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Liste des extraits

Extrait ajouté par MayuS 2017-10-14T16:22:44+02:00

Quel était cet écrivain qui disait que chaque existence se réduisait à un misérable petit tas de secrets ?

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Extrait ajouté par Letempodeslivres 2019-04-16T09:16:14+02:00

C'était donc cela, le sens, la raison d'être de toute une vie : si l'on était là, si l'on tolérait tant d'épreuves, si l'on faisait l'effort de continuer à respirer, si l'on acceptait tant de fadeur, c'était pour connaître l'amour. 

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Extrait ajouté par Cambee 2018-08-12T23:09:18+02:00

Diane passa la nuit à l'hôpital, à repenser à ce dialogue. Le docteur lui avait posé une seule question. Celle qu'elle n'avait pas osé se poser à elle-même. Rien qu'en écoutant son bref entretient avec son père et en l'observant, il avait compris. En une interrogation, il avait changé son destin, non seulement parce qu'elle avait décidé qu'elle vivrait, mais aussi parce qu'elle avait enfin un objectif : exercer la profession de cet homme.

Elle serait médecin.

En regardant et en écoutant les gens avec attention, elle sonderait leur corps et leur âme. Sans plus de bavardages que le docteur de la veille, elle mettrait le doigt sur la faille et sauverait des êtres humains.

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Extrait ajouté par Alias-Rosiel 2017-10-08T21:01:02+02:00

Elle n'avait plus le loisir de disparaître, il fallait qu'elle affronte le réel - c'était une expression qu'elle avait lue et dont elle ne comprenait pas le sens, sinon qu'il devait s'agir de quelque chose d'insupportable.

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Extrait ajouté par Amelie116 2017-09-16T16:53:25+02:00

C'était donc cela, le sens, la raison d’être de toute vie: si l'on était là, si l'on tolérait tant d'épreuves, si l'on faisait l'effort de continuer à respirer, si l'on acceptait tant de fadeur, c'était pour connaitre l'amour.

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Extrait ajouté par LN-12 2021-06-04T13:09:23+02:00

Au-delà même de cette volupté, ce que disaient ces yeux amers posés sur elle, c’était que l’histoire en cours était la sienne, c’était elle qu’on racontait, et les autres souffraient de se découvrir figurantes, invitées au festin pour en récolter les miettes, conviées au drame pour y mourir d’une balle perdue, c’est-à-dire d’une brûlure qui ne leur était pas destinée.

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Extrait ajouté par Orphee3 2019-01-08T10:34:57+01:00

" Soyez économe de votre mépris, il y a beaucoup de nécessiteux."

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Extrait ajouté par Orphee3 2019-01-08T10:34:07+01:00

" Quel était cet écrivains qui disait que chaque existence se réduisait à un misérable petit tas de secrets? "

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Extrait ajouté par Orphee3 2019-01-08T10:32:51+01:00

" L'enfer est pavé de bonnes intentions; semblablement les plus mesquines peuvent êtres à l'origine des joies sincères."

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Extrait ajouté par anonyme 2018-03-22T12:18:28+01:00

"Maman, j'ai tout accepté, j'ai toujours été de ton côté, je t'ai donné raison jusque dans tes injustices les plus flagrantes, j'ai supporté ta jalousie parce que je comprenais que tu attendais davantage de l'existence, j'ai enduré que tu m'en veuilles des compliments et que tu me le fasses payer, j'ai toléré que tu montres ta tendresse à mon frère alors que tu ne m'en as jamais témoigné une miette, mais là, ce que tu fais devant moi, c'est mal. Une seule fois, tu m'as aimée, et j'ai su qu'il n'y aurait rien de meilleur en ce monde. Je pensais que ce qui t'empêchait de me manifester ton amour, c'était que je sois une fille. Or, à présent, sous mes yeux, l'être que tu arroses de l'amour le plus profond que tu aies jamais manifesté, c'est une fille. Mon explication de l'univers s'écroule. Et je comprends que, tout simplement, tu m'aimes si peu que tu ne penses même pas à dissimuler un rien ta passion pour ce bébé. La vérité, maman, c'est que s'il est une vertu qui te manque, c'est le tact.

[...]

Maman, j'ai essayé de comprendre ta jalousie, et en guise de gratitude, tu ouvres devant moi le gouffre dans lequel tu es tombée, à croire que tu cherches à m'y faire chuter, mais tu n'y réussiras pas, maman, je refuse de devenir comme toi, et je peux te dire que sans même y être tombée, rien que sentir l'appel du gouffre, j'ai si mal que je pourrais hurler, c'est comme la morsure du vide, maman, je comprends ta souffrance mais ce que je ne comprends pas, c'est ton peu d'égards pour moi, en vérité tu ne cherches pas à partager ton mal avec moi, mais cela t'est juste égal que je souffre, tu ne le vois pas, c'est le dernier de tes soucis et c'est cela le pire."

Il fallait donner le change : Diane embrassa Célia le plus chaleureusement qu'elle put et personne ne remarqua que son enfance était morte.

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