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L'hiver s'abat sur l'an 1154 dans les couleurs sombres de l’apocalypse.
Les Brumes, ces créatures de légende, ont quitté le monde. Ce sont les hommes, à présent, qui meurent les uns après les autres, emportés par cette épidémie dont nul ne connaît le nom.
Bohem, celui que les Compagnons du Devoir nomment Liberté Outremer, saura-t-il trouver le remède à cette malédiction ? Trouvera-t-il la troisième voie ?
Car il est l’Enfant de la Veuve, le passeur des mondes. Il est l’héritier de la parole perdue, celui qui pourra achever l’hiver, guider les hommes et les loups vers un nouveau printemps.
Pendant que le monde se déchire, que les rois et les soldats du Christ s’affrontent dans un ultime combat, Bohem cherche le chemin d’une nouvelle chance.
S’il échoue, Gallica, à jamais, échappera à nos mémoires.
Il n'y a pas de réussite sans volonté. Ce sont les hommes qui font l'Histoire... Cesser de croire que l'on peut changer le monde, c'est offrir à d'autres le pouvoir de le faire.
Un tome final beaucoup plus riche en action que le précédent. Malgré tout ça traîne un peu en longueur, et l'action donne plus l'impression d'être là pour meubler qu'autre chose.
Quel roman interminable ! Pour une conclusion de trilogie, franchement, il ne se passe pas grand-chose.; les seuls passages qui m'ont un minimum intéressée sont ceux avec Camille et à part ça il n'y aucune surprise, aucun rebondissement. Même la guerre n'a pas réussi à susciter ma curiosité car j'ai juste été exaspérée devant l'orgueil des rois qui les pousse à s'entêter dans des massacres inutiles. Quant aux autres personnages, ils passent simplement leur temps à voyager, discuter et suivre Bohem dans la morosité et l'éternel ennui.
D'ailleurs je ne supporte vraiment pas ce dernier. Il passe son temps à jouer les grands mystérieux par pur caprice, il s'acharne à toujours garder ses découvertes pour lui sans jamais informer les autres et s'attend à ce que tout le monde le suive sans se poser de question, comme si leur obéissance aveugle lui était due. Heureusement que Loeva est là pour lui dire ses quatre vérités ! En outre, son soi-disant charisme ne transparaît pas du tout à travers le récit, il se contente de répéter à bout de champ "il faut faire ça parce que je le sais, je le sens au fond de moi" et quand il s'agit de convaincre quelqu'un de faire l'exact opposé de ce qu'il voulait faire à la base il répète en boucle "il faut me croire" jusqu'à ce que l'autre personne cède. Outre la mauvaise construction du personnage, je trouve que c'est une sacrée fainéantise de la part de l'auteur d'avoir constamment recours à ce genre de facilités.
En parlant de facilités, la fin est extrêmement expéditive et facile alors que c'est justement le moment qui aurait mérité le plus de développement. Elle aurait pu être marquante si l'un des personnages était mort (pour de bon) mais non, là encore ça tombe dans la facilité... Bref, ce tome est tellement vide que je n'ai rien d'autre à ajouter. Je ressors de cette trilogie particulièrement déçue et c'est vraiment dommage car il y avait un véritable potentiel à exploiter, que ce soit dans l'inspiration de la mythologie celtique ou dans les messages véhiculés qui sont pertinents et modernes : féminisme, refus de la violence, préservation de la nature et des animaux...
Cette saga démarrait bien mais à la longue m'ennuie un peu ... La suite est un peu longuette, on s'ennuie un peu mais Bohem, le personnage principal, est attachant, et agaçant, et on a envie de connaitre son avenir même si tout compte fait celui-ci est des plus banal.
Dans un monde déchiré par une guerre entre la couronne et l'église, Bohem continue sa route pour sauver les brumes et qui sait, peut-être même Gallica toute entière... Un tome plein de révélations, un point final magnifique pour cette trilogie exceptionnelle !
J'ai préféré la Moira, mais ces trois tomes nous replongent dans cet univers et cela fait plaisir. J'ai beaucoup aimé lires ces trois tomes et je n'aie pas été déçu. Ils se lisent facilement et personnellement je ne me suis pas ennuyée ;)
Je n ai pas pu mettre de commentaire sans connaître la fin.... superbe écriture. Une histoire et des personnages. J ai aimé même si parfois le récit se complique. Mais on réfléchit et mère Nature est bien objet de nos pensées. 900 pages comme une superbe trilogie de cinéma.
Une bellle fin de trilogie ! J'ai trouvé que certains passages était un peu rapide où j'aurais aimé que l'auteur développe un peu plus, comme l'Armensul par exemple. Et puis à certaions moment j'ai trouvé que la réussite était un peu facile. Mais j'ai tout de même adoré !
Résumé
L'hiver s'abat sur l'an 1154 dans les couleurs sombres de l’apocalypse.
Les Brumes, ces créatures de légende, ont quitté le monde. Ce sont les hommes, à présent, qui meurent les uns après les autres, emportés par cette épidémie dont nul ne connaît le nom.
Bohem, celui que les Compagnons du Devoir nomment Liberté Outremer, saura-t-il trouver le remède à cette malédiction ? Trouvera-t-il la troisième voie ?
Car il est l’Enfant de la Veuve, le passeur des mondes. Il est l’héritier de la parole perdue, celui qui pourra achever l’hiver, guider les hommes et les loups vers un nouveau printemps.
Pendant que le monde se déchire, que les rois et les soldats du Christ s’affrontent dans un ultime combat, Bohem cherche le chemin d’une nouvelle chance.
S’il échoue, Gallica, à jamais, échappera à nos mémoires.
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