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Alors, désolé d'avance pour les fan, Carry On et un bon livresmais très surcoté selon moi ! Ces un bon M/M avec de la magie, de l'amitié et du Suspense certes mais il et très loin d'être LE livre M/M, Alors peut-être que je m'attendez à mieux a la force d'en avoir écouté parler, Mais pour le coup je suis déçu.

Ça reste quand même un bon livre que je recommande D'ailleurs je lui mets trois étoiles sur cinq car j'ai beaucoup aimé les personnages Mais voilà je me suis tout de même ennuyé car j'ai trouvé certains passages pas mal longs Et répétitifs.

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Quand ma mère se lamente à voix haute que jamais je ne rencontrai quelqu'un, lorsqu'un rendez-vous tourne en eau de boudin, ou quand je rentre chez moi après avoir garder Violet toute la soirée, tenaillée par le désirs d'avoir un enfants bien à moi, il me suffit de me tourner vers sa bonne tête dorée et quémander un bisou pour être réconfortée. Il ne m'a jamais dit que je gâchais ma vie- il a toujours pensé au contraire que ma vie était la meilleur chose qui lui soit arrivée. Et il n'a jamais pensé que je parle trop ! Il accueille chaque soir, sur le sofa, tous les gratouillis de ventre, toutes les caresses sur la tête que je lui fais, comme si pour lui j'étais un don du ciel, alors qu'en fait mon amour est juste une goutte d'eau comparé à sa dévotion pour moi.

- Tu es mon meilleur copain Colonel...

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Je suis à la fois capable d’envier le bonheur de ma sœur et de me réjouir pour elle. Les deux ne s’excluent pas mutuellement.

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« A cet instant, la musique a cessé, le silence s’est fait dans l’église, et je me suis retournée.

— Avant de commencer notre célébration du jour, a déclaré une voix déjà gravée dans mon esprit, j’aimerais me présenter. Je suis le père Tim O’Halloran et je me réjouis d’avoir été nommé dans votre charmante paroisse.

Pas moins de soixante-quinze visages environ se sont alors tournés dans ma direction. J’ai continué à regarder droit devant moi, le cœur cognant si fort que j’avais l’impression de sentir mon sang refluer dans mes veines. Mes joues me brûlaient tant qu’on aurait pu y faire cuire un œuf. Je n’ai regardé personne ; j’ai continué à fixer la poitrine du père Tim O’Halloran, feignant d’être fascinée et pas le moins du monde surprise. Une combinaison délicate…

— Je viens d’Irlande, comme vous l’avez peut-être deviné, et je suis le dernier d’une fratrie de sept enfants. Il me tarde de faire votre connaissance à tous, aussi j’espère vous rencontrer pour le café après la messe. Et maintenant, nous allons commencer notre célébration de ce jour ainsi que nous commençons toute chose, au nom du Père, du Fils…

— Dieu du ciel ! ai-je marmonné. »

Extrait de 

L'homme idéal... ou presque - Comédie romantique

Higgins, Kristan

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- Tu l'aimes bien, Colonel, hein, Violet ? dit-elle à sa fille. Tu as raison, c'est une gentil chien.

Ma mère en profite pour mettre son grain de sel:

- Maggie, pour l'amour du ciel, ne laisse pas la petite lécher cet animal crasseux !

- Colonel n'est pas crasseux, il est même d'une propreté immaculée. Regarde-moi ce pelage ! Les gens nous arrêtent dans la rue pour s'extasier sur sa beauté. Je le brosse tous les...

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Bien qu’il me reste encore deux heures avant de partir pour le restaurant, j’ai envie de monter chez moi pour me délecter du rare sentiment d’exaltation que l’on éprouve juste avant un rendez-vous. Mais Mme K. est une adorable vieille dame et, bien souvent, je suis la seule personne qu’elle voit de la journée. Ses enfants, qui commencent à se faire vieux, eux aussi, vivent en dehors de l’Etat, et la plupart de ses amis ont disparu depuis longtemps. J’ai pris l’habitude de lui apporter des restes du diner pour des raisons à la fois égoïstes et désintéressées : d’une part, je ne tiens pas à ce qu’elle mette le feu à la maison en essayant de faire la cuisine, d’autre part, elle profite ainsi de scones aux myrtilles, de muffins, d’une belle portion de rôti en cocotte ou de gratin de macaronis au cheddar, ou de tout autre plat que j’ai servi ce jour-là.

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Vendredi après-midi… Je quitte le diner. Toutes mes pâtisseries sont prêtes pour être enfournées demain matin, et je rentre chez moi. J’ai des ressorts sous les pieds. Will, le meilleur beau-frère du monde, a réussi son coup. Ce soir, je sors !

Cela faisait longtemps. Un sacré bail ! Je me creuse les méninges pour me souvenir de quand date mon dernier rendez-vous galant. En vain. C’était avant l’arrivée du père Tim, en tout cas.

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Cinq autres personnes sont déjà là-bas quand j’arrive, toutes des femmes, toutes un peu amoureuses du père Tim, même si c’est à un degré moindre que moi et même si, contrairement à moi, elles ne souffrent pas du regard des autres.

— Maggie ! s’exclame le père Tim.

Il vient vers moi et l’odeur de son savon me parvient, troublante. Son sourire éblouissant me brûle les joues.

— Vous voilà ! Et qu’avons-nous là ? Saperlipopette, Maggie, vous tenteriez un saint !

A ces mots, Mme Plutarski, sa secrétaire paroissiale, véritable gorgone de St. Mary, fronce les sourcils. Mais je ne m’y trompe pas : le père Tim fait allusion à mes talents de pâtissière, bien évidemment, pas à mes charmes féminins ! Fredonnant doucement au-dessus des gâteaux, il dépose le plateau sur un buffet, et une fois encore je me fais la réflexion que son cul est une véritable œuvre d’art. Puis je me sermonne vertement : Ces pensées coupables ne te mèneront nulle part, Maggie ! N’empêche que je maintiens : c’est une œuvre d’art.

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Je retourne la pancarte « Ouvert » sur la porte, pour afficher « Fermé », puis j’essuie la dernière table… 15 heures… C’est l’un de mes moments préférés de la journée. Je suis fière de pouvoir affirmer que le Joe’s est célèbre dans toute la région pour ses desserts, en particulier pour ses tartes et ses macarons à la noix de coco.

Il arbore une déco à la Jerry Mahoney. Porcelaine rouge et crème avec rebord en Inox, banquettes recouvertes de vinyle rouge, murs crème et carrelage noir et blanc. Dix tabourets de bar pivotants sont rivés au sol devant le comptoir au bout duquel se dresse la traditionnelle vitrine à pâtisseries dont le contenu allèche ma clientèle. La salle compte sept box équipés de belles banquettes à l’assise et au dossier larges et confortables, souples juste comme il faut. Mon grand-père s’était doté de petits jukebox et quand nous étions petits, mon frère et moi, nous adorions parcourir les titres pour découvrir les nouvelles sélections. On accède à la cuisine par une porte battante percée d’un hublot et il y a une petite réserve, ainsi que des toilettes unisexes. Dans la fenêtre d’angle, le néon « Venez manger chez Joe » lance une invitation intemporelle.

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Voilà huit ans que je tiens le Joe’s Diner. J’ai repris le flambeau après qu’une crise cardiaque a terrassé mon grand-père, Jonah Gray. Avec un total de quatre salariés, c’est l’un des plus gros employeurs de Gideon’s Cove. De nous tous, c’est Octavio le plus irremplaçable ; il officie en cuisine avec une inlassable efficacité. Judy, elle, travaillait déjà ici du temps de mon grand-père. Affichant entre soixante et cent vingt ans au compteur, elle est particulièrement douée pour ne rien faire mais, lorsqu’on la bouscule, elle est capable de gérer une salle pleine, non que ça nous arrive très souvent… L’été, histoire de soulager un peu Georgie, nous embauchons un jeune du lycée afin de faire face au modeste afflux de touristes parvenus aux confins de nos contrées septentrionales.

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