Commentaires de livres faits par freyjas
Extraits de livres par freyjas
Commentaires de livres appréciés par freyjas
Extraits de livres appréciés par freyjas
"- De tout temps, il y a eu des êtres pour s'opposer au salut."
"- Mais Colette a entreprit ce périple dans la seule intention de tous nous sauver !"
Avoir un rêve, c'est dessiner un chemin de vie qui n'aura pour unique objectif que construire son bonheur sans s'égarer sur des chemins qui ne nous concernent pas, sans oublier l'influence d'un entourage, aussi bienveillant soit-il, qui veut nous orienter dans une direction, vers une vie qui n'est pas la nôtre.
Ce sont les héros qui ont triomphé. Loki, fils adoptif d'Odin disparu, et Thor, désormais oublié, n'y sont pour rien. Qui vous a dit le contraire ? C'est un menteur, vous ferez mieux de ne pas l'écouter.
Cette histoire s'est achevée. Une nouvelle commence. Alors qu'on s'agite sur Terre pour reconstruire, dans les cieux, l'on s'agite plus difficilement pour sauver la face."
Pema Chödrön nous offre ici de véritables conseils de sagesse pour faire face à l'inconnu - en nous même et dans le monde - afin que nos erreurs nous ouvrent les yeux et nous aident à voir, une bonne fois pour toute, que l'échec fait partie intégrante du succès, et que les deux sont des éléments essentiels pour aller de l'avant.
Voici la ligne horizontale, brune et nette comme un trait de règle, qui, à cette altitude immuable, tranche l’atmosphère en deux – toujours.
Au-dessous, la grisaille rousse, les impuretés, les vapeurs de suie, les émanations ternes, les scories, les déjections du monde. Au-dessus, le ciel vert, la radieuse clarté de l’air tout neuf, la transparence cristalline de l’éther couleur d’aigue-marine, la solitude immense où tout n’est que pureté, que beauté.
Ah ! L’ivresse de franchir cette barre ! L’ivresse de s’élever d’un élan glorieux, loin de cette pauvre poussière, où, inconscient de la lumière, rampe l’humanité.
Voler, voler, rêve ou réalité ? […]
Aimer voler, c’est comme la foi en Dieu. C’est un état de grâce. Cela s’acquiert. Cela se perd aussi. […]
Je ne pense plus à la direction, me laissant aller à ma rêverie. Il n’y rien de plus délicieux que la rêverie en avion. »
Ce port si longtemps appelé,
Où loin des ennuis de la ville,
Dans un loisir doux et facile,
Sans bruit mes jours auraient coulé.
J'ai quitté l'obscure vallée,
Le toit champêtre d'un ami ;
Loin des bocages de Bissy,
Ma muse, à regret exilée,
S'éloigne triste et désolée
Du séjour qu'elle avait choisi.
Nous n'irons plus dans les prairies,
Au premier rayon du matin,
Egarer, d'un pas incertain,
Nos poétiques rêveries.
Nous ne verrons plus le soleil,
Du haut des cimes d'Italie
Précipitant son char vermeil,
Semblable au père de la vie,
Rendre à la nature assoupie
Le premier éclat du réveil.
Nous ne goûterons plus votre ombre,
Vieux pins, l'honneur de ces forêts,
Vous n'entendrez plus nos secrets ;
Sous cette grotte humide et sombre
Nous ne chercherons plus le frais,
Et le soir, au temple rustique,
Quand la cloche mélancolique
Appellera tout le hameau,
Nous n'irons plus, à la prière,
Nous courber sur la simple pierre
Qui couvre un rustique tombeau.
Adieu, vallons; adieu, bocages ;
Lac azuré, rochers sauvages,
Bois touffus, tranquille séjour,
Séjour des heureux et des sages,
Je vous ai quittés sans retour.
Déjà ma barque fugitive
Au souffle des zéphyrs trompeurs,
S'éloigne à regret de la rive
Que n'offraient des dieux protecteurs.
J'affronte de nouveaux orages ;
Sans doute à de nouveaux naufrages
Mon frêle esquif est dévoué ,
Et pourtant à la fleur de l'âge,
Sur quels écueils, sur quels rivages
N'ai-je déjà pas échoué ?
Mais d'une plainte téméraire
Pourquoi fatiguer le destin ?
A peine au milieu du chemin,
Faut-il regarder en arrière ?
Mes lèvres à peine ont. goûté
Le calice amer de la vie,
Loin de moi je l'ai rejeté ;
Mais l'arrêt cruel est porté,
Il faut boire jusqu'à la lie !
Lorsque mes pas auront franchi
Les deux tiers de notre carrière,
Sous le poids d'une vie entière
Quand mes cheveux auront blanchi,
Je reviendrai du vieux Bissy
Visiter le toit solitaire
Où le ciel me garde un ami.
Dans quelque retraite profonde,
Sous les arbres par lui plantés,
Nous verrons couler comme l'onde
La fin de nos jours agités.
Là, sans crainte et sans espérance,
Sur notre orageuse existence,
Ramenés par le souvenir,
Jetant nos regards en arrière,
Nous mesurerons la carrière,
Qu'il aura fallu parcourir.
Tel un pilote octogénaire,
Du haut d'un rocher solitaire,
Le soir, tranquillement assis,
Laisse au loin égarer sa vue
Et contemple encor l'étendue
Des mers qu'il sillonna jadis. "
- Hmpf. Tu commences clairement à parler comme un père de tout. Comment connais-tu cet endroit ?
- Ce sont les couloirs de la connaissance. La bibliothèque des dieux.
- Précisément. Je ne t'ai jamais vu ici.
-Chut. "
Symbole solaire depuis l'antiquité, la roue indienne représente la création, la souveraineté et la protection. On la découvre sous cette forme sur des sceaux d'argiles provenant de la civilisation Harappéenne de la vallée de l'Indus (environs deux milles cinq cents ans avant notre ère).