Commentaires de livres faits par gwencre
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Commentaires de livres appréciés par gwencre
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Ma seule déception est que j'avais parfois l'impression de relire Nos étoiles contraires, certains traits de caractère des personnages se retrouvent, et même la trame de l'histoire est finalement assez proche... A part ça, je conseille ce livre à tous les fans de John Green et aux autres ;)
Et ce livre est une pépite, qui nous fait revivre l'histoire de ce James Dean tourmenté et poétique à la fois. Ce livre est peut être très court, et ce n'est pas une réelle biographie, mais c'est une mine d'or de jolies phrases, de jolis mots, et un véritable hommage rendu à ce personnage qu'il est impossible de ne pas aimer.
Comme beaucoup d'autres romans qui portent sur des sujets difficiles comme la maladie, Nos étoiles contraires ne fait pas exception ; oui tu pleures, tu morves dans ta couette, t'as le cœur qui se serre ; mais quand tu fermes ce livre, au-delà de la tristesse c'est la joie d'être vivant qui subsiste. Ouais, je pense qu'au final, le seul truc que j'ai envie de dire et de retenir de ce bouquin, c'est qu'il donne envie de vivre p****n, de sauter de joie, d'embrasser des inconnus dans la rue, de profiter de ce cadeau merveilleux qu'est la vie. Donc merci John Green, merci pour ce livre qui chamboule les esprits.
Et ce livre fait réfléchir ; pas seulement aux conséquences des expériences scientifiques comme on pourrait le croire, mais ça fait réfléchir aux rapports humains, et c'est vraiment ce qui rend ce livre aussi fort.
Et c'est exactement ce que Steinbeck nous offre dans son oeuvre ; on se retrouve dans ce roman, peut être plus que dans tout autre, car ce qu'il nous raconte nous touche. Le bien, le mal, le prodigieux combat qu'ils se livrent en chacun de nous... On ne peut pas ne pas se sentir proche de Cal, qui sous son masque de dur-à-cuire cache un coeur abîmé, abîmé de se sentir sans cesse moins aimé que son frère ; et on ne peut pas non plus en vouloir à son père, Adam, qui regrette, mais trop tard, d'avoir délaissé ses enfants. Ce sont des personnages complexes, et c'est ce qui fait de "A l'est d'Eden" le chef d'oeuvre qu'il est devenu.