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1805 à Moscou, en ces temps de paix fragile, les Bolkonsky, les Rostov et les Bézoukhov constituent les personnages principaux d'une chronique familiale. Une fresque sociale où l'aristocratie, de Moscou à Saint-Pétersbourg, entre grandeur et misérabilisme, se prend au jeu de l'ambition sociale, des mesquineries, des premiers émois. 1812, la guerre éclate et peu à peu les personnages imaginaires évoluent au sein même des événements historiques. le conte social, dépassant les ressorts de l'intrigue psychologique, prend une dimension d'épopée historique et se change en récit d'une époque. La "Guerre" selon Tolstoï, c'est celle menée contre Napoléon par l'armée d'Alexandre, c'est la bataille d'Austerlitz, l'invasion de la Russie, l'incendie de Moscou, puis la retraite des armées napoléoniennes. Entre les deux romans de sa fresque, le portrait d'une classe sociale et le récit historique, Tolstoï tend une passerelle, livrant une réflexion philosophique sur le décalage de la volonté humaine aliénée à l'inéluctable marche de l'Histoire ou lorsque le destin façonne les hommes malgré eux.
Guerre et Paix est, plus qu'un roman, une description puissante et profonde d'une société, d'une époque, d'une poignée de personnages qui s'inscrivent dans l'histoire sanglante de la Russie du XIXème siècle. Entre les pages de ce roman s'entremêlent la vie, la mort, qui se confondent et s'entrelacent, le parcours inextricablement croisé de Sonia, Pierre Bézoukhov, André Bolkonsky, Nicolas Rostov... Portés ou entraînés par l'histoire, par la vie, par quelque chose de sublime ou de terrible, ils sont odieux, vils, superbes, héroïques, doux, bons, haineux, fanatiques, toujours humains. Peut-être difficile à attaquer, mais un régal !!!
Quelle œuvre ! Entre roman et discours sur la science historique, la plume de Tolstoï écoule son encre, nous transporte et nous fait réfléchir. Les destins se croisent, s'éloignent ou disparaissent, mais chaque personnage est tissé avec avec soin et cohérence. Des réflexions morales ou historiques sous-tendent le récit, lui apportant toute sa profondeur et son éternité.
Le bouquin qui m'a fait arrêter de lire pendant plus d'un mois !! MDR. Si je dis que je ne suis pas parvenu à le finir, ça n'étonnera personne.
J'allais dire que le livre est lent, mais en réalité c'est bien plus simple que ça : il ne se passe strictement rien qui soit d'un quelconque intérêt. Que cela soit le but de l'auteur, dépeindre une société complétement superficielle vivant dans un monde inconnu du commun des mortels (les non nobles, quoi), c'est cool, mais que cette peinture n'ait aucun éclat, aucune saveur, ... c'est vraiment too much pour moi. On passe d'un personnage à l'autre en se demandant lequel nous fera le plus mourir d'ennui. L'auteur a quand même réussi l'exploit de rendre la bataille d'Austerlitz chiante au possible. Chapeau bas.
J'ai tenu près de la moitié du livre, cherchant désespérément de l'intérêt pour un livre et un auteur reconnu, histoire de ne pas être le seul couillon à ne pas savoir apprécier un chef d'oeuvre. Mais bon, quand ça veut pas, ça veut pas.
Beaucoup de respect à tous ceux qui auront su l'apprécier.
Un livre épique sur la Russie, les russes et la guerre. On découvre une autre approche de la vie et de la mort, une autre âme humaine et on ressort différent après avoir lu ce livre
BON. J'ai donc lu Guerre et Paix. (Enfin, Guerre et Paix moins le deuxième épilogue parce que j'ai pas réussi à ma convaincre qu'il était nécessaire de lire 50 pages sur la théorie du déterminisme historique de Tolstoï.)
Que dire ?
1) L'obsession de Tolstoï pour le duvet de moustache d'un de ses personnages féminins était bizarre.
2) Je pensais pas qu'il était possible d'utiliser autant de fois le mot mamelon en l'espace de 40 pages (sachant que ça se réfère à une colline et pas du tout à ce que vous pensez).
3) Je pensais lire un roman et pas la théorie de Tolstoï sur les grands hommes, la guerre, qui a gagné telle bataille et pourquoi ces c*ns de français sont venus jusqu'à Moscou pour repartir comme des cons.
Tolstoï est avec cette oeuvre devenu le plus grand romancier de l'Histoire avec cette oeuvre selon moi et ceci notamment grâce aux personnages qu'il rend vivant et à son travail documentaire immense sur les guerres napoléoniennes. Il n'y a pas, dans la littérature, d'équivalent de ce roman. Aussi génial fut Balzac, il n'écrivit jamais un Guerre et Paix. Aussi monstrueux que fut Dostoïevski, il n'écrivit jamais un Guerre et Paix... peut-être Proust avec sa Recherche du temps perdu peut-il prétendre à un tel statut ? Qui sait. En attendant précipitez-vous et rêvez. Natacha, Boris, Nicolas ou Sonia : autant de personnages qui deviendront vite des familiers, fantômes d'une Russie qui combattait un Napoléon qu'elle admirait et pour qui parler Français était un devoir dans la noblesse.
Mon premier livre (ou plutôt quatre tomes) lu en russe. J'ai mis du temps... Presque un an. Mais après ça je maîtrisais cette langue pour n'importe quelle lecture! :)
Wahoo ! J'ai à peine fini le tome 1, que j’enchaîne avec le tome 2. C'est les premiers livres d'auteur Russe que je lis. Ce qui m'a donné envie de les lire, est la série de 2007 Franco-Italo-Allemande de Robert Dornhelm, que je regardais petite. Je me sens vieille. Beaucoup trouvent que certains passages sont longs, surtout celle sur la guerre, mais je ne suis pas de cet avis. J'étais à fond sur ses passages, que je n'ai pas vu défiler le temps. J'ai même relu deux fois, celle sur Borodino. Ne connaissant pas cette période dans les moindres détails, je ne peux pas dire si les batailles sont historiques, ou autre petit détail se sont passés comme le raconte Léon Tolstoï. Je peux juste confirmer que les trames principales des batailles gagnées et perdues sont véridiques. Ce qui est un atout, pour les passionner d'histoires. On découvre aussi la société Russe de l'époque. Chaque passage est important, tout en étant excellemment exploité.
Pour le style d'écriture, je fus sous le charme du style poétique et de ses figures de style qui m'ont amusé. Spoiler(cliquez pour révéler)Spoile → Comme comparer Moscou à ruche d'abeille. Évidemment, il faut être concentré, pour suivre. C'est donc pour son style d'écriture, que je conseille à ceux qui ont une maturité en lecture. Il y a énormément de description, et je n’en suis pas une fan. Pourtant, celle-ci ne me génère nullement.
Malgré le nombre de personnages, aucun ne se ressemble, chacun à sa propre personnalité, et on les voit évolués, interagi entre eux, avec une incroyable finesse qui empêche toute lourdeur. Et ils sont hauts en couleur, je n'ai trouvé aucun ennuyer.
Pour moi c'est l'équivalent russe du merveilleux "Autant en emporte le vent" américain. Enorme pavé que l'on dévore avec plaisir, Fresque historique, sociale et amoureuse. Ecriture magnifique. Souffle lyrique inimitable. Inutile d'en rajouter c'est un livre incontournable dans la littérature internationale.
Résumé
1805 à Moscou, en ces temps de paix fragile, les Bolkonsky, les Rostov et les Bézoukhov constituent les personnages principaux d'une chronique familiale. Une fresque sociale où l'aristocratie, de Moscou à Saint-Pétersbourg, entre grandeur et misérabilisme, se prend au jeu de l'ambition sociale, des mesquineries, des premiers émois. 1812, la guerre éclate et peu à peu les personnages imaginaires évoluent au sein même des événements historiques. le conte social, dépassant les ressorts de l'intrigue psychologique, prend une dimension d'épopée historique et se change en récit d'une époque. La "Guerre" selon Tolstoï, c'est celle menée contre Napoléon par l'armée d'Alexandre, c'est la bataille d'Austerlitz, l'invasion de la Russie, l'incendie de Moscou, puis la retraite des armées napoléoniennes. Entre les deux romans de sa fresque, le portrait d'une classe sociale et le récit historique, Tolstoï tend une passerelle, livrant une réflexion philosophique sur le décalage de la volonté humaine aliénée à l'inéluctable marche de l'Histoire ou lorsque le destin façonne les hommes malgré eux.
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