Commentaires de livres faits par Gatou2002
Extraits de livres par Gatou2002
Commentaires de livres appréciés par Gatou2002
Extraits de livres appréciés par Gatou2002
- Eh bien, oui, j'aimerais beaucoup une tasse de thé. Je le prends avec beaucoup de lait et sans thé. Merci.
Il était étrangement crispé, comme prêt à prendre la fuite. Il leva son regard pour le plonger dans celui de Damen.
- Tu as dis que je te manquais, avoue Damen.
Laurent se mit à rougir de manière grandiose, contraste saisissant avec son teint pâle.
- Eh bien...
- Mon hérisson à filé -zou!- entre trois arceaux de suite. (Il mima de la main la trajectoire sautillante de son dernier coup.) C'était splendide ! Vous n'avez pas trouvé ?
Catherine se retint de lui tapoter la tête et de lui offrir un biscuit pour le récompenser.
- Un coup superbe, votre Majesté.
- c'est toi qui m'as dit quai pieu rien ne valait un mort-vivant. Je me suis dit que j'allais vérifier par moi même.
Cela fit rire Rodney.
- t'as dit ça, Cat ?
Bones m'adressa un petit sourire satisfait.
- c'est toujours un honneur de représenter son espèce, m'assura-t-il.
Aucune émotion dans ses yeux. Son visage est entièrement neutre. Il s'éclaircit la voix.
-C'était mon cadeau d'anniversaire, explique Warner. Chaque année depuis l'âge de cinq ans. Jusqu’à ce que j'en ai dix-huit. Il n'a pas recommencé pour mon dix-neuvième anniversaire.
L'épouvante me pétrifie.
- Si on va au McDonalds, tu devras mettre tes chaussures.
Stephen n'avait jamais été un grand fan de chaussures. Ou de chaussettes. Ou d'habits en général. Une fois, il s'était échappé de chez lui en sous vêtements. Ils l'avaient retrouvé en train de courir dans la rue a raconter a qui voulait bien l'entendre que sa mère avait été enlevée par des extraterrestres.
- je n'aime pas ces chaussures, dit il en se tortillant pour se nicher contre la nuque de Reyes afin de s'éloigner de sa mère qui essayait de lui remettre ses chaussettes.
- tu te souviens de ce que dit le signe quand tu entres chez McDonald's? "port de chaussures obligatoire."
Il cessa de gigoter et la regarda comme si elle avait perdu l'esprit.
- je ne suis pas un porc.
Je retins un autre gloussement.
- il marque un point, fit remarquer Reyes.
Il renversa la tête pour s'appuyer sur le sofa et abaissa sa casquette sur son visage. Il semblait si épuisé que je m'attendais presque à l'entendre ronfler d'un instant à l'autre.
-Longue journée ?
-J'ai tourné en rond. J'ai suivi plusieurs pistes en quête d'un indice mais je reviens toujours à la case départ. Je me supporter beaucoup de choses, mon ange, mais pas une journée improductive.
-De la part du garçon qui cherche constamment à me convaincre de passer la journée au lit avec lui ! Plaisantai-je.
-Ça mon ange, ça serait une journée extrêmement productive !
- Doux Jésus !
- Non ce n'est que moi, déclara Simon. Bien qu'on m'ait déjà dit que la ressemblance était frappante.
"Where are we going ?" I looked behind us in sudden worry. "Is someone following us ? Are you trying to lose a tail ?"
Steeev shook his head.
"No, but its imperative that you both consume ice cream."
I laughed.
"I knew you were the perfect syraza for this job."
Même la teleportation ne l'avait pas décoiffé. Il tira fièrement sur l'un de ses épis.
- Regarde, dit il a Isabelle.
- C'est de la magie ?
- Non, du gel. 3,99 dollars chez Sephora.
- Malheureusement chère madame, je reste moi même mon seul véritable amour.
Dorothea partit d'un éclat de rire :
- Au moins tu ne risque pas d'être éconduit, Jace Wayland.
- Pas forcément. Je m'envoie balader de temps en temps, histoire d'entretenir la flamme.
- Ces filles la bas... Elles te regardent.
Jace répondit avec une complaisance tranquille :
- C'est normal je suis beau à tomber par terre.
- Ce n'est pas la modestie qui t'étouffe !
- La modestie ? C'est un concept de laid. Les humbles régneront peut être un jour sur le monde ; en attendant il appartient aux vaniteux.
N'empêche que moi, je suis pas tombée du dernier RER.
P.64
- Simon et Derek, dit Mme Enright. Où sont-ils ?
J'observai la mère de Tori, puis le Docteur Davidoff, qui me sourit et hocha la tête en signe d'encouragement, comme s'il espérait vraiment que je trahisse mes amis.
[...]
J'ecarquillai les yeux en croisant le regard de Mme Enright.
- Vous voulez dire que vous ne les avez toujours pas trouvés?
Je crois qu'elle m'aurait giflée si le Docteur Davidoff n'avait pas levé la main.
P.13
Je crois
Ce n'était pas grand chose, mais ça serait suffisant.
- Bonaparte a vraiment une lourde responsabilité. Après l'Europe, c'est la mode qu'il dévaste.