Goldorak

Une très agréable ambiance qui replonge les fans de cet animé dans tout l'univers. Une réussite de mon point de vue

D'une génération qui n'a pas connu Goldorak enfant, je suis assez insensible à la nostalgie que peut dégager cette bande dessinée pour certain.e.s. De ce fait, si j'ai été époustouflé par le travail visuel absolument dantesque, je l'ai été un peu moins par le scénario qui ne m'a pas surpris, ni embarqué outre mesure.

Malgré tout, je suis très content d'avoir pu découvrir cet univers. Je comprends, à travers cette œuvre, l'engouement généré par ce symbole de la littérature japonaise.

C'est avec une grande nostalgie que je découvrais cette album qu'on m'a offert Noël dernier.

Et quelle claque visuelle, un respect totale de l’œuvre original avec un dessin magistrale. On retombe en enfance et on se surprends à changer les génériques du dessin animé.

La qualité est au RDV, l'histoire permet de prolonger un peu nos souvenirs d'enfance et d'ouvrir un nouveau chapitre.

Que dire à part que je suis fan et que c'est une des plus belles BD que j'ai eu l'occasion de feuilleté. On sent la ferveur des auteurs et leur envie de faire une bande dessinée pour les fans par des fans avec la bénédiction de l'auteur original ce qui n'est pas un mince exploit. De surcrois les bonus inclus et le cheminement de création est expliqué pour notre plus grand bonheur.

Certain le connaissent sous le nom de Grendizer mais pour nous il restera pour toujours Goldorak le plus grand.

A avoir absolument dans sa bibliothèque !!!

Cette BD, c'est un aller simple pour l'enfance : que de souvenirs ! C'est bien fait, l'histoire est sympa, les dessins sont superbes et les couleurs servent pour les changements d'ambiance.

Formidable !

SI je n'avais pas écouté l'épisode spécial Goldorak du podcast c'est plus que de la SF, jamais je n'aurai acheté cette BD. Goldorak, c'est tout mon enfance, la découverte des mangas japonais et j'avais un peu peur que ce soit trop enfantin, ou une reprise commerciale sans intérêt.

Et j'aurai raté quelque chose, cette version pleine de maturité est très réussie, les personnages ont vieilli, les dessins sont très réussi, une bonne adaptation des dessins d'origines sans être un copié collé.

L'histoire est très intéressante absolument pas simpliste.

Petit bonus pour la partie finale avec le dossier sur le "making off" de la BD.

Goldorak Go!

A tous ceux qui ont grandi avec Goldorak, Actarus et tous leurs amis foncez n’hésitez pas, cette BD est pour vous….BD voir roman graphique. En effet ce volume qui sera probablement un one shot, contient un plus de 130 pages d’histoire et un dossier relatant les différentes étapes de sa création (Dessin couleurs, personnages…).

Pour ceux qui ne connaissent pas, sachez Goldorak est THE anime, LE dessin anime qui a introduit la Japanimation en France dans récré A2 sur Antenne 2 ! Et pas de panique, les auteurs ont pensé à laisser un résumé du dessin animé d’origine en début d’ouvrage en cas de mémoire défaillante ou de méconnaissance de ce meeeeerveilleux robot des temps nouveaux !

Pour l’anecdote, l’un des auteurs, Xavier Dorison a envoyé une lettre à Go Nagai le créateur de Goldorak lui présentant son projet. Ce dernier, convaincu par ce il voit accepte de « prêter » son Goldorak afin que naisse cette BD !

Franchement, cette BD est top ! L’histoire tient parfaitement la route, les graphismes et couleurs sont magnifiques et le développement des personnages a été très soigné. Le tout forme un ensemble parfaitement cohérent qui forme une suite alternative. On est même content de retrouver un clin d’œil a l’un des génériques, que les fans ont surement encore dans la tête plus de 40 ans après.

Pour un bref résumé de l’histoire, des années après la fin de la guerre contre Vega, alors qu’Actarus et sa sœur sont rentrés chez eux, un monstrueux Golgoth menace de nouveau la terre. La patrouille des aigles arrivera-t-elle à se retrouver ? La menace contre la terre sera-t-elle eradiquée ? Pour le savoir, GO ! il n’y a plus qu’à lire cet ouvrage !

J’ai hésité avant d’acheter cet album.

J’avais peur de lire une histoire gnangnan.

Comme beaucoup, j’ai été fan de l’animé, et je préférais rester sur l’image que j’en avais.

Connaissant la plupart des scénaristes et dessinateurs, je me suis lancé.

Bien m’en à pris, car cet album est excellent!

Ils ont su y insuffler un vrai rythme, et une vrai histoire.

Ils n’ont pas dénaturé l’œuvre, et ils ont réussi à la moderniser.

Bravo à eux !

A noter le supplément d’une trentaine de pages qui raconte cette aventure.

Retombée dans les souvenirs d'enfance, avec une suite d'inattendus.

Quand j’ai vu cette BD en librairie, j’ai fait un bon dans mon enfance. Goldorack a été mon héros. Cela fait bizarre se bond dans le temps de presque 40 ans avec la technologie actuelle. J’ai vraiment passé un super moment avec tous ces personnages de mon enfance.

La BD réussie, j’ai aimé le graphique avec le jeu de couleur. Les répliques sont reconnaissables avec la personnalité des personnages de l’époque.

J’étais encore un enfant quand j’ai été fasciné lorsque Goldorak est apparu sur l’écran de télévision. Un véritable choc, il y a, à peu près 43 ans. Quand ce que l’on n’appelait pas encore un manga a fait débouler dans mon quotidien Actarus, Alcor, Vénusia, Phénicia et des personnages bizarrement grotesques comme Rigel, je connaissais, par cœur les paroles du générique. Ce robot qui a traversé tout l’univers pour protéger la planète bleu avec ses cornofulgur, fulguropoing, rétrolaser et astérohache est devenu un mythe. C’est sans hésiter que j’ai acheté cet opus final, je n’ai pas été déçu.

La Terre semble avoir repris le cours normal après la guerre acharnée de Goldorak contre les forces de Véga. Alcor et Vénusia sont désormais retournés à la vie civile, tandis qu’Actarus et Phénicia sont repartis sur Euphor. Pourtant, parcourant la Galaxie, les derniers survivants de Véga cherchent toujours un lieu pour les accueillir. Les soldats de la, malheureusement célèbre, Division Ruine tentent une ultime fois de coloniser le Japon par la force. Cette force s’incarne par le puissant des Golgoths, l’Hydragon.