a propagé l'épidémie....
-....en commençant par Annabeth, complétai-je dans un souffle. Je suis donc reliée à cette histoire?
-Oui, mais il y a encore pire, acheva Chiron.
Celui-ci se dirigea vers la fenêtre, à côté de la cheminé. On y voyait les champs de fraises, la plaine des bungalows et le lac au loin.
-Qu'est que c'est? demandai-je.
-Des champs de fraise, une plaine et un lac, répondit Chiron.
-Non, pas ça! Ce qu'il y a de pire!
Chiron soupira et s'éloigna de la fenêtre:
-Une légende dit que le premier enfant d'un dieu, reçoit tous les pouvoirs de ce dernier sauf l'immortalité.
-Et je suis le premier enfant d'Artémis, devinai-je.
-Oui, c'est ça. Normalement, une enfant normale d'Artémis a le don de la chasse et de l'arc. Toi, tu as tout les pouvoirs d'Artémis. En fin de compte, quand on y réfléchit, Artémis est très puissante. Ou plutôt, était.
-Mais pourquoi me dites-vous ça? Il y a quelque chose derrière, non?
-Oui, avoua-t-il. Etant donné que tu as un lien envers l'épidémie, il est plausible que tu sois immunisée. Ainsi, tu es la meilleure placée pour remonter à sa source, découvrir ses faiblesses pour ensuite trouver un antidote.
-C'est "plausible"? relevai-je.
- Nous ne sommes pas sûr, mais tu as 99% de chance que cela soit vrai.
-"Nous"?
-Annabeth et moi.
-Annabeth? m'étonnai-je.
-C'est la mieux placée pour m'aider.
-Pourquoi? Elle est contaminée! Elle est peut-être manipulée!
-Parce que... (il hésita) parce qu'elle le vit et elle sait à peu près ce que tu peux ressentir. Ne cherche pas comment, c'est Annabeth.
Je suis restée silencieuse. Après un long silence, Chiron reprit:
-Alors, veux-tu accepter cette quête?
-Cette quête? C'est t'une quête?
-Oui, c'en est une, répondit-il tout simplement.
J'ai hésité. En réfléchissant, Annabeth et d'autres personnes seront obligés de tuer des gens qu'ils aiment contre leur volonté. Cependant, je n'étais pas prête à sacrifier ma vie. C'est égoïste, je sais, je ne peux pas le nier. Mais c'était ainsi. Hésitante, je demandai à Chiron:
-Je peux réfléchir à cette proposition avant de dire ma réponse?
-Bien sûr, m'assura Chiron avant de sauter du coq à l'âne: En fait, le Capture-l'étendard pourra être joué demain. On a mis en quarantaine les contaminés.
J'ai souri:
-Vous m'avez écoutée.
-Ne me fait pas regretter, répondit Chiron. Allez, file!
Je me retournai, prête à partir. Mais avant de m'éloigner, je dis tout sourire:
-Chiron, vous ressemblez de plus en plus à Monsieur D.
Il a souri:
-T'inquiète, j'en suis loin du compte!