Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 592
Membres
1 013 128

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- Je balaierai la Guilde de mes propres mains, et tout redeviendra comme avant ! déclara San d’une voix farouche.

— Oui, et après tu resteras seul au milieu d’un tas de ruines et tu te demanderas à quoi ça a servi.

— Mais je dois agir ! répliqua le garçon, suffoqué par la colère.

C’était incroyable comme tout se répétait, comme sa souffrance faisait écho à celle de sa grand-mère. Ido en eut presque peur.

Il l’attira à lui et lui étreignit les épaules avec force.

— San, ce n’est pas cela la vie. Crois-moi, ça passera, aie confiance !

L’enfant détourna la tête, refusant d’entendre raison.

— Tous sont morts sous mes yeux, poursuivit le gnome. Amis, ennemis, alliés… la femme que j’aimais, ma famille, et même mon dragon. Je suis seul, San, je n’ai personne avec qui partager des anecdotes – comme la fois où Nihal s’est saoulée pendant sa fête d’investiture, le jour où elle est devenue Chevalier du Dragon. Personne non plus qui ait le même sang que moi dans ses veines, personne avec qui je puisse partager mes combats. Je suis seul face à mon passé, tu comprends ? Et pourtant je suis là, San, parce que finalement le temps emporte tout sur son passage. Tu es jeune, il coulera de l’eau sous les ponts, et tu accepteras que les événements t’aident à mûrir.

Afficher en entier

Il pense que la mort d’un être aimé n’est jamais une chose naturelle, c’est toujours un crime, un véritable vol. C’est comme perdre un membre : on ne peut pas s’y résigner. Peut-être qu’en réalité c’est seulement la vie, mais si cela fonctionne ainsi, alors la vie est injuste, et sans doute ne mérite-t-elle pas d’être vécue.

Afficher en entier

Un chevalier sans dragon n’existe plus, un chevalier sans dragon devrait avoir la décence de mourir.

Afficher en entier

C'est étrange comme il a pris un peu de nous deux...Je voudrais tant que tu le voies, il te plairait. Il a les cheveux roux de son père, à peine plus foncés, mais ses yeux violets sont les miens. Ce que j'aime le plus, ce sont ses oreilles : ce ne sont pas tout à fait des oreilles d'humains, mais elles ne sont pas non plus aussi pointues que celles des demi-elfes . Entre les deux je dirais. Je les couvriraient de baisers du matin au soir. C'est un miracle, Ido, un miracle ! Tu ne peux pas imaginer à quel point c'est magnifique. C'est une expérience que je voudrais que tu connaisses, toi aussi.

Avait dit Nihal.

Afficher en entier

« Oublie-moi, Dhoubée, oublie-moi et pardonne moi si tu peux.»

Afficher en entier

Le Maître était au près d'elle. Il lui tenait la main, lui caressait le front. Il lui murmurait des paroles de réconfort.

- Je suis contente que tu sois revenu... lui dit-elle en le regardant dans les yeux.

A présent qu'elle revoyait son visage, elle se rendait compte à quel point il lui avait manqué.

- Je ne vais pas rester, tu le sais.

- Alors c'est moi qui resterai.

Le Maître soupira et la scruta avec affection.

- Tu ne crois pas qu'il est tant d'oublier et de recommencer depuis le début ?

Elle lui serra la main.

- Je ne veux rien d'autre que toi...

- Mais je suis parti, et cela n'a pas de sens que tu continues à me chercher.

Il la regarda intensément de cette manière qu'elle adorait et ajouta :

- Lui ce n'est pas moi.

Doubhée aurait voulut pleurer.

- Je sais, souffla-t-elle.

Puis l'obscurité dans laquelle ils étaient plongés se fondit en un nuage de lumière aveuglante, emportant le Maître avec elle.

Afficher en entier

- Si je ne t'avais pas emmenée avec moi sous la terre, ici dans l'aqueduc, si je n'avais pas continué à faire l'imbécile, à courir encore et toujours après la guerre ...

Elle balaie ses protestations d'un geste de la main.

- Je suis venue ici de mon plein gré, Ido.

Il secoue la tête. Il ne veut pas céder.

- Si je t'avais déclaré mon amour plus tôt, nous aurions eu plus de temps.

Soana sourit.

- Mais nous en avons eu, du temps, et pas mal, finalement.

Pour lui, ces années ont passé comme un rêve. Il embrasse sa main, la serre encore.

Afficher en entier

Jusque-là,la Bête avait fait surface,Doubhée avait toujours conservé son aspect physique. Seul son visage prenait une expression de férocité.A prèsent,au contraire,tous ses membres étaient gonflés par cette force occulte que seule la malédiction pouvait donner.On aurait dit un fauve

Comme la première fois où il l'avait vue en action,Lonerin demeura pétrifié.

Doubhée avait le visage contracté dans une terrible grimace, et elle était penchée sur le corps de Rekla, les mains serré autour de sa gorge. Lonerin voyait les pieds de la femme s'agiter en l'air, mais à chaque seconde qui passait ses mouvements étaient plus lents et plus faibles. Sa bouche était grande ouverte.

Afficher en entier

« - Je voudrais pouvoir t'aimer, je te l'ai dit, je le voudrais vraiment. Tu crois que ça me plait, cette solitude, cette souffrance ? Tu crois que ma vie me plait ? Mais je n'y arrive pas, je n'y arrive pas ! »

Afficher en entier

- Tu te trompes. Tu cherches seulement des excuses pour t'éloigner parce que tu as peur...

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode