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J'ai dévoré les 100 premières pages d'une traite, ce qui m'arrive rarement ! J'ai aimé la rencontre entre Georges et Priam, leur amitié et la tournure qu'elle prend...
Et puis quelque chose a commencé à me chagriner dans cette histoire... Après réflexion : un de mes GROS coups de cœur de ces dernières années a été "Simon VS the Homo Sapiens agenda / Moi Simon 16 ans, Homo Sapiens" (en VF)", sur un sujet semblable. Donc forcément, plus j'avançais dans ma lecture et plus je comparais les 2 livres... Et ce qui m'a déplut dans "Georges, le monde et moi", c'est ce qu'il me manquait par rapport à "Simon VS..." Bien que j'ai apprécié d'emblée le personnage de Priam, celui-ci décrit assez peu ce qu' il ressent, alors que sa vie est chamboulée : il clame à qui veut l'entendre qu'il n'est pas gay, que Georges est le seul homme qui l'intéresse. J'imagine que pour un adolescent "non gay" aimer, embrasser et coucher avec un homme pour la première fois doit être riche en émotions, et pourtant, chaque première fois est balayée en quelques mots, et j'avais du mal à avoir de l'empathie pour lui. Idem avec ses troubles anxieux.
Devant le "mutisme" de Priam, je me suis parfois dit que ce livre aurait été beaucoup plus intéressant si il avait été écrit du point de vue du bouillonnant Georges !
Je n'ai pas spécialement apprécié les amis de nos deux héros, leurs chamailleries adolescentes m'ont donné un coup de vieux ;P (omg ça y est, je suis trop vieille pour lire des romans dont les héros sont ados... Aargh ! Que vais-je devenir !)
Pour en revenir aux points positifs : une histoire crédible, qui évite pas mal de clichés (peut-être aussi parce que ça se passe en France, on est loin de l'ambiance lycée-glamour style USA), avec beaucoup de douceur et de tendresse. Donc pour moi un livre sympa et bien écrit, mais pas un coup de cœur malgré un début prometteur.
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