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— Appeler Amélie, ordonnai-je à mon téléphone d’une voix claire et assurée, la commande vocale constituant ce qui se rapprochait le plus d’un semblant de magie en public.
— Eh bien, en voilà une surprise, minauda Amélie de son accent sudiste prononcé. Rien de tel qu’un appel de ma chère Grier pour me désaiGrier !
Je fis malgré moi la moue en entendant le jeu de mots douteux.
— Ravie de te désaigrir, mais ta chère Grier aurait besoin d’un service.
— Comment ? Je ne t’entends pas, soupira-t-elle à l’autre bout du fil. Dis moi, je ne suis quand même pas dans ta poche arrière ?
— Non, tu n’es pas dans ma poche arrière ! affirmai-je, même si mon portable, lui, s’y trouvait. Attends une seconde.
Je saisis le téléphone entre mon pouce et mon index et tirai jusqu’à ce que mon jean slim demande grâce, puis le coinçai entre ma joue et mon épaule, comme les gens avaient autrefois l’habitude de le faire.
— C’est bon ! Satisfaite ?
— Ma foi, oui. Je n’ai plus l’impression qu’un dentiste a oublié une boule de coton dans ta bouche !
Il faut croire que tout le monde n’adhère pas à l’expérience mains libres.
— Est-ce que tu pourrais assurer ma première ronde ?
— Couin ! Couin ! (Elle s’interrompit pour créer un effet dramatique.) Tu as entendu ? Ce sont mes cannes qui agonisent.
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