Extraits

Before Sophie could change her mind, she plopped down on her enormous canopied bed and stared at the crystal stars dangling from her ceiling, watching them sparkle in the bright afternoon sunlight as she gathered her mental strengh. The warm energy churned inside her mind, humming as it grew stronger and stronger and stronger. And when she could feel it buzzing against the backs of her eyes, she shoved it out of her head, along with the loudest call sur could muster.

- Tam, can you hear me ? It's Sophie !

Sophie Foster veut des réponses. Mais après toute une vie de mensonges, la vérité est parfois la découverte la plus dangereuse. Même le plus petit secret comporte de nouvelles responsabilités terrifiantes.

Et Sophie n’est pas la seule à avoir des points blancs dans son passé ou des mystères qui entourent sa famille. Elle et ses amis font partie de quelque chose de beaucoup plus grand qu'ils ne l'imaginaient - et leurs rôles ont déjà été choisis pour eux.

Chaque indice les entraîne plus profondément dans le complot. Chaque souvenir les oblige à tout remettre en question, surtout les uns des autres. Et plus ils se battent, plus les lignes entre l’ami et l’ennemi s’estompent

-Dommage pour toi ,car en dépit de tes fanfaronnades ,tu n'as pas envisagé que je puisse , moi aussi , etre en train de temporiser .Et puis , tu as oublié le plus important ... (D'un pas vif, la mère de Keefe s'approcha de la paroi du champ de force .) Je connais mon fils mieux que toi . C'est pourquoi je lui ai laissés un message , à lui aussi .

– […] Il y a une chose que tu ne dois pas oublier… c’est que le moindre fait ou détail a le pouvoir de nous altérer. Chaque jour passé. Toute personne rencontrée. Toute expérience, bonne ou mauvaise. C’est ce qui fait de nous ce que nous sommes.

"Je n'ai aucune idée de ce que je suis en train de faire, avoua-t-elle,à sa propre surprise.

Bronte lui prit l'autre main pour les guider devant le rayon lumineux.

-Je vais vous confier un secret, Sophie, qui vous rassurera peut-être, mais peut-être pas. Aucun d'entre nous n'en a la moindre idée."

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C'est juste que... maintenant que vous êtes... que vous êtes ensemble, reprit-il enfin à la surprise de son amie, je doute que m'aider sur un projet de chronophage soit une très bonne idée. D'autant que Fitz n'en a que pour Alvar en ce moment. Il refusera de nous donner un coup de main.

"- S'il lui arrive quoi que ce soit...

- Compris, l'interrompit Livvy.

Ella balaya encore ses tresses, parsemées de minuscules joyaux jaunes assortis aux paillettes dont elle avait rehaussé ses pommettes sombres.

-Inutile de te faire du mouron, joli coeur, ajouta-t-elle. Je ne laisserai rien arriver à ta douce.

- À ceci près que vous allez quand même lui administrer une substance qui lui provoque une allergie mortelle, non ?

Le médecin se rembrunit.

- D'accord, soyons plus précis. Je vais, temporairement, lui faire affronter une terrible épreuve, avant de tout arranger afin qu'elle se sente mille fois mieux. Inutile donc de t'inquiéter, même si je sais que ça ne sert à rien d'essayer de vous en dissuader, tous autant que vous êtes. Et puisque c'est l'heure des confessions, je vais vous répéter ce que je viens de dire à la brigade des adultes angoissés tassés à l'intérieur : certaines étapes du processus ne seront vraiment pas belles à voir. Alors, si vous ne voulez pas vous infliger un tel spectacle, autant déguerpir tout de suite."

- Tu n'es déjà plus le même, Tam. L'influence d'Ombre est palpable dans ton esprit.

Ces perles d'eau douce avaient la réputation de provoquer flashes-back et hallucinations oniriques.

- J'ai été prudent, lui assura-t-il.

- C'était à mourir de rire, intervint Ro. Une nuit, il est sorti de son lit, encore endormi, pour faire une petite danse chaloupée et chanter son amour pour les épingles de papotin. Une autre fois, il a décrété être un bébé alicorne, avant de se mettre à galoper à quatre pattes à travers la maison, le tout en hennissant à tue-tête. Le meilleure spectacle que j'aie jamais vu !

Sandor étouffa un rire.

Silveny avait eu beau l'inonder d'image oniriques - cieux étoilés traversés à tire-d'aile, plages immaculées parcourues au galop, vertes prairies où paître en paix -, Bronte faisait immanquablement irruption pour lui adresser quelque sermon, grimace ou la menacer d'exil. Mais quand il avait ouvert les bras en lui demandant si elle "voulait un câlin", la jeune fille avait pris la décision de ne plus jamais dormir de sa vie.