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Dans ce livre, Joyce décrit, avec un sens profond de l'observation, les mœurs de la bourgeoisie irlandaise, l'atmosphère trouble et le destin tragique de la société de l'époque. Les thèmes favoris de Joyce, l'enfance, l'adolescence, la maturité, la vie publique sont ici incarnés par divers types d'habitants de Dublin, « ce cher et malpropre Dublin » que Joyce aimait tant.
Un à un, tous ils devenaient des ombres. Mieux vaut passer hardiment dans l'autre monde à l'apogée de quelque passion que de s'effacer et flétrir tristement avec l'âge.
Gens de Dublin : une œuvre facile à lire d'un monstre de la littérature.
James Joyce est précédé par la réputation (justifiée) d'être l'un des plus grands auteurs du siècle précédent. Pas vraiment facile à lire. Son "Ulysse" suffit à le prouver.
Mais le petit recueil de nouvelles publiées sous le titre "Gens de Dublin" est un bijou par lequel il nous est judicieusement recommandé de commencer la lecture de ce monstre de la littérature.
Le recueil se termine par une nouvelle « Les morts » d'une splendeur inégalée. Si merveilleusement bien portée à l’écran sous le titre de « Gens du Dublin ».
Ces gens qui se réunissent pour partager l’oie de Noël nous donnent à voir le spectacle éblouissant d’une tranche de leur vie haute en couleur.
Et puis, alors que les invités se séparent, nous suivons l'un des couples jusqu'à son domicile. Là, le mari découvre la place que tient dans son esprit et dans son cœur le grand amour de sa femme.
Et ce n'est pas lui !
Ah, que l’Irlande est belle et parfois si mélancolique !
Ennuyeux, triste, les sous-entendus sont macabres. Rien ne se réalise jamais, comme le veut l'auteur - l'effet paralytique, engourdi, est plus que réussi. Rien à gratter, que des miettes, on reste toujours sur notre faim.
"The Sisters", est peut-être la plus bizarre.
Spoiler(cliquez pour révéler)En même temps, avec un vieux croulant de prêtre viole un gamin, franchement, que dire de plus que "bizarre" et "macabre" ?
Je n'avais compris aucun sous-entendu moi-même tellement qu'ils sont énigmatiques, mais par des explications et critiques.
Lu en 2020. J'avais depuis longtemps envie de lire cet auteur. Je l'ai abordé avec ce recueil de nouvelles. Il s'agit de quinze récits qui dépeignent la société de Dublin, au début du XXe siècle, à travers les mentalités de l'époque et les relations humaines : le mariage, l'amitié, les rencontres et mondanités, les questions religieuses et politiques, les bonheurs et les drames, les souvenirs et les regrets.
L'écriture est plutôt dense, d'une qualité absolument littéraire, d'un style désuet mais pas précieux. J'avoue cependant avoir perdu parfois le fil de mon attention, tant il y a de personnages et de descriptions poussées (ambiances, caractères, liens), pour finalement n'apprécier réellement que la moitié du nombre de ces nouvelles.
Lu en anglais, et malheureusement, je crains être passée à côté de nombreuses subtilités d'écriture. Ces scènes de vies décrivent la vie des gens de Dublin. On ressent l'atmosphère de la ville et la mentalité des habitants au travers de ces nouvelles.
Une lecture intéressante, un peu déprimante avec certaines nouvelles, et franchement intrigante. Les fins des nouvelles sont souvent très ouvertes, et donc, il y a énormément d'interprétation à faire, de sous-entendus à comprendre... Cela m'a un peu perturbé, je ne comprenais pas forcément tout mais c'est aussi ce qui a rendu la lecture tout de même intense.
J'ai lu ce recueil il y a des années pour un cours. Je me rappelle que la lecture était facile et rapide. Les histoires étaient divertissantes et variées, il y en a pour tous les goûts.
Livre lu (en anglais) pour les cours, j’ai dû lire et relire les nouvelles ‘Eveline’ et ‘Counterparts’ pour les étudier. La langue est belle, mais aussi complexe, il y a des nouvelles que j’ai dû lire en diagonale par manque de concentration. J’ai beaucoup apprécié le fait que ce soient des moments du quotidien qui soient racontés, et Joyce arrive à nous y intéresser sans qu’il s’y passe forcément quelque chose de fifou. J’ai aussi aimé le thème qui revient du choix, de la paralysie, que l’on retrouve partout sans exception, sous formes différentes. Historiquement parlant, on est plus que plongé dans l’époque, dans certaines nouvelles plus que d’autres. Il y a des nouvelles qui ne m’ont pas vraiment intéressée en revanche.
Eveline : C’est la première nouvelle que j’ai lue du recueil, et donc la première fois que j’ai lu du James Joyce et son stream of consciousness. J’ai beaucoup aimé l’atmosphère qui régnait dans cette histoire, la façon dont on se met dans la peau d’Eveline, avec toute une impression de mélancolie et de doute. Même si elle est très courte, cette nouvelle est extrêmement détaillée, et donc plutôt marquante.
Counterparts : Dans cette nouvelle l’auteur nous montre une réalité cruelle qui pique, c’est l’alcoolisme, le cercle vicieux qu’il entretient, la violence. En revanche, je n’ai pas beaucoup aimé le personnage principal, rendu délibérément détestable bien sûr, mais ça a un peu entaché ma lecture.
The Dead : Une autre nouvelle que j’ai particulièrement appréciée, et qui m’a beaucoup marquée, c’est The Dead, qui clôt magnifiquement le recueil. Il y a une sorte de crescendo en émotions, qui commence même peut-être avec la nouvelle précédente, avec toujours cette note de mélancolie et de tristesse très puissante.
Au final, on voit vraiment dans ce recueil que James Joyce est un auteur de grand talent qui mérite d’être considéré comme un classique de la littérature. Je lirai probablement un des ses romans.
Ce recueil de nouvelles est très facile à lire, je l'ai lu en VO pour mes cours, seulement quelques nouvelles, mais je les ai trouvées très intéressantes et accessibles pour des histoires en anglais. Les histoires sont basées sur la vie de personnages simples venant de milieux différents et leurs descriptions sont faites avec précisions !
Je recommande pour ceux qui voudraient découvrir la littérature irlandaise !
Ce recueil de nouvelles (dans mon cas une version en anglais regroupant 'Araby', 'Eveline', 'The Boarding House', 'A Painful Case' et 'The Dead') racontent ces histoires de Dublin qui semblent finalement assez banales, mais qui donnent une image assez détaillée de ce qu'était la vie à cette époque, dans les différentes classes sociales, à des âges différents.
Dans l'ensemble j'ai trouvé que le tableau dépeint par ces nouvelles était intéressant, avec un style assez fluide malgré le vocabulaire assez soutenu.
Résumé
Dans ce livre, Joyce décrit, avec un sens profond de l'observation, les mœurs de la bourgeoisie irlandaise, l'atmosphère trouble et le destin tragique de la société de l'époque. Les thèmes favoris de Joyce, l'enfance, l'adolescence, la maturité, la vie publique sont ici incarnés par divers types d'habitants de Dublin, « ce cher et malpropre Dublin » que Joyce aimait tant.
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