Foulards et hymens - Pourquoi le Moyen-Orient doit faire sa révolution sexuelle
Auteur
- Mona Eltahawy (Écrivain)
Acheter neuf
Acheter d'occasion
Classement en biblio - 9 lecteurs
extrait
Nous, les femmes arabes, vivons dans une culture qui nous est fondamentalement hostile.
Face à ce constat, la journaliste égyptienne Mona Eltahawy, elle-même emprisonnée, battue, sexuellement agressée sur la place Tahrir en 2011, a décidé de prendre la parole.
Dire la difficulté de vivre dans une société patriarcale qui diabolise la femme, la cache, la rejette.
Dire la situation de ces femmes forcées de porter le hijab et le niqab, embarquées en pleine rue pour un " test de virginité ", battues, violées, excisées, mutilées.
Dire que si le monde arabe hait ses femmes, c'est parce qu'il les craint. Qu'il craint ce qui se trouve sous le voile, le nie, piétine son existence, sous prétexte de mieux le préserver.
Parler pour libérer la parole féminine. Car comme nous le rappelle Mona Eltahawy : l'acte le plus subversif qu'une femme puisse commettre est de parler de sa vie comme si elle importait réellement.
Afficher en entierCommentaires récents
Un livre très intéressant, qui fait réfléchir sur la question de la femme au Moyen-Orient. A lire pour découvrir et respecter autrui.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Date de sortie
Foulards et hymens - Pourquoi le Moyen-Orient doit faire sa révolution sexuelle
- France : 2015-06-11 (Français)
Activité récente
Titres alternatifs
- Headscarves and Hymens: Why the Middle East Needs a Sexual Revolution - Anglais
Livres ayant des thèmes similaires
Editeurs
Résumé
Nous, les femmes arabes, vivons dans une culture qui nous est fondamentalement hostile. Face à ce constat, la journaliste égyptienne Mona Eltahawy, elle-même emprisonnée, battue, sexuellement agressée sur la place Tahrir en 2011, a décidé de prendre la parole. Dire la difficulté de vivre dans une société patriarcale qui diabolise la femme, la cache, la rejette. Dire la situation de ces femmes forcées de porter le hijab et le niqab, embarquées en pleine rue pour un " test de virginité ", battues, violées, excisées, mutilées. Dire que si le monde arabe hait ses femmes, c'est parce qu'il les craint. Qu'il craint ce qui se trouve sous le voile, le nie, piétine son existence, sous prétexte de mieux le préserver. Parler pour libérer la parole féminine. Car comme nous le rappelle Mona Eltahawy : l'acte le plus subversif qu'une femme puisse commettre est de parler de sa vie comme si elle importait réellement.
Afficher en entier