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Frankenstein 1918



Description ajoutée par Eurylia 2018-09-01T11:34:38+02:00

Résumé

Grande Guerre, 1914. Après un premier engagement désastreux, les Anglais décident l’opération Frankenstein : plutôt que de construire des chars, on créera de la chair à canon.

À partir des archives du fameux docteur et grâce à la production d’électricité à présent industrialisée, des unités de soldats pouvant être sacrifiés sans remords seront fabriquées – les champs de bataille du nord de la France fourniront la « matière première ». Winston Churchill est nommé responsable de l’unité de recherche sur la régénération.

Les « frankies » vont faire leurs preuves sur le terrain, mais la société se partage entre pro et anti. L’opération finalement interrompue, l’un d’eux, Victor, échappe au massacre puis est secouru par Marie Curie qui le rend à la vie consciente grâce aux radiations.

Réfugié dans les décombres de Londres, qui a été détruite et rendue inhabitable par un bombardement à l’arme chimique, Victor retrouve le laboratoire où il est né, y recueille Churchill et engage un combat pour l’émancipation des siens. C’est là qu’un jeune couple, elle, résistante à l’occupation, lui, historien, finit par le retrouver en 1958, dans l’espoir de lever le voile sur ce versant secret de l’Histoire que la censure en vigueur ne suffit pas à expliquer.

Johan Heliot entrecroise, tel un tisseur, des récits de Winston Churchill tirés de ses Mémoires secrets, les témoignages d’une Marie Curie désabusée par la folie des hommes, et le journal intime du personnage principal, Victor. Se dessine alors, au fil de la lecture, un panorama fascinant des conséquences d’une Grande Guerre qui n’aurait pas pris fin en 1918, dont le cœur est un hommage à Mary Shelley et sa fameuse créature.

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Classement en biblio - 17 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Ukko-Ukko 2018-12-29T13:27:39+01:00

La barbarie est affaire de circonstances. La guerre contraint les hommes aux pires extrémités. Le dénuement tout autant.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Eurylia 2020-05-22T13:03:16+02:00
Bronze

Je suis très déçue par cette lecture. Le principe et la couverture magnifique m'avaient vraiment séduite mais j'ai vraiment eu du mal à en venir à bout, à tel point que je m'étais très longtemps arrêtée à environ 75% du roman avant de le terminer en une journée.

L'idée est intéressante mais j'ai vraiment eu du mal avec le style. J'ai eu l'impression malgré les différents narrateurs d'avoir tout le temps affaire au même car ils n'ont aucune différence dans la manière de raconter : que ce soit Victor, Churchill ou Edmond, ils parlent tous de la même façon et n'ont aucune particularité ce qui fait qu'on peine à réellement s'identifier à eux et que j'étais parfois obligée de recourir à la table des matières pour me souvenir qui parlait (les chapitres sont relativement longs).

L'histoire en elle-même est sympathique, émaillée de réflexions intéressantes sur la nature humaine, la quête de l'immortalité, la guerre, le féminisme... mais le tout ne m'a pas convaincue.

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Commentaire ajouté par Julian-5 2019-07-20T17:19:41+02:00
Argent

Le pitch m'a tout de suite plus et il a donc fait partit de mes choix pour la masse critique d'octobre.

Les Anglais pour éviter d'envoyer leurs jeunes à une mort quasi certaine vont décider de mettre en oeuvre l'opération Frankenstein. Grâce aux archives du docteur ils vont créer à Londres « les Frankies » ou « non né » et les envoyer à la guerre comme chair à canon.

Le roman est une donc une uchronie débutant lors de la première guerre mondiale et raconté par le professeur Français Edmond Laroche-Voisin qui va retrouver les mémoires secrètes de Churchill et le carnet de Victor (le premier « non né »). Il se rendra dans les décombres (presque) inhabité de la ville de Londres (bombardé pendant la guerre) accompagné d'Elisabeth sa future femme pour essayer de retrouver des traces des expériences de Churchill.

Le mélange fantastique/historique du livre est vraiment bien trouvé et travaillé. le récit alterne entre les descriptions/trouvailles d'Edmond et les textes traduits des carnets de Churchill et Victor.

On s'attache énormément à Victor « le frankie » et sa vie pleine de rebondissement (les meilleurs passages du roman à mon sens). Sa deuxième naissance face à Churchill. Sa participation à la guerre. Sa fuite et sa rencontre avec Ines et Marie Curie.

Pour résumé j'ai bien apprécié cette première découverte de Johan Heliot qui se lit vite (250 pages). le roman est un bel hommage à l'oeuvre originale.

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Commentaire ajouté par Menherre 2019-07-17T12:28:49+02:00
Argent

Une très bonne lecture. Le récit a ses racines dans des bases solides, indéniablement riches en documentation. Les uchronies de Johan Héliot sont réputées, et je comprends désormais pourquoi, tant le travail en la matière est dense. L'auteur nous offre une Histoire déformée sur près d'un siècle, et ce dans les détails.

Le roman en lui-même est beau, avec un message d'espoir et de mémoire.

Mon seul regret est que, finalement, l'histoire de Victor et du bataillon F n'ait pas tant d'influence que ça sur le cours de la guerre. Même si j'ai apprécié la réponse apportée à ce sujet par l'un des personnages : l'Homme a trouvé bien d'autres moyens de se détruire. J'en garde dans tous les cas un excellent souvenir, et je vais m'empresser de découvrir les autres titres de cet auteur.

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Commentaire ajouté par Cacoethes-scribendi 2019-06-13T15:48:41+02:00
Bronze

Quel étonnant petit roman. Vu les thèmes (Première Guerre mondiale x Frankenstein), j’avais peur qu’il soit un peu glauque. Eh bien ce n’est pas vraiment le cas !

En 1956, dans une Europe uchronique (l’Allemagne a gagné la Grande Guerre), un jeune historien tombe sur un secret bien gardé : vers 1915, les Anglais auraient utilisé les travaux du Dr. Frankenstein pour créer des soldats de toutes pièces et épargner les quelques vies humaines qui restent dans leurs bataillons.

Le roman alterne entre l’enquête de 1956, les mémoires de Churchill qui est l’instigateur du projet et le témoignage d’un « non-né » pendant la guerre. On est plongé direct dans l’histoire ; il m’a fallu quelques dizaines de pages pour m’y sentir à l’aise.

Il faut dire que le langage châtié et un peu suranné employé par les différents narrateurs n’aide pas à la fluidité de lecture, jusqu’à ce que l’on s’y habitue.

Une fois que l’on comprend où l’auteur veut nous emmener, la lecture est très agréable. J’ai apprécié les références historiques ou culturelles, ainsi que l’hommage rendu à Marie Curie et Mary Shelley – j’ai d’ailleurs maintenant plus envie que jamais de découvrir enfin Frankenstein, pour mieux comprendre les clins d’œil qui sont fait à cette histoire.

Si vous aimez cette période historique ou la science-fiction, je ne peux que vous recommander ce roman !

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Commentaire ajouté par kadeline 2019-05-24T14:55:29+02:00
Or

un récit dont la structure est particulière et rappelle le travail bibliographique préliminaire d'une recherche en associant extraits de textes historiques et extrait du journal de bord du chercheur. Une fois intégrée cette construction, on est face à un récit fluide et complexe qui ne laisse pas indifférent. En reprenant le mythe de Frankenstein dans un contexte de première guerre mondiale modifiée, l'auteur permet des réflexions sur la psychologie humaine très intéressantes. L'étude du pouvoir, avec ses choix, ses conséquences… est très bien traité. C'est un texte très beau avec une vision du monde et de l'humanité qui résonne avec les problématiques actuelles.

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Commentaire ajouté par Bluenn 2019-04-08T10:54:59+02:00
Argent

Ma chronique complète: https://ombrebones.wordpress.com/2019/04/08/frankenstein-1918-johan-heliot/

Pour résumer, Johan Heliot affirme avec Frankenstein 1918 son statut de maître ès uchronie. C’est un plaidoyer vibrant en faveur du devoir de mémoire accompagné d’une réflexion intelligente sur la condition humaine. Ses clins d’œil aux personnages historiques et à ceux de la littérature populaire anglaise plairont aux adeptes du genre. Le récit, construit comme un assemblage de témoignages à des fins de publication scientifique marque par son parti pris esthétique qui ne plaira pas à tout le monde mais qui a le mérite d’oser quelque chose d’inhabituel. J’ai passé un bon moment avec ce texte que je recommande à ceux qui aiment l’uchronie ainsi que la période « Grande Guerre ».

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Commentaire ajouté par Ukko-Ukko 2018-12-31T13:51:28+01:00
Bronze

Johan Heliot a une imagination foisonnante, couplée à une savante admiration de l'histoire qui le pousse à la triturer, à la faire bifurquer sur les aiguillages qu'elle aurait pu emprunter. Le souci, c'est que lorsqu'on fait revivre des personnages aussi marquants que Marie Curie ou Winston Churchill, il n'est pas facile de leur donner un destin aussi extraordinaire que celui qu'ils ont réellement vécu. Et c'est là que Heliot se laisse souvent dépasser par son sujet. Son écriture très travaillée et descriptive, sans rupture, ne parvient pas à rendre son récit palpitant. C'est plaisant à lire, mais on a du mal à se sentir vraiment concerné. Dommage ! C'est bourré de bonnes idées.

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Commentaire ajouté par marie-nel 2018-12-19T15:07:53+01:00
Or

Je me devais de lire ce roman avant la fin de l'année puisqu'il parle d'un sujet important de notre siècle dernier pour lequel on vient de fêter le centenaire de son armistice. C'est une chronique assez dure à écrire, il y a tellement de choses dont je voudrais vous parler, tout en ne spoliant pas l'histoire. Je trouve déjà que le résumé en dit bien assez, je ne vais donc pas revenir de trop sur le contenu.

Johan Heliot a crée une uchronie dans laquelle la guerre ne se serait pas finie en 1918, comme dans la réalité, mais quarante ans plus tard et se serait ainsi appelée la Guerre Terminale. Les batailles contre les Prussiens sont nombreuses et comme dans la « vraie », elles font beaucoup de dégâts matériels et humains. Les morts sont innombrables, et pour pallier à cela, les Anglais décident de créer une armée d'êtres entièrement fabriqués grâce à un processus chimique et physique. Ces êtres sont appelés des « non-nés » et sont le résultat d'un assemblage de plusieurs corps venant des soldats morts. Tout ceci repose sur les expériences du docteur Frankenstein. Ils sont plus résistants et surtout ne causent aucun souci, ils sont là pour combattre et tuer. Mais la guerre est aussi un combat d'argent et il vaut mieux construire des armes, le projet est ainsi abandonné, les « non-nés » massacrés, sauf un, Victor, le premier de tous, qui échappe à la mort. Grâce à des aides importantes et inattendues, il va pouvoir continuer de vivre.

Ce qui est à souligner ici, c'est que l'auteur s'est appuyé sur des documents inexistants, sauf dans l'imaginaire d'autres écrivains, puisque le personnage du professeur Frankenstein se réfère au roman Frankenstein ou le Prométhée moderne écrit par Mary Shelley en 1818...encore un anniversaire, concordance des dates, coïncidence...tout était là pour donner cette inspiration à Johan Heliot et créer un ouvrage plus vrai que nature. Il n'hésite pas, d'ailleurs, à évoquer de grands noms de notre histoire moderne pour étayer ses recherches. On verra ainsi apparaître Ernest Hémingway, mais aussi Jean Teillac, successeur de Frédéric Joliot-Curie à l'institut Curie. Justement, Marie et sa fille Irène auront un rôle très important dans la vie de Victor. Moi qui aime beaucoup ce personnage de Marie Curie, j'ai retrouvé avec plaisir ses nombreuses recherches, sa clairvoyance, son esprit d'analyse.

Le roman est donc une succession d'extraits de journaux et mémoires, celui du héros, Edmond Laroche-Voisin, mais aussi le très réputé Winston Churchill qui aura un tout autre rôle que celui que l'on connait. Malgré l'extravagance des faits relatés, des expériences menées, tous ces ouvrages donnent un effet très réaliste à l'histoire. Je me suis plu à imaginer que ces écrits auraient pu exister, mais encore heureux que ce ne se soit pas passé ainsi au niveau de la guerre, de sa durée. À noter que Johan Heliot a mêlé des éléments de la seconde guerre avec la résistance et la Gestapo qui font leur apparition, ajoutant une petite touche de réalisme à nouveau.

Malgré un départ un peu lent car il a fallu s'habituer au style de l'auteur qui fait de longues phrases agrémentées d'apartés en paragraphes, le roman se laisse lire facilement et on est vite happé par les événements nombreux qui se passent dans la vie de tous ces personnages. La partie où c'est Victor qui raconte sa version est très addictive, j'aurais aimé qu'elle arrive un peu plus tôt dans le roman, elle apporte une autre vision intéressante.

Je voudrais d'ailleurs citer une phrase que ce personnage hors du commun dit et qui, je trouve, trouve toute sa résonnance dans notre actualité de maintenant :

« L'homme soumis à trop d'exigences qui le brident a besoin d'explosions de violence pour lui rappeler que jadis il a été libre. »

Je ne ferai pas plus de commentaire, elle colle parfaitement avec ce qu'il se passe dans notre société.

Donc, en conclusion, j'ai passé un bon moment de lecture, très enrichissant malgré qu'il s'agisse d'imaginaire, j'ai appris plein de choses sur Mary Shelley, les Curie, etc.. Je ne suis pourtant pas fan de ce genre, l'uchronie, mais quand c'est bien écrit et que ça frôle notre réalité, cela donne une expérience de lecture étonnante. Bien sûr, certains faits ne pourraient pas se réaliser, mais c'est tellement bien amené ici qu'on y croit. L'intrigue par elle-même n'est pas ce que je retiendrai en particulier, toute la force repose dans l'invention des écrits et des documents. En tout cas, Johan Heliot fait preuve d'une imagination débordante, un nouvel auteur que je vais retenir et suivre pour un de ses prochain écrits.

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Commentaire ajouté par MissChocolatineBouquine 2018-11-27T13:53:02+01:00
Diamant

L'avis d'Esméralda :

Après ces jours de commémoration du centenaire de l’armistice de 1918, je ne pouvais que te parler de ce roman.

Un roman épatant ! Un roman singulier !

Quand l’Histoire rencontre l’imagination sans limite, je ne peux qu’alors être subjuguée.

Je ne sais pas par quel bout commencer. Ce roman est présenté sous la forme d’un journal posthume. Le narrateur, Edmond Laroche-Voisin, relate l’histoire de Victor, premier des non-nés, les mémoires secrets de Winston Leonard Spencer-Churchill et sa propre expérience. Si la période de référence du roman est la période de la Première Guerre Mondiale, cette dernière n’est véritablement pas celle connue, ni celle racontée dans las manuels scolaires. L’auteur a su créer avec magnificence une autre histoire. Bien évidemment tout le principe d’une uchronie.

Avec des si, on peut refaire le monde, c’est bien connu. Et si, avec des si, on décrivait la pire part de l’humanité. Si, avec des si, l’improbable surgissait des limbes. Si, avec des si, la mort n’avait plus le même visage.

Touts autant de points cruciaux développés au travers d’une trame qui invite le lecteur dans une espèce de brouillard d’illusion machiavélique. Un brouillard glacial où les secrets tentent de se faire oublier. Un brouillard où la vie n’a plus de prix. Victor a été arraché à ce brouillard, ni homme, ni dieu, homme simplement immortel issu de la folie d’un homme. Procédé inhumain approvisionné par les charniers de la guerre. Victor, non-né, assemblé de membres, d’os, de chairs, de muscles, de nerfs d’autres. Seule son ancienne conscience fragilisée, son « moi », lui permet d’intercepter les prémices d’une nouvelle guerre.

Ce roman est poignant par la force qu’il dégage. Renversant par ces péripéties qui conditionnent la vie des personnages. Cruel de par la folie des Hommes, par le pouvoir vénéneux d’être le détenteur d’un contrôle absolu sur ces terres vaincues et également sur le contrôle de la vie. Ce mythe vieux comme le Temps, de devenir immortel et invincible plane sur le récit. Sur ce dernier point, l’auteur à une audace sans nom d’emprunter et de magnifier selon son envie, un personnage que vous connaissez tous : Frankenstein. Personnage incontournable de l’auteur Mary Shelley. Un hommage percutant qui donne à son roman une dimension grandiose.

Johan Heliot inclut dans son ouvrage des personnages de la Grande Histoire : Churchill, Marie Curie, Hemingway, Göring et bien d’autres… Une fois de plus cette donne dénote avec l’influence de l’imagination de l’auteur.

FRANKENSTEIN 1918 a tout du grand roman. Outre le partage du souvenir, les mises en garde contre la folie humaine, ses croyances, la cruauté sont de rigueur. Tout n’est pas sombre, Heliot insuffle une dose d’optimisme et de bienveillance. L’amour est là tapi dans l’ombre prêt à reprendre ses droits et le final en est le parfait exemple.

Je te recommande vivement cette lecture. Pas besoin d’être adepte de l’uchronie pour savourer chaque page.

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Date de sortie

Frankenstein 1918

  • France : 2018-09-20 (Français)

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