Commentaires de livres faits par fruitbasket83
Extraits de livres par fruitbasket83
Commentaires de livres appréciés par fruitbasket83
Extraits de livres appréciés par fruitbasket83
Papa - Alors éteins cette télé stupide et lis un livre.
Calvin - D'accord, j'ai menti, j'avoue.
Hobbes - Qu'y a-t-il d'incompris chez toi ?
Calvin - Personne ne me prend pour un génie.
Alto…
C’EST MON DEVOIR DE PROTÉGER DAME LISELOTTE !
Alto…
ELLE RESTE MA MAÎTRESSE, MÊME SI ELLE EST TELLEMENT BÊTE QUE PARFOIS, J’AI ENVIE DE LUI COLLER UNE BONNE PAIRE DE BAFFES.
Chacun …
à sa part…de responsabilité…
qu’il doit assumer.
Là-dessus, t’as pas vraiment tort.
- Faut pas penser des choses comme ça, monsieur…
- Te fatigue pas, Pierre. Je n’ai que ce que je mérite. J’ai toujours fait ce que je voulais, toute ma vie, sans me soucier de personne. Quand j’avais envie de quelque chose, je m’arrangeais pour l’obtenir. C’était toujours moi qui passais en premier. Alors maintenant, ce n’est pas étonnant que je sois tout seul. C’est même normal, tu ne trouves pas ?
Le général Kasp ne pouvait pas le croire. Et pourtant, l'image ne mentait pas : c'était bien sa fille qui avançait, menottée, sous l'oeil froid des caméras holographiques. Deux soldats l'encadraient, enserrant ses bras minces dans leur poigne de fer, la soulevant presque de terre. Crachant et grognant, les créatures des Mansuetarii progressaient à ses côtés dans leur grotesque démarche arachnéenne.
Au lever du rideau, la scène est vide. Sonnerie de téléphone.
Lucie entre et prend le récepteur....
Lucie, aimable.-
- "Allô ! oui, monsieur, c'est ici...Oui...de la part de qui ?
Ah ! très bien...Oui...
Je suis au regret, Mr le professeur Châtelier ne peut recevoir absolument personne....Il travaille....Oui, même aujourd'hui...les journalistes non plus...Personne....Non, monsieur, aucune exception...Oh ! si je puis vous être agréable, je vais vous renseigner de mon mieux, mais je ne vous apprendrai rien de neuf...La vie du professeur n'est pas très compliquée....
Questionnez-moi, je répondrai....
(lever de rideau de la pièce extraite de "La Petite Illustration" n° 436 parue en avril 1938)
Une langue impure annonce souvent les pires atrocités. Partout où des groupes particuliers d'êtres humains sont désignés sous le terme "d'éléments négatifs", de "parasites", ou "étrangers indésirables", par exemple, ils seront traités tôt ou tard comme des sous-hommes.
Celui-ci consistait principalement à m'évader silencieusement dans quelques rêveries tenaces, délicieuses et impénétrables pour les autres afin de m'isoler pour ne point entendre les geignardises, les réflexions plus stupides et teigneuses que puériles de mes petits collègues de l'école primaire. Ils m'étiquetèrent alors sous le terme générique et flatteur "d'autiste à intelligence précoce"; ils parlèrent aussi je m'en souviens comme d'avant hier, du tout nouveau syndrome d'Asperger, sauf que ma motricité fut alors parfaite car je taquinais le piano au conservatoire quasi comme Abdel-Rahman El Bacha attaquant une mazurka de Chopin, je ne dus mon arrêt intempestif de l'étude de cet instrument qu'à cause des fréquentes fuites urinaires de Madame ma professeure. C'est donc de façon précoce et pour le monde entier que j'élevais bien haut ma pancarte de manifestant silencieux sur laquelle était inscrit: "Mort aux cons!"
"Mais les pensées, ce n'est pas quelque chose qu'on peut toujours contrôler. Comme dit Michael, il faut faire avec. En fait, si une chose t'occupe l'esprit et que tu essaies de la chasser, ça ne fait qu'empirer. Alors je me suis dit, pourquoi ne pas y penser carrément ?"