Commentaires

ça commence à être lassant... Encore en énième livre se revendiquant d'inspiration mythologique mais dont l'auteur ne comprend pas la mythologie. Franchement ! écrivez vos propres histoires de A à Z au lieu de "surfer" sur une histoire préexistante. C'est limite de la fainéantise à ce point-là et c'est pas pour être spécialement méchante. Mais c'est un peu facile de se passer du travail de la construction d'un univers, de personnages, de relations, d'histoire... en reprenant des mythes qui existent déjà ! Et pour quel résultat ? Un énième livre Young Adult ! Avec les mêmes tropes, les mêmes personnages-types caractéristiques du Young Adult et surtout ! Des personnages et un univers qui ne partagent plus grand chose avec la mythologie greco-romaine de base. Pourtant c'est un mythe passionnant avec plein d'interprétations possibles. Mais là encore, l'auteur n'en fait rien.

Et le reste dans tout cela ? Vu que l'auteur n'a pas du créer d'univers et réutilise des personnages qui existent depuis des millénaires, elle a du avoir tout le temps de soigner le reste, non ? Même pas... L'écriture n'a rien de plaisant. C'est simple (avec des erreurs parfois et en VO ! Donc pas un problème de traduction). Le schéma de l'histoire est plat, les différents évènements et révélations sont prévisibles.

Et je reviendrais sur ce constat que je fais de plus en plus ces derniers temps : en plus de reprendre des schémas narratifs voire des mythologies au sens large, je constate que les auteurs d'aujourd'hui (surtout dans le style Young Adult) ne prenne même plus le temps d'exposer un univers. C'est "action" sur "dialogues" sans plus. Il n'y a rien qui réellement permettrait de différencier l'univers et l'histoire de ce livre des autres livres Young Adult. Tout est remplaçable et c'est triste que, de un, les auteurs ne fassent plus d'efforts et, de deux, que les lecteurs encouragent la production de ces livres. Au bout d'un moment, on mérite mieux ; on mérite des histoires et des univers 100% originaux au lieu de copié-collé.

Et pour finir, le dernier gros défaut : l'aspect "moderne". Je mets sans en lien avec une incapacité de l'auteur de comprendre la mythologie ainsi que l'époque à laquelle elle est née. Du coup, elle est forcé de ramener son histoire dans un contexte et environnement moderne faute d'imagination. Encore une fois, si c'est pour s'éloigner le plus possible de la mythologie de base pourquoi l'utiliser ? Pourquoi ne pas créer de nouvelles divinités adaptées à notre modernité et qui pourraient avoir un message intéressant ?

Tout d'abord je remercie @booknode et @hugoroman pour l'envoi de ce livre en avant-première.

Étant une adepte de la mythologie grecque, ce livre avait tout pour me plaire. J'ai donc été attirée par les protagonistes et par le fait que ce soit une réécriture, je voulais voir comment l'auteure jonglerait avec la mythologie remise au goût du jour. Car il est vrai que la littérature mise beaucoup là-dessus en ce moment et j'avais peur que cela soit trop banalisé, démystifié en vérité, pour que le sujet me touche autant qu'il le fait d'ordinaire. Puis je me suis demandé : pourquoi un tel attrait pour la mythologie moderne au point de déstructurer parfois le fil conducteur et en faire un nouveau qui n'a presque plus rien à voir avec l'original ? Pourquoi ne pas créer un univers totalement inédit et créer ses propres personnages qui réagissent, et interagissent, selon l'unique et bon vouloir de l'écrivain ?

En ce cas, une question majeure se pose donc : quel est l'intérêt d'une réécriture ? Est-ce plus agréable de connaître le mythe en amont dans sa forme originale ou de le redécouvrir sous forme de romance ? La frontière est mince entre la singularité ou la redondance d'une histoire aussi connue. A coups de schémas remâchés, quiproquos et amour interdit, la facilité de reprendre les grandes lignes du mythe grec rend la relation entre Hadès et Perséphone plutôt banale. Pire, lorsque l'histoire glisse sur la vague d'une modernisation écrasante, elle transforme des dieux et des déesses en des personnages aussi superficiels que les pauvres mortels du vingt-et-unième siècle.

Lorsque j'ai lu cette histoire je me suis tout de suite dit que le point de vue masculin d'Hadès allait me manquer. J'ai donc une eu une belle surprise à la fin du roman en découvrant les bonus, même si honnêtement, je n'ai pas trouvé de grande utilité à la deuxième partie. Si la première éclaire les conditions qui entourent la rencontre entre les deux protagonistes, je n'ai pas trouvé utile de reprendre les dialogues – au mot près – pour le retranscrire au point de vue d'Hadès.

Plus généralement, je pense que l'histoire d'amour entre Hadès et Perséphone aurait mérité quelques approfondissements. Si la noirceur d'Hadès est légendaire, je n'ai pas franchement retrouvé les traits de son supposé sadisme : le dieu des Enfers me paraît bien trop doux pour être à la hauteur de sa réputation. Concernant Perséphone, elle a se comporte davantage comme une jeune fille – à l'image du surnom, Koré, que lui impose sa mère – qu'à la femme émancipée qu'elle désire devenir. Mais peut-être que la maturité acquise au fil des mois lui sera profitable.

L'évocation d'Asphodèle, des Champs-Elysées, et des chiens de Pluton était intéressante, néanmoins j'ai presque pensé qu'il s'agissait d'anachronismes ; notamment lorsque les destins d'Orphée et d'Eurydice, ou encore de Tantale, ont été évoqué. Si ce dernier peut aisément être contraint de subir la soif et la faim depuis des siècles, ce qui explique sa présence là-bas ; j'ai plus de mal à comprendre pourquoi Orphée chercherait seulement maintenant sa femme partie aux Enfers. Cela se joue à des détails aussi. Par exemple je pensais que la grenade que lui offre Yuri aurait eu plus de valeur et de poids dans le roman, puisqu'après tout on suit le fil rouge du mythe d'origine mais au final il n'en a rien été. Mais les distorsions ou libertés sont sans doute légion et acceptées dans ce genre de remaniement littéraire.

Je tiens également à faire part de ma frustration concernant certains passages qui, s'ils sont magnifiquement dépeints, n'en sont pas moins écourtés par quelques scènes de sexe qui nous rappelle que ce livre est aussi, et surtout, une New Romance. Alors si l'esthétisme des lieux – et l'ambiance – y sont parfaitement représentés, j'espérais un plus qui n'est pas arrivé. Et même si je ne nie pas que leur histoire d'amour est la clef de voûte de ce roman, elle aurait été parfaite si elle avait été analysée plus en profondeur.

Ce qui m'amène à dire que je n'ai pas trouvé les personnages tellement attachants, il y avait un je ne sais quoi d'agaçant chez Perséphone, outre sa naïveté excessive, je pense qu'elle n'aurait pas dû se réveiller un matin, soudainement transformée en rebelle qui se libère des chaînes de sa mère, sous prétexte qu'elle a trouvé l'amour. Peut-être qu'Hadès lui a ouvert les yeux, certes, mais fondamentalement, peut-on vraiment remettre en question un ordre établi depuis près de vingt ans en un claquement de doigts ? C'est là ce que je reproche à l'auteure sans doute, si les personnages sont mythologiques, ils ont fatalement leurs forces et leurs faiblesses, mais ils ne sont pas sensés être aussi humain – si je puis dire – que les mortels. Et certainement pas aussi influençables ! Oui aux émotions et aux sentiments, mais ils doivent garder un certain recul par rapport à la superficialité du monde d'en bas.

Je suppose que la suite nous réserve quelques surprises et quelques libertés vont sûrement être prises – une fois le camp clairement établi entre création inédite ou simple réécriture je l'espère – pour s'égarer de la trame mythologique afin de décortiquer les tourments de leurs âmes. Si j'ai l'occasion de lire la suite de leur histoire j'en serais ravie, surtout si les tomes suivants me permettent d'adoucir mon jugement sur le manque d'originalité du roman. Si les personnages sont déjà existants, il n'est pas nécessaire de suivre à la lettre le mythe en dispensant quelques détails et évocations qui ne seront malheureusement pas exploités par la suite... Voilà l'erreur je pense de vouloir lier imagination et réécriture. La déception est forcément latente pour ceux qui admirent la richesse de la mythologie grecque, et que l'on s'aperçoit que ses fondations s'avèrent être affaiblies par une volonté de la remettre au goût du jour.

Pour conclure, j'ai conscience que ma chronique est sévère, mais je crois que je m'attendais à un travail plus élaboré sur « Hadès et Perséphone : A touch of darkness »  ; soit un livre plus mature et davantage centré sur la psychanalyse des personnages. Néanmoins, j'ai passé un bon moment en compagnie du Dieu des morts et de la déesse du Printemps mais, en somme, il m'a manqué une touche d'originalité et de charisme pour que les Dieux fassent véritablement leur office...

Et bah j'abandonne. Je ne finirai pas ce roman. Si vous l'avez adoré, ne lisez pas ce commentaire, ça vous ferait saigner des yeux. Cela étant dit..Commençons !

J'ai l'impression que ça a été écrit par une adolescente.

L'écriture est plate, il n'y a aucun effort de langue, pas de richesse de vocabulaire, et les dialogues sont d'une banalité affligeante. Le truc de l'étudiante innocente est un trope hyper vu et revu, et maladroit comparé à d'autres livres YA que j'ai pu lire.

Le personnage de Persephone est tout et rien à la fois, c'est une antithèse, un oxymore à elle toute seule. Renfermée mais vulgaire, prude mais rebelle, studieuse mais violente ? Nan mais d'où tu menaces quelqu'un que tu ne connais pas ?

La scène de la rencontre est catastrophique. Un vrai fantasme ado avec moult érotisme mal placé et de formulation très explicite. Vraiment j'ai trouvé ça malsain et malaisant. Donc déjà très mauvaise impression.

La goutte d'eau qui m'a fait me dire "Stop, tu ne continuera pas plus loin" c'est pendant la scène de poker. Vraiment j'ai eu envie de baffer Persephone. J'ai levé les yeux au ciel, devant sa bêtise qui confine à l'aveuglement, même pas capable d'aligner 2 et 2. Une belle gueule et elle se transforme en midinette ennamourée.

Avoir une potiche qui ne sait pas analyser ou faire preuve de regard critique sur ce que le lecteur devine bien à l'avance ne m'intéresse pas. Au vu des nombreux avis positifs, je peux dire que je ne suis pas la cible de ce roman, et j'ai voulu tenter quand même. Grosse erreur.

Cela n'enlève rien au fait que j'ai trouvé ce roman très maladroit, cliché, malsain, pauvre, dès le départ.

Seule l'idée de transposer le mythe antique dans une forme contemporaine est plutôt intéressante. Et malheureusement éculée elle aussi.

Je me suis vraiment faite violence pour finir cette histoire, ça été un véritable supplice. Je déteste descendre un livre comme je m’apprête à le faire, mais je pense qu’à un moment il faut dire quand les choses ne vont pas.

Première chose qui m’a sauté à la figure, c’est le style d'écriture qui est fade, sans saveur et d’une simplicité accablante. Vous trouverez des histoires mieux construites sur Wattpad.

Deuxième chose qui m’a fait grincer des dents : les personnages qui sont terriblement creux. Persephone est agaçante et on ne s'attache absolument pas à elle. Hadès est un cliché ambulant. Le Dieu des morts connu pour son côté froid, distant et antipathique qui, sans surprises, s’avère être un homme soucieux de son peuple, aimant, humble, et blablabla. Bon sang on parle du dieu de la mort ou d’un gros nounours aux allures de playboy?

Les autres personnages sont inintéressant, ils gravitent autour de nos protagonistes sans jamais vraiment rentrer dans l’histoire : la meilleure amie qui est uniquement là pour pousser Persephone à faire la fête, la secrétaire d'Hadès qui représente la concurrence féminine (sérieux en 2022…?), la mère surprotectrice et autoritaire…

De plus, la relation qui lie Hades et Persephone manque d'approfondissement, ce qui rend la romance plate et sans intérêt.

En fait la seule chose qui les unie c’est le sexe. D’ailleurs les scènes sont trop récurrentes et mal écrites, j’ai sautée des pages entières tellement c’était inutile.

Dernière chose qui me pose vraiment problème : l’auteure n’a pas assez mis l’accent sur le côté fantastique. En fait, c’est clairement une New Adult sur fond mythologique. Si vous êtes fan de mythologie, passez votre chemin! On mentionne quelques mythes et personnages mythiques mais rien n’a été creusé.

Ce livre est vraiment moyen voir presque mauvais. Il est très mal écrit, je ne sais pas si c'est un problème de traduction mais j'ai vraiment failli lâcher le livre. Les dialogues sont vides et pauvres, l'auteur écrit comme elle parle ce qui fait que certaines phrases sont vraiment à désirer.

Ensuite l'histoire est vraiment bof, les personnages sont clichés et pas intéressants.

Persephone est vraiment désagréable, naïve et vraiment énervante. Le livre la rend ridicule.

Hades est pour moi une grosse déception mais je ne m'étendrai pas sur ce personnage.

Ils n'ont en plus aucune alchimie.

Bref, les seuls passages moyennement intéressants sont ceux dans les enfers.

Ce n'était même pas addictif.

Ceci n est que mon avis à chaud, je viens de le terminer.

Je n’ai pas réussi à le finir. Je dirai que c’est un livre pour ados mais sans grandes qualités. J’ai lu des livres pour jeunes adultes bien plus intéressants.

L’idée était super mais l’écriture est plate, sans intérêt et au bout de la deuxième page on sait déjà ce qui va se passer. Tout va vite, tout est prévisible et les dialogues sont ennuyeux.

J’étais vraiment contente à l’idée de lire le livre mais malheureusement j’ai été très déçue autant par l’histoire que par l’écriture.

Aïe aïe aïe, encore un que je ne terminerai pas. Il m'a honnêtement fait tellement grincer des dents que mon dentiste a menacé de porter plainte !

Ça partait pourtant pas trop mal, mais ça s'est vite cassé la figure, entre une Perséphone tête à claques au possible, oscillant entre ce côté gamine insupportable et mijaurée bouche en coeur et un Hadès copié collé sur tous les bad boys au coeur en pâte à pain passé au bureau des plaintes avant lui. J'ai franchement juste eu l'impression que le mythe originel ne servait que d'excuse à l'auteure pour justifier son histoire mille fois rabâchée avant et tenter (vainement) de lui donner un côté original, le tout dans un style d'écriture médiocre que la traductrice a essayé de sauver le plus possible (là aussi en vain...). Pour vous donner une idée du résultat, mixez une mauvaise fanfic de Lore Olympus et Cinquante nuances de Grey sous amphétamines après un passage express au lave-linge et dégustez. Si vous voulez une vraie réécriture du mythe d'Hadès et Perséphone, passez votre chemin et optez plutôt pour Lore Olympus, qui essaye vraiment d'offrir quelque chose de touchant avec des personnages mémorables !

Alors alors alors… J’ai mis un peu de temps à donner mon avis sur ce livre après sa lecture. En général j’aime bien écrire mon commentaire le jour-même, mais là je me suis dit qu’il me fallait un peu de temps pour réfléchir puisqu’il y a du très bon et du très mauvais. Nous suivons le début de l’histoire d’amour entre Hadès et Perséphone (je ne vous apprends rien hé hé, c’est le titre de la série) dans un monde fictif alternatif. On n’est pas du tout dans le même style que Percy Jackson avec des dieux existants cachés dans le monde moderne, ici le monde est complètement différent, on a des nouvelles villes et des nouveaux pays (enfin, je ne suis pas sûre pour ce dernier point, j’y reviendrai) et l’existence des dieux est connue de tous.

J’ai eu du mal à me mettre à la lecture au début car l’écriture n’est vraiment pas terrible. C’est fade et sans saveur, et j’avais juste envie de refermer le bouquin tellement c’était moche parfois. Heureusement (car je ne sais pas si j’aurais continué), le style s’améliore un peu et je me suis habituée à sa pauvreté au bout d’une centaine de pages. Le hic, c’est que dans les cent premières pages, l’autrice est censée nous introduire à la fois ses personnages et son univers, mais pour moi c’est complètement raté. Les personnages du début sont très caricaturaux ou oubliables, et j’ai eu l’impression qu’on me présentait l’univers à la manière d’un collégien.

Perséphone est complètement desservie par l’écriture. Les choix ou les raisonnements qu’elle a ne sont pas pertinents ou logique, et les défauts de style ne font que mettre en avant son raisonnement parfois ridicule. J’ai eu du mal à l’apprécier, car je ne comprenais ni ses choix, ni comment ses actions ne pouvaient pas avoir certaines conséquences. Sa meilleure amie (dont j’ai oublié le nom) n’a pas de personnalité, et ne sert à rien dans l’histoire (sauf à en être son déclencheur). J’ai cependant apprécié Hécate et Hermès, mais l’autrice est restée très en surface à leur propos. J’espère que nous en apprendrons plus dans le tome 2. J’ai également aimé la manière dont l’autrice a dépeint Déméter et sa relation avec Perséphone, je n’en dirais pas plus.

J’ai beaucoup aimé Hadès et le monde des Enfers. C’est un personnage très intéressant et bien sûr plein de mystères, que l’on apprend à découvrir en même temps que Perséphone. La romance entre les deux est très addictive, et j’ai beaucoup aimé leurs échanges. Il me tarde d’en apprendre plus sur lui et son histoire. J’ai adoré les Enfers et comment ils sont décrits. Idem, je ne vous en dis pas plus pour ne pas vous spoiler, mais l’endroit est très bien imagé. J’aurais aimé que l’on y passe beaucoup plus de temps et que l’on apprenne plus sur les âmes et leurs échanges avec Perséphone.

Cependant, si la romance entre nos deux personnages m’a convaincue, ce n’est pas du tout le cas pour l’univers et le scénario. Comme je vous le disais plus tôt, l’univers est pour moi très mal construit. L’autrice a la facilité d’une mythologie déjà construite, la moindre des choses c’est de rendre le tout crédible et attractif pour le lecteur. On en apprend peu sur le monde et ce que l’on sait n’est pas du tout fascinant et m’a ennuyée. A l’inverse des Enfers, le monde terrestre est hyper ennuyant. J’espère vraiment que l’on en découvrira plus dans le deuxième tome car ici je suis complètement restée sur ma faim.

Dernier hic, le scénario a plusieurs fils blancs et celui du début entre la rencontre d’Hadès et de Perséphone n’est pas du tout passé pour moi Spoiler(cliquez pour révéler)(en spoiler, c’est la raison pour laquelle Hadès a passé un marché avec elle alors qu’elle n’a jamais dit qu’elle était d’accord. Le marché était une question pour une victoire. Et le fait d’avoir le point de vu d’Hadès sur le sujet m’a encore moins convaincue). Je ne sais pas si c’est un problème d’écriture ou juste de scénario, mais j’espère que l’éditeur de l’autrice a fait un bien meilleur travail pour les tomes suivants car ça va être problématique s’il y a d’autres problèmes de cohérence.

Je finis sur LE point positif du livre, il est hyper addictif. Une fois passé le problème de l’écriture, je n’ai pas pu le lâcher. Je l’ai lu en une fin d’après-midi et une soirée, les pages défilaient et il fallait que je sache la suite. Les scènes entre Hadès et Perséphone sont très bien dosées et à chaque fois qu’elles se terminent, on en redemande.

Ici s’achève mon commentaire, vous avez eu du courage pour être venu jusqu’à la fin ! Du coup, si l’écriture, le scénario et l’univers laissent à désirer, l’alchimie entre les deux persos principaux, les Enfers et l’addictivité du livre rattrapent ça et nous donne une expérience plaisante de lecture.

Je remercie Booknode et HugoRoman pour m’avoir permis de faire cette découverte.

Très déçue par ce roman. C'est un roman pour adulte mais ça fait très adolescent puis les personnages ne sont pas du tout attachants et ils font tous un peu gnian-gnian. Je m'attendais à autres choses...

Un livre qui commençait plutôt bien...et qui, au final, m'a déçue. Même si les personnages sont attachants, la romance va trop vite, le scénario est trop prévisible et manque d'effets dramatiques. Les révélations chocs ou les moments pivots méritaient plus d'impact dans la vie et le cœur des personnages, alors qu'on a à peine l'impression qu'ils en sont affectés.

Au moins ça se lit bien, l'anglais est facile (lu en VO) (il reste quand même d'énormes coquilles, principalement au niveau du temps du récit, ou des mots qui manquent carrément).

A lire pour se détendre, mais ce roman manque à mon sens beaucoup de profondeur.