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Gaza 1956, en Marge de l'Histoire



Description ajoutée par Lilou 2010-06-22T19:43:37+02:00

Résumé

6 ans de travail, plus de 400 pages, pour mettre au jour un massacre perpétré par l'armée israélienne sur la population de Gaza, en 1956, et que l'Histoire a tout fait pour oublier. Hautement considéré par ses pairs auteurs, les médias et ses lecteurs du monde entier, Sacco poursuit son engagement sincère, courageux, âpre, rigoureux et nécessaire. Son oeuvre est une charge explosive qui a fait voler en éclats les limites de la bande dessinée. C'est lors d'un reportage pour le magazine «Harper's» en 2001, que Joe Sacco se remémore une brève citation, une note de bas de page, lue dans un rapport de l'ONU. Elle parlait d'un massacre de près de 275 civils, perpétré par l'armée israélienne à Khan Younis et d'une dizaine d'autres à Rafah, ville voisine, en 1956. Difficile à croire, alors entre novembre 2002 et mai 2003, le dessinateur reporter se rend à trois reprises sur le terrain, afin d'établir la véracité de cette tragédie et embarque le lecteur à la recherche de traces du massacre.

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Classement en biblio - 16 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par jujulieee 2025-02-03T17:47:03+01:00

« Mon exposé se dissout dans un fracas de balles et de ricochets ! Les israéliens pilonnent les immeubles alentour sans épargner les étages au-dessus de nous.

Au rez-de-chaussée, on est relativement à l’abri, mais je reste tendu, même après l’arrêt des tirs. Je ne vis pas ça tous les jours.

Mes amis, par contre, poursuivent leur conversation.

Pas comme si rien ne s’était passé, non…

… mais comme si ça se produisait assez souvent pour se passer de commentaire. »

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Commentaires récents

Lu aussi

Témoignage très intéressant, il humanise un conflit empoisonné. Dommage de ne pas préciser que la « légende » autour de l’Histoire de Gaza est fictive, ou qu’elle n’implique pas d’autres pays que l’Egypte. En 1948, Gaza n’était pas un désert, elle était en activité depuis des millénaires. On y retrouve des églises et des synagogues datant d’avant la colonisation arabe. De même, on ne comprend pas bien comment la zone décrite dans

De la même façon : jamais un mot sur l’usage de civils, d’églises, de mosquées, d’hôpitaux comme boucliers humains. Et les massacres réalisés dans les kibboutzim sont décrits comme des « opérations » de « résistance ».

Même l’auteur finit par remarquer qu’il y a des contradictions problématiques entre les divers personnes qu’il a interrogées sur des drames effroyables. Ça me fait penser à mon grand-père qui raconte la guerre : il a toujours le beau rôle, il est le héros de toutes les missions les plus périlleuses et l’Ennemi, une armée sans visages de pervers absolus, est toujours sanguinaire et mange des enfants au dessert.

Quand on sait notamment que les « Philistiyin » sont des vikings grecs polythéistes disparus en 500 avant JC (seul le mot déformé « Palestinien », a été utilisé à partir de 160 après JC par les colons qui souhaitaient réaliser une purge ethnique des juifs), que le drapeau palestinien a été créé dans les années soixante et qu’il s’agit juste de colons égyptiens et jordaniens vicieusement instrumentalisés par de grandes puissances… je me permets de souhaiter aux lecteurs de ce livre d’avoir un peu d’esprit critique et de réaliser que le monde n’a pas été créé en 1948…

Pour un journaliste qui se prétend objectif, une simple leçon d’histoire concernant la période s’étendant de -5000 à 1948 en Israël serait bénéfique (et bien sûr on ne mentionne aucun des pogroms imposés aux populations juives par les colons européens, puis ottomans, puis Arabes).

On s’étonne aussi de voir un « désert » subitement doté d’universités, d’hôpitaux, de centres de loisirs balnéaires, malgré le fait que certes, depuis que le Hamas a installé des lance-roquettes au cœur d’écoles, des mitraillettes dans les hôpitaux et des armes de guerre dans les mains de leurs enfants, la Convention de Genève peut difficilement protéger un peuple qui rompt les règles d’une guerre déjà bien sale. (Parce que oui, installer un lance-roquettes depuis un hosto ôte, selon les Conventions sus-citées, le statut intouchable du dit-hôpital).

J’ai du mal à m’apitoyer devant un peuple qui s’enivre d’histoires fantasmées (au hasard, j’ai cherché des preuves de présences de charnier, vu le volume des corps décrits dans la BD, on s’attendrait à ce que des charniers soient découvert) et qui a toujours eu un unique combat : tuer les juifs. Qu’ils soient Arabes ou israéliens.

Et quand on voit le résultat dans TOUS les pays colonisés par les arabes à l’heure actuelle, on se laisse penser qu’Israel a bel et bien une raison d’être, sioniste ou pas.

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Diamant

Une œuvre poignante. A LIRE ABSOLUMENT.

J’ai trouvé ce livre très dur à lire, la violence de ce qui est raconté est monstrueuse.

Le récit est très bien mené, bien raconté, bien neutre comme il faut.

On suit facilement le fil.

Le travail journalistique est impec.

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Commentaire ajouté par _Sayanel 2024-04-25T22:06:13+02:00
Bronze

Un excellent et bouleversant travail de recherche sur Gaza, entre 2 périodes, les massacres de 1956, et les démolitions de maisons en 2003, période d'enquête du journaliste.

Le livre est assez horrible, mais il s'agit d'un travail et d'une mémoire plus que jamais nécessaires, plus que jamais actuels.

Trop peu nombreuses sont les voix qui tentent de faire exister les voix des victimes, ce travail précis et précieux aurait dû être un pont, écouté, vers la paix.

Mais les bourreaux vainqueurs et leurs alliés n'y ont aucun intérêts, et les massacrent continuent.

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Commentaire ajouté par Mayoune 2019-01-13T18:35:06+01:00
Or

Un magnifique reportage, criant de vérité et d'horreur. Du grand travail journalistique, une précision remarquable pour une lecture qu'on n'oublie pas.

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Diamant

Un livre époustouflant ! Un morceau d'histoire ! Un massacre perpétré par l'armée israélienne sur la population de Gaza, en 1956. Nul n'en parle, personne n'en a entendu parlé. Alors que l'armée israélienne a assassiné 275 civils, à Khan Younis et une dizaine d'autres à Rafah.

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Lu aussi

J'ai lu cette BD pour les cours, je vais être honnête avec vous, ce fut un vrai supplice.

422 pages d'horreur (bon 396 pages mais à la fin, l'auteur nous laisse des documents historiques, un petit plus pour cela).

Quand je dis horreur, je n'exagère pas car l'auteur/dessinateur n'a pas cessé de dessiner et de raconter des horreurs de Gaza en 1956. Certes, cela est intéressant d'en apprendre plus sur l'histoire mais il raconte aussi son séjour là-bas en tant que journaliste. C'est horrible la situation là-bas, on se sent impuissant mais on a aussi d'autres réflexions dessus.

En tout cas, c'était un calvaire pour moi car plus je le lisais, plus ma déprime augmentait. Quand je l'ai fini, ce fut une véritable délivrance. Je ne peux pas dire que j'ai détesté ce livre car j'ai apprécié une chose très importante : l'auteur montre le travail des historiens avec les mémoires (toujours avoir un avis critique). En effet, il a travaillé comme un véritable historien et juste pour cela, je respecte son livre et la raison de ce livre.

Je vous le conseille que si vous en avez vraiment envie d'apprendre plus sur Gaza et le travail d'un historien.

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Bronze

Une belle bande dessiné avec un système de narration sympa. On apprend beaucoup de choses sur cette période méconnu pour les gens de mon âge. Même si du coup, il faut connaître un minimum le contexte historique. Si ce n'est pas le cas, tu rames pas mal pendant les premières pages pour comprendre ce qui se passes. Après, on s'habitue.

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Date de sortie

Gaza 1956, en Marge de l'Histoire

  • France : 2010-01-14 (Français)

Activité récente

Mayoune l'ajoute dans sa biblio or
2019-01-13T18:34:12+01:00
maellem l'ajoute dans sa biblio or
2016-05-16T18:32:11+02:00

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Note globale 8 / 10