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Recueil de brefs et pittoresques poèmes en prose, imprimé en 1842, que Baudelaire dans sa préface à « Spleen de Paris » contribua à faire connaître comme un ouvrage précurseur de la poésie moderne.
J'ai voulu découvrir ce livre pour satisfaire ma curiosité. Mal m'en a pris ! Je ne sais pas -concernant cet ouvrage- où j'ai commencé ,où j'ai terminé ,de quoi il s'agit, si l'on parle de l'art ou d'autres choses .Je n'ai rien compris ,rien appris ,rien retenu . Je ne peux même pas dire que je déteste puisque je n'ai rien compris. Il paraît qu'A. Bertrand a influencé Baudelaire. Mais autant j'admire la poésie de Baudelaire, autant je suis restée hermétique à celle de Bertrand. La seule certitude c'est que je n'ai pas aimé .
Médiéval à la sauce Viollet le duc ou Walter Scott, c'est à dire empreint d'un romantisme où se débattent des sabbats de sorcières, des gargouilles ventrues, des lansquenets querelleurs, etc. Aloysius Bertrand aime les mots. Il les savoure, les pétris entre ses doigts avant de les jeter sur le papier. Il est vrai que cela donne un recueil de poésie au style un peu daté mais tout se lit parfaitement et l'impression générale qui est donnée est simplement celle que l'on a lorsqu'on se plonge dans la contemplation d'une miniature dans un beau livre d'images.
Ce recueil de "poésies" est à lire au moins une fois, plus si affinités.
Un mariage très original entre prose et poésie. Facile à lire, fluide et délicat, l’auteur parvient à entraîner le lecteur dans son univers, à le captiver et à l’intéresser sans le perdre dans la complexité des poèmes ordinaires. L’amalgame de sujets, mêlant prose, poésie et narrativité, est des plus audacieux, mais merveilleusement réalisé.
Je ne suis pas habitué à la poésie en prose, mais on s'y fait assez facilement au final. L'écriture est fluide, belle, et on profite de chaque phrase comme s'il s'agissait d'un vers.
Une oeuvre peu connue et pourtant très agréable à lire. Le merveilleux présent dans certains poèmes est très enivrant et nous emporte facilement dans un imaginaire proche des contes de fées les plus connus. C'est le genre de poésie, originale pour l'époque, que l'on apprécie de savourer dans un plaid, tandis qu'il pleut dehors. Les traits pittoresques et moyenâgeux de certains textes nourrissant cet imaginaire très accessible rendent le recueil d'autant plus charmant.
Il était surprenant que je lise de mon propre chef de la poésie. Le bilan est mitigé.
J'ai trouvé le recueil dans l'ensemble assez médiocre — sans connotation négative, il était juste moyen. Les thèmes ne me parlent pas tellement, l'écriture se laissait lire, avec quelques fulgurances poétiques, mais une globalité assez terne. Le Moyen-Âge n'étant pas ma période préférée de l'histoire, je savais que je prenais un risque. Le vocabulaire médiéval — ou tout simplement daté — n'a pas aidé, il freinait un peu, beaucoup parfois. Les notes entravent pour beaucoup une lecture fluide, et vu la quantité de mots nouveaux... C'en aurait été totalement erratique.
Mais parfois, certaines pièces (pour beaucoup dans le livre "La Nuit et ses prestiges") étaient juste... Splendides, magistrales. Un tourbillon de mots, d'images, de sons, de rythmes, de sensations. Trop peu, toutefois, pour remonter le niveau d'ensemble. Malheureusement.
Ce bilan de lecture est assez mitigé mais je suis content d'avoir lu ce livre, au moins pour l'aspect culturel : Aloysius Bertrand est un des premiers de ces poètes-prosateurs, cité par Baudelaire — le grand Baudelaire ! — en tête de ses célèbres Petits Poèmes en prose.
La forme du recueil est originale. L’écriture poétique fournit de beaux poèmes, rappelant à certains égards le Moyen-Âge ou le mouvement gothique, si populaire en Angleterre. Mes écrits préférés sont sans doute ceux de La nuit et ses prestiges, ainsi que les derniers poèmes du sixième livre, Sylves.
Certes Bertrand est le créateur de la prose... Certes il a eu une vie difficile qui a profondément marqué son écriture... Mais, personnellement je n'ai pas apprécié.
Mais, qu'est-ce qu'un seul avis ?
Je pense que lire ce recueil est intéressant et enrichissant sur le plan de l'histoire littéraire et artistique surtout quand on connaît de quels textes s'inspirent Bertrand par exemple pour le poème Ondine qui nous parle de la Loreleï du Rhin, et surtout pour les artistes qui se sont inspirés de ces textes Baudelaire, Ravel, Debussy aussi je crois....
Même si je n'ai pas été touchée par la prose de Bertrand, d'autres peuvent l'admirer et apprécier son oeuvre.
Des Fantaisies... La nuit et ses prestige voici le passage que j'ai lu pour le français. Univers assez particulier, angoissant et composé d'images complexes
Résumé
Recueil de brefs et pittoresques poèmes en prose, imprimé en 1842, que Baudelaire dans sa préface à « Spleen de Paris » contribua à faire connaître comme un ouvrage précurseur de la poésie moderne.
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