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Golden Age



Description ajoutée par Oryana35 2022-10-04T17:00:16+02:00

Résumé

"Il nous faut distinguer trois mondes. Le Nôtre, le Leur, et celui du Milieu : le Delirium."

Dandelion Manor, Dorset, juillet 1914.

Dans la langueur d'un été secoué par les éclairs menaçants de la guerre qui approche, quatre écrivains veillissants, jadis si créatifs, sont réunis. L'inspiration s'est envolée ; les bruits de bottes feraient-ils fuir les fées ?

A leurs côtés, un elfe sauvage et fantasque, une femme secrète assoiffée de réponses et un enfant rêveur connecté aux univers visibles et invisibles assistent aux derniers soubresauts de ce monde qui meurt. Jusqu'où iront les créateurs déboussolés pour faire revenir leurs muses ? Et qu'advient-il de ce qui compte vraiment quand tout s'écroule ?

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Classement en biblio - 22 lecteurs


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Commentaires récents

Commentaire ajouté par JonathanLecuyer 2025-05-09T10:55:51+02:00
Argent

Voilà un roman qui, au début de la lecture, m'a immédiatement séduit, puis, au fil des pages, c'est devenu un poil labyrinthique et mon intérêt s'effilochait ; la globalité est un peu fouillis mais soulignée par une plume exceptionnelle. Je me souviens de mes premières impressions, où je dévorais les premières pages, sourire aux lèvres, heureux de cette découverte dans le cadre du prix du jury du Livre de Poche.

Le roman ouvre sur de la prose similaire à un conte, je dirais. Notre narrateur est une créature féerique assez difficile à définir à cause de son aspect changeant, mais on pourrait le caractériser comme un petit diablotin turbulent ; là, déjà, j'étais très curieux et enthousiaste. de plus, les parties — car il y en aura d'autres — dédiées à ce diablotin/fée sont dans une typo différente : une écriture blanche sur une page noire. le nom du diablotin, je ne peux vous le donner, il est écrit avec des symboles qui n'existent pas sur notre clavier conventionnel, à vous d'y trouver une prononciation.

La plume, comme je le disais, est le gros point fort de ce roman : c'est beau, c'est envoûtant, c'est riche. On peut faire de l'imaginaire et soigner sa plume au niveau stylistique. Surtout que l'endroit quasi exclusif où va se passer notre intrigue est Dandelion Manor, la bâtisse somptueuse d'un célèbre écrivain de l'imaginaire, dans ce monde quasi dystopique. Les descriptions sont précises et nous permettent de nous plonger dans cet écrin paisible et champêtre.

Un rapide passage tiré au hasard :

« En forme de H étiré, l'édifice de grès ocre, auquel on accédait par un escalier en fer à cheval, était un pot-pourri d'influences italiennes et gothiques ; ses fenêtres jumelées à carreaux, ourlées de glycine et de rosiers grimpants, évoquaient les yeux écarquillés d'une reine, de plus en plus grands, de plus en plus étonnés à mesure que l'on levait la tête. Mais il y avait le parc, avant tout, la route bordée de haies ondoyant le long des sous-bois, le parc et ses pelouses rases, ses fontaines d'apparat et ses sculptures d'animaux – ici, un coq, ailleurs, un… lapin ? – et puis l'étang turquoise… »

Assez facile de se plonger dans le monde, hein ?

Surtout que tout ça, on le découvre avec Trevor, journaliste, qui va venir essayer d'interviewer le maître des lieux, Kembell Gradey, le fameux auteur célèbre, mais qui, depuis quelques années, vit plus comme un ermite qu'autre chose — j'entends par ermite qu'il ne se présente plus en public, mais vit au manoir avec son fils, sa belle-fille, ses petits-enfants et tout le personnel de maison.

Trevor, c'est le premier chapitre après le diablotin. On le découvre alors qu'il vient de tomber en panne en se rendant au manoir. On découvre un personnage peu bileux, qui prend le temps de fumer une cigarette allongé à l'ombre d'un arbre avant de finir le chemin à pied. Et dans ce passage, on se rend compte que c'est le même que celui raconté par le diablotin, mais évidemment d'un point de vue différent, car le diablotin agit, lui, depuis un autre monde que celui des humains.

C'est là un point assez singulier du livre : ces fameux trois mondes, le nôtre, celui des fées, et le fameux Délirium, où chaque être de chaque plan peut avoir accès pour interagir à divers degrés avec ceux de l'autre monde. Mais c'est assez opaque comme vecteur dans l'intrigue.

Et c'est là que ça a bafouillé pour moi : c'est quoi l'intrigue, concrètement ? Sa finalité, son but ? Je ne sais pas trop, au final.

Trevor va être chanceux, car arrivé à Dandelion Manor, il n'y aura pas uniquement Gradey : les trois autres pontes de la littérature de l'imaginaire seront présents, James Balfour, Carl Dodilus et Finn Boyce.

Ensuite, ce petit écrin de bonheur, menacé en permanence par l'énonciation de la guerre que les « Boches » veulent mener — nous sommes en 1914, en Angleterre. Les masques vont tomber, tout le monde n'est pas ce qu'il prétend être. Les secrets de chacun nous feront voir d'autres facettes que celles imaginées de prime abord. On aura droit à une histoire d'amour à quatre bandes, non non pas trois ^^

Et des pratiques pour retrouver les muses, car c'est bien le but de la réunion de ces légendes de l'écriture : retrouver la flamme de l'imagination, car tous tombent en déliquescence, et se demandent pourquoi, car ils sont persuadés que l'inspiration ne vient pas de notre monde. Enfin, tous ont des visions personnelles de ce concept.

On se rendra assez vite compte que ce magnifique tableau d'ouverture de roman part en déconfiture au fil des pages, le temps mange tout et modifie le fonctionnement du monde.

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Commentaire ajouté par mielicanela 2024-07-12T22:39:08+02:00
Lu aussi

Le début de ce roman, son thème, le côté graphique,... Tout cela me paraissait fort alléchant en débutant l'histoire de Dandelion Manor et ses occupants mystérieux.

J'ai apprécié le personnage mutin surnaturel, héros des pages noires, si semblable au "Puck" des légendes et de Shakespeare. J'ai ri, souffert avec lui aussi, des affres de la décadence annoncée dès le début du roman.

Je ne me suis en revanche pas attachée aux personnages humains, ceux des pages blanches. Si, un peu les enfants car ils sont innocents au milieu d'adultes complètement barrés. Et font les choix me rendent perplexe: certains ne me semblent pas forcément fonctionner avec l'histoire contée.

Spoiler(cliquez pour révéler)Je trouve aussi dommage pour une histoire reprenant la mythologie féerique que l'histoire ne soit pas circulaire.

Enfin bref, je suis un peu restée sur ma fin. Dommage, parce que c'était vraiment prometteur !

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Commentaire ajouté par Soldierhaze 2023-08-25T11:16:33+02:00
Argent

Golden Age de Fabrice Colin chez Hachette m'a laissée un peu sceptique. Le résumé paraissait prometteur : 1914, dans un manoir anglais, se retrouvent de vieux écrivains, anciens grands noms de la littérature Romantique, où l’on croit à la magie des mots et aux muses, au poète inspiré. Mais ce temps est révolu, et les muses sont parties. Les voilà perdus, face à une littérature de l’objectivité, du réel et de la logique. Le manoir de Kembel Gradey semble être le dernier bastion du merveilleux, qu’ils ne perçoivent plus. Ensemble, ils espèrent retrouver l’inspiration, même si tout est chaos autour d’eux.

J’étais énormément intéressée par cette place de l’inspiration, représentée à travers ces elfes-fées, et ces écrivains qui ne sont plus rien sans elle. C’était aussi une manière délicate d’intégrer du fantastique dans un livre qui pourrait être de la littérature blanche.

Le résumé annonçait aussi une certaine tension, des événements qui s’entassent jusqu’à l’implosion (la guerre, les fées qui disparaissent, les tensions qui s’installent au manoir…). Un bon mélange en somme.

Autre point positif, l’objet-livre est très beau : couverture sobre et efficace permettant de plaire à tout type de lecteur sans enfermer l’ouvrage en imaginaire. De beaux rabats, un papier agréable, des entrées de chapitres joliment illustrées, et le choix de proposer des pages noires, avec une typo blanche pour les passages de l’elfe, tout comme le compte des jours avec un pissenlit qui s’étiole lentement. Je félicite l’équipe du Rayon Imaginaire pour la qualité de leurs objets-livres.

Pour le style, j’ai tout de suite accrochée à la plume de Fabrice Colin, l’invention de mots comme “souripirer” qui me plait beaucoup, et certaines scènes qui nous offrent des personnages attachants, comme Carl Dolidus jouant à la dinette avec le petit Merlyn ou Flin débarquant en avion et couvrant tout le monde de sourires et de cadeaux. Les chapitres de l’elfe quant à eux proposent une certaine poésie dans leur écriture.

Mis à part tout ceci, j’avoue avoir été déçue par le contenu. La quête du retour de l’inspiration m’a semblée absente puisque les chapitres suivent les petits-enfants de Kembel, une femme et l’elfe. On ne nous permet pas de creuser le mal-être des écrivains face à la disparition de l’inspiration. C’est intéressant de suivre la relève, mais ce n’était pas ce que j’attendais de ce livre. Le milieu du roman est assez mou, et je serais bien en peine de résumer les chapitres de l’elfe. De plus, ce qui prend le plus de place dans l’histoire, à mon sens, est ce “carré” amoureux qui m’a foncièrement agacé. Albert fils de Kembel, Béatrix son amante, Flin l’écrivain américain, et Cassandre la femme d’Albert. Chacun passait de l’un à l’autre, sans savoir se décider. Une grande partie des personnages deviennent désagréables avec ceci. J’ai été perplexe sur l'intérêt de ce carré pour l’intrigue. N’y aurait-il pas plutôt fallu gratter le féerique, et l’imaginaire, l’inspiration ? Et il y avait de quoi faire. Le départ des fées, l’elfe, les chiffres de Carl, l’avion disparu, Joy, Henok, le manuscrit de Kembel. Nous n’en saurons jamais que des miettes. Dommage.

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Commentaire ajouté par Elerinna2 2023-08-19T11:47:48+02:00
Argent

Golden age est un bon roman. C'est original, bien écrit avec des personnages complexes et une intrigue pas toujours facile à suivre non plus. Il reste quand même néanmoins pas mal de mystère non résolu à la fin ce qui est assez frustrant puisqu'au final on a très peu de réponses.

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Commentaire ajouté par Fibonacci 2022-10-30T23:03:38+01:00
Pas apprécié

Je n'ai pas trop compris ma lecture. Déjà, pour moi, la quatrième de couverture n'a rien à voir avec le contenu du livre. Ce qui m'avait attiré dans le résumé n'est en fait qu'une infime partie de l'histoire, à peine survolée.

Le personnage principale est une femme, que j'ai plutôt bien aimé et on la suit tout le long du livre. Je n'ai pas spécialement apprécié les autres personnages, on en apprend pas assez sur eux ou alors on nous donne des brides d'informations sans jamais creuser vraiment. Les enfants sont d'assez bons peronnages mais pas assez mis en avant.

On parle vite fait des elfes dans une histoire un peu parallèle. En tout cas on est loin de ce que promet la quatrième de couverture. Beaucoup de mystères sur le monde des fées restent sans réponse. On ne découvre pas non plus les secrets des personnages, surtout celui de Sibylle. J'avais tellement de questions mais au final pas de reponse. C'est la plus grosse déception de ce livre.

Ensuite j'ai trouvé que rien ne se passait. La narration et très longue et des qu'il se passe quelque chose tout va extrêmement vite. À certains moments j'ai eu l'impression qu'il manquait des pages tellement on passait du coq à l'âne.

J'ai certainement dû passer à côté du message de se livre parce que je n'ai pas vraiment compris le choix de la fin. Pour moi ce n'est pas aboutit et franchement je n'ai pas tout saisis.

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Date de sortie

Golden Age

  • France : 2022-10-05 (Français)

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Note globale 6.86 / 10