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« - Joli caleçon. C'est ta mère qui te les as achetés ?

- Non. C'est la tienne. »

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"Les mecs sont complètement débiles quand ils croient n'avoir aucunes chances avec une fille. Nous, les femmes, on se laisse dépérir et on garde les cuisses fermées quand on aime un garçon qu'on ne peut pas avoir. Les mecs se baladent la bite à la main et sautent sur tout ce qui a un trou pour oublier celui qui se refuse à eux."

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Nous continuâmes de marcher- ou plutôt de tituber- pendant quelques mètres, jusqu'à ce que j'entre en collision avec une boîte aux lettres. Je poussai un grognement.

- Cette saloperie s'est jetée devant moi !

Kyler s'arrêta et secoua la tête.

- Tu es un vrai danger public, et pour toi-même.

- Je vais très bien

Je l'écartai d'un geste tout en contournant la boîte aux lettres, que je bombardai d'un regard noir.

- Toi, je t'ai à l’œil.

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Ses larmes redoublèrent et je ne savais plus trop quoi faire. J’avais tout foiré et mes pires craintes allaient se réaliser. Elle voulut détourner la tête, mais je la retins doucement. Une douleur se forma dans ma poitrine.

J’avais ressenti le même pincement quand elle avait commencé à sortir avec Nate au lycée.

je fis alors la seule chose qui me vint à l’esprit – la seule chose dont j’avais envie.

Je l’embrassai.

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Malheur, il n’y avait pas de mots pour décrire ce que je venais de faire. Je n’arrivais pas à y croire.

Mon coeur cognait dans ma poitrine quand je refermai la porte de ma chambre, et je reculai jusqu’à mon lit sur lequel je m’assis, ou plutôt m’effondrai, parce que mes jambes ne me portaient plus.

Non, ce n’était pas bon. C’était très grave et tout allait mal. Mon sexe dressé palpitait encore et en même temps j’avais la nausée. Comment avais-je pu me conduire ainsi pendant mon sommeil ? Je connaissais la réponse, mais tout de même. J’étais en train de rêver d’elle – de Sydney. Je l’avais vu en boxer et soutien-gorge avant hier, plus ce qu’il s’était passé hier soir, rien d’étonnant à ce qu’elle tienne la vedette dans mes rêves érotiques. Merde. Ce n’était pas la première fois que je fantasmais à son sujet mais je n’étais jamais passé à l’acte.

Mes mains étaient sur elle… mes doigts en elle.

-Putain de merde.

Et si je ne m’étais pas réveillé ? Jusqu’où serais-je allé ? Syd était intouchable pour les mecs comme moi.

J’étais sur le point de me relever pour aller la voir et m’excuser encore, mais je me ravisai. Parce qu’une fois le choc passé, je me souvenais maintenant de ce qui m’avait tiré du meilleur rêve que je faisais depuis longtemps – qui n’en était pas un.

Un bruit qu’avait fait Syd.

Un bruit qui n’exprimait ni de la peur de du dégoût. Chaque cellule de mon corps reconnaissait ce doux gémissement haletant. Elle y prenait du plaisir. Encore mieux, elle semblait ne plus dormir depuis un bon moment. Elle s’était forcément rendu compte de ce que je faisais et ne m’avait pas arrêté.

Nom de dieu, elle m’avait laissé faire.

Non seulement ça, mais elle était complètement trempée. Et ce n’est pas à moi que l’on allait apprendre ce que ça voulait dire. Pourtant, pour la première fois de ma vie, j’étais complètement déboussolé devant une fille qui mouillait pour moi. Mon cerveau faisait un blocage, même si mon corps, lui, savait très bien ce qu’il voulait.

Me laissant tomber sur le dos, je poussai un grognement qui résonna dans toute la chambre. Je contemplai le plafond. J’avais plus de chance de me voir pousser des ailes que de me rendormir cette nuit. Surtout quand j’avais déjà toutes les peines du monde à ne pas retourner dans le lit de Syd pour reprendre les choses exactement là où je les avais laissées.

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Je m’immobilisai au beau milieu de la salle et renversai la tête en arrière en poussant un profond soupir. J’étais bonne à gifler. Kyler m’était interdit. Nous étions inséparables depuis que nous étions gosses et qu’il m’avait poussée du manège pour ne pas attraper « la maladie des filles » parce que j’avais voulu lui prendre la main. Je m’étais vengée le lendemain en lui faisant manger de la terre. Personne ne comprenait pourquoi nous étions des amis si proches. Même pour moi, ça restait un mystère. Nous étions aussi bien assortis qu’un lion et une gazelle. Une gazelle boiteuse sans aucune chance de semer le prédateur.

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« Je dus prendre sur moi pour m’allonger à côté d’elle sans la réveiller, surtout quand elle se tourna sur le côté, me présentant ses fesses. Et meeerde. Comme la veille, pourtant, je sombrai rapidement dans le sommeil et me réveillai avant elle, étonnamment frais et dispos après une nuit passée sur un lit de fortune avec une érection phénoménale.

Ma bouche entre ses cuisses ferait office de réveil.

Syd se souleva sur les coudes, les cheveux en bataille tombant sur les épaules, la poitrine haletante.

— Kyler, qu’est-ce que… ?

Sa voix était éraillée de sommeil et de désir. J’adorais l’entendre.

— Oh, mon Dieu…

Souriant contre son sexe, je glissai un doigt dans sa fente humide tout en dessinant de petits cercles avec ma langue autour de son clitoris. J’aimais son goût, son odeur, la texture de sa chair. J’aurais pu rester une éternité entre ses jambes. Je la regardai tandis que j’introduisais un autre doigt en elle et happai son bourgeon. Elle bascula son poids sur ses coudes et renversa la tête en arrière. Le gémissement rauque qui sortit de sa gorge me rendit fou. Syd souleva son bassin et décrivit de petits mouvements avec ses hanches contre ma bouche et ma main. C’était terriblement excitant.

— Oh… hoqueta-t-elle. Kyler, je vais…

— Tu vas jouir ?

Je donnai de petits coups de langue et ses mouvements s’accentuèrent encore.

— Oui ? C’est ce que je veux, bébé. Donne-moi tout.

Et elle le fit.

Syd retomba en arrière, arquant le dos, et mon sweat remonta sur son ventre. Un flot de mots s’échappa de ses lèvres tandis que ses muscles internes se contractaient autour de mes doigts. Elle fronçait les sourcils et elle déglutissait. Je la regardai jouir comme un foutu voyeur, et j’adorais ça.

Elle était magnifique.

Sans même y réfléchir, je lui avais déjà enlevé ce foutu sweat universitaire et j’avais envoyé mon jogging valdinguer à l’autre bout de la pièce. Un désir puissant me guidait. Attrapant ses bras minces, je les relevai au-dessus de sa tête et la pénétrai d’un seul et puissant coup de reins. Elle jouit à nouveau et j’étouffai ses cris sous mes baisers. Je la pilonnai de coups de butoir, me perdant en elle une fois de plus. Mais c’était différent, cette fois-ci. Une sensation brute. Animale. Son intimité serrée et glissante épousait mon membre comme un fourreau soyeux tandis que ma langue plongeait dans la douceur de sa bouche. Je la sentais partout, dans chaque pore, dans chaque muscle, dans tous mes os, prendre sa place et s’installer au plus profond de ma poitrine.

Ma propre jouissance déferla, m’emportant dans les limbes jusqu’à ce que je la sente se contracter autour de moi pour la troisième fois. Je n’avais jamais ressenti autant de plaisir, une telle connexion intime et…

Bordel de merde, l’impossible s’était produit, quelque chose qui ne m’était encore jamais arrivé. J’avais oublié de mettre un préservatif ! »

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La porte derrière moi s’ouvrit soudain et je tombai à la renverse. Je fis aussitôt volte-face et mes mains rencontrèrent de la peau chaude et nue. Des muscles fermes. Un bras puissant s’enroula autour de ma taille et me rattrapa de justesse avant que je fasse la culbute tête la première contre un téton d’homme brun foncé.

Par tous les dieux du ciel…

Je me reculai vivement, rompant l’étreinte. J’expulsai l’air de mes poumons, écarquillai les yeux. J’avais devant moi les pectoraux parfaits… que n’importe quelle fille normalement constituée aurait eu envie de toucher. Je les reluquai malgré moi ; on se serait cru dans une scène de Magic Mike. Le pire, c’est que j’avais l’habitude de voir Kyler à moitié nu, mais ça me faisait toujours le même effet.

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— Je venais m’assurer qu’il était arrivé vivant. Je hochai la tête et Kyler sourit.

— Je suis en un seul morceau.

— J’en suis heureux, dit Papa en faisant mine de refermer la porte, mais il s’interrompit. La prochaine fois, passe par la porte, Kyler.

— Oui, monsieur.

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– Je ne regretterai jamais ces moments passés avec toi, Syd. Jamais. Je souhaite plus que tout pouvoir remonter le temps. Au lieu de coucher avec toutes ces filles, j’aurais le courage de te dire ce que j’éprouve réellement pour toi, ce que j’ai toujours éprouvé pour toi.

(…)

– Je t’ai aimée toute ma vie, répondit-il, les yeux au fond des miens. Et je t’aimerai jusqu’à ma mort si tu m’y autorises, Syd.

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