Commentaires

Bonjour normalement ce roman pour moi et le tome 2 de la bd de Stephen. King spleeping beauties mais comme je ne l'est pas trouvé j'ai mis sa une bd spectaculaire certe des dessins pas génial mais prenant voilà

Après les épreuves qu'elle a subies, Anouk est bien déterminée à sauver ses amis mais aussi le reste du monde d'un nouveau phénomène étrange.

Bon déjà je souligne la beauté de la couverture qui m'a littéralement ensorcelée ! Je la trouve encore plus belle en bleu qu'en rouge (ce qui est très rare ^^) 😍

J'ai adoré les passages à l'école de sorcières et j'aurais même aimé que ce soit plus long 😊 On rencontre de nouveaux perso et on en croise d'anciens. J'ai adoré Jak, mais je regrette qu'on ne voit pas plus Rennar qui est un perso hyper intéressant 😀

J'ai également trouvé ce roman très esthétique : la neige, le luxe, l'excentricité des costumes, la Noirceur... J'avais de magnifiques images en tête ! 😀

La magie est toujours aussi originale et on change de décors à plusieurs reprise comme dans le tome 1. On ne s'ennuie donc pas un instant.

Dans ce tome il y a aussi de l'action ! Et même beaucoup d'action à la fin 😉 Mais alors qu'il régnait un sentiment d'urgence dans le t.1, ici l'intrigue prend plus son temps ! D'ailleurs l'idée d'un 3e tome ne me choquerait pas, vu la fin 🤔

En bref, j'ai passé un très bon moment, même si j'ai toujours un problème avec la petite romance qui a autant de saveur qu'un oeuf sans sel à mes yeux.

La suite des aventures d'Anouk, familière qui veut devenir sorcière pour sauver ses amis d'une fin atroce. Elle est obligée de s'allier au Prince Rennar afin de rejoindre, au coeur de la forêt noire, l'école qui forme les sorcières.

Mais rien ne se passe comme prévu, et Anouk doit trouver d'autres moyens de régler ses problèmes.

Personnages plutôt subtils, ni tout noirs, ni tout blancs, relations complexes, magie, trahison, pouvoir. Un bon mix pour un deuxième volume qui cloture bien l'histoire.

J'ai préféré le premier...et c'est en partie ma faute. ^^'

J'ai morcelé ma lecture (tenant à la continuer mais n'ayant que peu de temps à lui accorder faute d'obligations diverses qui se sont enchaînées), résultat je n'étais pas à fond dedans...et l'héroïne m'est apparue plus plate et terne dans cet opus. (Oups !)

Il y a beaucoup de choses géniales (l'école et les stratégies politiques entre autres) mais pas exploitées comme je l'espérais et dont le résultat fait plouf. (Tout ça pour ça arg...vive la poudre aux yeux.)

Ce qui m'a agacé c'est la foirade totale de Spoiler(cliquez pour révéler)"Oh mince beaucoup sont des animaux, rendons leur forme humaine, ah mais oui sauf qu'en animaux on peut passer la frontière, bon bin redevenons tous des animaux pour redevenir ensuite à nouveau des humains de l'autre côté"...euh sachant le "coût" que cela a, juste Rennar a failli mourir pour rien à ce moment là !! Spoiler(cliquez pour révéler)Trois jours de plus en animaux leur permettait pareil d'atterrir de l'autre côté sans changer, rechanger, et pourrir la santé. (N'importe quoi !)

Ah et puis le surnom "mon coeur"...pourquoi Jak et Beau utilisent-ils le même à l'adresse d'Anouk ??!

Idem on a le sujet de la rédemption qui vient sur le tapis...bon apparemment quand on est un Familier ça passe...mais sinon non. (Et on ne creuse pas assez les personnages...les infectes deviennent gentils en un claquement de doigt...parce que c'est mieux. Oo Pas de gradation progressive.) Dommage. Ça m'a bien déçue pour le final.

Trop de WTF, d'imprécisions, et limite une queue de poisson en fait. Oo

Je m'attendais à faire passer la série de Or à Diamant...on est au bord de l'Argent dans ce tome...^^'

Vraiment beaucoup d'originalité, une super plume, une langue magique, un univers à part, des contes et légendes uniques...juste plus d'approfondissement ne m'aurait pas déplût.

Donc finalement...Argent pour cette duologie !

Une lecture agréable, mais qui manque encore une fois de révélations surprenantes.

Globalement, la lecture est agréable comme pour le premier tome. Encore une fois, l'univers est immersif et très visuel. Je n'ai eu aucun mal à me replonger au côté d'Anouk qui va devoir s'allier à son ennemi juré pour combattre les sorcières du Clan Oxford. C'est un trope assez récurent dans la Fantasy, mais le style de l'autrice est si prenant qu'on est forcé de continuer dans l'intrigue.

Cependant, j'ai trouvé que l'autrice comblait moins bien les défauts de scénario que dans le premier tome où elle parvenait à retomber sur ses pattes. L'intrigue s'essouffle vers la moitié du livre et tout devient très flou. Les rebondissements ne m'ont aucunement surprise, de même que la conclusion assez "ordinaire" au final. Côté personnages, même si j'aime bien Anouk et Petra, les autres personnages me laissent autant de marbre que pour le premier tome.

Bref, une conclusion mitigée pour cette duologie. D'un côté, j'ai apprécié l'univers loufoque et original dans lequel évolue les personnages, mais de l'autre, j'ai trouvé l'intrigue un peu trop brouillonne et prévisible même si prenante. Tout n'est clairement pas à jeter et je suis convaincue que d'autres lecteurs.rices apprécieront davantage que moi.

Très bonne suite ! Ce deuxième et dernier tome est plus réussi que le premier. On y trouve plus d'actions et de rebondissements. Les personnages deviennent attachants. Bref j'ai beaucoup aimé et je ne regrette pas d'avoir lu ce deuxième tome. Effectivement, le premier n'était pas un coup de coeur.

* Lu en VO en audiobook, malheureusement avec une mauvaise narratrice, donc une lecture en VF sur livre physique devra aider à compléter mon avis *

J'ai beaucoup aimé ce deuxième tome, où on est de nouveau directement transporté dans cet univers spécial et très sympathique. J'ai adoré la totalité du passage dans la forêt noire. J'ai trouvé le passage à Londres beaucoup plus cafouilleur mais peut-être parce qu'il y avait trop d'actions et de rebondissement.. Mais à compléter une fois la relecture faite.

J'ai bien moins aimé Petra qui me tapait parfois sur les nerfs ainsi que Cricket (sans parler de la voix horrible donnée par la narratrice alors que je l'imaginais pas comme ça, c'est frustrant) qui a des réflexions parfois très idiotes. J'ai aussi moins aimé la relation entre Anouk et Beau qui m'avait l'air forcée, gênante.

Dans l'ensemble une belle histoire et une belle duologie (pour le moment ?) qui se termine avec une fin non frustrante. Je ne serais pas contre replonger dans cette histoire !

Faisant suite directe au tome 1 dont vous pouvez lire mon avis ici, nous retrouvons Anouk et ses amis, affaiblis par les événements du premier tome.

Si le début du premier tome était long, ce second tome commence sur les chapeaux de roue et le rythme de cet opus est bien plus rythmé que le premier.

Beaucoup de rebondissements, de faux semblants, de douleurs et de pertes dans les divers camps.

Un diptyque qui se conclut mais laissant une porte ouverte à un troisième tome selon le succès de celui-ci.

Le grand plus de cette saga est clairement son univers totalement captivant, complexe dans les interactions des personnages où les ennemis d'hier peuvent devenir les alliés de demain face à une énorme menace et c'est ce qu'il va se passer dans ce tome où deux clans vont devoir faire une trêve pour combattre une force qui les dépasse et les menace tous autant. Difficile d'accepter cette alliance vu les cruautés subies dans le premier opus mais la fin justifie les moyens et tout en étant dans la méfiance, Anouk s'alliera avec le prince Rennar.

Il y a beaucoup de nouveaux personnages et de situations différentes, on navigue entre Paris, l'Allemagne et sa forêt noire et Londres.

J'ai beaucoup aimé la partie dans la forêt noire avec les enfants de glace, le temple formateur de sorcières et le bain de charbon définissant qui est foncièrement une sorcière. La partie sur Londres, bien que captivante, m'a paru plus brouillonne et un peu trop foisonnante.

Un deuxième opus qui tient ses promesses en magie, créatures féériques, sorcellerie, trahisons et drames, mais j'avoue n'avoir pas compris le parti prix de l'auteure de finir son diptyque sur cette intrigue alors qu'on aurait légitimement attendu que Anouk fasse la première partie dans la forêt noire pour finir le combat engagé dans le premier tome.

Une bonne lecture avec un bémol mais une très bonne évasion livresque cependant.

https://aliceneverland.com/2020/03/26/grim-lovelies-tome-2-midnight-beauties-megan-shepherd/

Midnight Beauties reprend là où Grim Lovelies s’est arrêté. Désormais retranchée dans l’ancienne demeure de Mada Vittora, Anouk cherche un moyen pour devenir une sorcière afin de permettre à ses amis, familiers comme elle, retransformés en animaux, de retrouver leur forme humaine. Ce qui va l’amener à passer un marché avec son ennemi, le prince Rennar.

C’est toujours un plaisir de replonger dans cet univers. Megan Shepherd a construit un monde sensationnel, plein de magie, que l’on prend vraiment plaisir à découvrir un peu plus encore. Le premier tome était déjà très complet, mais l’auteure pousse plus loin encore sa mythologie. Les recherches d’Anouk pour devenir sorcière nous emmènent en Bavière, à la découverte des origines des sorcières. Et c’est, d’ailleurs, ce que j’ai le plus apprécié dans cette suite.

C’est un plaisir également de retrouver les personnages. Tous sont caractérisés par une certaine dualité propre à cette série. Personne n’est entièrement bon ou mauvais, notamment Anouk et Rennar qui possèdent de nombreuses nuances et qui semblent, à chaque fois, vaciller d’un côté puis de l’autre. Personnellement, je ne savais jamais sur quel pied danser avec Rennar, et j’ai adoré cet spécificité, l’auteure s’éloignant des clichés habituels propres à ce genre.

Malheureusement, je reste un peu plus mitigée par l’intrigue en elle-même. L’histoire regorge de rebondissements, trop nombreux par moment pour que j’arrive à suivre. J’avais l’impression d’être noyée sous les actions et j’avançais doucement dans ma lecture, à un tel point qu’il m’arrivait de décrocher à certains moments, notamment dans la seconde partie du roman.

Malgré tout, l’histoire reste très originale et créative et l’auteure nous offre un récit aussi déstabilisant que surprenant, unique en son genre. La conclusion, quant à elle, est satisfaisante même si j’aurais aimé que cela se termine d’une autre façon. Mais cette duologie reste une superbe découverte et ravira les amoureux d’univers perturbants, dans lesquels on n’arrive pas à deviner vers quoi l’auteure nous embarque..

Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com/

--- Retour dans un univers passionnant ---

Dès les premiers chapitres, j’ai retrouvé cette ambiance si particulière qui m’avait séduite ; un mélange de magie, de créatures féeriques et de société secrète. Cependant, je me suis rapidement aperçue que je ne maîtrisais qu’une part infime de cet univers.

Alors qu’Anouk se met en tête de devenir une sorcière, nous la suivons dans les épreuves qu’elle doit endurer pour réussir. Les Enfants des Neiges, les bains de charbons, la clé que chaque prétendante doit trouver pour accéder au titre de Mada : encore une fois, Megan Shepherd fait montre d’un véritable talent pour nous ouvrir les portes de son monde. J’ai donc dévoré cette première partie en quelques heures !

--- L’ennemi de mon ennemi est mon ami ? ---

C’est sur ce principe que se base la suite du récit. Or, si j’aime les alliances improbables qui se révèlent souvent explosives, je dois avouer que les choix de l’auteure m’ont laissée perplexe sur ce point. Comment Anouk peut-elle oublier aussi facilement les manigances de Rennar à son égard ? En bref, j’ai trouvé qu’elle lui cédait trop facilement, qu’elle ne tirait pas des leçons du passé. Certes, Rennar sait se montrer persuasif, mais tout de même !

Malgré cela, j’ai su apprécier les jeux de pouvoir que cette collaboration a fait naître, bien qu’ils aient été de courte durée.

--- Une intrigue foisonnante, peut-être même un peu trop ---

Il est impossible de s’ennuyer avec Midnight Beauties, tant les revirements sont nombreux. Et c’est peut-être ça le hic, finalement. J’aime être surprise, cela ne fait aucun doute, mais l’intrigue se compose de rebondissements qui cachent eux-mêmes d’autres rebondissements. Le scénario emprunte donc de multiples chemins, et je me suis sentie perdue par moments.

A contrario, l’auteure précipite parfois la résolution de l’un ou l’autre problème, utilise des raccourcis sans s’appesantir sur les détails. Résultat : j’ai perçu comme un déséquilibre entre les transitions, parfois trop rapides, et le cœur de l’action qui s’éternise. Ajoutez à cela un rythme effréné qui m’a laissée à bout de souffle, et vous comprendrez pourquoi j’ai décroché à plusieurs reprises.

Heureusement, l’histoire reste globalement cohérente, ce qui m’a permis de raccrocher les wagons à l’approche du dénouement, mais non sans peine.

--- Anouk, héroïne parmi les héros ---

Je m’en rends compte à l’instant, les personnages de cette saga sont très, très nombreux. Entre Anouk et ses amis familiers, la Haute et ses Souverains, les Charmants et les Gobelins, ça en fait du monde. Pour autant, cela ne m’a pas dérangée. Bon, il est vrai que j’avais tendance à confondre Cricket et Petra qui semblent faites du même bois, mais ce n’est pas bien grave. En fait, tous les protagonistes ont l’âme d’un héros ; ils sont courageux et prêts à suivre Anouk jusqu’au bout du monde !

C’est donc cette dernière qui se trouve au cœur de toutes les attentions. La petite bonne d’autrefois qui doit sauver l’humanité. Quelle évolution, n’est-ce pas ? Si l’on excepte ses rapports avec Rennar, j’ai adoré suivre cette jeune fille pas comme les autres, la regarder grandir, prendre le pouvoir et l’utiliser avec une innocence qui fait défaut aux Souverains de la Haute.

Ah oui, j’ai failli oublier mon plus grand bémol : le pseudo triangle amoureux mis en place par l’auteure. En un mot ? Inutile !

--- On a frôlé la catastrophe pour le dénouement ---

Il est à l’image de ce deuxième tome : grandiose, mais un peu too much. Alors qu’on sent la fin approcher, l’auteure rajoute un, deux, trois rebondissements. Ça n’en finit plus, raison pour laquelle mon intérêt a progressivement diminué.

Par chance, j’ai su prendre mon temps, faire quelques pauses quand j’en ressentais le besoin afin d’appréhender avec justesse toutes les conséquences de cette guerre. Et quelles conséquences !