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Lorsque les relations sont perturbées, notre physiologie se dégrade, et nous ressentons cela comme une douleur. C'est une douleur affective, mais une douleur tout de même, souvent plus intense, d'ailleurs, que la souffrance physique. Cette clé de notre cerveau émotionnel ne dépend pas uniquement de l'amour de notre partenaire. Elle dépend de la qualité de toutes nos relations affectives. Avec nos enfants, nos parents, nos frères et sœurs, nos amis, nos animaux. Car l'important, c'est le sentiment de pouvoir être soi-même, complètement avec quelqu'un d'autre. de pouvoir se montrer faible et vulnérable autant que fort et radieux. De pouvoir rire mais aussi pleurer. De se sentir compris dans ses émotions. de se savoir utile et important pour quelqu'un. Et d'avoir un minimum de contacts physiques chaleureux. D'être aimé tout simplement.
Afficher en entierMême lorsqu'on est convaincu de l'importance d'un exercice régulier, rien n'est plus difficile que de l'intégrer dans son quotidien. Encore plus lorsqu'on est déprimé ou stressé.
Afficher en entierSelon des études préalablement citées, la France aurait un taux de dépression les plus élevés de la planète (à égalité avec le Liban, qui a connu vingt-cinq ans de guerre civile). Nous sommes aussi les plus grands consommateurs d'antidépresseurs au monde.
Afficher en entierChez les humains, on a établi que la qualité de la relation entre les parents et leurs enfants, définie par le degré d'empathie des parents et leur réponse à ses besoins émotionnels, détermine, plusieurs années plus tard, la tonicité de son système parasympathique, c'est-à-dire le facteur précis qui favorise la cohérence du rythme cardiaque et permet de mieux résister au stress et à la dépression.
Afficher en entier" Le premier cavalier est la critique. Critiquer l'autre au lieu de lui présenter simplement une doléance ou une requête (...) Gottman donne une recette imparable pour transformer une doléance légitime, qui a toutes les chances d'êtres entendue, en une critique qui ne déclenchera que du ressentiment , de la mauvaise volonté ou une contre-attaque virulente ; il suffit d'ajouter à la fin : " C'est quoi, ton problème ? "
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